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PLAN D’ACTION REGIONAL

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Présentation au sujet: "PLAN D’ACTION REGIONAL"— Transcription de la présentation:

1 PLAN D’ACTION REGIONAL
« pour une offre alimentaire sûre, diversifiée et durable » Comme nous l’avons vu, l’offre est devenue plus riche et plus multiple, les consommateurs ne doivent pas pour autant perdre leurs repères. Il faut que les pouvoirs publics comprennent mieux les attentes des consommateurs en matière d’information et leur proposent les moyens de développer leurs connaissances dans le domaine alimentaire.

2 Plan Le plan « offre alimentaire » : rappels
Contexte national Démarche de déclinaison régionale Plan régional offre alimentaire Auvergne : diagnostic et propositions sur les actions prioritaires Discussion

3 La plan « offre alimentaire »
Contexte national et démarche de construction d’un plan régional

4 Plan national : OBJECTIFS
Plan d’action pour une offre alimentaire Sûre Diversifiée, de bonne qualité Équilibrée et répondant aux exigences nutritionnelles du PNNS2 Provenant de modes de production respectueux de l’environnement En faveur des populations les plus démunies A décliner au niveau régional sur 3 ans ( )  Les 3 piliers du développement durable : Économie, environnement, socio-culturel-éthique 6 volets qui rassemblent 29 actions et sous actions

5 Complémentarité Offre alimentaire et Nutrition-santé
Production Transformation Commercialisation Choix de consommation Conséquences sur la santé OFFRE ALIMENTAIRE

6 Le contenu du plan régional : des actions, des projets
Respect des orientations nationales et européennes + des actions d’initiative locale possibles Globalité de la démarche Vérification des cohérences :  travail partenarial, inter-services et inter ministériel Avec autres programmes nationaux déclinés en région : Plan bio Horizon 2012, Plan IAA, Plan Circuits courts, Plan Ecophyto 2018, Plan performance énergétique des exploitations, réseau rural… Etape préalable : un diagnostic Enjeux économiques, sociétaux de l’offre alimentaire Recensement des initiatives locales Identification des acteurs, y compris autres services chargés de la politique du MAAP

7 Les apports possibles de la DRAAF-SRAL
Mettre les acteurs régionaux en relation : Mieux se connaître et se comprendre : Finaliser un diagnostic à l’échelle régionale Recenser et grouper les problèmes Constituer un réseau ? Faire remonter au MAAP L’état des lieux et le diagnostic régional Les questions et problèmes du ressort du MAAP  prise en compte dans les politiques publiques Echanger entre responsables régionaux « offre alimentaire »  mutualiser les solutions à l‘échelle régionale voire inter-régionale Financer des projets, avec priorité : aux opérations pilotes, innovantes aux co-financements

8 Plan régional : les moyens financiers
Financements nationaux répartis entre régions Priorité aux crédits incitatifs et aux cofinancements En 2009 : 1,3 million d’€/ 22 régions 2009 : année de transition En 2010 : 60 à €/région (répartition début 2010) Financements européens pour la France Un fruit pour la récré : 12 millions d’€ en 2009 Le PEAD : 78,9 millions d’€ en 2009 + Un plan de communication régional

9 Les moyens organisationnels nationaux
Information et formation Plan de formation national des resp pôle offre alimentaire‏ Formation aux exigences nutritionnelles restauration collective (référent DDSV)‏ Plate forme électronique d’échange entre régions et avec DGAL Groupe de travail national Suivi, évaluation et actualisation Actualisation annuelle Suivi et évaluation des actions régionales Bilan annuel : dialogue de gestion Bilan national Travail sur les indicateurs de suivi

10 Plan régional : une concertation
Une large concertation régionale Un Comité de pilotage et de suivi : le CROA avec 16 collèges : Représentants des filières agricoles et alimentaires Représentants du secteur associatif (consommateurs, parents d'élèves, caritatif...) ‏ Collectivités locales Délégations territoriales de l’INAO Pôles de compétitivités Établissements d’enseignement Services déconcentrés… Secrétariat et appui technique : SRAL Lien avec les travaux des GRSP

11 Les étapes de la démarche régionale
printemps septembre 1er octobre octobre à déc Préambule : Identification des partenaires, structure pilotes Prise de contacts bilatéraux Réunion de groupes de travail thématiques pour : Informer les acteurs Alimenter le diagnostic régional « offre alimentaire » Identifier des porteurs de projets et des co-financements Rédaction d’une proposition Réunion d’un CROA Auvergne Reprise et finalisation des diagnostic et plan d’action Présentation au MAAP pour examen et attribution des crédits pour 2010

