La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Les couleurs, l’année, les objets…

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Les couleurs, l’année, les objets…"— Transcription de la présentation:

1 Les couleurs, l’année, les objets…
Découvrir la messe… Les couleurs, l’année, les objets…

2 L’année liturgique

3 Les couleurs liturgiques
Vert, couleur de la nature qui pousse au printemps  Toi qui vis dans la nature, toi qui observes, tu sais bien qu’il faut du temps pour qu’une plante grandisse, qu’à la sortie de l’hiver elle n’est souvent qu’une petite pousse, et que les couleurs de la fleur ne viendront qu’après le temps des tiges et des feuilles vertes. Tu sais aussi qu’on ne voit pas pousser les tiges chaque jour, mais que vient un moment où on se rend compte qu’elles sont hautes et que les boutons sont prêts à éclore…Dans l’Église, ce temps où nous grandissons dans la foi, petit à petit, c’est le temps liturgique « ordinaire ».

4 Les couleurs liturgiques
Vert, couleur de la nature qui pousse au printemps  On distingue : le temps des grands mystères du salut (Noël, Pâques,…), et le temps « ordinaire », qui n’est pas banal pour autant. Lorsque tu vois le prêtre revêtu de vert, pense que c’est chaque jour, dans le silence et dans la discrétion, que tu dois grandir : par la prière, par la lecture de la Bible, par ton travail fait consciencieusement, par toute ta vie. 

5 Les couleurs liturgiques
Violet   Le violet, couleur sombre, exprime une certaine austérité. L’Église a choisi cette couleur pour les temps d’attente, de conversion, de pénitence : l’Avent, qui précède Noël, le Carême, qui prépare Pâques, le sacrement de réconciliation, les messes pour les défunts.

6 Les couleurs liturgiques
Quand tu vois le prêtre en violet, tu te rappelles que Jésus était attendu par tout un peuple, les juifs. Les prophètes avaient promis sa venue, et tous attendaient le grand roi qui les libérerait… Et toi, demandes-tu à Dieu que le Christ vienne « établir son règne dans toute ta vie et dans le monde qui t’entoure » ? Travailles-tu à cela ? Ou l’oublies-tu trop souvent ?

7 Les couleurs liturgiques
Rouge, couleur du sang, couleur du feu, de l’amour  Le sang, c’est la vie : C’est par le Sang du Christ que nous sommes sauvés, c’est par le don de leur sang que les martyrs témoignent, mais l’amour aussi est essentiel pour la vie, nous avons tous besoin d’être aimés, et d’aimer, pour que la vie « en vaille la peine », l’amour qui unit le Père et le Fils, c’est l’Esprit Saint. Le prêtre se vêtira de rouge : pour le dimanche de la Passion, et le Vendredi Saint, les jours de la fête d’un martyr, à la Pentecôte, aux messes de l’Esprit Saint.

8 Les couleurs liturgiques
Lorsque tu vois ce rouge, remercie Jésus pour son sang versé, qui te donne part à la Vie de Dieu. Remercie tous ceux qui sont morts pour que la foi soit transmise. Et demande à l’Esprit Saint de t’aider à croire vraiment, à annoncer la Bonne Nouvelle. Qu’il te donne la force de la dire, cette Bonne Nouvelle, de la vivre déjà toi-même, malgré les ricanements des autres… 

9 Les couleurs liturgiques
Blanc, couleur de la Résurrection, couleur de la Gloire de Dieu  Peu de temps avant de mourir, Jésus s’est montré à trois apôtres revêtu d’un vêtement blanc éblouissant, avec une étrange lumière qui rayonnait, semblant venir d’au dedans de lui : c’est la Transfiguration (Marc 8). Jésus montrait à ses apôtres ce que serait sa gloire dans le ciel. Jean, l’Évangéliste, a vu lui aussi des hommes habillés d’un blanc éblouissant : tous ceux qui vivent clans le Royaume de Dieu, et partagent sa gloire (Apocalypse 7). Toute l’Église est décorée de blanc pour les grandes fêtes : Pâques, bien sûr, la première des fêtes, et tout le temps Pascal, Noël, et le temps de Noël les autres fêtes de Notre Seigneur, de la Sainte Trinité, la Toussaint, pour un baptême, un mariage, les fêtes de Notre-Dame, des anges, des saints et saintes non martyrs.

