La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

COURS THEORIQUE NIVEAU III SOMMAIRE

Présentations similaires


Présentation au sujet: "COURS THEORIQUE NIVEAU III SOMMAIRE"— Transcription de la présentation:

1 COURS THEORIQUE NIVEAU III SOMMAIRE
Postulat de départ : 3 personnes vont plonger sur des épaves en autonomie complète. N3-0 : Le niveau III, lecture du contenu fédéral. N3-1 : Les prérequis – la réglementation – le bateau. N3-2 : L’avant-plongée – Le site – Le mouillage – La mise à l’eau – La descente. N3-3 : Déroulement de la plongée. N3-4 : La fin de la plongée – Le retour au bout de mouillage – La remontée. N3-5 : Entre deux plongées. N3-6 : La deuxième plongée. N3-7 : Les accidents. N3-8 : Faune – Flore – Son et lumière. N3-9 : La présentation de l’examen. Révision.

2 Points importants à retenir : 18 ans NII FFESSM
NIVEAU III N3-0 Lecture du manuel du moniteur NIII Points importants à retenir : 18 ans NII FFESSM Certificat médical - 1an établi par un médecin fédéral Etre titulaire du RIFAP – (mettre à jour par rapport aux nouveaux dispositifs) 6 compétences 1 Utiliser le Matériel. Immersion et retour en surface. Maitrise de la ventilation dans l’espace lointain. Dans l’espace lointain, réaction aux situations. Autonomie dans l’espace lointain. Connaissances théoriques. (avant de partir 25/04). PLONGEE en AUTONOMIE (sans directeur de plongée).

3 Les pré-requis : NIVEAU III
N3-1 Les pré-requis – la réglementation – le bateau. Donc … reprenons ou plutôt débutons … Sylvie, Johnny et Eddy partent plonger en autonomie. Les pré-requis : 1 Etre NIII 2 Etre titulaire d’un permis bateau 3 VHF 4 Etre licencié ? Avoir pris la météo – avoir la carte du lieu de plongée – Etre assuré ! (rassuré ?)

4 1998 modifié 2000 : c’est quoi ? Doit-on en tenir compte ?
NIVEAU III N3-1 Les pré-requis – la réglementation – le bateau. Donc … reprenons ou plutôt débutons … Sylvie, Johnny et Eddy partent plonger en autonomie. La réglementation : 1998 modifié 2000 : c’est quoi ? Doit-on en tenir compte ?

5 NIVEAU III N3-1 Les pré-requis – la réglementation – le bateau. Donc … reprenons ou plutôt débutons … Sylvie, Johnny et Eddy partent plonger en autonomie. : Le bateau : Des choses bêtes : essence, huile, des bougies de rechange etc voyons ce que dit la réglementation sur les bateaux de plongée ! Pour notre première plongée, nous partons du port de Hyères …. Alors on part dans quelle direction ?

6 NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. Arrivée sur le site : Prévision météo = la réalité sur le site. Le courant. Les autres bateaux sur le site. Le mouillage : Préparation du mouillage. Mouillage à l’ancre sur une bouée. L’équipement : Le minimum. Le superflu. L’immersion : L’avant plongée. Le runtime. Les barotraumatismes la descente. Le vertige barotraumatique. La narcose. Le froid.

7 NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. Arrivée sur le site : Prévision météo = la réalité sur le site. Par rapport a ce que nous avons capté le matin sur la météo Planier - VHF h 33, 13 h 03, 19 h 33 (annonce sur le 16). Le courant. L’estimer, décidez si il est "plongeable" ??? Les autres bateaux sur le site.

8 NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. Le mouillage : Préparation du mouillage : sortir l’ancre, la chaine, et une partie du bout du puits d’ancre. Rechercher un site à l’abri du vent et du courant. Mouiller avec l’ancre, sur une bouée. Les contrôles avant de mouiller longueur du bout longueur de la chaine le bout est-il attaché au bateau ? ! Lors du mouillage mettre le bateau face au vent et/ou au courant, envoyez l’ancre sur l’ordre du pilote, laissez courir, reprendre ensuite le bout du mouillage et l’attacher au bateau.