12 Plan régional : les actions
5 actions obligatoires “Un fruit pour la récré” : inciter les partenaires locaux à participer (Distribuer un fruit/semaine/enfant dans les écoles avec accompagnemnt pédagogique) Soutenir la consommation de produits biologiques en restauration collective (obj. 20% en 2012) Faire connaître le Programme Européen d’Aide aux plus Démunis (PEAD) et son mode d’organisation en appels d’offre aux IAA ou compléter le dispositif par des aides en nature Etre à l’écoute du consommateur et répondre à son besoin d’information Créer du lien entre producteurs et consommateurs

13 Plan régional : les actions
7 actions facultatives Actions pédagogiques vis à vis des enfants Sur le rôle culturel et convivial de l’alimentation en restauration scolaire : pour mieux choisir ses plats En restauration collective publique : améliorer l’offre alimentaire Avec les IAA : inciter et accompagner à s’engager dans les chartes d’engagement de progrès nutritionnel Structurer les filières biologiques Actions d’information vis-à-vis des bénéficiaires de l’aide alimentaire pour accompagner la distribution de fruits et légumes SIQO : renforcer les actions de promotion

14 Action « un fruit pour la récré »
Inciter les partenaires locaux à participer au programme de distribution gratuite de fruits dans les écoles avec un accompagnement pédagogique, et inciter les centres aérés à mener des actions pédagogiques similaires (action 8.1)

15 « Un fruit pour la récré »
Distribution hebdomadaire de fruits aux élèves (voir cahier des charges) De saison en l’état ou transformés mais sous conditions de qualité et sans additifs (sucre, sel…) Financement à hauteur de 51% des frais engagés pour la distribution du fruit Accompagnement pédagogique : 1 séance par trimestre au minimum Sur 1 ou 2 ou 3 trimestres Inscription auprès de FAM

16 Le public cible en Auvergne
Les écoles maternelles et primaires : 1 401 écoles, réparties dans 852 communes élèves avec la répartition suivante entre public et privé : 1 263 écoles publiques avec élèves 138 écoles privées sous contrat avec élèves Les collèges du « Réseau Ambition Réussite » : 5 collèges dont 4 publics et 1 privé sous contrat 1 364 élèves Les lycées agricoles : 23 lycées agricoles dont 13 publics (3 087 élèves) et 10 privés à temps plein (1 056 élèves), soit au total élèves du niveau III au niveau VI Total : élèves

17 Les atouts identifiés Pour l’animation pédagogique :
Les lycées agricoles (circulaire DGER avec projets) Existence d’un verger conservatoire du CEPA (Conservatoire des Espaces et Paysages d’Auvergne) avec des animations pédagogiques biodiversité, goût, paysage, histoire locale, techniques d’arboriculture, à destination de divers publics (scolaires, grand public, professionnels)

18 Les freins identifiés (1/2)
Pour informer les structures - cibles La grande atomisation de la population En moyenne : 1,6 école/commune 87 élèves/école (82 /école publique, 138 /école privée)  nécessité de relais d’information ! Pour l’adhésion des communes quel intérêt et/ou conscience des enjeux de la thématique « alimentation-nutrition » des enfants ? difficulté d’organisation de l’approvisionnement en fruits ? coût restant à la charge de la commune ?

19 Les freins identifiés (2/2)
Pour l’adhésion des établissements lourdeur de l’organisation de la distribution ? mobilisation du projet d’école autour d’une autre thématique ? Réticences des enfants manque d’attractivité des fruits distribués ?  Pour la mise en œuvre de l’opération Faiblesse de la production locale de fruits

20 Actions du SRAL en 2009 Communication par deux méthodes complémentaires une information de masse par courrier toutes les communes de la région (MAP, puis Préfecture) les conseils généraux des 2 départements collèges RAR le rectorat et les inspections académiques les diocèses départementaux les 5 collèges RAR de la région tous les établissements d’enseignement agricole de la région les 3 associations de parents d’élèves et leurs représentations départementales une relance individuelle par mail + rappel téléphonique ciblés les communes actives dans le domaine « nutrition-santé - environnement » (PNNS, OMS, EPODE…) les 5 plus grosses communes de chaque département les communes inscrites pour l’année scolaire les communes qui se sont signalées auprès de FAM courant sans s’inscrire

