FACTEURS HUMAINS ET INSTRUCTION EN VOL

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1 FACTEURS HUMAINS ET INSTRUCTION EN VOL
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2 Processus mentaux de l'action et de l'apprentissage
Petit historique Processus mentaux de l'action et de l'apprentissage Enseignement du pilotage Quitter

3 HISTORIQUE Les méthodes d'enseignements accompagnent l'histoire de l'Aviation depuis ses origines. On distingue 3 époques … Retour au sommaire

4 s'appuyer sur le savoir faire d'un expert
1ère époque (épique!) La méthode "essais-erreurs" C'est la méthode de ceux : qui ne peuvent pas… … ou ne veulent pas… s'appuyer sur le savoir faire d'un expert

5 C'est la méthode des pionniers
Au fait, Poulet ? Il est toujours à Saint-Auban ?

6 et de ceux pour qui c'est mieux d'apprendre tout seuls
Des victimes des mauvaises formations Vous et moi! et de ceux pour qui c'est mieux d'apprendre tout seuls

7 Mais elle induit une forte sélection naturelle
Cette méthode est très persuasive Ce qui est appris… …est bien appris Moi j'ai tout compris! Mais elle induit une forte sélection naturelle

8 ECHECS ABANDONS ACCIDENTS

9 La méthode du singe 2ème époque :
Les avions, ça doit pas être bien plus compliqué Elle est fondée sur l'imitation ou la reproduction des gestes

10 P'tit gars,tu fais exact'comme moi et ça f'ra l'affaire!

11 Les premiers cours de pilotage reposaient
presque exclusivement sur cette méthode

12 Elle reste utilisée lorsque le formateur ne parvient pas vraiment à expliquer un processus
(ex: l'arrondi) L'arrondi, mais c'est très simple : - il suffit d’arrondir avant d'emboutir… … et pas l'inverse!

13 Cette méthode exclut l'analyse.
Elle implique le retour à la méthode essais-erreurs.

14 En plus, elle exige que les instructeurs soient largement dotés…
…en bananes!

15 Les pédagogies modernes
3ème époque : Les pédagogies modernes Elles s'efforcent de prendre en compte simultanément : Le comportement de l'opérateur humain… Et moi alors! … et le contexte particulier du vol

16 Le comportement humain
Les processus d'actions Les mécanismes de l'apprentissage Les relations pilote-machine

17 C'est la dimension "facteur humain" C'est moi le facteur humain !

18 Le contexte particulier du vol Aérodynamique et mécanique du vol
Rz mg Technique de pilotage

19 C'est la dimension "technique"
Jargon technique Évolutions en 3 dimensions Orientation spatiale "Salle de classe" pour le moins exiguë

20 Environnement des leçons Particularités du matériel utilisé
(l'élève "piéton" a besoin de s'adapter au milieu aérien) Particularités du matériel utilisé (différences entre aéronefs et surtout entre aéronefs et véhicules terrestres)

21 PROCESSUS MENTAUX DE L'ACTION ET DE L'APPRENTISSAGE
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22 La boucle perception-action
À l'origine d'une action, on trouve : L' intention d'obtenir un résultat ; ou Le respect d'une règle ; ou Une demande exprimée par une autre personne (consigne de l'instructeur par ex.)

23 La première démarche consiste à faire l'état des lieux.
? OBSERVATION - ANALYSE D'où est déduite la nécessité ou non d'agir

24 Qui peut être une manœuvre franche ou une correction fine
La seconde consiste à agir de manière à rendre la situation conforme à celle recherchée… C’EST L’ACTION Qui peut être une manœuvre franche ou une correction fine

25 À l'issue de l'action, une vérification est toujours nécessaire.
OBSERVATION - ANALYSE Une nouvelle correction est peut-être alors utile… Et ainsi de suite…

