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Les points clés du programme de terminale

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Présentation au sujet: "Les points clés du programme de terminale"— Transcription de la présentation:

1 Les points clés du programme de terminale
Les connaissances exigibles

2 La convergence lithosphérique et ses effets

3 La convergence se traduit par la disparition de lithosphère dans le manteau, ou subduction La lithosphère océanique s’enfonce sous la marge active d’une plaque comprenant une croûte continentale ou une croûte océanique.

4 Les principales caractéristiques des zones de subduction sont : - La présence de reliefs particuliers - Une activité magmatique intense - Une déformation lithosphérique importante - Une répartition inégale du flux de chaleur

5 La distribution géométrique des séismes matérialise le plongement d’une portion rigide de lithosphère à l’intérieur du manteau plus chaud et ductile

6 L’évolution de la lithosphère océanique qui s’éloigne de la dorsale s’accompagne d’une augmentation de la densité, jusqu’à dépasser celle de l’asthénosphère: cette différence de densité est l’un des moteurs de la subduction

7 Les zones de subduction sont le siège d’une importante activité magmatique caractéristique: volcanisme et mise en place de granitoïdes

8 Le magma provient de la fusion partielle des péridotites au dessus du plan de Benioff, cette fusion est due à l’hydratation du manteau

9 L’eau provient de la deshydratation des roches de la plaque plongeante
L’eau provient de la deshydratation des roches de la plaque plongeante. Le long du plan de Benioff, les roches de la lithosphère océanique sont soumises à des conditions de température et de pression différentes de celles de leur formation. Elles se transforment et des minéraux caractéristiques apparaissent

10 Convergence et collision continentale

11 Dans les Alpes franco-italiennes affleurent des roches qui contiennent des témoins minéralogiques des conditions P et T d’une subduction

12 Dans les Alpes franco-italiennes affleurent des témoins de marges passives : sédiments, blocs basculés, croûte océanique non subduite. Les marges passives sont déformées et témoignent d’une collision

13 Les conséquences les plus visibles du raccourcissement et de l’épaississement de la croûte continentale sont : Une topographie particulière, des plis, des failles et des nappes de charriages

14 Après la collision, la chaîne de montagne est le lieu d’une évolution tardive: érosion en surface, fusion partielle en profondeur

15 Parenté entre êtres-vivants actuels et fossiles- phylogénèse- Evolution

16 Les êtres-vivants partagent des propriétés communes qui traduisent une origine commune. Toutes les espèces actuelles et fossiles sont plus ou moins apparentées

17 La recherche de parenté chez les vertébrés

18 L’établissement de relations de parenté entre les vertébrés actuels s’effectue à partir de la comparaison de caractères homologues. Les comparaisons macroscopiques prennent en compte l’état ancestral et dérivé des caractères Seul le partage des caractères dérivés témoigne d’une étroite parenté

19 Ces relations de parenté contribuent à construire des arbres phylogénétiques Les ancêtres communs représentés sur ces arbres sont hypothétiques, définis par l’ensemble des caractères dérivés partagés par des espèces qui leur sont postérieures :ils ne correspondent pas à des espèces fossiles précises

20 La lignée humaine

21 L’Homme est un eucaryote, un vertébré, un tétrapode, un amniote, un mammifère, un primate, un hominoïde, un hominidé, un homininé : ces caractères sont apparus successivement à différentes périodes de la vie

22 L’Homme partage un ancêtre commun récent avec le chimpanzé et le gorille. Cet ancêtre n’est ni un chimpanzé, ni un gorille, ni un Homme. La divergence de la lignée des chimpanzés et de la lignée humaine peut être située il y a 7 à 10 millions d’années.

