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Cartographie numérique et étude de cas

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Présentation au sujet: "Cartographie numérique et étude de cas"— Transcription de la présentation:

1 Cartographie numérique et étude de cas
Jeudi Formation continue / académie de Poitiers Cartographie numérique et étude de cas Catherine Billard, LGT Valin à La Rochelle Muriel Lucot, CLG Anne Frank à Sauzé-Vaussais Christophe Hilairet, LGT LPII à Jaunay-Clan

2 Sommaire de la matinée I. Carte mentale du tour de table. 30’.
II. Cartes, croquis… de quoi parle-t-on et pour quels usages ? 20’. III. La ‘carte’ dans l’étude de cas : programmes et exemples. Au lycée. 30’. Pause café Au collège. 30’. Nous aborderons la cartographie au collège et au lycée : dans les programmes, nous aborderons également les usages, les manuels scolaires et les épreuves. Nous irons vite car ce sont des choses que vous connaissez, l’intérêt étant peut-être de faire un point sur le collège pour ceux qui sont en lycée et vice-versa. IV. Ressources : 30’. V. La cartographie avec un T.N.I. : 30’. Pause repas : 12H15-13H30 ?

3 Sommaire de l’après-midi
Deux ateliers de 13H30 à 16H30 ? : Faire de la cartographie avec un T.N.I. avec Catherine et Christophe. Réaliser un croquis avec Open office Impress et CartOOO avec Muriel. Nous aborderons la cartographie au collège et au lycée : dans les programmes, nous aborderons également les usages, les manuels scolaires et les épreuves. Nous irons vite car ce sont des choses que vous connaissez, l’intérêt étant peut-être de faire un point sur le collège pour ceux qui sont en lycée et vice-versa.

4 Remarque : il faut installer Freemind pour voir la carte mentale.
Cartes, croquis… Quels sont vos usages, quels en sont les atouts, quelles en sont les difficultés ? Quels sont vos questionnements, vos attentes pour aujourd’hui ? La carte mentale (mind maps) ou schéma heuristique. Remarque : il faut installer Freemind pour voir la carte mentale. Dans Kartoo : taper cartographie. Intérêt de représenter les liens sous cette forme, à mettre en lien pour nos élèves. Moins de liens, moins de chances de se perdre, plus de pertinence. Un atout également dans toute démarche préalable à une recherche documentaire : ainsi ce site québécois propose en quelques étapes un remue-méninge constructif qui aboutit à l’élaboration d’une carte mentale pour organiser ses idées et ses recherches. Profitable aux élèves pour la prise de notes (autre que linéaire), un remue-méninges, une présentation d’exposé, la réalisation d’un brouillon ou l’élaboration d’un plan. Le professeur peut également utiliser cela pour faire toutes ces opérations ou bien lorsqu’il travaille à partir des représentations des élèves, faire une prise de notes organisée qui permet d’aboutir à la réalisation du plan du cours par exemple.

5 II. Cartes, croquis… de quoi parle-t-on et pour quels usages ? 20’.

6 Les différentes utilisations de la cartographie
VI. Typologie des cartes et des usages . Les différentes utilisations de la cartographie Situer Placer Trouver Cartes topographiques et thématiques à fond conventionnel. 1 – LOCALISER Idée : un exemple à chaque fois. petite échelle : carte murale, atlas, manuels… - grande échelle : cartes I.G.N., topographiques, cartes d'État-major …

7 Cartes quantitatives 2 – DÉCRIRE
VI. Typologie des cartes et des usages . Cartes thématiques Classer Comparer Cartes analytiques Cartes quantitatives 2 – DÉCRIRE Évaluer en aires, figurés, signes, fonds euclidiens, anamorphoses, cartogrammes. Comprendre Combiner 3 – INTERPRÉTER Croquis de synthèse Représentations d'une problématique

8 Révéler Structurer Théoriser 4 – MODÉLISER chorème
VI. Typologie des cartes et des usages . Révéler Structurer Théoriser 4 – MODÉLISER chorème à partir de chorèmes simples pour mettre en évidence : faits, relations, influences.

9 Rêver 1 – LOCALISER 2 – DÉCRIRE 3 – INTERPRÉTER 4 – MODÉLISER
VI. Typologie des cartes et des usages . 1 – LOCALISER Rêver 2 – DÉCRIRE 3 – INTERPRÉTER 4 – MODÉLISER DÉCIDER, AMÉNAGER

10 La carte est un langage, mais quel type de langage ?
II. Le dessous de la carte. La carte est un langage, mais quel type de langage ? Un langage analogique, Un langage symbolique, Illusion de transparence ou paranoïa du cryptage ? Un langage non verbal (même s’il y a des mots), Un langage non séquentiel : une lecture spatiale. La carte est une image.