10 Les couleurs liturgiques
Mais, c’est a chaque messe que le prêtre nous rappelle que nous aussi, un jour, nous serons habillés de blanc dans le Royaume (n’est-ce pas cela, le plus important à savoir ?). Il met toujours une aube blanche sous l’étole et la chasuble de couleur… Et toi, n’oublie pas que le vêtement blanc de ton baptême est un signe de ce vêtement de sainteté que tu porteras un jour. À toi de le garder pur : le sang du Christ le purifie chaque fois que tu reviens vers Dieu de tout ton cœur, dans le sacrement de réconciliation, pour ce moment où tu paraîtras devant Dieu… pour te réjouir enfin, éternellement, avec Lui.

11 Les objets liturgiques
Le Ciboire vase sacré en forme de grande coupe couverte contenant la réserve eucharistique au tabernacle.

12 Les objets liturgiques
La coupelle Elle reçoit également les hosties.

13 Les objets liturgiques
Le Calice vase sacré le plus précieux puisque c'est la coupe qui reçoit le Sang du Christ.

14 Les objets liturgiques
La patène vase sacré en forme de petite assiette où repose l'hostie consacrée durant la messe.

15 Les objets liturgiques
La clochette elle peut être utilisée dans les grandes églises pour avertir l'assemblée, si elle ne voit pas le sanctuaire, des différents moments de la messe et invite à l'adoration au moment de l'élévation.

16 Les objets liturgiques
Les burettes petits récipients qui contiennent de l'eau et le vin. On les pose sur un plateau et elles sont présentées aux prêtres à l'offertoire.

17 Les objets liturgiques
Le Cierge Pascal il est placé dans le chœur, de la nuit Pascale à la Pentecôte. Plus imposant que tous les autres, il est le signe du Christ ressuscité.

18 Les objets liturgiques
Les chandeliers de procession ils sont tenus par deux jeunes lors des processions. Ces jeunes entourent la proclamation de l'Évangile.

19 Les objets liturgiques
L’ostensoir vase sacré en forme de grand soleil pour présenter l'hostie consacrée à l'adoration des fidèles.

20 Les objets liturgiques
Le bénitier et le goupillon le bénitier est un petit seau en métal qui contient l'eau bénite. Le goupillon est utilisé pour asperger avec cette eau.

21 Structure d’une célébration eucharistique
Quatre temps principaux la composent 1. la liturgie du rassemblement autrement nommée la liturgie de l'accueil 2. la liturgie de la parole 3. la liturgie de l'Eucharistie 4. la liturgie de l'envoi Voici quelques point importants sur chacune de ces étapes

22 1. La liturgie du rassemblement
Sa fonction principale est d'y accueillir les fidèles. De dispersés aux quatre coins d'une paroisse ou d'une ville, les chrétiens se rassemblent tous en un même lieu au nom du Seigneur. Dans une célébration, de nombreux signes permettent de manifester cette notion d'accueil : la lumière, la décoration ou encore la musique Le prêtre accueille les fidèles au nom du Seigneur, puis il les invite à reconnaître leurs péchés, et à demander pardon.

23 2. La liturgie de la Parole
Dans cette étape, les fidèles sont invités à écouter la Parole du Seigneur, qui est proclamée. Les fidèles non seulement écoutent la Parole du Seigneur à son Peuple (au cours des lectures, et de l'évangile), mais lui répondent aussi, grâce à l'Homélie, le profession de foi, et la Prière universelle.

24 3. La liturgie de l'Eucharistie
Les fidèles y célèbrent le corps du Christ accueilli, ainsi que le Corps du Christ partagé. Les Chrétiens font mémoire du Christ mort et ressuscité et prennent à sa suite le chemin de l'amour de Dieu et de son prochain. Les Chrétiens, au cours de la prière eucharistique, acclament Dieu et le remercient pour Jésus Christ, qui est venu pour nous. Le Notre Père est la prière au cours de laquelle nous présentons à Dieu, et en toute confiance, nos joies, nos peines, et nos espoirs. Nous prions aussi pour la paix (et parfois échangeons des gestes de paix), et communions au corps du Christ.