9 NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. L’équipement : Le minimum et obligatoire : bouteille (s) : 12, 15, 18, bi, pony ? PMT Détendeur principal + octopus ou octopus seul ? Table MN90 Profondimètre Parachute (1 par personne) Ceinture de plomb Stab Le superflu. Gants Lampe Flash Ordinateur Lampe Boussole Couteau etc …

10 N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion.
NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. L’immersion : L’avant plongée. La palanquée : Un groupe qui se connaît … Arrêté 22 juin 1998 Art.6 : Plusieurs plongeurs qui effectuent ensemble une plongée présentant les mêmes caractéristiques de durée, de profondeur et de trajet constituent une palanquée. Une équipe est une palanquée réduite à deux plongeurs. Arrêté 22 juin 1998 Art.7 :   ….En situation d'autonomie, les plongeurs majeurs de niveau égal ou supérieur au niveau 2 peuvent évoluer en palanquée sans guide                          Compétence et expérience des équipiers      Nombre et fréquence de plongées      Date de la dernière plongée      Profondeur maximum atteinte      Condition habituelle de pratique                 Particularité de chacun : Age, stress, consommation, Matériel utilisé (étanche : qualification CTN possible et conseillée), centre d’intérêt problèmes spécifiques (équilibre, oreille, lentilles, mal de mer,…), La planification de la plongée. Directives du directeur de plongée ou organisation en autonomie (à défaut) Discussion avec équipiers : conditions d’évolution, particularités, compétences et secours Profil et itinéraire de plongée Procédure(s) de décompression utilisée(s) Profil de décompression Stock d’air adapté. LE RUNTIME : Faites le vous-même ! Plongée sur le Prosper Schiaffino, une 12L, manomètre = 210 bars, température de l’air 25°, température de l’eau 16°. Même ordinateur. Bouteille O² au palier de 7 mètres. Merci de me communiquer vos résultats.

11 NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. Les barotraumatismes à la descente. J’écoute.

12 N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion.
NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. Le vertige alterno-barique. À la descente lors d’un rétablissement trop rapide. À la remontée lors du déséquilibre entre les deux oreilles  pas de Valsalva ! Eau froide !

13 NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. Le marteau tape sur l’enclume posé sur un étrier

14 N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion.
NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. Le marteau tape sur l’enclume posé sur un étrier

15 NIVEAU III N3-2 Arrivée sur le site – Le mouillage – L’équipement – L’immersion. La narcose. Attention à la descente trop rapide  plus stress  plus froid  plus profondeur  essoufflement  narcose … + de 30 m TOUT le monde est + ou – narcosé !!!!!! Le froid. N’est pas ASSEZ pris en compte dans la plongée actuelle ! Et dans le désordre : La combinaison trop petite ! Le surlestage. Etre prêt en même temps !

16 L’Orientation. La consommation. L’Essoufflement. Le froid.
NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. L’Orientation. La consommation. L’Essoufflement. Le froid. L’attention, la vigilance des autres membres de la palanquée.

17 NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. L’orientation sans instrument. Le soleil. Le courant. Certains poissons. Tourner autour de l’ancre. La typologie du fond. Les sons. Le paysage sous marin. L’orientation avec instrument. Essentiellement le compas. Certain système de guidage. De nuit, lampe flash sous le bateau.

18 NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance.

19 NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Respiration et Echange gazeux. Le cœur

20 N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance.
NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Les volumes pulmonaires : Les poumons possèdent un certain nombre de volumes respiratoires: Le volume courant : C'est le volume d'air entrant et sortant des poumons, lors de chaque respiration au repos. Il est d'environ 0.5 litre. Le volume de réserve inspiratoire : C'est le volume d'air le plus grand qu'une personne peut inspirer (gonfler les poumons), après une inspiration normale de repos. Il est d'environ 2.5 litres. Le volume de réserve expiratoire : C'est le volume d'air le plus grand qu'une personne peut expirer (vider les poumons), après une expiration normale de repos. Il est d'environ 1.5 litre. La capacité vitale : C'est le volume d'air maximal d'air pouvant être expiré (en expiration forcée) après une inspiration forcée. Elle est d'environ 4.5 litres. Le volume résiduel : A la suite d'une expiration forcée, il reste dans les poumons une quantité d'air d'environ 1.5 litre. C'est le volume résiduel. La capacité pulmonaire totale : C'est le volume d'air contenu dans les poumons suite à une inspiration forcée maximale. Il est d'environ 6 litres. Après une expiration normale, il reste un volume de gaz dans les poumons qui est la capacité résiduelle fonctionnelle.

