Sourires du Monde Jean-Louis Saporito. « En voyant un tatouage, les patrons pensent qu’on est de la pire espèce. »Ada Maritza Orozco Amérique Centrale.

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1 Sourires du Monde Jean-Louis Saporito

2 « En voyant un tatouage, les patrons pensent qu’on est de la pire espèce. »Ada Maritza Orozco Amérique Centrale

3 Amérique Centrale « Ses amis et les jeunes avec qui elle traîne se moquent d’elle. Elle a un peu honte d’être indienne. » Carmen Paulina Tzic Rivas

4 Amérique Centrale « Mes voisins parlent de nous comme d’une famille heureuse parce que je souris tout le temps. » Maria Teresa Gonzàles

5 Amérique du Nord « J’ai toujours envoyé mes enfants à l’école. Je me lève tôt le matin pour les accompagner. » Dora Lewis

6 Amérique du Nord « Mon fils, c’est la seule chose qui ait de la valeur à mes yeux dans ma vie. » Pauline Donald

7 Amérique du Nord « Dès qu’on a eu un pouvoir politique, on est devenus une force avec laquelle il a fallu compter. » Tony Velazquez

8 Asie « Pour moi-même, je n’ai pas d’espoir mais pour les enfants, je ne voudrais pas qu’ils aient une vie comme leur père ou leur mère. » Pim

9 Asie « Les riches ont plus de chance. A chacun son destin, mais je trouve que ce n’est pas juste. » Phornthip Khongjinthet

10 Moyen-Orient « Je vois mes années de guerre meilleures qu’aujourd ’hui. Personne n’avait faim, on s’habillait bien. » Khodr Rifaï

11 Moyen-Orient « Celui qui ne vit pas dans la pauvreté ne peut pas sentir vraiment ce qu’on vit. » Soraya Saliba

12 Afrique « Je ne peux pas oublier la personne qui m’a soutenu. Je partais avec elle à l’abattoir et nous ramassions du fumier que nous vendions. » Ablassé Yanogo

13 Afrique « Ma petite-fille veut devenir « maîtresse ». Elle peut aller loin, faire mieux qu’un garçon… » Célestine

14 Afrique « On est quatre-vingt- quatre élèves dans ma classe. On se cotise pour acheter un cahier pour sept élèves. » Sylvie

15 Europe « Il m’appelle Petit Ange. Je l’appelle Mimi. Nous allons nous marier. » Ghislaine

16 Europe J’ai vu une dame âgée, elle sortait tout le temps sans manteau, moi ça m’a fait mal. J’avais froid pour elle. » Joëlle Merlin

17 Fin du Diaporama Cliquer ici pour retourner à la page d ’accueil : http://www.editionsquartmonde.org/