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Revue de presse 22.09.2014   Chaussée de Tervuren, 155 – 1410 Waterloo – Geeurickx Daniel Tél. +32 475 97 44 51 – FSMA 109979 A 2014 N°15.

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1 Revue de presse Chaussée de Tervuren, 155 – Waterloo – Geeurickx Daniel Tél – FSMA A 2014 N°15

2 Sommaire Sommaire Revue de presse
Dossier : - Faut-il pratiquer le «quantitative easing» en Europe ? Revue des marchés Humour Sources 2014 N°15

3 Revue de presse Dossier Bruxelles
Rebond de 1% de la production industrielle en zone euro. La production industrielle a rebondi de 1% en juillet, une hausse plus marquée que prévu. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,5%, après un recul de 0,3% en juin. Par rapport à juillet 2013, l'activité industrielle des 18 a progressé de 2,2%, un chiffre là encore largement supérieur aux attentes (1,3%). Jean-Claude Juncker présente les membres de l'exécutif européen. Le Président de la Commission européenne, a dévoilé la composition de l'exécutif appelé à définir au cours des cinq prochaines années une politique communautaire centrée sur la croissance, la réforme du secteur de l'énergie, la concurrence et le commerce extérieur. Le Français Pierre Moscovici, ancien ministre des Finances, occupera les fonctions de commissaire aux Affaires économiques et financières, à la fiscalité et aux douanes. Le Britannique Jonathan Hill est nommé commissaire à la Stabilité financière, aux services financiers et à l'union des marchés de capitaux, poste vivement convoité par la Grande-Bretagne, qui ne fait pas partie de la zone euro. Chaque commissaire va maintenant subir une audition devant la commission du Parlement européen chargée de son dossier, qui donnera son avis sur ses compétences et son engagement européen. Ce n'est qu'une fois ce vote acquis que le nouvel exécutif européen entrera en fonctions, au plus tard le 1er novembre. Washington La Fed réaffirme son engagement ultra-accommodant pour longtemps. La Réserve fédérale des Etats-Unis a renouvelé mercredi son engagement à conserver des taux d'intérêt proches de zéro "pour une durée considérable" mais a publié des projections qui laissent entendre que les taux pourraient remonter à un rythme plus soutenu qu'elle ne le pensait voici quelques mois. 2014 N°15

4 Revue de presse Dossier Frankfort
La BCE prendra de nouvelles mesures si nécessaire, dit Draghi. La Banque centrale européenne (BCE) est prête si nécessaire à prendre de nouvelles mesures pour parer à la menace déflationniste dans la zone euro, a déclaré son président Mario Draghi. "Nous avons maintenant atteint un point bas pour nos taux d'intérêt", a-t-il déclaré. "Le Conseil des gouverneurs se tient prêt à prendre de nouvelles mesures pour préserver la stabilité des prix", a-t-il ajouté, observant par ailleurs que la BCE voyait la reprise se poursuivre en zone euro, à un rythme modéré. Mario Draghi exhorte les gouvernements à agir. Le président de la BCE a exhorté les gouvernements à entreprendre des réformes structurelles et à accroître l'investissement public pour relancer l'économie de la zone euro, en parallèle aux mesures de soutien monétaire décidées par la BCE. Il a ainsi noté que l'investissement dans la zone euro ne s'était que légèrement amélioré par rapport à ses niveaux de 2008, alors qu'il est bien au-dessus de ses niveaux d'avant-crise aux Etats-Unis. Pour relancer l'investissement des entreprises, il demande aux gouvernements d'améliorer leur environnement réglementaire afin de ne pas, a-t-il dit, "saper le moral des entrepreneurs." Evoquant la politique budgétaire, il a appelé de ses vœux une "mise en œuvre cohérente et crédible" du Pacte de stabilité et de croissance de l'Union européenne, qui limite les déficits des Etats membres à 3% du produit intérieur brut. Baisse du moral des investisseurs allemands en septembre. Le moral des analystes et des investisseurs en Allemagne est tombé en septembre à son plus bas niveau depuis décembre 2012, signe que la première économie d'Europe souffre des tensions entre la Russie et l'Occident au sujet de l'Ukraine. En baisse pour le neuvième mois consécutif, l'indice du sentiment des investisseurs calculé par l'institut ZEW a reculé à 6,9 après 8,6 en août; il dépasse toutefois le consensus établi par Reuters, qui le donnait à 4,8. 2014 N°15