11 IV. Les instructions officielles / Lycée
« Les actes des la DESCO », Apprendre l’histoire et la géographie à l’école, CRDP académie de Versailles, mars Paul Arnoud, Catherine Biaggi, « Cartes et images dans l’enseignement de la géographie ». Développer l’esprit critique : la carte est « un discours sur la réalité, l’expression d’un langage avec ses règles (…). La carte est un discours et doit être reliée à son message. En tant que langage, elle peut aussi mentir. La maîtrise de ce langage est nécessaire si l’on veut franchir le cap de la reproduction des cartes et engager des analyses géographiques. Les TICE facilitent la prise de conscience.

12 III. Un peu de terminologie.
Carte, croquis ou chorème ? : l’exemple des métropoles régionales françaises. Le chorème : un schéma très simplifié, presque caricatural. l’expression d’une caractéristique géographique.  Le chorème n’est ainsi que l’expression d’une idée.

13 L’exemple des métropoles régionales françaises.
III. Un peu de terminologie. L’exemple des métropoles régionales françaises. 28 signes simples.

14 L’exemple des métropoles régionales françaises.
III. Un peu de terminologie. L’exemple des métropoles régionales françaises. À partir de plusieurs chorèmes, on peut construire un schéma chorématique selon le même principe de simplification. Trop simple voire simpliste ?

15 À moins qu’ils le fassent eux-mêmes ?
III. Un peu de terminologie. À moins qu’ils le fassent eux-mêmes ? Trop complexe voire illisible (pour des élèves) ?

16 L’exemple des métropoles régionales françaises.
III. Un peu de terminologie. L’exemple des métropoles régionales françaises.

17 L’exemple des métropoles régionales françaises.
III. Un peu de terminologie. L’exemple des métropoles régionales françaises. Réservée aux cartographes professionnels.  La carte a vocation à localiser des faits géographiques sans « trop » chercher à en privilégier un plutôt qu’un autre. Pourtant la carte est un construit. Des choix moins faciles à déceler (projection, échelle, seuils, sémiologie…)  un apprentissage critique plus difficile.

18 Montrer que la carte est un construit : une approche historique.
III. Un peu de terminologie. Montrer que la carte est un construit : une approche historique.

19 Montrer que la carte est un construit : une approche géographique.
III. Un peu de terminologie. Mercator Montrer que la carte est un construit : une approche géographique. Bertin

20 III. Un peu de terminologie.

21 Repose aussi sur un fond de carte,
III. Un peu de terminologie. Le croquis : Repose aussi sur un fond de carte, Symboles ponctuels excessifs dans une position qui tendra à valoriser une idée (ici, organisation centre-périphérie).

22 La carte est un construit…
Carte issue de Google Earth diffusée sur CNN au moment de la « crise » des banlieues fin 2005. La carte est un construit… Carte postale vendue en Corse. La documentation photographique N°8036. …qui représente un point de vue Un point de vue dans toutes les acceptions du terme : point de vue du fait des projections, des calculs différents qui vont être utilisés pour la représxentation des espaces. Point de vue au sens plus politique du terme. Point de vue parfois trahi par la technique : carte de CNN prise dans Google Earth. Toulouse est en Suisse, Strasbourg en Allemagne… toutes les villes sont décalées sans logique apparente. Problème, à petite échelle, Google Earth offre des localisations urbaines très peu précises ce dont les techniciens de CNN ont été victimes ne pouvant s’appuyer sans doute sur une solide connaissance de l’Europe qui leur aurait permis de s’apercevoir de l’erreur. Erreur sur l’usage de l’outil : Google Earth est extraordinaire pour une utilisation à grande échelle des images satellitales et non pas à petite échelle comme atlas. Carte Down Under de l’Australie, Hors-série du courrier international, l’atlas des atlas.