25 4. La liturgie de l'Envoi les Chrétiens, après s'être nourri de la Parole et du Corps du Christ, sont invités à repartir dans leur vie quotidienne, pour annoncer et témoigner auprès de tous et en tous lieux de l'amour de Dieu pour tous les hommes.

26 Revenons un peu en détail…

27 La célébration de la Messe
La célébration de la Messe est au cœur de la vie de l'Église. C'est elle qui construit l'Église, en la nourrissant du corps du Christ, jour après jour, jusqu'à ce qu'Il vienne. Elle est pour l'Église « le signe de l'unité et le lien de la charité » (S. Augustin). Elle en constitue aussi l'épiphanie, la manifestation. Celle-ci atteint sa plénitude dans la Messe concélébrée par l'évêque avec les prêtres. Regarder le peuple des baptisés rassemblé autour du prêtre dans la diversité de ses ministères pour écouter la Parole et participer à la table du Seigneur, c'est découvrir ce qu'est l'Église dans le plan de Dieu.

28 La messe du dimanche… L'assemblée eucharistique du dimanche est la révélation par excellence du mystère de l'Église. Elle réunit les multiples composantes du peuple de Dieu au jour du Seigneur, Jour du Christ établi Seigneur par sa résurrection d'entre les morts, le dimanche est le jour des chrétiens, le jour de l'Église. C'est dans la Messe dominicale que les phases successives de la célébration du repas du Seigneur reçoivent tout leur déploiement.

29 Le rassemblement des chrétiens
se réalise autour du prêtre. Celui-ci priera au nom du peuple auquel il appartient. Avec le peuple, il écoutera la lecture de la Parole, mais il présidera et il bénira au nom du Christ, il enseignera en son nom, le Christ renouvellera par le ministère du prêtre le changement du pain et du vin en son corps et en son sang.

30 La proclamation de la Parole de Dieu
Elle a précédé très tôt la célébration de l'Eucharistie. La table de la Parole prépare à la table du Sacrement. La liturgie se conforme ainsi à l'enseignement de Jésus dans son discours de Capharnaüm, où il se présente comme le pain de la vie. Le Seigneur nous invite à manger ce pain dans la foi avant d'y communier dans le sacrement. Annoncée par le lecteur et le diacre, acclamée par le peuple, la Parole est expliquée à l'assemblée et insérée dans sa vie par l'homélie du prêtre. Tous peuvent alors proclamer leur foi et prier pour les besoins de l'Église et du monde.

31 Le repas du Seigneur L’offertoire : La prière eucharistique
Pour le repas du Seigneur le prêtre accède à l'autel. Que l'on a recouvert d'une nappe, entouré de lumières, paré de fleurs. Car l'Eucharistie est une fête. Des membres de l'assemblée apportent alors le pain et le vin, ainsi que l' eau, avec les offrandes destinées aux divers services de la communauté. La prière eucharistique C’est à la fois action de grâce et invocation. C'est dans le formulaire IV que son mouvement se développe avec le plus de clarté. L' action de grâce monte d' abord vers Dieu le Père pour célébrer gratuitement sa gloire en union avec les anges. Le peuple s'y associe dans le chant du Sanctus. L'action de grâce continue dans l' évocation de la création de l'homme, de la chute et du salut apporté par le Christ, dont toute l'œuvre rédemptrice est évoquée, de son incarnation à la Pentecôte. Vient alors la demande d'envoi du Saint-Esprit, pour qu'il transforme le pain et le vin au corps et au sang du Seigneur. Le prêtre redit ensuite les paroles de Jésus lors du dernier repas, puis il présente le corps et le sang du Seigneur à l'adoration de l' assemblée, qui proclame le mystère de la foi. Le prêtre fait à son tour mémoire de la mort et de la résurrection du Christ et il offre le sacrifice à Dieu au nom de tous. Il invoque ensuite à nouveau la venue de l'Esprit, demandant cette fois qu'il réunisse en un seul corps ecclésial ceux qui vont communier au corps et au sang du Seigneur. Une prière d'intercession, évoquant tour à tour la portion pérégrinant de l'Église et celle qui est déjà entrée dans le monde invisible, précède la grande acclamation trinitaire : Par le Christ, avec lui et , en lui, que le peuple ratifie de son Amen.