26 Le processus s'établit en "boucle"…
OBSERVATION ANALYSE OBSERVATION ANALYSE OBSERVATION ANALYSE ACTION CORRECTION ACTION CORRECTION ACTION CORRECTION …qui est une succession d'observations puis d'actions…

27 LA PERCEPTION MULTISENSORIELLE
L'observation est le produit de la mise en œuvre conjointe de nos sens. C'est : LA PERCEPTION MULTISENSORIELLE Elle rassemble :

28 La vue L'ouie

29 La perception kinesthésique
Toucher Perception d'efforts Accélérations etc.

30 L'odorat Odeurs… de brûlé ; d'essence etc. Le goût

31 Les sens sont souvent associés pour assurer des fonctions complexes
Par exemple l'équilibre fait appel : À la vue À l'oreille interne À la perception kinesthésique

32 Seconde composante de la boucle
LES ACTIONS Elles comprennent :

33 Les manipulations Du geste chirurgical

34 à la délicate cognée du bûcheron

35 Les manipulations ne se limitent pas à l'action des mains !

36 La parole est un moyen de communication sans égal
Il est temps d'agir ! La parole est un moyen de communication sans égal

37 Elle permet de se placer au mieux pour agir
La locomotion Elle permet de se placer au mieux pour agir (Elle est peu utilisée dans les postes de conduite).

38 Toutes les formes d'actions :
Manipulations Paroles locomotion Peuvent fonctionner séparément ou en synergie dans le cadre de tâches complexes

39 Entre perception et action
le cerveau est le chef d'orchestre Il peut être comparé à l'unité centrale d'un ordinateur

40 ACTIONS MÉMOIRES CALCULS PERCEPTION
écran ACTIONS imprimante Unité centrale MÉMOIRES CALCULS clavier souris PERCEPTION

41 3 fonctions essentielles
La mémoire à long terme (logiciel) La mémoire à court terme (RAM) La capacité de raisonnement (processeur)

42 La mémoire à long terme C'est le stock du savoir… …et du savoir faire
(connaissances déclaratives) …et du savoir faire (connaissances procédurales)

43 Rz=1/2ρSV2Cz Sa durée est illimitée

44 Sa contenance est ILLIMITÉE

45 Il est toujours possible
d'assimiler une connaissance nouvelle ou un nouveau savoir-faire

46 Son accès est très difficile en temps réel

47 STOCK du SAVOIR Connaissances récentes ou couramment utilisées
Trou de mémoire Connaissances lointaines ou peu utilisées

48 La mémoire à court terme
Elle contient l'information courante utile pour l'action immédiate… …et qui ne nécessite pas d'être apprise définitivement.

49 Sa taille est très limitée
Sa durée est très limitée (quelques secondes) pain farine huile Œufs Cirage noir Camembert allumettes Sa taille est très limitée (5 à 7 items) Elle est très fragile… … et particulièrement sensible aux interruptions.

50 La capacité de raisonnement

51 Raisonner c'est pouvoir résoudre des problèmes
Le cerveau permet plusieurs modes de raisonnement…

52 Les raisonnements formels
Utilisant la logique formelle des mathématiques

53 Les raisonnements concrets
Appliqués aux données visibles (plans, maquettes)

54 Les raisonnements par analogie… La navette, elle a quoi en plus ???
A est à B ce que C est à D La navette, elle a quoi en plus ???

55 Les raisonnements naturels ou de bon sens
La ligne Maginot, elle était un peu moins épaisse ! raccourcis basés sur l'expérience et sur la connaissance des résultats habituels

56 Les raisonnements machinaux
Pilote expert Ce sont les raisonnements quasiment automatiques des experts. Ils sont basés sur des associations répétitives du type demandes/réponses

57 Les raisonnements permettent de résoudre les problèmes selon deux grands modes :
Le mode reproductif qui identifie directement la solution à la difficulté sans réflexion particulière (activités quotidiennes). Le mode productif se fonde sur la décomposition et l'analyse approfondies du problème. (situations inhabituelles ou mal connues)

