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2 Victime de sa légende, la cause du déclin.
Au Moyen Âge, l'imagination populaire fait du loup une bête féroce et sanguinaire ; le loup devient le bouc émissaire de toutes les peurs inexpliquées. Cause de tous les malheurs, il fallait l'exterminer. Son déclin est dû à la persécution humaine et à la limitation de son territoire (la déforestation entre autre). Il a aussi été pourchassé pour sa fourrure et sa capture était largement favorisée par un système de prime. Cela permettait aux paysans des rentrées d'argent supplémentaires. Autrefois, pour connaître le nombre des caribous et savoir si la chasse serait bonne, les Esquimaux d'Amérique écoutaient hurler les loups. En Europe alors, ces mêmes hurlements étaient synonymes de danger et inspiraient la peur. Depuis les temps les plus anciens, l'homme s'est toujours opposé au loup. Hormis certaines nations amérindiennes qui vouaient beaucoup d'admiration au loup, allant même jusqu'à le considérer parfois comme un "frère sauvage" , l'homme s'est toujours, jusqu'à tout récemment, acharné à vouloir le détruire. Il est encore, de toute évidence, l'animal le plus controversé de toute l'Amérique du Nord. 2

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5 Apparu il y a environ 2 millions d’années, d’abord sur le continent américain puis en Eurasie, le loup s’est répandu dans tout l’hémisphère Nord. Seuls les déserts et la forêt tropicale ont arrêté son expansion vers le sud. Peu de régions sont restées hors de sa portée exceptée les sommets les plus hauts où le climat est trop ingrat. Cette prodigieuse capacité d’adaptation en a fait l’unique être vivant directement concurrent de l’homme. Il y a encore une centaine d’années, le loup était le mammifère le plus répandu qu’on ait jamais connu au cours de l’histoire. Mais victime des persécutions qui lui étaient infligées par l’homme depuis des siècles, repoussé par l’extension des pâturages et des villes, cet animal prudent et timide s’est replié vers des régions plus hostiles, vides d’hommes. Systématiquement pourchassés depuis le Moyen Âge, le loup joue un rôle indispensable dans la nature. Il est donc urgent de renoncer à nos frayeurs ataviques et de vivre en harmonie avec les loups. Son avenir repose désormais entre les mains de l'homme, qui doit sauver les animaux qui subsistent encore en leur préservant des territoires adéquats et en comprenant leur rôle indispensable dans l'équilibre général de la nature. 5

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8 Les loups chassent le nez au vent
Les loups chassent le nez au vent. Le loup possède une ouïe et un odorat très sensibles, qu'il utilise couramment quand il chasse. Sa vision saisit mieux les sujets en mouvement que les formes immobiles; elle le conduit parfois à prendre l'homme pour une proie, jusqu'au moment où l'animal reconnaît l'odeur humaine et s'enfuit, très effrayé. Un loup chasse quand il a faim, seul ou en meute, selon la saison et la taille de sa proie. Quand la nourriture est abondante, le loup mange beaucoup et digère vite. Prudent, il constitue souvent des réserves, qu'il enterre. Il se montre très frugal pendant les périodes de pénurie : il est capable de jeûner une dizaine de jours sans problème. Durant l'hiver, les loups se nourrissent d'ongulés souvent plus grand qu'eux: orignal (élan), renne (caribou), chevreuil, etc., qu'ils attaquent en meute. Ils ne chassent pas comme les chiens la truffe collée au sol, mais les oreilles dressées et le nez au vent, attentifs aux effluves et aux bruits qu'une brise peut leur apporter. Grâce à une étude de D. Mech, dans l'Isle Royal, au Canada, on sait qu'un loup perçoit l'odeur d'un orignal à 300 m environ. Il s'immobilise alors, la truffe pointée dans la direction de la proie. 8