32 Communion et envoi Le chant du Notre père, suivi du geste exprimant l' amitié fraternelle des membres de l' assemblée, prépare à la communion. Celle-ci comporte d'abord la fraction du pain, par laquelle le prêtre renouvelle le geste de Jésus, puis les fidèles se dirigent en procession vers l' autel pour communier, après le prêtre, au corps du Christ et, si possible, boire à la coupe de son sang. Le diacre aide le prêtre à donner la communion. En son absence, des laïcs, femmes ou hommes, peuvent le faire. Après une dernière prière, la bénédiction du prêtre accompagne le renvoi.

33 Le sens de notre communion…
La communion qui a été comprise pour beaucoup comme l’acte de recevoir le Corps du Christ au cours ou en-dehors d’une messe. Or la communion n’a de sens que située dans l’Eucharistie. Au lieu de parler de la Communion comme une chose à faire, nous parlons donc de la célébration du Sacrement de l’Eucharistie qui nous révèle le mystère de la vie même de Jésus. « La veille de sa mort, pour montrer à ses amis combien il les aime, Jésus veut partager un dernier repas avec eux. Au cours de ce repas, il prend un morceau de pain, le bénit, le partage et le leur donne en disant : « Prenez et mangez-en tous, ceci est mon corps livré pour vous. » Ce dernier repas de Jésus est à l’origine de ce que les chrétiens appellent la messe, la célébration de l’eucharistie.

34 L’eucharistie… L’eucharistie est un sacrement. Pour les chrétiens, c’est une vraie rencontre avec Jésus-Christ. Le pain et le vin sont le signe de la présence du Christ, de sa vie donnée pour tous. A travers le pain et le vin, corps et sang du Christ, ils reçoivent la vie même de Jésus ressuscité. Au cours de la messe, le prêtre prend le pain et le vin et redit les paroles même de Jésus : « Prenez et mangez-en tous, ceci est mon corps livré pour vous. » « Prenez et buvez-en tous, ceci est mon sang versé pour vous. » Les yeux voient une hostie, un morceau de pain, mais le cœur sait que tout l’amour de Jésus s’est emparé de ce pain, pour que Jésus vienne habiter en celui qui le reçoit et le fasse vivre de sa vie.

35 « Faites ceci en mémoire de moi… »
On Quand on retient bien ses leçons, on dit qu'on a une bonne mémoire. Mais Jésus ne parle pas du tout de la même mémoire. Il ne s’agit pas ici de se souvenir de ce qu’a fait Jésus, il y a deux mille ans ; il s’agit de rendre Jésus présent, lui qui est vivant aujourd’hui et pour toujours. Dans l’eucharistie, Jésus est présent : il est là, bien vivant. On ne le voit pas car il n’a pas un corps comme le nôtre, mais, du fond du cœur, dans la foi, les chrétiens croient qu’il est au milieu d’eux.

36 Avec les autres… Communier, cela veut dire être en union avec les autres. Le chrétien ne reste pas seul avec Jésus dans son cœur. La communion l'invite à aller à la rencontre des autres, à partager avec eux cet immense Amour de Jésus, à donner sa vie comme Jésus. Un chrétien a besoin de cette nourriture, de cette vie de Jésus en lui pour avancer sur la route ; il peut recevoir ce sacrement de l'eucharistie aussi souvent qu'il le souhaite, tous les jours s'il le veut, puisque, chaque jour, les prêtres disent la messe.

37 Communier, c’est… partager avec des frères, faire confiance,
ouvrir son cœur, recevoir Jésus et devenir corps du Christ, se donner à lui et aux autres, partir en mission pour sire sa joie d’être chrétien, retrousser ses manches pour changer les choses : faire taire les mensonges, la violence, faire reculer l’injustice, la pauvreté. Un chrétien qui a communié doit se demander ce qu’il peut faire dans son quartier, son travail, sa famille, etc. pour que Jésus ait toujours davantage sa place. »

38 Communier… Quand tu t’approches de l’Eucharistie,
fais de ta main gauche un trône pour ta main droite, puisque celle-ci doit recevoir le Roi et, dans le creux de ta main, reçois le Corps du Christ, en disant : Amen Cyrille de Jérusalem (IV° siècle)


Télécharger ppt "Les couleurs, l’année, les objets…"

Présentations similaires


Annonces Google