21 N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance.
NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Essoufflement : Sur TERRE Dans l’EAU Pendant l'effort de résistance, il y a production de déchets: les lactates. IDEM Le sang devient acide et perd sa capacité de transporter le gaz carbonique. Les lactates vont exciter les centres inspiratoires. Ceux-ci sont plus sensibles que les centres expiratoires, ils vont faciliter l'inspiration mais l'expiration devient difficile d'où une évacuation incomplète du gaz carbonique qui s'accumulera intoxiquant l'organisme et déclenchant l'essoufflement. L'expiration devient de plus en plus difficile et oblige le pratiquant à s'arrêter, thorax bloqué en inspiration forcée, incapable de vider ses poumons.

22 N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance.
NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Dans l’EAU : Mais en plus … La pression hydrostatique oblige le plongeur, à forcer sur l’expiration qui devient plus difficile et cela à moindre effort … ce qui veut dire que l’essoufflement parvient nettement plus vite qu’à la pression atmosphérique ! Corolaire : plus c’est profond …

23 NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Dans l’EAU : 12 l * 200 bar = 2400 l A 40 m  pression 5 bar. Respiration : VC = 0.50 l * 30 fois / minute = 15 l / minute. d’où les fameux 20 l / minute. En essoufflement : Sévère : jusqu’à 50 l / minute Calcul : 2400 / 5 = 480 l disponible – 480 l / 50 l /mn = ~10 minutes !!!!

24 NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Essoufflement : Préventions: -Éviter tout effort avant la plongée durant l'équipement. -Avoir un matériel adapté et en parfait état de marche. -Entretenir une (bonne) condition physique. -Se reposer la veille d'une plongée. -Éviter les excès d'alcool et de repas la veille d'une plongée. BIEN GARDER A L'ESPRIT, QUE L'ESSOUFFLEMENT EST UN INCIDENT GRAVE, SOUVENT GENERATEUR D'UN SURACCIDENT TEL QUE LA NOYADE ET L'ACCIDENT DE DECOMPRESSION. En cas d’essoufflement important  prolonger les paliers !

25 NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Hypothermie du plongeur. Le froid va favoriser d'autres accidents : L'essoufflement : augmentation de la consommation d'air. Narcose. L'accident de décompression : l'augmentation de la consommation d'air entraîne une dissolution plus importante de l'azote dans l'organisme. Les barotraumatismes de l'oreille en anesthésiant le tympan. Les barotraumatismes des sinus en provoquant une congestion nasale. Matériels : Givrage du détendeur. Conduite à tenir : Remonter le plongeur et le sortir de l'eau. Le réchauffer et le tenir au sec. Lui donner une boisson chaude et sucrée mais pas d'alcool. Préventions: Connaître le signe adapté au froid. Avoir une combinaison adaptée et ajustée, mettre des gants, chaussons, souris. Prévoir un coupe-vent pour les sorties en bateau. Limiter les paramètres de la plongée(temps, profondeur). Avoir une alimentation équilibrée.

26 NIVEAU III N3-3 Orientation – Consommation - Essoufflement – Froid – Vigilance. Pour un niveau III, les interventions sur signes doivent être maîtrisées ! Mais en plus un niveau III doit être capable de juger et d’intervenir sur un comportement de ses partenaires de plongée. (un essoufflement une narcose par exemple …) Je m’explique, en tant que niveau III vous allez être amenés à plongée dans l’espace lointain, cet espace n’est pas plus dangereux que les autres espaces (proches et médian). Mais l’intervention doit être rapide, efficace et permettre à l’ensemble de la palanquée de se retrouver aux paliers et/ou sur le bateau. Respect du runtime et/ou des consignes d’avant plongée et faire respecter ces consignes à l’ensemble de la palanquée.

27 NIVEAU III N3-4 Barotraumatismes  - Paliers – Décompression – Noyade. Les barotraumatismes de la remontée : Les tympans !!?? la manœuvre de Toynbee, qui consiste à pincer le nez puis à déglutir et à inspirer par le nez, pour aspirer l'air en excès. Les sinus sont des cavités emplies d’air. Il y a des sinus Frontaux et des sinus Maxillaires. En général la douleur se situe au niveau des sinus frontaux. Sinusite  Pas de plongée. Remontée TRES lentement. Les dents : petites bulles bloquées dans une carie, qui n’arrivent pas à s’évacuer  BOUM !

