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(1) Guillaume Pitel - 17/09/2004 La notion de construction située pour un modèle d'interprétation et de traitement de la référence pour le dialogue finalisé

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Présentation au sujet: "(1) Guillaume Pitel - 17/09/2004 La notion de construction située pour un modèle d'interprétation et de traitement de la référence pour le dialogue finalisé"— Transcription de la présentation:

1 (1) Guillaume Pitel - 17/09/2004 La notion de construction située pour un modèle d'interprétation et de traitement de la référence pour le dialogue finalisé MICO Thèse effectuée sous la direction de Jean-Paul Sansonnet au LIMSI-CNRS

2 (2) Guillaume Pitel - 17/09/2004 Sommaire I.Cadre : Dialogue finalisé et référence II.Modèle de résolution fonctionnelle de la référence III.Modèle d'interprétation constructionnelle IV.Conclusion : Perspectives de recherche

3 (3) Guillaume Pitel - 17/09/2004 Sommaire I.Cadre : Dialogue finalisé et référence II.Modèle de résolution fonctionnelle de la référence I.Imprécision et relativité dans la référence concrète II.Représentation unifiée des prédicats référentiels extracteurs de référence III.Mise en œuvre III.Modèle d'interprétation constructionnelle IV.Conclusion : Perspectives de recherche

4 (4) Guillaume Pitel - 17/09/2004 Sommaire I.Cadre : Dialogue finalisé et référence II.Modèle de résolution fonctionnelle de la référence III.Modèle d'interprétation constructionnelle I.Aspects topologiques et modèles linguistiques II.Théorie des points de vue III.Modèle d'interprétation constructionnelle IV.Conclusion : Perspectives de recherche

5 (5) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé

6 (6) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé Acteurs du dialogue finalisé – un humain – un ordinateur exécutant une ou plusieurs applications (messagerie électronique) Caractéristiques – un nombre fini de tâches possibles (envoyer message, chercher message, + sous-tâches) – un domaine fini (texte/mise en forme, fichiers, messagerie)

7 (7) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé - messagerie

8 (8) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé – Pourquoi faire ? Limites des interfaces actuelles : – choix entre plus de fonctions ou plus d'ergonomie – nécessite une formation – multiplication des applications disponibles Intégration de fonctions d'assistance – anticipation des objectifs de l'utilisateur – utilisation des capacités combinées de plusieurs applications

9 (9) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-1. Dialogue finalisé – Comment ? Limites des approches modulaires : – hétérogénéité des principes qui dirigent les modules – difficile à faire évoluer – réutilisabilité partielle uniquement Direction choisie – approche unifiée, reposant sur un principe unique – modèle d'exécution fondé sur les systèmes de production associés à des contraintes

10 (10) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Références objets concrets – Messages (les derniers messages de X) – X = Expéditeur (chef) Références objets linguistiques – Destinataire (lui) Transfère-lui les derniers messages du chef Stéphanie reçoit un courrier de Sarkis où il pose une question....

11 (11) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Le dernier : facile Les derniers ? – de la journée ? – de la semaine ? – les 5 derniers ? Transfère-lui les derniers messages du chef Stéphanie reçoit un courrier de Sarkis où il pose une question....

12 (12) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Autres dimensions de référence – Temporelle : pendant les vacances, avant le 7 juin, – Spatiale : au-dessus de, à côté, au-dessus à droite de, – Autres : avec moins de destinataires, beaucoup plus petit.

13 (13) Guillaume Pitel - 17/09/2004 I-2. Référence et dialogue Prise en compte de ces dimensions – Soit dans des modules ad hoc : Approche Modulaire [Trains, DenK, SmartKom] Modules hétérogènes, communication difficile, Phénomènes transversaux impossibles à modéliser, – Soit différentes structures de l'information gérées par principe unique : Approche Unifiée [Soar] Difficile de trouver le principe adapté à tous les problèmes, Difficile d'implémenter toutes les approches dans ce principe

14 (14) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-1. Résolution de la référence concrète Référence concrète dépend de – rôle de l'imprécision (couleurs, formes), – rôle des prédicats relationnels (taille, position), – représentation des entités référençables, Caractéristiques courantes – distinctions entre prédicats sur caractères typologiques, intrinsèques ou relationnels, – les expressions référentielles ont une extension

15 (15) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-1. Résolution de la référence concrète Cas de la référence spatiale « le rond le plus à droite de X »

16 (16) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-1. Résolution de la référence concrète Extracteurs – rôle d'un prédicat participant à la sélection des entités, – s'oppose au rôle de producteur ou d'opérateur de reconnaissance. Exemples – Donne-moi le crayon blanc : extracteurs, – Dessine-moi un mouton noir : producteurs, – Est-ce que cet animal est un chat : opérateur de reconnaissance.

17 (17) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Catégories d'extracteurs Typologie courante pour les prédicats dans les ER: Typologiques – concernent le type de l'entité cible, – généralement lié à un nom. Intrinsèques – concernent une caractéristique propre à l'entité cible, – accède uniquement à la représentation de l'entité. Relationnels – concernent au moins deux entités, – nécessitent d'accéder à une représentation de niveau supérieur.