23 Les critères d’appartenance à la lignée humaine

24 Les critères d’appartenance à la lignée humaine sont les caractères liés à la station bipède, au développement du volume crânien, à la régression de la face et aux traces fossiles d’une activité culturelle On admet que tout fossile présentant au moins un des ces caractères dérivés appartient à la lignée humaine

25 Le caractère buissonnant de la lignée humaine

26 La lignée humaine est actuellement représentée que par une seule espèce. Plusieurs espèces d’homininés ont vécu entre 6 Ma et ans, date d’apparition d’Homo sapiens Ces espèces appartiennent à 2 genres: Australopithècus et Homo

27 Les Australopithèques possèdent les caractères de la lignée humaine liés à la bipédie. Le genre Homo possèdent en outre les caractères liés à l’augmentation du volume crânien et une réduction de la face. Les Australopithèques formeraient un rameau de la lignée humaine détaché assez tôt de celui des Homo

28 Les espèces fossiles actuellement datées entre 4 et 1
Les espèces fossiles actuellement datées entre 4 et 1.5 Ma sont toutes africaines. Cela peut s’expliquer par une origine africaine de la lignée humaine ou par des conditions exceptionnelles de fossilisation dans le rift est africain

29 Les Homo erectus ont formé une large population qui a colonisé l’Afrique du nord, l’Afrique du Sud, le Proche orient, L’Asie, l’Europe. L’Homme de Néanderthal, trouvé en Europe semble provenir de l’évolution d’Homo erectus ayant colonisé l’Europe

30 L’origine des Hommes modernes

31 Toutes les populations actuelles partagent les mêmes allèles, avec une fréquence variable. La population ancestrale n’aurait compté que quelques dizaines de milliers d’individus. Homo sapiens serait une nouvelle espèce apparue en Afrique ou au proche Orient il y a à ans et aurait colonisé tous les continents en remplaçant Homo erectus

32 Stabilité et variabilité des génomes et évolution

33 L’apport de l’étude des génomes: les innovations génétiques

34 Au sein d’une espèce, le polymorphisme des séquences d’ADN résulte de l’accumulation de mutations au cours des générations. Suivant leur nature et leur localisation, les mutations ont des conséquences phénotypiques variables

35 Au sein du génome d’une espèce, les similitudes entre gènes (=familles de gènes) sont interprétées comme le résultat d’une ou plusieurs duplication d’un gène ancestral. La divergence des gènes d’une même famille s’explique par l’accumulation de mutations Dans certains cas, ces mécanismes peuvent conduire à des gènes ayant une nouvelle fonction

36 Les innovations génétiques sont aléatoires et leur nature ne dépend pas des caractéristiques du milieu

37 Méiose et fécondation participent à la stabilité de l’espèce

38 Chez les organismes présentant une reproduction sexuée, une phase haploïde alterne avec une phase diploïde

39 La méiose assure le passage de la phase haploïde
La méiose assure le passage de la phase haploïde. Elles suit une phase de réplication de l’ADN et se compose de deux divisions successives qui conduisent à la présence d’un lot haploïde de chromosomes dans chaque cellules filles Des perturbations dans la répartition des chromosomes conduisent à des anomalies du nombre de chromosomes.

40 La fécondation rétablit la diploïdie en réunissant les lots haploïdes des gamètes d’une même espèce

41 Méiose et fécondation sont à l’origine du brassage génétique

42 La variabilité allélique se manifeste par une hétérozygotie à différents locus. La variabilité génétique est accrue par la réunion au hazard des gamètes lors de la fécondation et par les brassages intra et inter chromosomiques lors de la méiose

43 Le brassage intrachromosomique, ou recombinaison par crossing over, a lieu entre les chromosomes hologues appariés lors de la prophase 1 de la méiose

44 Le brassage interchromosomique est dû à la migration indépendante des chromosomes homologues de chaque paire lors de l’anaphase 1

45 3 exemples de relation entre les mécanismes de l’évolution et la génétique

46 Parmi les innovations génétiques seules celles qui affectent les cellules germinales d’un individu peuvent avoir un impact évolutif. Les mutations qui confèrent un avantage sélectif aux individus ont une probabilité plus grande de se répandre dans la population

47 2) Des mutations peuvent se rependre dans la population sans conférer d’avantage sélectif particulier

48 3) Des mécanismes affectant les gènes du développement peuvent avoir des répercussions sur la chronologie et la durée relative de la mise en place des caractères morphologiques. De telles mutations peuvent avoir des conséquences importantes.