28 N3-4 Barotraumatismes  - Paliers – Décompression – Noyade.
NIVEAU III N3-4 Barotraumatismes  - Paliers – Décompression – Noyade. SURPRESSION PULMONAIRE ACCIDENT DE DECOMPRESSION CAUSES Pression trop forte dans les poumons (blocage de la glotte) Dégazage d’azote LOI MISE EN JEU Mariotte Henry & Mariotte NATURE DU GAZ MIS EN CAUSE Air Azote PHYSIQUE Variation relative de la pression Variation de la pression FACTEUR TEMPS Indifférent Important CONDITIONS Favorisé par la proximité de la surface Dépend du profil de la plongée (profondeur, durée, effort...) DELAI D’APPARITION DES SYMPTOMES Immédiat 0 à 12 heures (50% des cas dans la première ½ heure) SYMPTOMES  bip bip ordinateur COEUR Tachycardie (>100 pulsations/mn), désamorçage artériel, augmentation de la pression veineuse Tachycardie, diminution de la pression artérielle et veineuse POUMONS Respiration difficile, crachats sanguins, pneumothorax Dyspnée (respiration difficile) DOULEURS Sous claviculaire, thorax Musculaire, articulaire PERTE DE CONNAISSANCE Syncope, état de choc Syncope PARALYSIE Hémiplégie, paraplégie Toutes formes de paralysie possibles PEAU Emphysème sous-cutané (air sous la peau) Puces, moutons, bleuissement des extrémités ATTITUDE Réflexes rapides Fatigue, ne réagit pas à la douleur DIVERS Pâleur, vertiges, angoisse, trouble de la vue et de l’ouïe Ramollissement général, problèmes cardio-vasculaires TRAITEMENT O2, traiter l’état de choc, évacuation, caisson envisageable O2, aspirine £ 500 mg, eau, allonger , évacuation, caisson EVOLUTION Pas d’évolution dans le temps Très évolutif après les premiers symptômes PREVENTION Souffler en remontant, ne jamais bloquer sa respiration Respect de la vitesse de remontée et des tables

29 NIVEAU III N3-4 Barotraumatismes  - Paliers – Décompression – Noyade. Les paliers : Vitesse de remontée fond : Vitesse MN90. Vitesse entre les paliers. Vitesse ordinateur de plongée. Profondeur : 3 – 6 – 9 – 12 mètres. Palier de sécurité. Palier de principe. Plongée à la table MN90. Palier mi-profondeur. Palier profond.

30 NIVEAU III N3-4 Barotraumatismes  - Paliers – Décompression – Noyade. La décompression : Détermination du taux d’azote résiduel.

31 NIVEAU III N3-4 Barotraumatismes  - Paliers – Décompression – Noyade. La décompression : Détermination du taux d’azote résiduel.

32 NIVEAU III N3-4 Barotraumatismes  - Paliers – Décompression – Noyade. La noyade : Le geste TRES simple qui consiste à gonfler sa stab à la surface est effectué par TRES peu de plongeur !? ! Pas d’apprentissage ? ! Mauvais choix de la taille de la stab ? ! Je suis trop serré lorsque je gonfle ma stab ? ? Je consomme de l’air ? ? Je ne sais pas comment vider ma stab rapidement ? ? Je n’ai plus d’air ? ? Je ne trouve mon inflateur ?

33 N3-5 Intervalle surface – Majoration – Surveillance.
NIVEAU III N3-5 Intervalle surface – Majoration – Surveillance. L’intervalle surface : Plusieurs modes d’application suivant le continent : En Europe : Intervalle long entre deux plongées ~ 4 heures, on mange entre les plongées, non … on ne bois pas car nous sommes sérieux … on fait une petite sieste. On n’hésite pas à faire deux 40 m par jour ! En Egypte : Un peu moins sérieux, quoique … Intervalle surface en général moins important, surtout en croisière. En général on demande de limiter la profondeur de la deuxième plongée. Zone Nord-Américaine : Très sérieux en général ! L’intervalle surface est restreinte 1 ou 2 heures, avec une restriction sévère sur la profondeur de la deuxième plongée < 20 mètres. Ou bien une seule plongée par jour. A Carry le Rouet : On travaille avant la plongée, pendant la plongée, après la plongée, certains se bourrent copieusement la gueule le midi (en général les moniteurs), les autres n’ont pas le temps … ils déchargent la camionnette et font le gonflage, d’autres attendent des heures les plats du repas, enfin bref c’est une zone géographique très atypique !!! A éviter !

34 NIVEAU III N3-5 Intervalle surface – Majoration – Surveillance. Le calcul de la majoration : Réflexion entendue ; " oh ba manan avec les ordis c pu la peine ! " Ah Bon ! Pourquoi d'après vous c'est important de comprendre et de prendre en compte cette fameuse majoration ?