18 (18) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Cas limites : les extracteurs ont le même comportement. Typologiques – les formes non parfaites sont catégorisées en fonction du contexte. les extracteurs typologiques peuvent être relationnels. Contexte AContexte B Efface le carré

19 (19) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Extracteurs Intrinsèques – dans certains contextes les couleurs sont associées différemment. les extracteurs intrinsèques peuvent être relationnels, phénomène de groupement non spatial tri des entités sur une échelle continue. Contexte AContexte B Choisis les carrés rouges

20 (20) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Conclusion : Méthode logique prédicative insuffisante prédicats référentiels relationnels - grand(x) : évidemment inapplicable sauf cas exceptionnel, intrinsèques - rouge(x) : apparemment applicable, mais en réalité permet seulement de représenter le rôle d'opérateur de reconnaissance, typologiques - carré(x) : apparemment applicable, mais présuppose la perfection des catégories.

21 (21) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs La représentation des entités par une approche prédicative, et la résolution de la référence par cette même approche, ne fonctionne que dans des cas très restreints. les cas imprécis ou relationnels doivent être traités de manière ad hoc, dans des modules hétérogènes approche non générique

22 (22) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-2. Point de vue unifié sur les extracteurs Cas général et cas particuliers – le cas général pour tous les extracteurs semble être le type relationnel – cas particuliers : normes (carré parfait, couleur parfaite, taille de certaines entités) et leurs variations inter-personnelles Il faut trouver un modèle général pour les extracteurs relationnels et ensuite intégrer les cas particuliers des autres extracteurs

23 (23) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution S'appuie sur Domaines de Référence – [Corblin, Reboul, Salmon-Alt] Fondé sur une fonction de comparaison – la base de la représentation des extracteurs est une fonction de comparaison entre deux éléments. – la fonction est propre à l'extracteur, mais peut être composée à partir d'une autre (petit = inverse grand) insuffisant pour répondre à les X ou des X insuffisant pour répondre à tous les X car il faut exclure les éléments hors-jeu

24 (24) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Fonctions de partitionnement – à chaque extracteur une fonction de partitionnement : possibles/impossibles préférés/possibles Etapes de la résolution – tri – partitionnement possibles/impossibles – partitionnement préférés/possibles

25 (25) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Résolution – Extensionnelle (la liste des candidats) – Concrète (ne s'applique pas à des lambdas) – Fonctionnelle (fondé sur trois fonctions) – Différentielle (fonction de tri d'arité 2)

26 (26) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Schéma d'exécution d'un extracteur Liste des éléments Etapes pour calculer l'action de l'extracteur « carré » Tri 1.00.80.90.01.0 Partition possibles/impossibles 1.00.80.9 0.0 1.0 Partition préférés/possibles 1.00.80.90.01.0

27 (27) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II-3. Modèle de résolution Schéma d'exécution d'une expression référentielle contexte trié / carré contexte partitionné _1/ carré contexte partitionné _2/ carré contexte trié / grand contexte partitionné _1/ grand contexte partitionné _2/ grand Ce que voit l'utilisateur

28 (28) Guillaume Pitel - 17/09/2004 II. Conclusion Mise en œuvre du modèle de résolution – Architecture d'interprétation support des topologies (surtout pour les extracteurs spatiaux et temporels), support de différentes modalités, support d'une grammaire, support des schémas cognitifs. – Modèle d'exécution Impossible avec une grammaire hors-contexte, approches alternatives : systèmes de production.

29 (29) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Modèle d'interprétation constructionnelle

30 (30) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Fondations Modèle intégrant langue et topologie Topologie – Logiques temporelles/spatiales [Allen, Ligozat] – Espaces Mentaux [Fauconnier, Turner] – Domaines de Référence [Corblin, Reboul, Salmon-Alt] Langue – Grammaire Cognitive [Langacker] – Grammaire de Construction [Fillmore, Kay] – Gr. Construction Incarnée [Chang, Bergen]

31 (31) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux

32 (32) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux Description des relations entre différents rôles d'une même entité – Structure les entités en différents espaces Dans ce film, Clint Eastwood joue un traître... le film Hollywood Acteur(Clint Eastwood) Rôle(traître)

33 (33) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux... Il a eu un oscar pour ce rôle le film Hollywood Acteur(Clint Eastwood) Rôle(traître)

34 (34) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Espaces Mentaux... Il se met toute la mafia sur le dos le film Hollywood Acteur(Clint Eastwood) Rôle(traître)

35 (35) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction

36 (36) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Principes de base – aucune distinction syntaxe/sémantique, – deux pôles : forme et sens, – construction : ce qui relie une forme donnée à son effet dans le pôle sens. Grammaire de Construction Incarnée – inclut les espaces mentaux – prolonge l'interprétation par une simulation mentale dynamique du sens

37 (37) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Principes de base – aucune distinction syntaxe/sémantique, – deux pôles : forme et sens (structures contenant des schémas pouvant représenter des schémas mentaux de la grammaire cognitive), – construction : ce qui relie une forme donnée à son effet dans le pôle sens. – forme : décrite par des contraintes sur les schémas

38 (38) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Grammaire de Construction Incarnée – inclut les espaces mentaux, – prolonge l'interprétation par une simulation mentale dynamique du sens, – quatre concepts : Schémas Construction Appariement Espace mental

39 (39) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Exemple : construction ditransitive – en anglais : Lih Juang bake Michael a cake, – la forme [ qqu'un VB qqu'un qqchose ] est porteuse du sens de donner, – cette relation est vraie pour un très grand nombre de verbes qui ne sont pas en soit porteurs du sens donner – on ne peut donc pas inscrire ce sens dans le lexique, ni prévoir un cas particulier pour chaque verbe.

