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AVEC MARIJO.

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Présentation au sujet: "AVEC MARIJO."— Transcription de la présentation:

1 AVEC MARIJO

2 TOURNUS

3 Située en Saône-et-Loire, entre Mâcon et Châlon-sur-Saône, Tournus fut garnison romaine, bâtie au bord de la Saône. Mais, au Moyen Âge, ce fut surtout un centre religieux important grâce à l'influence de son abbaye, l’abbaye Saint-Philibert. Les moines s’installèrent en ce lieu dès le IXe siècle. De nos jours, Tournus peut encore s’enorgueillir du fait qu’elle a été décorée par Napoléon lui-même. Pendant la retraite qui a suivi la guerre de Russie, les troupes napoléoniennes furent battues par les Autrichiens à Mâcon, en 1814, malgré le soutien que leur ont apporté trois cents Tournusiens qui se battirent avec courage. Exilé à l’île d’Elbe, Napoléon n’oublia pas et , à son retour, il décernera la Légion d'Honneur à la ville de Tournus.

4 « De gueules à un château à trois tours d'argent soutenu d'une croix de légion d'honneur au naturel, au chef cousu d'azur à trois fleurs de lys d'or ». TOURNUS

5 Première image, dans la brume, au petit matin…

6 Me dirigeant vers le cœur de la ville que constitue l’abbaye, je traverse des vieilles ruelles encore non rejointes par le soleil…

7 Cela commence à s’améliorer…

8 Ainsi, un peintre flamand a été séduit comme moi par ce site, au XVIe siècle! Donc, je n’ai pas si mauvais goût!!!

9 Une autre belle demeure qui nous arrive de la Renaissance…

10 Elle accueille, maintenant, des expositions temporaires.

11 Comme dans toutes nos anciennes cités, les Vierges sont fréquentes sur les murs et dans les encoignures pour assurer la protection des lieux et de leurs occupants.

12 Cet édifice faisait partie de l’immense abbaye
Cet édifice faisait partie de l’immense abbaye. C’était le logis abbatial qui témoigne du train de vie des abbés…

13 Nous passons devant la porte de la collégiale
Saint-Philibert sans y pénétrer car cela fera l’objet d’un autre diaporama…

14 Cette tour était celle où était installé le trésorier de l’abbaye.

15 Tout autour de l’abbaye, de toutes petites rues sont encadrées par les tours de l’ancienne muraille.

16 Les Tournusiens se plaisent à égayer les vieilles façades par de jolies portes et beaucoup de verdure…

17 Cette tour, dite du Portier, nous laisse à penser que c’est par là que se présentaient les visiteurs de l’abbaye quand ils n’utilisaient pas la porte principale.

18 De nouveau en direction de la zone commerciale du centre ville, encore de beaux vestiges dont la tour de Quincampoix…

19 A l’angle d’une place animée, une bien jolie maison à colombages.

20 A proximité, débouchent les petites ruelles que nous avons empruntées en commençant notre promenade.

21 La rue principale, rue commerçante par excellence.

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23 Cette rue traverse toute la cité et nous conduit à l’autre église, Sainte-Madeleine, également joyau de l’art roman.

24 L’église Sainte-Madeleine a été consacrée, en 1158, par l’évêque de Châlon-sur-Saône. Fermée à la Révolution, elle fut transformée en entrepôt à sel et à fourrage.

25 Revenant sur nos pas, nous allons examiner la place qui prolonge celle qui accueille
l’Hôtel de Ville.

26 Toujours les vestiges si attirants de la Renaissance …

27 L’hôtel de ville a été construit, en 1777, à la place de l’ancienne prévôté.

28 Devant l’hôtel de ville, honneur à l’un de ses plus célèbres citoyens, le peintre
J.-B. Greuze.

29 Un petit coup d’œil en arrière, sur la place que nous venons de traverser, nous fait découvrir cette maison avec avancée soutenue par des portiques.

30 Contournant la mairie, nous admirons ce joli cadran solaire bien restauré et faisons face au palais de justice avec son passage voûté qui nous ramène à la route nationale en traversant une petite cour fleurie.

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32 Ma promenade de cette année se termine là mais il serait dommage de ne pas mentionner un autre lieu de mémoire de grande importance pour la ville : l’ancien Hôtel-Dieu construit au XVIIe siècle et qui ne fut fermé qu’en On le réaménagea pour accueillir les collections du musée Greuze. Celui-ci fut fondé en 1868 grâce à un don de Mme L.A. Perrot. Il dut être fermé dans les années 1990 pour cause de vétusté. C’est en 2000 qu’il rouvrit ses portes dans le site actuel. Alors je vais emprunter les photos au site patrimoine-histoire.fr pour vous en parler quelque peu. Ce musée regroupe les collections de l’hôpital dont une magnifique apothicairerie mais aussi le patrimoine accumulé au cours des ans depuis la fin du XIXe siècle : archéologie, peinture, sculpture, arts graphiques et œuvres contemporaines.

33 Près de l’entrée du musée

34 L’entrée du musée

35 La salle des soldats, terminée en 1792, est l’une des trois salles communes de l’Hôtel-Dieu. Un rideau permettait un minimum d’intimité… Ci-contre, une petite salle qui se trouve entre la salle des femmes et l’apothicairerie.

36 L’apothicairerie nous est parvenue intacte, avec ses meubles en noyer, telle qu’elle se présentait à ses débuts, en 1685. Elle renferme plus de 150 pots en faïence (principalement de Nevers) et près de 130 flacons en verre.

37 La salle des étains regroupe des pièces du XVIIe siècle
La salle des étains regroupe des pièces du XVIIe siècle. Par la suite, un alliage englobant du plomb fut utilisé, le « claire étoffe ». Lorsque l’on découvrit les dangers du plomb pour la santé, on choisit d’utiliser la faïence moins chère de production.

38 Entre la salle des femmes et la salle des soldats, la chapelle du Saint-Sacrement. A l’arrière de l’autel, une ouverture donne dans la salle des hommes.

39 Une des salles du musée consacrée aux dessins de J.-B. Greuze.

40 Un jardin de simples illustre la pratique de l’herboristerie dans les temps anciens.

41 C’est une petite ville de 6000 habitants environ mais elle est chargée d’histoire et me semble fort dynamique. Elle possède aussi une tradition industrielle depuis le début du XXe siècle dont la bien connue manufacture Téfal. Résolument entrée dans le XXIe siècle, elle s’est tournée vers le développement durable. Tournus, c’est une ville où j’aime revenir…

42 Musique : Bernard de Cluny – Panthéon abluitor
(Le Panthéon est détruit) The Early Music Consort of London Documentation : Guide Vert Michelin et différents sites Internet Photos lorsque non identifiées, conception et réalisation: Marie-Josèphe Farizy-Chaussé. Novembre 2011 D’autres diaporamas sur :

43 AU REVOIR

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