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Imaginez… Vous poussez le portail d’une église, et vous recevez en plein cœur un éclatement de couleurs, une exubérance d’images : face à vous, occupant.

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3 Imaginez… Vous poussez le portail d’une église, et vous recevez en plein cœur un éclatement de couleurs, une exubérance d’images : face à vous, occupant tout le chœur de l’église derrière l’autel, un vitrail de 180 m² ! Toute la vie de Marie est là, en des scènes parlantes et stylisées. En cette fin du mois du Rosaire, je vais essayer de vous présenter ces scènes.

4 Cette œuvre magistrale est due à Gabriel Loire (1904-1996), maître- verrier de Chartres. Il s’agit du plus grand vitrail figuratif de France en un seul tenant. Il est composé de 396 panneaux losangés de 1,6 m sur 0,78 m et ferme l’abside arrondie de l’église. Des couleurs chaudes et pourtant délicates, des formes épurées, des symboles rappelant les Litanies de la Vierge ou l’Ancien Testament… On ne peut détacher les yeux de cette merveille. Et notre cœur, naturellement, se tourne vers Marie…

5 Notre-Dame, notre mère, Vers toi monte ma prière. Guide nos cœurs vers ton Enfant. Porte-lui nos prières, nos chants. Pitié pour tout le genre humain, Entraîne-nous sur tes chemins. Toi, qui as su vivre ton OUI, Aide-nous, en cet aujourd’hui, À faire toute sa volonté. Nous t’en prions, Mère de Pitié.

6 Lorsque tu es née, Marie, ta maman, épuisée, Émerveillée, ravie par ce bébé tout neuf Était loin de savoir combien d’heurs et malheurs Tout au long de ta vie allaient se succéder… Aide-nous à porter, dans le même abandon, Les joies et les douleurs dont la vie nous fait don.

7 Tu es présentée au Temple : Que ressentait alors ton cœur ? Sentais-tu joie ou peine à cette heure ? Déjà tu nous donnes l’exemple. Toute à Dieu et à son amour, Tu lui es vouée pour toujours. Es-tu enfant obéissante ? Poussée par ta foi ardente Veux-tu être à ce Père aimé Dont tes parents t’ont parlé ? Prends notre main, Vierge tendre, Montre-nous le chemin à prendre.

8 Car, nous a dit la tradition, Anne ta mère, avec passion, T’apprenait les Ecritures. Imprégnée de ces lectures, Tu sais ensuite, à ton Jésus, Donner ce que tu as reçu. Là aussi, c’est un exemple : A l’église ou bien au temple, Nous recevons le don sacré Pour pouvoir mieux le redonner. Si l’Esprit sème en notre esprit, C’est pour mieux donner à autrui. Apprends-nous, tout comme toi, À savoir partager notre foi.

9 Comme les filles de ton âge, Tu aidais Anne en son ménage, Tu allais puiser l’eau au puits. Pensais-tu qu’encor aujourd’hui Nous boirions cette eau féconde Que ton Fils a donnée au monde ? C’est grâce à toi qu’elle a jailli, C’est grâce à toi que l’on en jouit. Merci Marie pour tous ces dons, Pour ces exemples, ces leçons.

10 Un beau matin en ta maison Tu vécus une apparition. Un grand Envoyé de Dieu T’as saluée, cérémonieux, Te disant pleine de grâce Et avec Dieu ayant ta place. Il t’a posé une question : Tu aurais pu lui dire non ! Sa demande était surprenante, Mais toi, docile servante, Tu as accepté sans hésiter Cet Enfant que Dieu t’offrait Pour à ton tour l’offrir au monde, Vierge mère, vierge féconde ! Apprends-nous, à nous aussi, À savoir vivre notre OUI.

11 L’ange t’a dit autre merveille ! Et tu te hâtes, sur le chemin, Toi, Vierge-mère sans pareille, Vers ta cousine dans le besoin. C’est la rencontre de deux mères, Deux femmes que Dieu a comblées : La stérile va être mère, Et la vierge va enfanter ! Ô Marie, toi qui as cru, Ouvre nos cœurs à sa Parole : Sur nos routes sans boussole, Guide-nous vers ses vertus !

12 Joseph a fait confiance à l’ange : Il t’épousa, malgré l’enfant Qu’il voyait arrondir ton flanc. Selon les conseils de l’archange Il t’accueillit dans maison. Quelle confiance, et quelle foi Il mettait, Seigneur, en toi ! Apprends-nous donc, d’un même amour, À faire sa volonté toujours.

13 Ton Fils est né dans une étable, Dormant parmi les animaux : Que pensais-tu, Mère adorable, En le couchant dans ce berceau ? Tu méditais toutes ces choses, Et tu les gardais en ton cœur Et ton Enfant, contre ton cœur, Était fleur à peine éclose…

14 En Juifs obéissants, ô Mère, Vous êtes allés présenter Au Temple de Dieu son Père Votre enfant premier-né. Quelles terribles paroles T’ont été dites à ce moment ! Était-ce là vraiment ton rôle ? Connaitrais-tu tant de tourments ? Tu es restée humble et sereine, Un peu étonnée seulement. Dans le bonheur ou dans la peine, Marie, protège tes enfants !

15 Est en jeu la vie de l’Enfant ! Il faut fuir le tyran, vite ! À cet ordre obéissant, Vous allez fuir vers l’Égypte. S.D.F., émigrants, Vous connaissez nos misères. Pour vous je veux accepter Le malheureux, le mendiant.

16 À Nazareth humble village, Vous voilà enfin de retour. Jésus, en sagesse et en âge Grandit ici au long des jours. La vie coule, calme et tranquille. Trente ans de lent murissement. Et puis, Jésus part vers les villes, Dire le Père à ses enfants. Aide-nous, Marie notre Mère À redire autour de nous Les humbles mots dont nos frères Ont besoin pour vivre debout !

17 Quelle fin ignominieuse A connue ton Fils premier-né ! Vierge à l’âme douloureuse, Restée debout près du gibet ! Je suis sûre cependant Que, tout ton cœur dans tes yeux, Tu encourageais ton enfant Au long de ce supplice odieux ! Aide-nous, mère généreuse, A supporter d’un cœur vaillant, Les heures dures et malheureuses Que la vie va, nous réservant…

18 Hélas, Marie ! Que de mères De par le monde, au long des ans, Ont tenu ainsi leur enfant Emporté de façon trop brève ! Combien plus de mères encor Ne pourront jamais savoir Où a été enfoui leur trésor, Tombé victime du devoir… Regarde, Vierge de Pitié, Les larmes de tant de mamans ! Et verse un baume apaisant Sur tant de cœurs inconsolés !

19 Avais-tu attendu, Mère, Que souffle sur toi l’Esprit, Où bien avais-tu compris La raison de ces mystères ? En tout cas, tu étais là Au milieu des onze apôtres En ce jour de Pentecôte Quand l’Esprit les submergea. Vierge Marie, sur nous aussi Que vienne l’Esprit de Dieu, Afin que nos cœurs éblouis Sachent le louer en tous lieux !

20 Et tu règnes maintenant Vierge couronnée de gloire Au ciel, près de ton Enfant. Je t’en prie, garde en mémoire Tous tes enfants d’ici-bas., Et présente-nous au Père. Vers toi montent nos prières, Vers toi nous tendons les bras

21 Vitrail : Gabriel Loire Texte : Jacky Musique : Charles Villiers-Stanford : Magnificat Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ Site : http://www.jackydubearn.fr/http://www.jackydubearn.fr/


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