40 (40) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction FormeSens Constructions Grammaire de Construction [Fillmore, Kay] Grammaire de Construction Incarnée [Chang, Bergen] FormeSens Constructions Espaces Mentaux Appariements

41 (41) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Objectif Forme linguistique Sens Forme visuelleForme temporelle

42 (42) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-1. Grammaire de Construction Moyens –espaces structurant l'information avec des informations d'ordre topologique, –constructions capables de décrire les formes dans ces espaces, – pas de distinction entre pôles forme et pôle sens / espaces mentaux.

43 (43) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue

44 (44) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Origine – référence à différents aspects d'une même entité, – inadéquation de l'héritage pour certains concepts. Méthode – définition d'une représentation d'une entité – définition des concepts et des relations entre eux

45 (45) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Référence à différents aspects – un tableau Point de vue matrice Point de vue suite de lignes Point de vue suite de colonnes

46 (46) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue – un cercle Point de vue centre + rayon Point de vue diamètre Point de vue cercle circonscrit centre rayon p1 p2 p1 p3

47 (47) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Inadéquation de l'héritage figure géométrique rectangle carré est-un

48 (48) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue – figure géométrique : déformable librement figure géométrique rectangle carré est-un Déformation : x : 100% y: 150%

49 (49) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Problème : – figure géométrique : non déformable librement ? ou – carré : pas une figure géométrique ? Solutions possibles : – un concept objet déformable librement – des cas particuliers non hérités (hors paradigme)

50 (50) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Autre solution : TPV – concepts : pas de structuration relationnelle statique – relations : transitions dynamique dépendantes du contexte Implication – carré est un point de vue sur une entité, – rectangle Peut Etre Vu comme un carré si H=L – Points de Vue non attachés aux entités, établis dynamiquement en fonction du contexte.

51 (51) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Théorie des points de vue Types bas niveau Points de vue Transitions FigRect2D.Double Rectangle Carré RectangleCarré si H=L RectangleCarré FigRect2D.Double Rectangle

52 (52) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-2. Conclusion Points principaux – Peut Etre Vu : pas une relation entre concepts, résumé de l'action d'une transition – pas d'héritage Remarques – a priori inadapté à la programmation, – mais plus proche de l'intuition, – encore plus lourd que les ontologies... – mais plus expressif

53 (53) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Modèle d'Interprétation Constructionnelle

54 (54) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC Schémas – Types et Points de vue – Attributs typés – Contraintes sur attributs

55 (55) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC Contextes – Espaces Mentaux, Domaines de Référence, Modèles logiques, Topologies Définis par – Lieux – Relations – Opérations

56 (56) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC Constructions Situées (S-Construction) – Composants, – Contraintes structurelles, – Contraintes contenu. Caractéristiques – liaison entre une forme répartie sur plusieurs contextes, et un sens qui peut l'être aussi, – transition de point de vue, – appariements.

57 (57) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Composants du MIC

58 (58) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. Fonctionnement général

59 (59) Guillaume Pitel - 17/09/2004 III-3. MIC: conclusion Modèle capable de supporter – Systèmes de production [Newell, Anderson], – Grammaires de Constructions [Fillmore, Kay], – Espace Mentaux [Fauconnier], – Domaines de Référence [Corblin, Reboul, Salmon- Alt], – Ontologie Active - Théorie des points de vue Modèle de résolution implémenté dans MIC Architecture logicielle : MICO

60 (60) Guillaume Pitel - 17/09/2004 IV. Conclusion Modèle de résolution de la référence – références plurielles – prédicats vagues / relationnels Approche de la représentation par points de vue – TPV semble résoudre les inconsistences entre intuition et représentation ontologique – expressive – s'unifie avec les constructions

61 (61) Guillaume Pitel - 17/09/2004 IV. Conclusion Modèle d'interprétation constructionnel – modèles s'appuyant sur des structures dotées d'une topologie – plus large que grammaire de construction Opérationnalisation du modèle – contraintes pondérées – analyse guidée bi-directionnellement, s'appuyant sur les contextes

62 (62) Guillaume Pitel - 17/09/2004 IV. Perspectives Validation – Validation opérationnelle de MICO – Validation théorique de MIC : implémentation des approches fondatrices – Modèle de résolution dans MICO – Généricité FRAMENET Situé Système de Dialogue complet et opérationnel


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