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11 l'époque de la chasse aux grands herbivores. Les loups se rassemblent
À ce signe tous les autres lèvent la tête pour analyser l'odeur. Chacun, alors, remue la queue et fait des bonds. Puis, gardant le silence malgré leur excitation, ils s'approchent le plus possible, contre le vent. L'hiver est l'époque de la chasse aux grands herbivores. Les loups se rassemblent en grand nombre. Cette meute importante s'est réunie, attendant que le leader sonne le signe du départ en chasse. Quand les décisions de celui ci sont unanimement approuvées, la harde est calme et disciplinée. Le loup ne chasse pas les proies les plus belles, mais choisit délibérément les faibles et les malades, qu'il contribue à éliminer. À chaque proie, sa technique. Selon l’adversaire et l’endroit où ils donnent l’assaut, les loups attaquent différemment. Ils ne gaspillent jamais leur énergie à poursuivre longtemps une proie qui s’enfuit. Ils repèrent vite les animaux jeunes, âgés, blessés ou malades, ils les encerclent et les attaquent. Orignal ou cerf sont capables de fracasser le crâne de leurs assaillants, un bison d’en encorner plusieurs. 11

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14 Les bœufs musqués se défendent collectivement, en formant un
cercle, épaule contre épaule et cornes basses. Devant une résistance opiniâtre, la meute préfère rompre l’engagement et partir en quête d’un adversaire moins coriace - ce qui est très fréquent. La proie est rarement mise à mort du premier coup. Les loups cherchent à mordre les pattes, l’épaule, les flancs ou la croupe. Il faut parfois plusieurs assauts et de nombreuses poursuites pour faire tomber la proie. Un loup se pend à son mufle pour la paralyser pendant que d’autres s’accrochent à sa croupe. Étourdie par ses assaillants, attaquée de toutes parts, elle finit par succomber. La majeure partie de l’animal tué est dévorée sur place - un loup mange de 9 à 10 kg de chair par repas. Lors de la durée, le mâle dominant écarte ses subalternes avec autorité. Il tolère que sa compagne le rejoigne, puis, repu, il laisse les restes aux autres loups. Dans la mêlée, chacun s’efforce de prélever sa part. Il arrive que les loups soient rassasiés avant d’avoir tout dévoré. Ils enterrent alors les restes à l’abri des mouches, des corbeaux et des pies. Ces réserves de viande font la joie des renards et autres petits carnivores. 14

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17 Sa fiche technique. Nom:Loup gris ou Canis Lupus
Famille:Canidés (regroupe 36 sous espèces) Classe:Mammifères Identification:Ressemble au berger allemand. Cou épais, face large et concave, museau fin, oreilles pointues, queue ébouriffée. Pelage de couleur variable. Mue au printemps. Taille:De 100 à 150 cm de long (femelle < mâle). De 60 à 95 cm au garrot. Queue de 30 à 50 cm. Poids:De 18 à 70 kg. Répartition actuelle:Nord de l'Amérique du Nord, Asie, Moyen-Orient, Quelques populations résiduelles en Europe. Habitat:Très varié. Paysages ouverts, forêts à dominance d'arbres à feuilles caduques, banquise. Régime alimentaire:Carnivore. Apports ponctuels de fruits et insectes. Structure sociale:Groupe social de type "couple monogame durable"Maturité sexuelle:Mâle 3 ans. Femelle 2 ans. Saison de reproduction:Début de l'hiver en Amérique du Nord, février/mars en Espagne, mars en Italie, avril dans l'Arctique Durée de gestation:De 61 à 63 jours, une fois par an. Nombre de jeunes par portée:De 3 à 8 (5 en moyenne)Poids à la naissance:De 300 à 500 g Espérance de vie:De 8 à 16 ans (jusqu'à 20 ans en captivité) Statut, protection:Porte la mention "vulnérable" sur la liste rouge des espèces menacées d'extinction de l'U.I.C.N (Union internationale pour la conversation de la nature et des ses ressources) Remarque:Record de 400 Km détenu par un "grand vieux loup" traqué par le Grand Dauphin de la forêt de Fontainebleau aux portes de Rennes 17