5 Revue de presse Dossier Berlin
Pas de dette nouvelle en Allemagne en 2015, inédit depuis Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a déclaré que l'Allemagne ne ferait pas de nouvelles dettes en 2015, une situation inédite depuis 1969 et qui atteste de la vigueur d'une économie que ses homologues européennes implorent de s'impliquer davantage dans la relance de la croissance en zone euro. Il a expliqué que des budgets dépourvus de nouvelles dettes nettes devraient être la norme en Allemagne à partir de 2015 et que le gouvernement voulait faciliter le développement de l'investissement privé, surtout dans les grands travaux. Des pays tels que la France et l'Italie pressent l'Allemagne d'augmenter l'investissement public et d'alléger la fiscalité pour doper la reprise économique de la zone euro. La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, voudrait bien, elle aussi, que Berlin augmente l'investissement. Mais Wolfgang Schäuble a dit qu'un trop grand nombre de ses collègues européens considéraient qu'il fallait combler le déficit d'investissement de la région par la manne publique. Le ministre a mis l'accent sur la promotion de l'investissement privé. Rome Rome veut assouplir les règles budgétaires de toute la zone euro. L'UE devrait assouplir ses exigences en matière de réduction de la dette publique et de déficit budgétaire pour l'ensemble des membres de la zone euro compte tenu de la croissance économique plus faible que prévu, a déclaré le secrétaire d'Etat italien chargé des Affaires européennes. L'Italie, qui assure actuellement la présidence tournante de l'Union européenne, réclame davantage de marge de manœuvre pour pouvoir augmenter les dépenses publiques mais de hauts responsables de l'UE ont récemment réaffirmé la nécessité de règles strictes. L'Italie a déjà reporté il y a moins de six mois son objectif d'équilibre budgétaire structurel de 2014 à L'Italie plaide en faveur d'une politique budgétaire européenne centrée sur la croissance et non plus sur l'assainissement des finances publiques Le FMI abaisse sa prévision de PIB 2014 pour l'Italie. Le produit intérieur brut (PIB) de l'Italie se contractera en 2014 pour la troisième année consécutive et sa dette publique continuera d'enfler, a estimé jeudi le Fonds monétaire international (FMI). 2014 N°15

6 Revue de presse Dossier Paris
La France épinglée par la Commission européenne. Les nouveaux objectifs de réduction du déficit budgétaire du gouvernement français ne sont clairement pas conformes à ses engagements, a estimé la CE. Paris a renoncé à ramener le déficit public à la limite européenne de 3% avant la présidentielle de 2017 et prévoit pour cette année une dégradation des comptes, au lieu de l'amélioration qu'il promettait encore avant l'été. Le Pacte de stabilité autorise un report de la date butoir à certaines conditions, notamment si la croissance économique est inférieure aux prévisions prises en compte dans le cadre des recommandations et si des mesures de réduction du déficit sont effectivement mises en œuvre. La Commission évaluera à l'automne si de telles mesures ont été prises en 2014, en se focalisant plus particulièrement sur les ajustements structurels requis. Dynamique de croissance toujours stable dans les pays de l'OCDE. La dynamique de croissance reste globalement stable à son niveau de début d'année dans les économies de la zone OCDE. L'indicateur global pour la zone OCDE est stable à 100,5, niveau inchangé depuis novembre 2013, le seuil de 100 correspondant à la tendance de long terme de l'activité économique. Celui des seuls pays du G7 est de même inchangé à 100,5, signalant également une dynamique de croissance stable, tout comme pour celui de la zone euro, même s'il s'effrite de 0,1 point à 100,8. Les Etats-Unis (100,6, inchangé) comme la Grande-Bretagne (-0,2 point à 100,8) restent sur une dynamique stable. L'indicateur pour le Japon poursuit sa baisse entamée en début d'année et recule de 0,2 point à 99,9. Chez les grandes économies émergentes, l'indicateur pour la Chine progresse de 0,1 point à 99,1, un niveau qui signale une stabilisation de la croissance. L'indicateur pour l'Inde, en hausse pour le septième mois consécutif (+0,1 point à 99,0), signale de son côté une inflexion positive pour l'activité. Celui du Brésil (+0,3 à 99,4) signale lui une possible inflexion positive. Moody's maintient sa note de crédit de la France. Moody's a maintenu vendredi la note de crédit Aa1 de la France, qui reste néanmoins assortie d'une perspective négative en raison de la faiblesse de la croissance et de l'ampleur des déficits. 2014 N°15