49 La mesure du temps dans l'histoire de la terre et de la vie

50 Datation relative

51 La datation relative permet d’ordonner les uns par rapport aux autres des structures (strates, plis, failles, minéraux) et des évènements géologiques variés (discordance, sédimentation, intrusion, orogénèse)

52 La datation relative repose dur les principes de la chronologie relative qui ont permis d’établir l’échelle des temps géologiques. Ces principes sont : - superposition - continuité - recoupement - identité paléontologique

53 La datation absolue

54 La chronologie absolue, en donnant accès à l’âge des roches et des fossiles, permet de mesurer les durées des phénomènes géologiques. Elle permet aussi de situer dans le temps l’échelle relative des temps géologiques

55 La chronologie absolue est fondée sur la décroissance radioactive de certains éléments chimiques. Les radio-chronomètres sont choisis en fonction de la période de temps que l’on cherche à explorer.

56 Pour les derniers millénaires, on utilise le carbone 14 dont la quantité lors de la fermeture du système est connue. La mesure de la quantité de carbone 14 restante dans l’échantillon permet de trouver un âge. Lorsque tous les éléments radioactifs ont disparu de l’échantillon, la datation n’est plus possible.

57 Pour les périodes plus anciennes on peut, par exemple, utiliser le couple K/Ar. La quantité initiale lors de la fermeture est négligeable. La contamination par l’Ar de l’atmosphère rend difficile la détection de l’Ar issu de la désintégration du K.

58 On utilise aussi le couple Rb/Sr
On utilise aussi le couple Rb/Sr. Pour trouver l’âge d’une roche, il est alors nécessaire de mesurer les rapports isotopiques de plusieurs minéraux de la même roche ayant cristallisé au même moment.

59 La procréation

60 Du sexe génétique au sexe phénotypique

61 Chez les mammifères les structures et la fonctionnalité des appareils sexuels mâle et femelle sont acquise en 4 étape au cours du développement :

62 Stade phénotypique indifférencié. La structure est commune aux 2 sexes.

63 2) Su sexe génétique au sexe gonadique Sur le chromosome Y,le gène Sry est activé et donne naissance à la protéine TDF, signal de développement des gonades en testicules. Sur le chromosome X, il n’y a pas de gène Sry. En absence de protéine TDF, les gonades se différencient en ovaires

64 3) Du sexe gonadique au sexe phénotypique différencié La mise en place du sexe phénotypique mâle se fait grâce aux hormones testiculaires. En absence de ces hormones, on va vers une différenciation phénotypique femelle.

65 4) La puberté L’acquisition de la fonctionnalité des appareils génitaux se fait sous le contrôle de la testostérone et des oestrogènes

66 Régulation physiologique de l’axe gonadotrope: intervention de 3 niveaux de contrôle

67 Chez l’homme

68 Activité testiculaire Les testicules produisent des spermatozoïdes et de la testostérone de manière continue de la puberté jusqu’à la fin de la vie L’homéostat de la testostéronémie est indispensable à la fonctionnalité de l’appareil génital

69 Contrôle par l’hypothalamus La production continue de FSH et LH par l’hypophyse, induite par la sécrétion pulsatile de GnRH ( par l’hypothalamus) détermine la sécrétion de testostérone. La testostérone exerce sur le complexe hypothalamo-hypophysaire un rétrocontrôle négatif

70 Chez la femme

71 Fonctionnement cyclique de l’utérus et de l’ovaire Elle permet de favoriser l’implantation d’un embryon dans l’utérus dont le fonctionnement cyclique est synchrone avec le fonctionnement de l’ovaire. Intervention d’hormones ovariennes: oestrogènes et progestérone

72 Contrôle par l’hypothalamus L’événement majeur du cycle est un pic de LH qui provoque l’ovulation. Le caractère cyclique de la sécrétion des gonado-stimulines est liée à des rétroactions + et – entre ovaire et complexe H-H

73 Rencontre des gamètes et début de grossesse

74 La rencontre des gamètes est conditionnée au moins en partie par la qualité de la glaire cervicale. La fécondation a lieu dans le 1/3 supérieur des trompes et n’est possible que pendant une brève période après l’ovulation Après la fécondation et la nidation, la sécrétion d’HCG par l’embryon permet la poursuite de l’activité du corps jaune et donc la sécrétion de progestérone

75 Chez les mammifères non hominidés, l’acceptation du mâle par la femelles est déterminée par la sécrétion d’oestrogènes (oestrus) Chez le mâle le comportement du rut est dépendant de la sécrétion de testostérone et de stimuli émis par la femelle L’Homme est capable de maîtrise sa procréation. Son comportement sexuel est dissocié de la sécrétion d’hormones