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20 Importance de l'hiérarchie
Importance de l'hiérarchie. La harde obéit à une hiérarchie stricte et durable : la position de chacun ne peut être remise en cause qu'à travers des événements tel qu'un décès ou la formation d'une nouvelle meute. Le respect de cette hiérarchie et, donc, la cohésion du groupe reposent sur des modes de communication olfactifs, sonores et visuel. Ainsi, les loups ont tout un code d'attitudes, de postures et de mimiques. Pour se reconnaître, les loups se reniflent la tête et l'arrière-train, mais soutenir le regard est un signe de provocation. L'organisation d'une meute est la forme de société la plus hautement développée du monde animal. Lorsque deux loups se rencontrent, le dominant adopte une attitude agressive ; il reste immobile, oreilles dressées, crinière hérissée, queue levée, pattes droites. L'animal de rang inférieur avance, oreilles baissées et queue entre les pattes. Puis il s'accroupit et lèche le museau de son congénère en signe de soumission. Si l'autre animal reste en posture de domination queue et oreilles dressées, corps raide, le loup dominé se couche sur le dos, urine et présente ses organes génitaux. 20

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23 Les loups hurlent en meute.
Le hurlement est très communicatif : quand un loup hurle, toute la harde se joint à lui et forme un choeur y compris les louveteaux. Les premières études de J.B. Théberge et J. B. Falls (1967) ont révélé que le loup a cinq façons de donner de la voix. La plus caractéristique, le hurlement, s'entend à plus de 8 kilomètres. Les loups ne hurlent que sporadiquement (toutes les dix heures, d'après le zoologue américain Fred Harrington), en général avant ou après la chasse. La meute signale ainsi sa présence aux hardes voisines. Mais elle peut aussi hurler sans raison apparente, pour le plaisir. Le loup aboie (alerte), jappe (amitié), gronde (désaccord et mise en garde), gémit (soumission ou amitié). Chaque individu a son timbre de voix, qui est toujours parfaitement reconnaissable. 23

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26 La gestation dure environ deux mois. Quelques semaines avant la
Les louveteaux. La gestation dure environ deux mois. Quelques semaines avant la naissance, la louve prépare une ou plusieurs tanières à des emplacements différents. Ainsi peut-elle déménager si elle ne sent plus ses petits en sécurité. Selon ce qui est à sa disposition, elle choisit une grotte, une souche creuse, un trou entre deux racines, un arbre renversé, le terrier d'un autre animal. Dans les régions chaudes et sèches ou dans la toundra, la louve est souvent obligée de creuser une simple cuvette sous les buissons ou une galerie dans le sable. Les tanières se trouvent près toujours à proximité d'un point d'eau : durant l'allaitement, la louve a besoin de boire davantage. Prévoyante, elle enterre à proximité des provisions de viande. Aucun loup n'a le droit de venir la déranger. Postés aux alentours, son compagnon et le reste de la harde assurent sa protection. La portée compte en général cinq louveteaux de 300 à 500 g, aveugles et sourds, au pelage sombre et ras. Dès la naissance, les louveteaux luttent pour survivre. L'accès aux tétines est difficile ; ils craignent le froid et l'humidité ; ils sont recherchés par l'aigle et le grand duc. 26

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29 apprennent ainsi le rapport entre la position couchée sur le dos et la
Durant les dix premier jours, ils mènent une vie végétative, dormant et se gorgeant de lait aux huit mamelles de leur mère. Celle-ci les nettoie en les léchant, car ils ne savent pas uriner ni déféquer seuls. On pense qu'ils apprennent ainsi le rapport entre la position couchée sur le dos et la soumission passive qu'ils conservent dans leur comportement d'adulte. Au bout de trois semaines, ils ont les yeux ouverts et commence à marcher. Puis, couverts d'un épais duvet, ils sortent de la tanière. Vers six semaines, débute le sevrage. Les louveteaux deviennent rapidement trop gros pour s'entasser dans la tanière et peuvent désormais se passer de sa protection. À la fin du deuxième mois, la louve les emmène dans un endroit plus proche des troupeaux. Fairley Mowat, dans son livre "Mes amis les loups" (1974) parle de ce déménagement, phénomène bien connu des Esquimaux. La meute abandonne parfois les jeunes loups une journée pour aller chasser. À 3 mois, leur duvet fait place à la livrée des adultes. À 7 mois, ils suivent la harde dans ses déplacements. Jusqu'à dix mois, de 50 à 80% d'entre eux peuvent trouver la mort. 29