23 La carte est un langage. La carte est un pouvoir.
Le Maroc, carte française du début du XXème siècle. La documentation photographique N°8036. Le Cachemire dans un manuel scolaire saoudien, Hors-série du courrier international, l’atlas des atlas. La carte est un langage. La carte est un langage qui évolue : du pictogramme au cartogramme… Un langage figuratif utilisé pour une carte française du Maroc au début du XXème siècle. Le cartogramme : une anamorphose (la population) sur laquelle on représente les axes routiers. Permet de relativiser la densité des réseaux de transport eu égard à la population. La carte est un langage analogique (relation immédiate avec le réel, homothétie), symbolique, non verbal et non séquentiel (lecture globale et immédiate, le contenu arrive en un tout sauf si on fait une préAO on séquentialise  plus qu’un langage, la carte est une image.  c’est pourquoi les deux sont traitées ensemble dans les actes de la DESCO. Commentaire de la carte du Cachemire : « Cher étudiant, tu sais que notre céleste guide a toujours défendu les causes de l’islam sans limites et tu sais aussi que l’impérialisme anglais a vendu le Cachemire aux hindous ». Un dossiers passionnant sur les frontières dans le hors série du courrier international et de nombreux exemples d’incidents diplomatiques liés aux cartes dans l’atlas du monde diplomatique. La carte est un pouvoir : celui de représenter la réalité et d’influencer par conséquent les représentations collectives. Cartogramme de la population et des axes routiers en Europe. La documentation photographique N°8036. La carte est un pouvoir.

24 III. La carte dans l’étude de cas au lycée.

25 « L’analyse de cartes … et
II. La cartographie dans les programmes du lycée 1/6 Les textes officiels (N°référencés dans le diaporama) 1. BO Hors Série N° août 2000 (2nde)  2. Circulaire de l'inspection générale / Géographie de Seconde 3. BO Hors Série n°7 – 3 octobre 2002 (1ère et Tle ES–L / S) 4. Documents d’accompagnement (CNDP juillet 2003 et juin 2004) 5. BO N°12 – 29 juin 1995 (1ère et Tle STG et 1ère STI–STL–SMS) La carte et le croquis « des outils majeurs » 1. p 3/ Mise en œuvre du programme de géographie L'utilisation des outils géographiques) De la Seconde à la Terminale il s’agit de confirmer et de consolider deux apprentissages « qui sont déjà au collège les fondements pédagogiques de l'approche des documents. » (4. p 6/ – la maîtrise de méthodes d’analyse et de modes d’expression) « L’analyse de cartes … et la réalisation de croquis » (1. p 2)

26 lycée 2/6 En Seconde : En géographie … « Une place privilégiée est accordée à l'analyse de cartes et à la réalisation de croquis. » (1. p 2/ ) La carte un outil majeur (1. p 3/) pour … « privilégier le repérage, la lecture critique et la mise en relation des informations » (1. p 3/) En géographie : « l’étude de chaque thème s’appuie donc sur des cartes à différentes échelles… (1. p 3/) « … il est nécessaire [que…] les études de cas s’appuient prioritairement sur des cartes » (2. /2.2 mettre en perspective les études de cas) En histoire : Les commentaires des thèmes 3, 4 et 6 indiquent de s’appuyer sur des cartes (1. p 7 et 8)

27 « De la carte au croquis »… (4. (p 6 /)
lycée 3/6 En cycle terminal : « … L’approche multiscalaire… privilégie la carte, … pour former les élèves au raisonnement géographique. » (3. introduction / géographie ligne 9 en ES et L – ligne 7 en S) Un outil « d’analyse » « Un document à privilégier par rapport aux textes car davantage porteur d’une véritable information géographique » (4. (p 7/ – des modalités de mise en œuvre – la place du document) … pour « former les élèves à la maîtrise d’outils pratiques d’analyse de l’espace : savoir lire une carte, y compris une simple carte routière, savoir interpréter[…], un croquis, … » (4. (p 10 / orientations pour la géographie – cohérence d’ensemble du cycle terminal) Et… « apprendre à interpréter de manière critique différents types de cartes, croquis, schémas… » ; « objectif commun avec l’enseignement de l’histoire » (4. (p 10 /) p 11) « De la carte au croquis »… (4. (p 6 /)

28 lycée 4/6 En cycle terminal :
« … L’approche multiscalaire… privilégie … le croquis, le schéma, l’image pour former les élèves au raisonnement géographique. » (3. introduction) « Un mode d’expression » d’ « un discours d’histoire ou de géographie » (4. p 6 – la maîtrise de méthodes d’analyse et de modes d’expression) …pour « permettre à l’élève de produire un raisonnement géographique… de produire lui-même des croquis ou des schémas » (4. p 11 / Cartes, croquis, schémas) « comprendre une carte » c’est avoir la… « maîtrise des grandes règles de ce langage (symboles, couleurs, proportionnalité » … qui peut être acquis en 2nde » (4. p 6/) « apprendre à construire des croquis, éventuellement des schémas » (4. p 11 /) « Cet apprentissage doit particulièrement trouver sa place en 1ère »

