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Kutcher, Chehil, LeBlanc, Kelly et Wei©

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Présentation au sujet: "Kutcher, Chehil, LeBlanc, Kelly et Wei©"— Transcription de la présentation:

1 Kutcher, Chehil, LeBlanc, Kelly et Wei©
Guide de formation « La santé mentale et l’école secondaire » Comprendre la santé mentale et la maladie mentale Version d’aout 2009 Kutcher, Chehil, LeBlanc, Kelly et Wei© Chaire Financière Sun Life sur la santé mentale des adolescents et l'Association canadienne pour la santé mentale

2 Santé des enfants et des adolescents – Comparaison de la prévalence des maladies
Tableau : Monde : AVCI en 2000 attribuables à certaines causes, classées selon l’âge 0 à 9 ans 10 à 19 ans États neuro-psychiatriques (notamment les blessures auto-infligées) 12 29 Tumeurs malignes 3 5 Maladies cardiovasculaires 2 4 Adapté de : Organisation mondiale de la santé (2003). Caring for children and adolescents with mental disorders. Setting WHO directions. Page 3, Figure 1. World: DALYs in 2000 attributable to selected causes, by age and sex.

3 chez les enfants et les adolescents
Troubles mentaux chez les enfants et les adolescents Trouble Prévalence de 6 mois (%), 9 à 17 ans Trouble d’anxiété 13,0 Trouble de l’humeur 6,2 Troubles du comportement 10,3 Troubles de consommation d’alcool et de drogues 2,0 N’importe quel trouble 20,9 Rapport sur la santé, OMS, 2001

4 D’anxiété

5 Commencement des troubles psychiatriques : comparaison à l’échelle nationale
Âge au commencement des troubles anxieux* Âge au commencement des troubles du comportement* Âge au commencement des troubles d’abus de substances psychoactives* The International Consortium in Psychiatric Epidemiology (ICPE) was established in 1998 by WHO to carry out cross-national comparative studies of the prevalences and correlates of mental disorders. The graphics describe the findings of ICPE surveys in seven countries in North America (Canada and USA), Latin America (Brazil and Mexico), and Europe (Germany, Netherlands, and Turkey), using a version of the WHO Composite International Diagnostic Interview (CIDI) to generate diagnoses. The results are reported using DSM-III-R and DSM-IV criteria without diagnostic hierarchy rules for mental disorders and with hierarchy rules for substance-use disorders. Retrospective reports suggest that mental disorders typically had early ages of onset, with estimated medians of 15 years for anxiety disorders, 26 years for mood disorders, and 21 years for substance-use disorders. All three classes of disorder were positively related to a number of socioeconomic measures of disadvantage (such as low income and education, unemployed, unmarried). Analysis of retrospective age-of-onset reports suggest that lifetime prevalences had increased in recent cohorts, but the increase was less for anxiety disorders than for mood or substance-use disorders. Delays in seeking professional treatment were widespread, especially among early-onset cases, and only a minority of people with prevailing disorders received any treatment. Theme Papers Contributing ICPE authors: Laura Andrade (University of Sao Paulo, Sao Paulo, Brazil); J.J. Caraveo-Anduaga (Mexican Institute of Psychiatry, Mexico City, Mexico); Patricia Berglund (University of Michigan, Ann Arbor, MI, USA); R. Bijl (Netherlands Institute of Mental Health and Addiction, Utrecht, Netherlands); R.C. Kessler, Olga Demler, and EllenWalters (Harvard Medical School, Boston, MA, USA); C. Kylyc¸ (Hacettepe University Medical School, Ankara, Turkey); D. Offord (Chedoke-McMaster Hospital, Hamilton, Canada); T. B.Ustun (WHO, Geneva, Switzerland); and H-U. Wittchen (Max Planck Institute of Psychiatry, Munich, Germany). Cross-national comparisons of the prevalences and correlates of mental disorders. WHO International Consortium in Psychiatric Epidemiology. Bulletin of the World Health Organization, 2000, 78 (4): *Les données de l’Allemagne ont été omises en raison de la plage d’âges limitée de l’échantillon