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32 Soins communautaires des louveteaux
Les petits sont pris en charge par les parents et la meute entière. Mais, durant les premières semaines, seule la mère s'en occupe. Son mâle et le reste de la meute l'approvisionnent devant la tanière. Elle reçoit sa part de la chasse sous forme de morceaux entiers ou régurgités. Les louveteaux et le groupe font alors peu à peu connaissance. Très vite, les petits hurlent et grognent pour réclamer leur nourriture. Désormais, la louve s'absente afin de chasser ou se reposer : les louveteaux sont alors placés sous la surveillance d'un "protecteur", mâle ou femelle, qui les défend et joue avec eux. 32

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35 Des louveteaux joueurs
Quand les louveteaux ne sont pas occupés à manger ou à dormir, ils jouent entre eux, avec des cailloux, des feuilles. Ils se révèlent très chahuteurs avec les adultes. Ceux-ci sont très patients lorsque la jeune classe leur mord les babines ou monte sur leur dos. À l'âge de 2 mois, les jeux sont plus brutaux et les adultes moins patients. Ils leur enseignent l'art de la chasse, l'embuscade, l'affût, l'attaque, l'esquive. Presque adultes, ils jouent encore beaucoup. Les jeux avec les adultes sont une occasion d'apprendre à respecter la hiérarchie, mais aussi d'échanger beaucoup de tendresse. Le louveteau passe le premier printemps et le premier été à s’ébattre dans un état de totale dépendance, mais dès l’automne survient l’initiation à la vie d’adulte : il se joint aux chasseurs. Quand on n’est armé que de ses dents nues et de son courage, la chasse aux grands ongulés est une entreprise risquée ; les jeunes ont donc beaucoup à apprendre. La première étape de cet apprentissage s’est limitée à attraper des mulots et des insectes dans la tanière ou au lieu de rendez-vous ; la seconde étape consistera à étudier les adultes en action. 35

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38 La longueur de l'animal adulte varie de 1 mètre à 1,40 mètre et sa
hauteur au garrot de 60 à 70 centimètres. Son poids varie selon plusieurs paramètres, parmi lesquels : la localisation géographique (paramètre déterminant),le régime alimentaire, la saison et l'habitat. Par exemple, le poids du loup italien peut ainsi varier de 18 à 38 kg. Le loup arctique (Canis lupus arctos) pèse de 50 à 65 kg, tandis que le loup d'Arabie (Canis lupus arabs) ne pèse que de 14 à 25 kg. En général, les femelles sont plus petites que les mâles, mais dans le cas du loup italien la différence est faible. Bien que Canis lupus soit communément appelé "loup gris", son pelage présente une grande variabilité liée à la localisation géographique et à l'habitat. Ainsi, le loup arctique peuplant la toundra a-t'il un pelage blanc garantissant un excellent mimétisme dans ce milieu enneigé. Son pelage est aussi bien fourni pour assurer une bonne isolation thermique. A l'inverse, les loups d'Espagne ont un pelage roux et plus ras. Ceux d'Italie, quant à eux, ont le poil de couleur gris fauve, variant selon la saison et le sexe. Le loup est un véritable coureur de fond, capable de parcourir plusieurs dizaines de kilomètres en une journée. En moyenne, 30% de son temps est consacré à se déplacer, ce qui est considérable. 38

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41 crocs des adultes mesurent environ 4 centimètres de long.
Il peut trotter à 8 km/h pendant une demi-journée, et pousser des pointes jusqu'à 65 km/h pendant quelques minutes. C'est un point très important car cela explique ses importantes aptitudes à coloniser de nouveaux territoires. Cette capacité de résistance est illustrée par des membres longs et minces, ainsi que des appuis pris sur les doigts de pied (animal digitigrade), ce qui facilite la course. Ses appuis sont encore améliorés par des pattes très larges : elles augmentent la portance du loup sur la neige en agissant comme des raquettes. Chez les loups d'Italie, elles mesurent une dizaine de centimètres de long. Le loup aime la neige, qui ne constitue en aucun cas une gêne pour lui. Cela lui confère d'ailleurs un avantage sur de nombreuses espèces d'ongulés dont la neige perturbe les déplacements. Le volume du cerveau du loup est de l'ordre de 150 à 170 cm3, soit 30 % de plus que celui du chien, en moyenne. Pour finir, la tête est triangulaire, avec des oreilles plutôt rondes et pas très grandes. Les mâchoires du loup, garnies de 42 dents, peuvent exercer une pression de 150 kg/cm2. Cette puissance est utilisée pour abattre les grosses proies : le loup les saisit à la gorge et les étouffe en écrasant la trachée. Les crocs des adultes mesurent environ 4 centimètres de long. 41