21 Les projets pour 2009-2010 (1/2) Indicateurs au 14 septembre 2009 :
De l’ordre de élèves, soit 3% de la population cible 33 communes intéressées Communication Utiliser des relais d’information : Article dans les revues départementales des maires conférence de presse + reportage TV et/ou radio dans une école Renouveler l’information de masse avant date limite/trimestre Relancer individuellement les communes des zones à enjeu de consommation de fruit (obésité…)

22 Les projets pour (2/2) Accompagner les communes et établissements inscrits Réseau de communes et établissements Partage d’expérience Encourager les nouveaux inscrits Développer les accompagnements pédagogiques Encourager l’implication des lycées agricoles Organiser un approvisionnement des communes en fruits locaux et de bonne qualité gustative

23 + des actions facultatives associées
Soutenir la consommation de produits issus de l’Agriculture Biologique dans la restauration collective + des actions facultatives associées

24 Des réflexions multiples
Le contexte national Un mouvement de fond autour de la thématique Une politique nationale sur la « Bio » Grenelle de l’environnement Plan Bio Horizon 2012 Circulaire « exemplarité de l’Etat » : 20% de bio en 2012 Une demande des consommateurs Des acteurs institutionnels mobilisés Des réflexions multiples D’autres thématiques associées Plan « circuits courts » Recommandations GEMRCN : bientôt obligatoires ? Une crise financière

25 Le public cible en Auvergne
Pour 2009 (cf. circulaire indicateurs) Les restaurants administratifs du MAAP et ceux des établissements publics placés sous sa tutelle En Auvergne : 2 restaurants : DRAAF (gestion concédée) : 2,6% de produits Bio en 2007 EnitaC (gestion directe) : 1,9% des repas Bio en 2007 Pour 2010 : Élargissement aux 5 restaurants inter-administratifs ? (1 514 repas/j)

26 Des atouts en Auvergne (1/2)
Des collectivités territoriales conscientes des enjeux et impliquées dans une démarche globale : la Région, des départements, des communes Des aides : à l’agriculture bio, aux repas bio, à la structuration de la filière, aux actions de communication-formation- sensibilisation Des réflexions sur la qualité de la restau coll et l’approvisionnement local : ± avancées associant plusieurs partenaires Des formations des acteurs de la restau coll scolaire Des établissements scolaires pilotes  des compétences à valoriser Des entreprises privées de restauration collective intéressées

27 Des atouts en Auvergne (2/2)
Sur la Bio en RHD Un encadrement structuré de la Bio impliqué dans la RHD une interprofession Bio : Auvergne Biologique Une plate forme logistique spécialisée Bio en restau scolaire : Auvergne Bio Distribution Un pôle scientifique AB Massif Central : projet Bio en RHD Un centre de ressources : ABioDoc Quelques entreprises en fort développement bio  Une dynamique régionale avec une approche intégrée production – transformation – logistique – formation - consommation - sensibilisation

28 Des freins au dvpt de l’AB (1/3)
Le code des marchés publics : critère environnement (pour AB et local) ? Une offre en produits Bio régionaux à améliorer Coût élevé Insuffisante En volume En diversité Atomisée Parfois inadaptée à la demande N’apportant pas toujours les garanties exigées : sanitaires, hygiéniques, et de traçabilité

29 Des freins au dvpt de l’AB (2/3)
Un manque d’expérience et un besoin en formation des gestionnaires et cuisiniers sur le Bio et la nutrition-diététique Une explosion du coût des repas, impossible à assumer par la collectivité, et qui amène Soit à conclure à l’impossibilité économique du « bio » ; Soit à un déséquilibre nutritionnel des menus Une absence d’effet structurant sur la filière bio régionale Une mauvaise acceptabilité des plats par les usagers Un découragement ou un refus des cuisiniers devant la tâche de préparation des produits bruts. Un manque de sensibilisation des usagers sur le Bio Des difficultés organisationnelles différentes selon les usagers : élèves/personnel selon type de gestion : directe/concédée

30 Des freins au dvpt de l’AB (3/3)
Une contrainte réglementaire qui entrave la logistique des produits Des visions divergentes du développement de la Bio La demande du consommateur pour le Bio : absence de consensus et ambiguïté Un besoin de coordination dans les réflexions et les démarches d’organisation lancées tous azimuts

