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Compression de données

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Présentation au sujet: "Compression de données"— Transcription de la présentation:

1 Compression de données
Formation

2 Principe Compression sans perte Compression avec perte

3 Introduction La tendance à l'intégration de services traditionnellement analogiques tels que l'audio ou la vidéo dans les systèmes informatiques a donné lieu à l'apparition de nouvelles classes d'applications dénommées sous le terme générique de multimédia. Si les données numériques se satisfont de débits de l'ordre du méga-bit par seconde, il en va tout autrement en ce qui concerne ces nouvelles applications, que ce soit déjà au niveau du stockage mais surtout au niveau du transport. 10-96

4 Généralités On distingue deux types d'algorithmes visant à réduire la taille des données manipulées : Les algorithmes de compactage ou méthode réversible Les algorithmes de compression ou méthode irréversible On mesure l'efficacité de la compression par : Taux de compression

5 Principe Compression sans perte Compression avec perte

6 Compactage Les algorithmes de compactage ne visent qu'un seul et même objectif : l'élimination de la redondance dans les fichiers. En effet les fichiers informatiques traditionnels étant d'origine humaine ou décrivant des formats numériques répétitifs, et les langues humaines étant notoirement redondantes (l'anglais est redondant à 75 %), les-dits fichiers contiennent une part importante d'information non pertinente. Plusieurs types de compactage : Algorithme de compactage canonique Algorithme de codage statistique Algorithme de type dictionnaire

7 Les algorithmes de compactage canoniques
Le Run Length Coding (RLC) Pour appliquer le RLC, il suffit de se choisir un caractère de contrôle #, et de coder les plages de k octets par : # octet k. Le Codage Topologique Pour ce codage on choisi un octet dont on va privilégier le compactage : on va lire des blocs de huit octets puis remplacer les occurrences de l’octet choisi par un octet de description en tête de séquence qui indique les emplacements de cet octet. Ne reste dans la séquence que les octets différents. Le Codage Relatif Dans le cadre du codage relatif on résume les bits qui ne varient pas en début de séquence, puis on ne précise que les bits qui évoluent.

8 Les algorithmes de compactage statistiques
Les algorithmes de codage statistique forment une classe d'algorithmes liés à RLC. On considère le fichier f comme un ensemble de motifs quelconques Mi dont on va étudier les fréquences d'apparition fi. Après avoir calculé les fréquences d'apparition fi, on va établir un codage Ci des motifs de telle sorte que les tailles des code Ci soit inversement proportionnelles aux fréquences d'apparition des motifs Mi. Le fichier compacté sera composé de la liste des correspondances (Mi,Ci) et du fichier f où on aura remplacé Mi par Ci. Exemple : Huffman

9 Les algorithmes de type dictionnaire
Les algorithmes de type dictionnaire établissent un dictionnaire des termes employés dans un fichier, termes qui peuvent êtres de taille quelconques, et leur associent un code de taille moins importante. Le fichier compacté est composé du dictionnaire et du fichier où les termes sont remplacés par les codes. Exemple : LZW Compacté Fichier Dictionnaire Codage C = AAAAAA C ________ _____C____ _C________ C_________ _________C C AAAAAA ________ _____AAAAAA____ _AAAAAA________ AAAAAA_________ _________AAAAAA

10 L’état de l’art Les programmes de compactage les plus performants combinent la puissance des algorithmes de type LZW et l'efficacité des algorithmes statistiques pour compresser les motifs redondants. La combinaison est simple : Aux algorithmes de type dictionnaire de détecter les redondances dans les fichiers et de constituer les dictionnaires de motifs redondants. Aux algorithmes statistique de trouver les codages les plus concis pour les termes contenus dans les dictionnaires. Compresse les codes LZW émis Compresse les positions Repère les redondances Aucune en-tête STATISTIQUE + DICTIONNAIRE = OPTIMUM ZOO PKZIP LHA ARJ

11 MNP5 Le protocole MNP5 est un exemple de l'utilisation du compactage pour le transfert des données informatiques sur réseaux : il permet de compresser des données et donc d'augmenter le débit sur les lignes. L'algorithme utilisé est un mélange d'algorithme de type dictionnaire et de type statistique : on recherche d'abord les redondances dans le fichier et les motifs redondants se voient affecter un code de taille optimale. Dans le meilleur des cas la compression peut atteindre un facteur 4, ce qui revient à dire qu'une ligne V32 bis à bps peut fonctionner au mieux comme une ligne à bps.