58 Les raisonnements sont coûteux en énergie (ressources)
Consommation des ressources Mode reproductif Mode productif FORMEL CONCRET ANALOGIQUE NATUREL MACHINAL Puissance du raisonnement

59 Les ressources sont le goulot d'étranglement de la performance humaine

60 CAPACITE DE RAISONNEMENT
Mémoire permanente Perception multisensorielle Mémoire de travail CAPACITE DE RAISONNEMENT

61 Perception multi-sensorielle
Mémoire permanente Mémoire court terme Perception multi-sensorielle raisonnement 10A 10A 10A 10A A ?

62 Max 10A Les ressources sont limitées Il faut délester les autres !
Si une fonction est utilisée à fond, Il faut délester les autres ! (sinon on risque de péter les plombs !)

63 L'allocation des ressources à l'objet d'intérêt du moment s'appelle l'"ATTENTION".
L'attention est un effort conscient qui porte aussi bien : Sur un raisonnement ; Sur la perception ; sur un accès à la mémoire ; sur la réalisation d'un geste.

64 L'efficacité d'un opérateur passe par une stricte gestion de ses ressources.
Il faut travailler "à l'économie"… tout en gardant un bon niveau de performance. Pour cela il faut :

65 Cette préparation est appelée
Planifier - anticiper La planification et l'anticipation permettent d'éviter les épisodes de saturation ou de blocage. (accès aux mémoires ou raisonnements trop consommateurs) Elles permettent d'extraire de sa mémoire à long terme les connaissances jugées utiles à l'action à venir et de les ordonner Une des solutions est de construire un cadre anticipatif qui aide à contourner nos limitations perceptives et intellectuelles. Cette préparation est appelée Projet d'action

66 Compétence et expertise
L'expertise humaine repose sur l'acquisition de procédures automatisées Les premiers gestes sont réfléchis, pensés, lents. Il est impossible de faire une autre activité en même temps

67 On note une baisse de l'attention dévolue à la partie bien maîtrisée.
Avec l'assimilation et l'entraînement les actions s'automatisent sans coût apparent. Les ressources libérées peuvent être investies dans d'autres activités. On note une baisse de l'attention dévolue à la partie bien maîtrisée. L'expertise permet pour une action donnée de réduire la charge de travail

68 La charge de travail ne doit pas être trop faible
Les écueils sont : Le désaccouplement des réalités L'hypovigilance

69 Pour rester performant
Accès mémoire difficile Préparation Raisonnements coûteux Procédures Mécaniser ses actions Entraînement Garder des réserves pour l'imprévu.

70 Le rôle du formateur

71 Le formateur "charge" la mémoire à long terme
Il apporte les connaissances et les savoir-faire Il doit aider à les organiser (en tenant compte des acquis antérieurs)

72 il doit veiller : À faire des leçons courtes mais rapprochées
À respecter un temps d'assimilation À intégrer le rôle du sommeil (sauvegarde) À lier les nouveautés aux acquis

73 Connaître les limites de la mémoire à court terme
Elle est nécessaire pour l'action… Briefing a/ généralités b/ définition C/ mais inutile pour l'enseignement. Elle impose des exposés préalables (briefings) où sont construits les projets d'actions

74 Le débriefing est obligatoire...
Éviter les gros flux de paroles (pas d'enregistrement) Le débriefing est obligatoire... …afin de formaliser les commentaires faits pendant l'action.

75 Le formateur doit gérer les ressources de son élève
Ne demander qu'une seule chose à la fois. Ne commencer à diviser l'attention que lorsque des savoir-faire commencent à être restitués machinalement. En cas de surcharge, enseigner le retour aux tâches prioritaires.