35 Délai d'apparition des symptômes
NIVEAU III N3-5 Intervalle surface – Majoration – Surveillance. La surveillance des plongeurs : Après la plongée il est important d'effectuer une "surveillance" entre les compagnons de palanquée. Pourquoi ? Une petite stat ! Vous comprendrez pourquoi la "surveillance" est nécessaire ! Phase Délai d'apparition des symptômes Pourcentage de l'ensemble des ADD Rapide 0 – 10 minutes 50 à 55 % Moyenne 10 – 60 minutes 20 à 30 % Lente 1 heure – 24 heures 20 à 25 %

36 NIVEAU III N3-6 Seconde plongée sur le Grec.

37

38 NIVEAU III N3-6 Seconde plongée sur le Grec. La descente se fait en pleine eau. La visite peut débuter par la poupe et notamment par l’hélice à 47 m qui est la partie la plus profonde de l’épave. Ensuite on remonte sur la dunette à 40 m qui comme on le voit sur le schéma est recouverte d’une sorte de bardage. Juste après on tombe sur l’écoutille qui est ouverte, et permet de descendre dans la cale. Celle-ci est vide et sans grand intérêt. En ressortant, un petit arrêt s'impose pour contempler l'énorme treuil du Grec. Progressant vers la cassure on arrive sur les superstructures des cabines et des salons dans lesquels on peut pénétrer. On traversera les coursives à 35 m qui sont absolument somptueuses, pour déboucher sur la cheminée

39 N3-6 Seconde plongée sur le Grec.
NIVEAU III N3-6 Seconde plongée sur le Grec. Localisation et mouillage: GPS Mouillage précis sur l’épave : comment ? Comment mouiller ? Planification: palanquée de trois, dont 1 fille qui consomme peu. on dispose de blocs de 15 litres à 200 bar + un 12 L à 200b au pendeur beau temps, mais visibilité moyenne et courant en surface assez fort Questions: Heure de plongée prévue (intervalle depuis matin) profil de plongée ( profondeur max, tps de plongée, paliers prévus) consignes de remontée points clé de sécurité

40 N3-6 Seconde plongée sur le Grec.
NIVEAU III N3-6 Seconde plongée sur le Grec. Intervalle de surface: 1ère plongée: GPS « K » Clarté : choix de 4h d’intervalle pour plonger plus tôt Azote résiduel: 0.92 Majoration: 5 minutes Paliers: tps de plongée: 14 minutes paliers MN 90: 4 min à 6 m et 19 à 3 m Air: objectif: 50 b en surface sans compter sur le bloc de sécurité on descend à l’hélice sans rester 44 b en surface prof tps l/min conso reste 3000 43 14 106 1500 25 3 70 210 1290 6 4 32 130 1160 19 26 500 660

41 N3-6 Seconde plongée sur le Grec.
NIVEAU III N3-6 Seconde plongée sur le Grec. Remontée au zodiac: que faire si on ne retrouve pas le bout ? que faire si on est en panne d’air en dérivante ? quel est le point clé de sécurité de cette plongée ? Actions possibles ? Ancrage cheminée ? Laisser quelqu’un à bord ? le moteur ne redémarre pas. Que faire ? Autres questions: peut-on faire des épaves à 40 + m avec des 12 litres ? la plongée se passe comme prévu, mais l’ancre est coincée; que faire ? (calcul d’une consécutive). Résultat consécutive: Tps de plongée: 25 min à 48 m 7 min à 6 m; 30 min à 3 m ça passe avec le bloc sécu, autrement on sacrifie l’ancre !

42 N3-6 Seconde plongée sur le Grec.
NIVEAU III N3-6 Seconde plongée sur le Grec. Définition consécutives: 2 plongées dont l’intervalle est strictement inférieur à 15 minutes Mode de calcul: Temps de plongée = T1+T2 Profondeur = la plus  des deux ! Remarques: cas pratiques typiques ? plongées consécutives = plongées de c…

43 N3-6 Seconde plongée sur le Grec.
NIVEAU III N3-6 Seconde plongée sur le Grec. Définitions successives : 2 plongées dont l’intervalle est supérieur à 15 minutes et inférieur à 12 heures l’intervalle est supérieur à 12 heures = plongée isolée Mode de calcul: on utilise un GPS et une majoration si intervalle pas dans la table → prendre valeur inférieure si valeur de PPN2 pas dans la table → prendre valeur supérieure si profondeur 2ème plongée pas dans la table → prendre profondeur supérieure Remarques: profondeur maximale > profondeur prise pour calcul majoration → on conserve la majoration mais on prend profondeur atteinte profondeur maximale < profondeur prise pour calcul majoration → on conserve la majoration mais on prend la profondeur planifiée

44 NIVEAU III N3-7 Accidents. Comme on pouvait s'y attendre (sic) Sylvie se sent soudain fatiguée une fois sur le bateau ? Qu'est ce qui se passe ? Une ADD ? Une suppression pulmonaire ? Une fatigue ? Elle fait son intéressante ? Un accident de décompression immérité ? Qu'est ce qu'il faut faire ? Qu'est ce qu'il ne faut PAS faire ?