12 MNP5

13 MNP5

14 MNP5

15 Principe Compression sans perte Compression avec perte

16 Compression avec perte
L’image L’image est un signal fortement corrélé. Donc les algorithmes (sans perte) classiques tels que Huffman, LZW et même le rudimentaire RLC donnent de très bons résultats. Format TIFF : LZW (20 à 80% en 256 couleurs) Format TGA : RLC (pas plus de 70%)

17 Compression avec perte
La norme JPEG La norme JPEG (Joint Picture Expert Group) utilise un protocole de codage en 3 étapes : Calcul de la transformée de cosinus discrète (DCT) par bloc de 8x8 pixels Quantification des coefficients de la DCT Compression statistique (Huffman)

18 Principe JPEG IMAGE ORIGINALE DCT 8 x 8 Quantification Codage
statistique IMAGE COMPRESSEE

19 Principe JPEG Référence (11 240 octets) FQ = 4 (2 582 octets)
Compression 77% FQ = 10 (1 582 octets) Compression 86% FQ = 100 (528 octets) Compression 95%

20 JPEG 2000 Le format JPEG, bien que normalisé en 94, a été développé il y a plus de 10 ans. Le format JPEG 2000 doit répondre aux nouveaux besoins (photo numérique, web, e-commerce,…). Il est basé sur la technologie des ondelettes et permet une amélioration du taux de compression (20%) et une qualité supérieure de restitution par rapport au format actuel. Il sera possible , à la réception, de définir le choix de la résolution.

21 Compression avec perte
La norme MPEG La norme MPEG (Moving Picture Expert Group) définit une compression pour une succession d’image dans le temps, accompagnée d’une bande sonore. Constituants de MPEG Vidéo : définition de la méthode de compression des images animées dans le temps Audio : compression des séquences audio (256 kbps). System : synchronisation et multiplexage des séquences audio et vidéo.

22 Compression avec perte
La vidéo (image et son) est moins sensible au délai de transit que la voix (non interactivité entre les extrémités) mais est plus gourmande en terme de débit. Une image de télévision (standard européen 625 lignes, 25 Hz) est caractérisée par : Le nombre de lignes utiles fixées à 576 Le nombre de point par ligne défini à 720 Chaque point est représenté par deux grandeurs, la luminance et la chrominance reliées entre elles par la relation : Y = 0,3 R + 0,59 V + 0,11 B Seuls sont transmis la luminance (Y) et les signaux composites suivants : Db =1,5 ( Y – B ) et Dr = -1,9 ( Y – R )

23 Compression avec perte
Caractéristiques des images vidéo NTSC PAL/SECAM CIF QCIF Nombre de lignes 525 625 Résolution luminance 720 x 485 720 x 576 352 x 288 176 x 144 Résolution chrominance 360 x 485 360 x 576 88 x 72 Images /seconde 60 50 30 Entrelacement Oui Non

24 Compression avec perte
Les normes MPEG Normes Années Objet MPEG1 1993 Définit l'enregistrement et la consultation d'images ani-mées (format réduit 352x288 pixels en PAL et 352x240 en NTSC, qualité équivalente au format VHS) et du son associé sur support numérique. Débit de 1,5 à 2 Mbps. MPEG2 1995 Normalise la compression pour la distribution d'images et la diffusion de programmes de télévision. Débit 10 Mbps. MPEG4 1998 Pour un service interactif. MPEG5 Précisera les mécanismes de navigation entre différentes scènes. MPEG7 Devrait permettre la recherche d'images par son contenu (langage de requêtes), sans pré indexation préalable.

25 Compression avec perte
Le principe de la compression vidéo repose sur la forte redondance d'informations dans une image et d'une image sur l'autre. Il en résulte deux types de compression : Une compression spatiale Une compression temporelle La compression spatiale résulte d'une décomposition de l'image en bloc (8 x 8) converti en matrice de coefficients compressé à nouveau de manière statistique. La compression temporelle considère une image comme une translation temporelle de la précédente. Ne sont transmis que les coordonnées vectorielles des blocs dont la position à changé.

26 Compression avec perte
Les différentes étapes de MPEG : Mise en forme des signaux d’entrée Remise en ordre des images Estimation du mouvement Compensation du mouvement Calcul de DCT Quantification Codage à longueur variable

27 Compression avec perte
Trois types d’image : Les images codées Intra (I) sans référence, servent de référence aux autres images (prédites). Les images codées par prédiction (P) sont codées en référence à une image antérieure Intra. Elles servent de référence pour les images prédites par mouvements. Les images codées par prédiction avant ou arrière (B) bidirectionnelle sont codées à partir d’une image I ou P antérieure ou future. B I P -2 -1 1 2 3 4 5 6 7 8 9

28 Compression avec perte
Construction de l'objet fractal de Koch appelé aussi le flocon de neige :

29 Compression avec perte

30 Compression avec perte

31 Compression avec perte

32 Compression avec perte


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