76 ENSEIGNEMENT DU PILOTAGE
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77 BOUCLE OBSERVATION-ACTION
ANALYSE ACTION CORRECTION BOUCLE OBSERVATION-ACTION

78 Détection Correction BOUCLE DE PILOTAGE

79 Détection (état des lieux)
Point de départ Volonté du pilote ou consigne de l'instructeur (trajectoire recherchée, vitesse souhaitée etc.) Détection (bilan) Détection (état des lieux) Recherche et analyse d'information (attitude, trajectoire, vitesse etc.) BOUCLE Correction (action) Manœuvre des commandes

80 085.00 Le pilote automatique !!! Un pilote bien formé,
et sans état d'âme AP HDG NAV APP test ALT Queen Autopilot 085.00 ALT. SELECT Le pilote automatique !!!

81 Boîtier de commande (consigne) Détecteur
BOUCLE Calculateur (procédure) Servo-moteur (action)

82 Comparaison entre : Pilote débutant et pilote expert
ACTIONS COMMANDES VALEURS ECARTS Comparaison entre : Pilote débutant et pilote expert Pilote automatique TEMPS Débutant Expert Pilote automatique

83 Le débutant Il ne détecte tardivement que des écarts importants. Ses corrections sont fortes et mal amorties. L'expert Il corrige promptement de faibles écarts. Les contrôles sont plus fréquents et les actions sont moins amples. Le pilote automatique Il effectue un contrôle continu et corrige en permanence. Les manœuvres sont fines (immobilité apparente).

84 Trois séquences d'apprentissage Enseigner la correction
Détection Enseigner la correction Faire boucler la boucle

85 Enseigner la détection
Recueillir L'information Référence visuelle ; Instrumentale ; Perception d'efforts etc. ANALYSER Perception de la situation ; DECIDER Décisions relatives aux actions à entreprendre. CIRCUIT VISUEL

86 Enseigner la correction
Comment agir ? Sur quelle commande ? Dans quel sens ? Avec quel dosage ? Comment arrêter la correction ?

87 Faire boucler la "boucle" Séquence d'exercices progressifs
Bouclage Détection-Correction Jusqu'à l'autonomie complète

88 STRUCTURE D'UNE LEÇON BRIEFING VOL D'INSTRUCTION DEBRIEFING

89 C'est pour l'élève et l'instructeur :
LE BRIEFING C'est pour l'élève et l'instructeur : L'adhésion à un objectif commun. La construction d'un projet d'actions. Le briefing comprend : L'exposé de l'objectif pédagogique Le "plan de vol" et la répartition des tâches Les rappels techniques

90 L'objectif pédagogique
Situation de l'élève dans la progression Place de la leçon dans la progression Quels sont les résultats escomptés ? Pourquoi fait-on cette leçon ? L'élève sait ce qui est attendu de lui. (auto-évaluation) L'instructeur reste centré sur l'objectif. (risque de dérive)

91 Les rappels techniques
L'élève est-il prêt à comprendre la leçon ? L'instructeur réactive le savoir de l'élève. (mémoire à long terme) Par rapport aux précédentes leçons Par rapport à ses connaissances dans d'autres domaines Il expose les procédures nouvelles (leçon du jour et projets d'actions)

92 "Plan de vol" et répartition des tâches
Qui fera quoi ? L'instructeur organise le vol L'élève connaît les taches qui lui incomberont, et sait à quel moment il devra se mobiliser

93 Apprentissage de la boucle
Le vol d'instruction Étude de la détection Étude de la correction Apprentissage de la boucle

94 L'étude de la détection Évaluation de la situation ou du résultat d'une action L'instructeur commente la recherche d'informations et l'analyse qu'il en fait. (en général, il pilote à ce moment) Il met en place le circuit visuel. L'élève observe, prend des repères et apprend à analyser

95 L'étude de la correction
Mise en place d'une séquence d'actions de pilotage L'instructeur démontre ou guide le pilotage en commentant. Il établit le lien entre détection et action. L'élève observe ou suit aux commandes ou pilote guidé par l'instructeur

96 L'apprentissage de la boucle
Séquence graduée d'exercices jusqu'à réalisation autonome de l'objectif L'élève pilote seul ! L'instructeur observe… … puis commente.