7 Revue de presse Dossier Londres
L'indépendance de l'Ecosse menacerait la croissance britannique. Si les électeurs écossais votent en faveur de l'indépendance la semaine prochaine, les projections des économistes suggérant que la Grande-Bretagne va connaître l'un des rythmes de croissance les plus élevés du monde développé pourraient être remises en cause. Sur l'ensemble de 2014, la croissance est anticipée à 3,0%. En 2015, la hausse du PIB est estimée à 2,6%. Selon ces projections, la Grande-Bretagne connaîtra pendant cette année une croissance nettement plus soutenue que celle de la zone euro et également supérieure à celle des Etats-Unis. La zone euro - premier partenaire commercial de la Grande- Bretagne - devrait afficher cette année une croissance de 0,8% et les Etats-Unis devraient enregistrer une hausse de 2,1% de leur PIB. Les grandes banques améliorent leur ratio de fonds propres. Les principales banques mondiales ont pratiquement éliminé le déficit de fonds propres qui serait le leur si la réglementation Bâle III était déjà intégralement en vigueur. Les 102 premières banques de la planète auraient eu un déficit de fonds propres de 15,1 milliards d'euros fin décembre contre 57,5 milliards d'euros à fin juin 2013 et environ 374 milliards d'euros il y a moins de trois ans. Cette situation atteste des efforts des banques pour augmenter leur capital et se restructurer par la cession de certains actifs. Les accords de Bâle III ont introduit toute une série de dispositions réglementaires dont la mise en œuvre a été étalée de 2013 à Leur objectif est d'amener les banques à renforcer leur solidité financière en augmentant leurs fonds propres. Péking L'inflation plus faible que prévu au mois d'août en Chine. L'inflation a décéléré plus que prévu en août et les économistes se demandent si la Banque populaire de Chine en tirera parti pour annoncer de nouvelles mesures de relance de la croissance. L'indice des prix de détail a augmenté de 2,0% annuels en août, a dit le Bureau national de la statistique jeudi, après 2,3% en juillet et 2,2% attendus. Pékin a fixé un plafond annuel de 3,5% pour l'inflation. 2014 N°15