29 lycée 5/6 « Les TICE peuvent trouver là une application particulière (construction de cartes assistée par ordinateur…) » (3. introduction / ) ; par exemple « avec un logiciel de traitement statistique » ; « La carte quantitative … peut nourrir la construction d’un croquis à la main » (4.) En séries technologiques, la carte est un outil de repérage et d’analyse en histoire géographie, mentionné dans plusieurs thèmes des programmes. Synthèse : (4. p 11) « La cartographie exerce 3 fonctions dans l’enseignement au lycée : Aider au repérage et à la mémorisation des noms de lieux Faciliter l’appropriation de connaissances sur l’organisation des espaces par son caractère visuel et synthétique Permettre à l’élève d’exprimer un raisonnement géographique lorsqu’il est placé en situation de produire lui-même des croquis ou des schémas. » L’apprentissage est progressif depuis le collège. Approfondi au lycée, il débouche sur la possibilité d’une épreuve au baccalauréat …

30 lycée 6/6 BO n° février 2004 « Exercices de la deuxième partie Réalisation d’un croquis de géographie À partir de ses connaissances et en réponse à un sujet donné, le candidat réalise un croquis de géographie accompagné d’une légende organisée. Le sujet porte sur l’un des thèmes ou ensembles géographiques définis par le programme. Il ne comporte pas de document si ce n’est, éventuellement, quelques brèves données statistiques. Il est accompagné d’un fond de carte. » Le commentaire n’est plus exigé.

31 * représenter de manière la plus neutre et la plus exhaustive
La carte : exemple * repérer des lieux, * représenter de manière la plus neutre et la plus exhaustive * possible une portion d’espace, de figurer l’extension d’un phénomène géographique quantifiable. Le croquis : exemple * appuyé sur un fond de carte, il répond à une question que se pose l’auteur. * une représentation personnelle donc discutable, * des choix, une hiérarchisation des informations, * une construction intellectuelle qui n’est jamais neutre. Le schéma : exemple * il s’affranchit du fond de carte et de l’échelle. * représentation simplifiée qui cherche à aller à l’essentiel, * Il relève d’une démarche conceptuelle spontanée ou revendiquée. « – la carte, sous différentes formes, permet de repérer des lieux (carte d’un atlas), de représenter de manière la plus neutre et la plus exhaustive possible une portion d’espace (la carte IGN), de figurer l’extension d’un phénomène géographique quantifiable (carte de densités de population construite à l’aide d’un ordinateur à partir d’un fond administratif); – le croquis, appuyé sur un fond de carte, qui répond à une question que se pose l’auteur. Il est toujours une représentation personnelle donc discutable. Il implique des choix, une capacité à classer, à hiérarchiser des informations. La légende est l’expression de cette construction intellectuelle qui n’est jamais neutre. Le croquis est très présent dans les manuels ; il constitue aussi un exercice au baccalauréat ; – le schéma, représentation simplifiée qui cherche à aller à l’essentiel en s’affranchissant du fond de carte et de l’échelle. Il relève d’une démarche conceptuelle spontanée (le dessin au tableau qui appuie la démonstration du professeur) ou revendiquée (les productions de géographes universitaires).» (4)

32 III. La ‘carte’ dans l’étude de cas au collège.
Idée : reprendre courtes citations et capacités présentes dans les nouveaux programmes + chacune des idées fortes exprimées par l’inspection (IPR, IGEN) et l’illustrer par un exemple.

33 III. Un peu de terminologie.
Quelle place pour la carte dans l’étude de cas ? Quelle place pour le croquis de synthèse dans l’étude de cas ? Idée : modifier cette diapositive en fonction du tour de table de début de journée. Quel est leur statut ? Faut-il les étudier ? Combien doit-il y en avoir ? Si oui, comment ? Faut-il les faire réaliser ? Comment doit-on organiser les repères cartographiques dans le programme ? Peuvent-elles être la trace écrite ?

34 IV. Les ressources : en ligne sur le SPIP, juste quelques points.
Comment faire réaliser simplement des croquis de synthèse numériques aux élèves ? Comment faire utiliser les globes virtuels par les élèves ? Fonctionnalités –méconnues ?- de Google earth. Comment produire simplement ses propres croquis ? Comment établir une progressivité des apprentissages cartographiques ? Idée : les stagiaires avaient regretté l’absence de papiers… je leur distribuerai deux ou trois outils élaborés lors ou suite aux interacadémiques sur les nouveaux programmes de collège.

35 V. La cartographie avec un T.N.I.


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