45 NIVEAU III N3-7 Accidents. Faire le bilan : Mettre la personne dans une position confortable. Lui administrer immédiatement de l'O², cela ne fait pas de mal ! Prendre les paramètres de plongée. Regarder les ordinateurs. En déduire le phénomène et avertir les secours. Déclencher immédiatement le retour (dans notre cas) sinon rappeler au préalable les autres palanquées. Et vous, vous en pensez quoi ?

46 N3-8 Faune – Flore – Son et lumière.
NIVEAU III N3-8 Faune – Flore – Son et lumière. À la mise à l’eau, attention aux roseaux, plantes, coraux, flottabilité bien maîtrisée et lestage adapté, rester à distance des coraux et animaux, faire attention quand on jette l’ancre, ne pas perturber et nourrir les poissons ( oursins), ne pas pêcher et ne rien remonter, attention aux plongée en grotte et dans les épaves à ne pas remuer les sédiments, apprendre à connaître la vie sous-marine, faire du prosélytisme

47 NIVEAU III N3-8 Faune – Flore – Son et lumière.

48 N3-8 Faune – Flore – Son et lumière.
NIVEAU III N3-8 Faune – Flore – Son et lumière. Ni bruit ni mouvements brusques (limiter les bulles par des courtes apnées), Ne pas s’interposer entre le poisson et le courant ( plutôt se mettre face au courant) Ne pas s’interposer entre la lumière et le poisson Attention à l’utilisation du phare: le poisson le détecte avant que l’on puisse le voir ! (éteindre les phares pendant les phases d’approche )

49 N3-8 Faune – Flore – Son et lumière.
NIVEAU III N3-8 Faune – Flore – Son et lumière. Le SON sous l’eau Vitesse dans l’air: 330 m/s Vitesse dans l’eau: 1450 m/s Réfections entre différentes couches d’eau ou avec la surface ou le fond (influence de la température) -cf guerre sous-marine- La lumière sous l’eau Perte d’intensité avec la profondeur, Absorption différente selon la longueur d’onde (couleur) Effet de refraction à la transition du dioptre Effet de reflection à la transition du dioptre Effet de diffusion sous l’eau

50 N3-8 Faune – Flore – Son et lumière.
NIVEAU III N3-8 Faune – Flore – Son et lumière. Murènes / congres Vives / raies Oursins / cones / étoiles de mer Chapons /rascasses / poissons scorpions /poissons-pierres Corail de feu Prévention: désinfecter, refroidir/brûler, prévenir rapidement

51 N3-8 Faune – Flore – Son et lumière.
NIVEAU III N3-8 Faune – Flore – Son et lumière. Vision systèmes d’yeux très variés Odorat museau, antennes, bras très sensible Goût bouche mais aussi à l’extérieur Perception des sons et variations de pression ligne latérale et capteurs internes Perception des champs électriques (requins) Toucher (barbillons)

52 N3-8 Faune – Flore – Son et lumière.
NIVEAU III N3-8 Faune – Flore – Son et lumière. Ni bruit ni mouvements brusques (limiter les bulles par des courtes apnées), Ne pas s’interposer entre le poisson et le courant ( plutôt se mettre face au courant) Ne pas s’interposer entre la lumière et le poisson Attention à l’utilisation du phare: le poisson le détecte avant que l’on puisse le voir ! (éteindre les phares pendant les phases d’approche )

53 N3-9 Présentation de l'examen.
NIVEAU III N3-9 Présentation de l'examen. Deux phases : L'examen théorique. examen théorique en salle + un examen continue sur les port, la conduite du bateau, le mouillage, le matériel. L'examen pratique. assez intense avec des plongées à 40mètres, être en forme physique AVANT le stage !


Télécharger ppt "COURS THEORIQUE NIVEAU III SOMMAIRE"

Présentations similaires


Annonces Google