76 La contraception hormonale féminine s’appuie sur l’ensemble des connaissances acquises sur la régulation hormonale de la physiologie sexuelle La contraception hormonale masculine est encore à l’état de recherche Le couple peut utiliser d’autres moyens contraceptifs pour empêcher la rencontre des gamètes ou l’implantation de l’oeuf

77 Pendant toute sa grossesse la femme et son foetus son médicalement surveillés grâce à différents moyens d’investigation Dans le cas de la détection d’une anomalie grave, diverses mesures sont mises en œuvre qui peuvent aller jusqu’à proposer une IVG thérapeutique

78 Dans les cas d’infertilité, différentes techniques médicales peuvent apporter des solutions: inséminations artificielles, FIVETE, ICSI

79 Immunologie

80 Une maladie qui touche le système immunitaire: le SIDA

81 Le VIH et la primo-infection

82 Le virus d’immunodéficience humaine est transmis par voie sexuelle, voie sanguine ou au cours de la grossesse de la mère à l’enfant. Ce virus appartient à la famille des rétrovirus

83 Les cellules cibles du VIH sont principalement des cellules immunitaires: lymphocytes T4, macrophages et monocytes. Ces cellules possèdent des marqueurs membranaires CD4 auxquels s’amarre le virus, ce qui lui permet d’entrer dans la cellule hôte

84 Une enzyme virale, la transcriptase inverse, transcrit l’ARN viral en ADN dans les cellules infectées. Cet ADN est ensuite incorporé dans le génome de la cellule hôte, permettant au virus de se multiplier et d’être disséminé notamment dans les organes lymphoïdes

85 Pendant cette période, les symptômes se limitent à ceux d’une maladie virale bénigne

86 La phase asymptomatique

87 2 semaines à quelques mois après la contamination, la présence dans le sang de différents anticorps anti-VIH est décelée, le sujet est dit alors séropositif pour le VIH Apparaissent en même temps, des LTC spécifiques dirigés contre les cellules infectées

88 Pendant cette période de plusieurs années, les défenses immunitaires restent actives mais les virus continuent de se multiplier et le nombre de LT4 de diminuer

89 Le SIDA: Phase symptomatique

90 En absence de traitement, le nombre de LT4 baisse
En absence de traitement, le nombre de LT4 baisse. Le SIDA se caractérise par diverses maladies opportunistes

91 Généralisation sur les processus immunitaires mis en jeu.

92 Les anticorps: agents du maintien de l’intégrité du milieu extracellulaire

93 La synthèse d’anticorps est la signature d’une réaction de l’organisme à la présence d’éléments étrangers Ils agissent dans le milieu extracellulaire en se liant spécifiquement aux antigènes qui ont déclenché leur formation. Ce sont des immunoglobulines, protéines circulantes constituées d’une partie constante et d’une partie variable

94 La spécificité des anticorps est due à la partie variable La liaison antigène-anticorps entraîne la formation de complexes immuns qui seront éliminés par phagocytose

95 Les anticorps sont produits par les LB sécréteurs ou plasmocytes
Les anticorps sont produits par les LB sécréteurs ou plasmocytes. Ils proviennent de la la différenciation de LB ayant des anticorps membranaires spécifiques de l’antigène. Les LB sélectionnés se différencient en plasmocytes et en LB mémoire Les anticorps ne peuvent agir contre des cellules déjà infectées

96 Les lymphocytes T cytotoxiques (T8): agents du maintien de l’intégrité des populations cellulaires

97 Les cellules infectées expriment à leur surface des fragments peptidiques issus des protéines du pathogène. Les LT, grâce à leurs récepteurs spécifiques reconnaissent les cellules infectées. Cette reconnaissance déclenche une élimination des cellules infectées par les LTC. La production des LTC suit le même schéma que pour les plasmocytes

98 Dans le cas du SIDA, la destruction des LT4 infectés par les LTC limite la progression de l’infection virale

99 Les LT4: Pivots des réactions immunitaires spécifiques

100 A la suite de l’entrée d’un antigène dans l’organisme, les LT4 spécifiques se différencient en LT4 sécréteurs d’interleukines qui stimulent la multiplication et la différenciation de LB et LT8 sélectionnés