31 Actions du SRAL en 2009 Choix
Contacts et échanges élargis à la restau coll publique autres restaurants collectifs publics les trois principales sociétés de restauration prestataires collectivités territoriales Associer plusieurs thématiques au Bio Une démarche progressive d’introduction du Bio Des repas complets et/ou des ingrédients ? Constitution d’un groupe de travail « restauration collective : pour une alimentation Bio régulière, de saison et de proximité, et sur la base d’une démarche éducative » 1ère réunion le 10 septembre

32 Les actions à associer Structurer les filières biologiques (action 13.1 du plan national) améliorer l’offre alimentaire en restauration collective publique (action 9.2 du plan national) mettre en œuvre des actions pédagogiques en restauration scolaire visant à mieux choisir ses plats (action 9.3 du plan national) créer du lien entre producteurs et consommateurs (exemple : développement des circuits courts) (action 6 du plan national)

33 Projets du SRAL pour 2009-2010 Dans les 2 restaurants - cibles 2009 :
Organisation d’un repas Bio - test Sensibilisation des personnels de cuisine et des usagers, Étude de faisabilité d’augmentation de la fréquence des repas Pour l’ensemble des établissements de restauration collective publique Animation du Groupe de travail « restauration collective » Circulation d’information du travail national sur « Produits locaux en restauration collective et cadre juridique » Autres (nationale, des régions) Poursuite de la communication-sensibilisation Étude de faisabilité sur l’approvisionnement de proximité Recensement de l’offre et de la demande en produits locaux pour la RHD Identification des besoins en structuration de la commercialisation Proposition d’organisation

34 + actions du Plan Bio 2012 Les fiches-actions du plan Bio Horizon 2012 qui concourent aux objectifs structuration des filières Soutien à la plate forme Auvergne Bio Distribution (piloté par le Conseil Régional d’Auvergne) Projets de structuration de filières adaptées à la RHD (maraîchage, pain bio) Sensibilisation en restauration collective Développement d’outils pédagogiques Accompagnement pédagogique et sensibilisation en milieu scolaire Démarches de sensibilisation hors milieu scolaire

35 Aide alimentaire

36 Contexte institutionnel national de l’aide alimentaire
Le PEAD (plan européen d’aide aux plus démunis) mis en place par l’UE en 1987 Achat de produits par les associations caritatives pour redistribution Appels d’offres publics gérés par FranceAgrimer (« offices ») sur la base des demandes des associations désignées par le MAAP, et dans la limite du règlement PEAD En 2009, budget du PEAD de 78,9 millions d’€ 4 associations désignées par l’Etat : Banque Alimentaire (position particulière) : 41% Secours Populaire : 29% Restos du Cœur : 27% Croix Rouge Française (région parisienne): 3% Bientôt l’ANDES

37 Contexte institutionnel national de l’aide alimentaire
Des compléments apportés par : Le PNAA (plan national d’aide alimentaire) : Depuis 2004, conçu en complémentarité du PEAD géré par Min de la Ville et du Logement en 2008, 20 millions d’€, achat de fruits, légumes et produits carnés, poissons Aide publique = 40% Les aides en nature (initiatives locales) = 60% Les collectes La « ramasse » auprès des producteurs, entreprises, magasins

38 Actions Les thématiques du plan régional « offre alimentaire »
Faire connaître le plan européen d'aide aux plus démunis (PEAD) et son mode d'organisation en appels d'offre aux entreprises agroalimentaires ou compléter le dispositif par des aides en nature (action 14 du plan national) Développer des actions d’information aux bénéficiaires de l’aide alimentaire pour accompagner la distribution de fruits et de légumes (action 17 du plan national)

39 Des difficultés d’information
Chiffrage et caractérisation impossibles Des besoins Les bénéficiaires : effectif, caractéristiques, besoins… Mais en augmentation permanente et accélérée ! De l’offre actuelle Les produits distribués : volume, nature, origine, mode de distribution…

40 Des atouts Un approvisionnement et une logistique des produits satisfaisants Exploitation des différentes sources d’approvisionnement Compétences de la BA en logistique, hygiène alimentaire, maîtrise de la chaîne Existence d’une ramasse bien organisée Perception d’une amélioration de la quantité et de la diversité des produits Une dynamique autour de la conception de politiques publiques et de projets d’action Des outils de formation de formateurs et d’éducation alimentaire Une expérience (mitigée) d’ateliers-cuisines Une dynamique collective initiée entre trois associations

41 Un constat : 1 seule entreprise souscrit au PEAD en Auvergne !
Des freins au PEAD De la part des IAA Un constat : 1 seule entreprise souscrit au PEAD en Auvergne ! Aide alimentaire : mal ou pas connue Freins génériques nationaux à la souscription : Méconnaissance de la publication des appels d’offres Lourdeur administrative Garantie financière Taille trop réduite des IAA Potentiel de production trop faible Pas de main d’œuvre disponible Crainte de dégradation de leur image ?

