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Quelques recommandations pour la présentation Vraie Vie : - Mettez en avant systématiquement votre expérience concrète : difficultés, leçons apprises lors.

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Présentation au sujet: "Quelques recommandations pour la présentation Vraie Vie : - Mettez en avant systématiquement votre expérience concrète : difficultés, leçons apprises lors."— Transcription de la présentation:

1 Quelques recommandations pour la présentation Vraie Vie : - Mettez en avant systématiquement votre expérience concrète : difficultés, leçons apprises lors du déploiement, bénéfices, limites, problèmes inattendus. - Votre public est composé de professionnels des Infrastructures et de la Production, de personnes qui font le même métier que vous, n’hésitez pas à parler technique lorsque nécessaire, ni à vous référer à des concepts connus de tout professionnel du domaine. - Expliquez bien les raisons qui vous ont conduit à entamer le projet : pourquoi vous-êtes-vous engagé dans cette démarche ? Quel était le problème ? Quel était le but ? - Mettez en évidence le business case associé au projet : comment avez-vous justifié ce projet auprès de votre direction ? Quel était le RoI attendu ? - Finissez toujours sur une slide : problèmes / Bénéfices pour récapituler les résultats obtenus mais aussi les points de résistance. - Soyez précis autant que possible : nourrissez votre présentation avec des chiffres et des éléments de mesure concrets - S’il y a lieu, décrivez les étapes de réalisation du projet : calendrier, durée, personnels impliqués, ressources mobilisées, modifications de l’organisation, etc. - Si cela aide à la compréhension du projet, vous pouvez inclure une slide de présentation de votre entreprise, et une autre sur la nature de votre système d’information (technologies, grandes masses, organisation interne) - Vous parlez à des pairs, n’hésitez pas à leur donner les conseils que vous auriez apprécié de recevoir vous-même avant de conduire le projet - Et de nouveau : Mettez systématiquement en avant votre expérience concrète, restez près du terrain et de la vraie vie.

2 Comment mettre un pingouin dans son infrastructure Hervé Pouille Responsable Technique Unix-SGBD

3 « Kiabi, la mode à petit prix » Entreprise familiale non cotée CA: ~1,3 Mds € 450 magasins dans 6 pays: France – DOM TOM Italie Espagne Portugal Russie Maroc Présence sur le Web: www.kiabi.comwww.kiabi.com 6 entrepôts répartis sur le territoire national Kiabi – Chiffres clés

4 Informatique totalement centralisée sur 2 datacenters Cœur de métier fortement « teinté » Unix Une grande partie des applications métier est spécifique Infrastructure informatique

5 Briques techniques: Oracle Apache Forms Java Infrastructure informatique

6 2 paliers techniques validés Sun solaris pour la majorité des applications IBM AIX pour les applications « critiques » en terme de performances ou de disponibilité Utilisation de la virtualisation: zones globales pour solaris, partitions pour AIX Organisation en silos: un serveur héberge à la fois la base de données et des serveurs d’applications Situation Unix historique

7 Début 2004, sous l’impulsion des architectes techniques: pourquoi payer lorsqu’il existe des systèmes « gratuits » Distribution Debian Woody 3.0 Serveur intranet: LAMP + interligo Intégration d’Insight Manager Et Linux? Premiers essais

8 Plusieurs difficultés rencontrées: Support éditeur? Debian non supportée par Oracle Nécessité de convertir au format deb des paquets spécifiques disponibles uniquement sous forme rpm  Utilisation confidentielle de Linux  Prise de conscience que « OpenSource » n’est pas synonyme de « gratuit » Et Linux? Premiers essais

9 Evaluation de la distribution SLES9 en 2005 Intégration sur des serveurs Proliant Installation de oracle 9i  Bonne réactivité du support Novell  Tests très positifs dans l’ensemble Phase expérimentale

10 A partir de 2006, le déploiement de Linux s’effectue principalement dans un contexte de serveurs d’infrastructures mais toujours sans impacter les « métiers »: Serveur ldap Web services Intranet  Pas de réelle plus value à une migration massive de Solaris x86 vers Linux Phase expérimentale

11 Le rachat de Sun par Oracle fait apparaître une dépendance forte de Kiabi vis-à-vis de l’éditeur qui est en situation de quasi monopole sur le périmètre informatique: OS: Solaris SGBD: oracle/mysql Outil de développement: java Autre inconnue: la politique tarifaire 2009 l’évènement

12 Plusieurs constats: Obsolescence des environnements Solaris Réflexion sur la mise en œuvre d’un second datacenter et refonte du PRA VMWARE est désormais utilisé pour des serveurs de production Windows Une réussite technique spectaculaire: centralisation des serveurs cups pour logistique et back office magasin (environnements critiques) 2000 imprimantes 2 impressions par seconde en moyenne Temps de réponse inférieurs à la seconde  Cups devient la vitrine de Linux chez Kiabi 2010: année charnière

13 Les principes de la nouvelle architecture: Mise en place de briques techniques associées à des niveaux de services Utilisation massive de la virtualisation Consolidation des instances oracle sur une ferme dédiée Nécessité de diminution des budgets informatiques Refonte de l’architecture technique

14 Un niveau de performance élevé, comparable voire supérieur à ce qui était relevé sur les environnements AIX (à partir de plusieurs benchs réalisés sur les environnements critiques de Kiabi) Une politique tarifaire (souscription au support Suse) très intéressante dans le contexte Kiabi Bonne disponibilité des équipes commerciales et support de Suse Le choix de Linux

15 Migration des serveurs d’application Tomcat de solaris vers Linux Mise en place des fermes de serveurs Oracle et déplacement de toutes les instances Maintien des partitions AIX pour les progiciels non supportés sous linux  La majorité des serveurs Unix tourne désormais sous OS Linux  La totalité des nouvelles applications Unix est désormais mise en œuvre sous Linux (SLES 11 SP2) Situation actuelle

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19 Les forces de Linux Facilité d’intégration et de déploiement: yast, susestudio, template vmware, SMT Diminution sensible des coûts Plate forme Intel Virtualisation Linux devient progressivement un standard supporté par tous les éditeurs Maturité des compétences disponibles

20 Les difficultés et les pièges Le frein psychologique: Linux ne doit plus être considéré (et présenté) comme un OS pour Geek  intégrer Linux n’est pas gratuit Une distribution n’est pas un simple système d’exploitation: vigilance à avoir lors des mises à jour de système Les progiciels sous linux ne sont pas forcément qualifiées pour toutes les distribution (HR Access et SLES par exemple)

21 Merci de votre attention


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