101 Dans le cas du SIDA, la disparition des LT4 empêche la production d’anticorps et de LTC contre des agents microbiens variés. Ceci permet l’apparition de maladies opportunistes

102 Les vaccins et la mémoire immunitaire

103 Des vaccins ont été mis au point contre différents virus
Des vaccins ont été mis au point contre différents virus. Ils reproduisent une situation naturelle : celle de l’immunité acquise contre ces virus après une première infection guérie

104 Dans le cas du virus du SIDA, il s’agit de trouver un vaccin contre un virus qui n’est pas vaincu par les défenses immunitaires naturelles. Le virus du SIDA mutant constamment, une des difficultés consiste à identifier une protéines invariable et accessible à la surface du virus

105 Le phénotype immunitaire résulte d’une interaction complexe entre génotype et environnement. Grâce à des mécanismes génétiques originaux, l’organisme produit des LT et LB d’une infinie diversité Il en résulte un phénotype qui change sans cesse en s’adaptant à l’environnement. La vaccination fait évoluer artificiellement ce phénotype

106 Les points clés du programme de terminale Conseils pour l’épreuve de SVT

107 Le correcteur est toujours sensible à la présentation du devoir et des points lui sont généralement attribués 2) Le correcteur n’a pas à faire d’effort pour vous relire 3) Les schémas doivent toujours être titrés et légendés 4) Attention à l’orthographe notamment des mots scientifiques (phile/ phylle/phyle). Cela peut changer le sens d’une phrase

108 La maîtrise du temps - 1h20 à 1h30 pour la question de type à 45 minutes pour le 2A - 40 à 50 minutes pour le 2B 10 minutes pour une relecture efficace !

109 La question de type 1 - Repérer le verbe utilisé dans le sujet Montrer: Apporter des arguments Décrire:Fournir des données précises Expliquer:Bien présenter un mécanisme Comparer: Dégager les points communs et les différences

110 -Etablir un plan Le devoir doit toujours être structuré avec des phrases de liaison entre les parties qui donnent une cohérence au devoir. Chaque partie se justifie par rapport au sujet

111 Prévoir les illustrations Rédiger l’introduction (présentation du sujet, problématique et/ou annonce du plan) et l conclusion (rappel des idées générales et ouverture possible sur une autre problématique

112 Les questions de type 2

113 Les questions 2A et 2B s’appuient sur des documents fournis
Les questions 2A et 2B s’appuient sur des documents fournis. Il s’agit de relier les informations extraites des documents aux connaissances acquises sur le sujet. Le tout en relation avec la problématique posée dans le libellé. En effet, en conclusion, il faudra répondre au problème posé

114 Ces 2 questions ont pour objectif de voir votre capacité à effectuer une mise en relation d’informations pour répondre à un problème

115 Les 2 questions diffèrent entre elles par le nombre de documents fournis, leur proximité ou leur non proximité avec ceux utilisés en classe et le niveau de raisonnement exigé

116 La réponse doit être organisée à partir des données que leur lecture apporte à la résolution du problème

117 Attention aux mots clés du sujet Tirer des arguments Expliquer un mécanisme…

118 Ne paraphrasez pas les documents Ne récitez pas le cours en oubliant l’apport des documents Ne négligez pas la présentation

119 Un exemple de question de type 1 A partir de vos connaissances, rappelez ce qu’est une crise biologique, ses conséquences évolutives et son utilisation en géologie

120 2ème exemple de question de type 1 Présentez des arguments géologiques et biologiques utilisés pour établir des coupures dans les temps géologiques puis précisez ceux qui sont retenus pour fonder une crise il y a – 65 Ma

121 Un exemple de question de type 2 La reconnaissance spécifique des antigènes Utilisez les apports du document, complétés par vos connaissances, pour expliquer les mécanismes qui permettent la reconnaissance spécifique des antigènes par les lymphocytes

122

123 2ème exemple de question de type 2 La recherche de l’origine d’une maladie Reconstituez les étapes du raisonnement qui ont permis d’expliquer l’origine des symptômes dont souffre Monsieur X

124

125 fin et bon courage


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