42 Des freins aux dons en nature
Secteurs phares de l’AA avec peu ou pas d’invendus Diminution prévisible et observée des dons des entreprises Meilleure maîtrise des processus de fabrication Fin des quotas laitiers Implication très variable des GMS dans les dons (gamme de produits, volume, régularité) Selon les enseignes Selon les produits Selon les associations qui les sollicitent

43 Autres freins Les associations caritatives sont mobilisées par des difficultés de gestion des denrées du PEAD Capacité de stockage insuffisante Gestion complexité car atomisation des lieux de stockage et de distribution Absence de synchronisation entre livraisons et besoins Réglementation contraignante et difficile à respecter Dans un contexte d’augmentation importante de l’activité ! Un déficit en certains produits mais sans consensus Viande, poisson, fruits et légumes frais, huile, chocolat, café… Un découragement autour de l’accompagnement des bénéficiaires et de certaines associations

44 Diagnostic régional Des questions en suspens
Difficultés d’approvisionnement en denrées ? Types de produits ? En volume ? En régularité ? Sur certains territoires ? (ruraux) Difficultés de distribution ? Difficultés à faire accepter certains produits à certaines associations et bénéficiaires ? (produits bruts ?…) Accès à certains bénéficiaires et/ou sur certains territoires (ruraux) ?

45 Projets du SRAL en 2010 Augmenter les souscriptions au PEAD
Informer les entreprises sur le PEAD Étude de faisabilité d’une réponse collective (Projet URIAA, Bravo l’Auvergne ) Augmenter et améliorer la « ramasse » : Étude réalisée en août 2009 Renforcer les dons de la profession agricole (projet Enita Clermont) Optimiser la ramasse en GMS (projet Enita Clermont) Informer sur les avantages fiscaux par relais des experts- comptables Informer les enseignes (guide ANIA) Informer les associations caritatives des exigences de fonctionnement de la grande distribution expérimenter l’élargissement de la gamme de produits collectés

46 Projets du SRAL en 2010 (2/2) Opération pilote de potagers Bio en milieu rural par et pour les plus démunis à Chateldon Porteur : ANIS étoilé Jardin solidaire, dégustations créatives, repas de quartiers, ateliers-cuisines sur les légumes de saison, visites d’exploitations, formation maraîchage… Cible : personnes les plus démunies Organiser des ateliers-cuisine avec chef étoilé Porteur : le Secours Populaire 63 Projets des lycées agricoles À venir (circulaire DGER)

47 « être à l’écoute du consommateur et répondre à son besoin d’information » (action n°18)

48 L’objectif national pour les régions
Etre à l'écoute du consommateur et répondre à son besoin d'information (action 18 du plan national) Objectif : Informer sur l’alimentation un moyen pour limiter les idées reçues, par temps de crise : limiter les réactions disproportionnées au regard des risques réellement encourus Moyen : mettre en place des actions régulières d’information des consommateurs sur tous les sujets relatifs à l’alimentation en utilisant l’expertise des DRAAF, des directions départementales etc...

49 L’objectif national pour les régions
Actions facultatives à rapprocher : Soutenir les actions pédagogiques à destination des enfants sur le rôle culturel et convivial de l’alimentation (action 7 du plan national) Créer du lien entre producteurs et consommateurs (action 6 du plan national) promouvoir auprès des consommateurs les savoir-faire des agriculteurs, les produits de terroirs et les traditions culinaires les former au goût et à la diversité des produits, informer sur les différents modes de production agricoles Renforcer les actions de promotion sur les signes de qualité (action 5.3 du plan national)

50 Des questions Quels sont les besoins d’information du consommateur ?
Sur quelles thématiques ? Caractéristiques des produits : production, transformation, commercialisation ?… Comment les connaître ? comportement du consommateur : achat, consommation, réactions Existence de spécificités ? géographiques : France, Auvergne, locales ? Selon les caractéristiques de la population ? Comment y répondre ? Les « lieux » d’information les méthodes Les outils Les acteurs