97 le rôle de l'instructeur est de déterminer…
L'objectif est atteint si la détection et la correction sont comprises et bien exécutées. En cas d'échec … le rôle de l'instructeur est de déterminer… la cause ? la détection (souvent) Mauvaise visualisation Paramètre mal choisi etc. La correction Actions inverses mauvaises commandes actions mal dosées etc.

98 Les commentaires de l'instructeurs doivent être gradués de manière à ce qu'à chaque instant l'élève puissent retrouver de lui-même ses erreurs. D'abord, être patient… … puis signaler une anomalie… … puis préciser l'anomalie… … en ultime recours, préciser l'action à entreprendre.

99 SAUF POUR RAISON DE SECURITÉ
L'INSTRUCTEUR NE DOIT JAMAIS REPRENDRE LES COMMANDES

100 Il est donc indispensable !!!
Le Débriefing Il prépare la fixation dans la mémoire à long terme des savoir- faire étudiés pendant le vol. Il est donc indispensable !!!

101 Il sert à dresser le bilan de la leçon…
L'objectif a-t-il été atteint ? D'où l'intérêt d'avoir adhérer en commun à l'objectif (auto-évaluation de l'élève) … et à définir les prochaines tâches d'apprentissage.

102 Détection de l'assiette : définition pratique
Horizon moyen A Repère capot Assiette = distance verticale entre repère capot et ligne d'horizon

103 Détection de l'assiette : Les différentes assiettes
Assiette cabrée Assiette "normale" dite de référence Assiette "piquée"

104 Détection de l'assiette : Les variations d'assiette
Variation à piquer Variation à cabrer

105

106 LA PROGRESSION DU PILOTE DE PLANEUR

107 Tous les savoir faire du pilote font, séparément, l'objet d'une leçon
La progression a pour but d'ordonner les diverses leçons élémentaires de manière à rendre l'ensemble parfaitement accessible : En facilitant l'apprentissage technique En favorisant l'adaptation au vol, En développant les motivations En réduisant la durée de la formation et son coût

108 Favoriser l'apprentissage technique
Graduer les difficultés De la manœuvre simple (un axe, une commande…) aux actions conjointes (conjugaison) Un circuit visuel progressivement élargi… Une recherche lente de la précision Une augmentation dosée de la charge de travail.

109 Favoriser l'apprentissage technique
Fractionner les tâches complexes Décomposer les grosses difficultés en exercices élémentaires Achever l'apprentissage sous forme de synthèse.

110 Favoriser l'apprentissage technique
Mettre en place des bons principes Check-list, C.R.I.S. Mettre les yeux où on va mettre le nez.

111 FAVORISER L'ADAPTATION AU VOL
Acquérir de l'assurance en maîtrisant des trajectoires simples (lignes droites, virages) Simplifier les relations entre l'homme et la machine Utiliser une machine simple ; Employer des procédures édulcorées ; Supprimer les intermédiairesinutiles

112 FAVORISER L'ADAPTATION AU VOL
Faciliter l'orientation spatiale Contrôle des attitudes et des trajectoires "à vue" ; Orientation par rapport à des repères évidents ou connus ; Décontracter le pilote Proposer des vols courts Éviter les météo douteuses, les espaces trop chargés Retarder les manœuvres impressionnantes.

113 Mais par essence, il s'agit de former des humains.
La matière première de l'instruction en vol est, certes,la science du pilotage… Mais par essence, il s'agit de former des humains. Facteurs humains et instruction en vol sont bien deux volets d'une même discipline.

114 … et en guise de fin (provisoire)

115 Moi, Mr Jourdain je faisais de la prose sans le savoir !
Moi c'est pareil, je faisais du facteur humain sans le savoir ! Quitter Retour au sommaire