8 Dossier Faut-il pratiquer le «quantitative easing» en Europe ?

9 Dossier Faut-il pratiquer le «quantitative easing» en Europe ?
Le QE est en fait la monétisation d’une partie de la dette publique américaine. Au cours des dernières années, une grande partie de la dette supplémentaire a été financée par de la création monétaire, la Fed fournissant directement au Trésor américain du cash en échange d’une reconnaissance de dette probablement assez théorique. Cette création monétaire a- t-elle été utile pour l’économie ? C’est très douteux. Aux Etats-Unis, elle a surtout facilité le financement d’un déficit très élevé (de 5 à 7 % du PNB certaines années) et elle a permis des baisses de taux qui ont entraîné une hausse de l’immobilier et des Bourses, et des profits considérables pour le secteur bancaire. Il est fort probable que la croissance - faible mais réelle - de ces dernières années aux Etats-Unis ne soit pas tant due à la politique monétaire qu’aux caractéristiques propres d’innovation et d’investissement de l’économie américaine et à la flexibilité de son secteur financier - réformé en profondeur, qui finance une grande part de l’économie à long terme en dehors du secteur bancaire. Un tel mécanisme de création monétaire est-il utile pour la croissance en Europe ? On peut en douter. Les déficits et la dette publique sont déjà fort élevés et les ménages européens étant souvent des épargnants nets, la baisse des taux provoquée par la politique monétaire de la BCE a probablement plutôt réduit le pouvoir d’achat des citoyens qu’elle ne l’a augmenté. Cette baisse des taux a aussi augmenté les bénéfices des banques, tant ponctuellement sur leurs portefeuilles d’obligations que structurellement sur leurs marges, car les taux de crédit ont moins baissé que la rémunération des dépôts. Les problèmes sont ailleurs : le système financier européen n’a pas été réformé en profondeur. Le rôle excessif qu’y jouaient les banques a plutôt été renforcé par les mesures de la BCE et de nombreux secteurs économiques dans plusieurs pays sont asphyxiés par le manque de financement et par les conditions très dures des banques pour leurs offres de crédit. 2014 N°15

10 Dossier Faut-il pratiquer le «quantitative easing» en Europe ?
La BCE a annoncé vouloir accroître son aide au secteur bancaire par des financements et achats d’actifs, voire peut-être plus tard par la monétisation de dettes publiques également. Mais il est à craindre que ces mesures ne seront pas plus utiles que dans le passé pour relancer l’économie européenne. Elles réduisent (ou retardent...) les accidents bancaires, mais consolident un secteur égocentrique et dysfonctionnel, qui devrait être réformé drastiquement dans l’intérêt de l’économie. La BCE plaide pour que les Etats agissent enfin, «par des politiques budgétaires et des réformes structurelles». Plutôt que d’encourager de «bêtes déficits», les Etats devraient envisager des mesures sur deux grands axes : Une réforme en profondeur du secteur bancaire visant à accroître le rôle des marchés de capitaux dans le financement à long terme de l’économie. Une dynamisation des marchés des capitaux devrait inclure une dynamisation des marchés de titrisation qui, bien encadrés, peuvent être très utiles — surtout si l’on tire les leçons des excès des années 2002 à 2008, ce qui est déjà fait aux Etats-Unis. Un choc fiscal et budgétaire qui comprendrait une réduction de la part issue des charges sur le travail dans le financement de la sécurité sociale et une augmentation des financements pour la recherche et les infrastructures, entre autres en matière énergétique et de sécurité électronique. La somme de ces dépenses et réductions de recettes devrait représenter des montants importants (jusqu’à 10 à 15 % du PIB) et pourrait être financée par un ensemble de mesures fiscales et budgétaires. Parmi elles, une meilleure perception de l’impôt des sociétés payé par les grandes entreprises ; une taxation plus importante des produits énergétiques fossiles ; une réduction ou une suppression des subsides directs et fiscaux qui sont souvent des cadeaux inutiles et un accroissement temporaire des déficits budgétaires, le temps que ces mesures produisent leurs effets. Mais il est à craindre que les rustines de la BCE vont entretenir encore quelque temps l’illusion politicienne qu’on peut se passer de vraies réformes. Tiré d’un article d’Eric De Keuleneer (Solvay Brussels School of Economics) pour Trends 2014 N°15

11 Revue des marchés Dossier Le point sur les marchés:
Une Fed toujours accommodante, le soulagement du referendum écossais et la frénésie d Alibaba et les 40% . Bref, le S&P est au dessus des 2000pts, le DJ des 17000pts, le Nikkei des 16000pts et par contagion les indices européens ont repris un chemin ascendant. Une quasi unanimité des gérants et stratèges tablent sur la poursuite de la hausse des marchés actions sur le quatrième trimestre. Dans ce cadre globalement haussier, les actions européennes recéleraient le meilleur potentiel. 2014 N°15

12 Humour Humour 2014 N°15

13 Revue des marchés Sources 2014 N°15

14 Revue de presse Geeurickx Daniel


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