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44 l'homme) et cent fois mieux équipé en récepteurs.
La morphologie du loup Un odorat évolué : Renifler un cerf à 1,5 km de distance, reconnaître à l'urine qu'il a laissée si un loup appartient à la meute ou si c'est un intrus, repérer les femelles en chaleur. Le loup vit dans un monde d'odeur et son "nez" est son plus précieux atout. Il est, suivant ce qu'il sent, de cent à un million de fois plus sensible que le nôtre ! La raison d'une telle différence ? Le tissu qui tapisse le haut de la cavité nasale et qui capte les molécules odorantes qui traînent dans l'air. Celui du loup est plus grand (170 cm carré chez l'homme) et cent fois mieux équipé en récepteurs. Des oreilles orientables : Le loup n'a pas les oreilles dans sa poche. loin de là ! il peut reconnaître le hurlement d'un congénère à 16 km de distance si le terrain est dégagé. Ses oreilles sont très mobile. Il les oriente pour mieux cibler l'origine des bruit. Il perçoit une gamme de sons plus large que la nôtre : alors que nous sommes limités à des fréquence comprise entre 16 et Hz , lui entend des fréquences beaucoup plus aiguës, allant jusqu'a Hz , dont les fameux ultrasons. 44

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47 Une vue spécialisée : Il voit mal les détails, a du mal à évaluer les distances et les reliefs. Côté couleur, il ne perçoit pas le rouge, mais que la teinte bleu-vert. Le loup serait-il miro ? Non, sa vision est celle d'un prédateur. Il est champion pour détecter les objets ou les proies en mouvement. Et, contrairement à nous, il ne devient pas aveugle sitôt la nuit tombée, car sa rétine contient davantage de cellules sensibles à la lumière. En plus, le fond de son oeil est tapissé d'une couche de cellules réfléchissantes qui jouent les amplificateurs de lumière. C'est ce qui permet au loup, comme au chat, de distinguer un objet même dans la pénombre. Et qui fait que ses yeux brillent dans la nuit quand ils sont éclairés Une mâchoire à tout casser : Rien ne résiste à la mâchoire du loup, pas même un fémur de bison ! Avec ses muscles robustes, la mâchoire du prédateur a deux fois plus de force que celle d'un chien de même taille. Et puis, quelle dentition ; Sur le devant, de petites incisives acérées pour saisir les aliments ou dépecer les proies. Autour, quatre crocs impressionnants, longs de 3 cm. Idéal maintenir une proie. Derrière les crocs, les prémolaires et les molaires. Parmi elles, quatre plus grosses que les autres : Les carnassières. Elles sont à la fois tranchantes et puissantes, de vraies cisailles pour couper muscles, chairs et tendons. 47

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50 Marathonien et sprinter à la fois !
Des pattes de coureur : Marathonien et sprinter à la fois ! Avec ses pattes hautes et musclées, le loup trotte sans peine à 30 km/h. Mais il peut aussi, sur de courtes distances, cavaler à 65 km/h. Pour trouver quelque chose à se mettre sous les crocs, on en a vu parcourir jusqu'à une centaine de kilomètres en 24 heures. Comme les félins et les autres canidés, le loup ne pose pas la plante des pieds au sol, mais juste les orteils équipés de griffes qui, contrairement à celles des félins, sont sorties en permanence. Ce ne sont pas des armes, mais des outils pour creuser des tanières ou enterrer les surplus de nourriture. Une fourrure double épaisseur : Près du corps, une couche de poils courts, fins, ondulés, qui forment un vrai duvet isolant. Le tout recouvert de poils raides et longs qui, en hiver, dépassent les 15 cm sur le dos. Le loup est bien habillé ! Question coloris, il existe des noirs, des blancs et surtout beaucoup de gris. Mais pas un gris uni comme un éléphant : La couleur de la fourrure résulte toujours d'un mélange de poils noirs, blancs, crème, fauves, cannelle... Du coup, il n'y a pas deux loups qui possèdent la même robe. 50

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53 Musique : Sempire d’Amor d’Era PPS Conçu par Charisma 53


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