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Bilan des villes gérées par l’extrême droite

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Présentation au sujet: "Bilan des villes gérées par l’extrême droite"— Transcription de la présentation:

1 Bilan des villes gérées par l’extrême droite

2 VITROLLES Catherine Mégret, 1997-2002
Augmentation de la dette de la ville Prime de naissance pour les familles françaises : condamnation pour discrimination Fermeture des centres aérés. Suppression des subventions aux syndicats et associations humanitaires, au profit des associations proches du FN comme « Fraternité française »

3 Limogeage de la directrice du cinéma qui a diffusé des courts métrages sur la prévention du SIDA (le cinéma d’art et essai est remplacé par un multiplexe) En novembre 1997 « un commando d’une dizaine d’hommes vêtus de noir, cagoulés et armés de battes de base-ball attaque le piquet de routiers grévistes du carrefour de l’Anjoly. Le matraquage fait trois blessés et des dégâts matériels... 5 conseillers de Vitrolles seront mis en examen.

4 Catherine Mégret est accusée et condamnée pour détournement de fonds public en 2006, ainsi que 4 anciens cadres de la municipalité.

5 MARIGNANE Daniel Simonpieri 1996-2008 Augmentation des impôts locaux
Tente de réserver les cantines aux enfants dont les deux parents prouvent qu’ils travaillent Le projet de complexe de loisir est remplacé par un supermarché

6 Certains livres et abonnements à des revues sont refusés à la bibliothèque municipale à qui la commune impose l’achat de 75 livres de membres ou de proches du FN Daniel Simonpieri supprime « l’avant-veille de Noël, les subsides accordés aux Restos du coeur pour les hivers de 1993 et de 1994, par le précédent maire Laurens Delieul (divers droite) » La municipalité a porté la subvention du club de football local de à francs

7 Le 9 novembre 2011, il est condamné pour fausses factures et emplois fictifs à 12 mois de prison avec sursis, € d’amendes et 5 ans d’inéligibilité.

8 TOULON Jean-Marie le Chevallier 1995-2001
Dès le premier budget, augmentation des impôts de 9%, contrairement aux promesses de baisse Suppression des subventions aux associations qui œuvrent dans les cité Secours populaire : 8000 francs. Société des amis des chats : francs…

9 Le groupe NTM est interdit de spectacle
En 1997, Jean-Marie Le Chevallier est élu député de la 1re circonscription du Var, mais en 1998 son élection est invalidée pour triple infractions au financement de campagne. Toujours en 1997, la municipalité est accusée de pot-de-vin et de monnayage d’attribution de postes administratifs

10 En 1999, Jean-Marie Le Chevallier quitte le Front National.
Il est condamné en 2003 pour subornation de témoins dans l’affaire du meurtre de son directeur de Cabinet, un ancien légionnaire. Ce dernier avait été tué par son amant et non par des opposants. Le maire avait fait pression sur des employés municipaux pour que la première piste n’apparaisse pas.

11 ORANGE Jacques Bompard 1995…
La municipalité supprime le financement du festival « Les chorégies ». Elle invite le groupe Fraction Hexagone qui chante « Une balle pour les sionistes, une balle pour le cosmopolitisme et une balle pour la police ». Augmentation de la petite délinquance Embellissement du centre ville et absence de rénovation des quartiers populaires

12 Le 18 octobre 2011, la Chambre Régionale des Comptes de Provence-Alpes Côte-d’Azur pointe des irrégularités dans la gestion municipale à Orange. La mairie augmente « la surtaxe » de l’eau. La mairie limite le nombre d’enfants dans les cantines scolaires. La mairie supprime les cars de ramassage vers les Centre Aérés, elle coupe le budget d’associations à caractère social.

13 « Dans la ville, il s’est installé un climat de délation, de peur et d’angoisse pour le personnel municipal. Les insultes et les vociférations fusent de la part de maires adjoints. » En 2010, Jacques Bompard, qui avait connu une garde à vue en 2009, est mis en examen pour prise illégale d’intérêts.

14 En résumé… En matière de gestion : hausse des impôts et endettement des villes, isolement financier et abandon de projets. En matière d’emploi : répression des travailleurs et discriminations à l’embauche, mises au placard et licenciement d’agents municipaux, gestion par le stress. En matière de politique sociale : abandons des défavorisés et des exclus, destruction du terreau associatif, attribution de subventions à la tête du client, haro sur la cantine, absence de politique en faveur de la jeunesse, logique de répression et abandon des politiques de prévention, ghettoïsation des quartiers.

15 En matière de culture : promotion des auteurs FN, assèchement du pluralisme culturel et promotion du foklorisme, attribution de subventions à la tête du client. En matière de justice et de sécurité : dérives légalistes et magouilles politico-judiciaires, fausses factures et prises illégales d’intérêts, agression d’élus, propos racistes et xénophobes, détournements de fonds public, effractions et voie de faits, condamnations par les tribunaux, inéligibilités. En matière de démocratie : népotisme et copinage, discrimination, non respect des promesses électorales.

16 Sources Critique internationale n°4 - été 1999 ; Didier-hacquart.over-blog.com/30-categorie html 17 février 2001 ; Ere marine.fr, le site qui ne donne pas envie de voter Marine Le Pen ; Ina, 18 septembre 1997 ; L’Express, 15 janvier 1998 ; L’Express, 25 juillet 2002 ; L’Humanité, 11 novembre 2000 ; L’Humanité, 27 avril 2002 ; L’Humanité, 6 mars 1999 ; L’humanité, 25 février 1999 ; L’Humanité, 24 mars 1999 ; L’Humanité, 31 mars 1999 ; L’Humanité, 27 octobre 1999 ; La Provence.Com, 10 novembre 2011 ; La Provence.Com, 20 février 2009 ; La Provence.Com, 19 mars 2008 ; Le Monde, 26 février 1997 ; Le Monde, 02 Juillet 2009 ; Le Nouvel Observateur, 18 novembre 199 ; Le Nouvel Observateur, 7 octobre 2002 ; Libération, 30 décembre 1995 ; Libération, 17 octobre 1997 ; Libération, 6 janvier 1998 ; Libération, 9 février 1998 ; Libération, 18 octobre 2006 ; Mrap.fr (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) ; SOS Racisme.org ; Voltairenet.org ; Wikipedia.org… A lire également : Roger Martin, Main basse sur Orange : une ville à l’heure lepéniste, Calmann-Lévy, 1998.


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