51 Population auvergnate : caractéristiques
Population réduite et atomisée : hab = 2,2% de la pop française faible densité moyenne : 51 hab/km² Très inégalement dispersée sur le territoire 78 hab/km² dans le Puy De Dôme mais 26 hab/km² dans le Cantal ! Population supposée à risque alimentaire Des revenus plus faibles que la moyenne nationale Une population plus âgée Des problèmes d’accessibilité géographique : dispersion + difficultés de déplacement Surmortalité liées aux MCV, cancer Relations avec l’alimentation

52 Principes de travail choisis
Identifier les besoins d’information s’appuyer sur les structures compétentes et expérimentées Les « lieux » d’information du consommateur Inscrire les actions de communication dans le cadre d’événementiels existants Relais de communication Rencontres de partenaires et de réseaux Communication institutionnelle possible Les méthodes Privilégier la communication auprès de relais démultiplication Les outils Utiliser les outils de communication existants Valoriser les outils peu onéreux (Internet, mail) Les acteurs Impliquer les acteurs existants Les associations, les interprofessions les établissements d’enseignement (Educ nationale et Agriculture)

53 Projets du SRAL pour 2010 Poursuite du diagnostic
Recensements divers : Événementiels, médias, outils, acteurs, actions Les cuisines pédagogiques utilisables en Auvergne Evénémentiels Foire de Clermont-Cournon Complémentaire de « la ferme du Massif » Ateliers cuisine et dégustation Autres

54 Porteurs de projets : propositions
Formation et information de relais CREEA (Comité Régional Education Environnement Auvergne : formation-action sur le montage d’actions éducatives autour de l’alimentation, prenant en compte les enjeux en termes de santé, d’environnement, de choix de consommation…

55 Porteurs de projets : propositions
Formation et information de relais (suite) ANIS étoilé (Agriculture – Nutrition – Interculturel – Solidarité) : Informer, sensibiliser et accompagner les acteurs locaux de 3 sites pilotes dans le PNR du LF pour la mise en place de pratiques alimentaires durables sur un territoire ( ) « vers un système alimentaire durable, pour une restauration scolaire communale qui protège la planète » Journées d’échanges pédagogiques pour les personnels de restaurants communaux sur le PNRLV et création d’un réseau de restaurants communaux engagés dans une démarche d’alimentation durable « voyage en terre de saveurs – découverte de la biodiversité cultivée en Auvergne » : mutualisation d’outils pédagogiques sur le thème de l’alimentation et développement durable avec une entrée régionale spécifique à travers le site Internet ( )

56 Porteurs de projets : propositions
Événementiels - animations ANIS étoilé (Agriculture – Nutrition – Interculturel – Solidarité) : « ciné-débats-buffet : du champ à l’assiette – dégustations gourmandes biologiques et locales » dans le PNRLV (Cible = grand public) ( ) « à l’école des petits artistes de la table » 3 ateliers cuisine/ an/école dans 4 écoles pilotes, rencontre avec des professionnels locaux, recettes ancestrales

57 Porteurs de projets : propositions
Projet de développement (recherche-action) ANIS étoilé « du jardin à la table, des enfants aux familles : une expérience pilote avec la ville de Chateldon » Cible : enfants des écoles et leurs parents, séniors, jardiniers amateurs, élus ( )

58 Autres actions En cours de diagnostic

59 Autres actions (1) Créer du lien entre producteurs et consommateurs
Les atouts Des recensements de circuits courts en cours Mobilisation de certaines collectivités territoriales (CG, PNR…) Des actions sur les circuits courts Bio Les freins Offre insuffisante et inadaptée à l’approvisionnement de la RHD Projets Poursuite des recensements en cours Mise à disposition Projets des Lycées agricoles : à venir (circulaire DGER)

60 Autres actions (2) Inciter et accompagner les entreprises agroalimentaires à s’engager dans les Chartes d’engagement de progrès nutritionnel Les atouts Des acteurs et des compétences pour accompagner des démarches collectives Un guide nutritionnel des produits d’Auvergne à destination des professionnels Les freins Des IAA atomisées et difficiles à mobiliser sur des actions collectives Des produits phares peu conformes aux recommandations nutritionnelles du PNNS La nutrition-santé : pas perçue comme un enjeu par les IAA Les projets Un dossier technique réalisé en 2009 : atouts et freins (Enita C) Projets des Lycées agricoles : à venir (circulaire DGER)


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