6 Prévalence des troubles mentaux chez les jeunes
Signification pour le groupe moyen Dépression (2) Psychose (rare) Troubles anxieux (3) TDAH (1) Anorexie mentale (rare) Total (4 – 5) Prévalence parmi la population Dépression (6 %) Psychose (1 %) Troubles anxieux (10 %) TDAH (4 %) Anorexie mentale (0,2 %) Total (15 – 20 %)

7 Qu’est-ce qu’un stigmate?
Dans le contexte de la santé mentale, un stigmate est l’utilisation d’étiquettes négatives pour désigner une personne souffrant d’une maladie mentale. Il s’agit d’un manque de respect, et cela fait en sorte que la maladie mentale demeure cachée. Les stigmates constituent un obstacle qui empêche les victimes et leur famille d’aller chercher l’aide dont elles ont besoin. Ils ferment les esprits et alimentent la discrimination. Selon de nombreuses personnes, il est plus difficile de vivre avec des stigmates que de vivre avec la maladie comme telle. (ACSM) Source :

8 Les stigmates sont une cause importante de discrimination et d’exclusion - OMS
Ils font obstacle à la prévention des troubles mentaux, à la promotion du bien-être mental et à la prestation de traitements et de soins efficaces. Ils contribuent également à la violation des droits de la personne. Source :

9 Dix mesures à prendre pour combattre les stigmates et la discrimination
Renseignez-vous sur les maladies mentales, afin d’être mieux informé.   Écoutez les témoignages de personnes qui ont souffert d’une maladie mentale : comment elles ont été stigmatisées et comment cela a affecté leur vie.   Faites attention à ce que vous dites : évitez les termes et les expressions qui peuvent perpétuer les stéréotypes, tels que « fou », « cinglé » ou « schizophrénique ».   Surveillez les médias et signalez les communications stigmatisantes. Source : Adapté de Telling is Risky Business: Mental Health Consumers Confront Stigma, de Otto Wahl, Rutgers University Press,

10 Dix mesures à prendre pour combattre les stigmates et la discrimination
Réagissez aux communications stigmatisantes dans les médias. Protestez auprès des journalistes, rédacteurs, annonceurs, producteurs de film responsables et fournissez une information appropriée.   Parlez des stigmates. Lorsqu’une personne fait une mauvaise utilisation d’un terme psychiatrique (comme « schizophrénique »), raconte une blague qui ridiculise la maladie mentale, ou fait des commentaires irrespectueux, dites-lui que vous trouvez cela blessant et inacceptable.   Parlez ouvertement de la santé mentale. Plus la maladie mentale demeurera cachée, plus les gens continueront à penser qu’elle est honteuse. Source : Adapté de Telling is Risky Business: Mental Health Consumers Confront Stigma, de Otto Wahl, Rutgers University Press,

11 Dix mesures à prendre pour combattre les stigmates et la discrimination
Exigez des changements auprès de vos représentants élus. Parlez de questions telles que la parité des assurances, les fonds limités qui sont alloués à la recherche et les budgets inadéquats pour les services de santé mentale.   Appuyez les organismes qui luttent contre le stigmate et la discrimination. Joignez-vous à elles, versez-leur des dons d’argent et offrez-leur vos services bénévoles.   Contribuez à la recherche sur la santé mentale et les stigmates. Source : Adapté de Telling is Risky Business: Mental Health Consumers Confront Stigma, de Otto Wahl, Rutgers University Press,

12 Que savons-nous des jeunes qui souffrent de maladie mentale?
La plupart des jeunes souffrant d’un trouble mental réussissent bien à l’école et ont une vie productive et positive lorsqu’ils reçoivent les traitements appropriés pour leur maladie mentale. Certains jeunes souffrent d’un trouble mental grave et persistant qui répond mal aux traitements actuels (comme dans le cas de toutes les autres maladies) et qui peuvent avoir besoin d’un plus grand soutien. La maladie mentale ne respecte aucune race, classe sociale ou région. Les jeunes souffrant d’une maladie mentale sont plus susceptibles d’être des victimes que des agresseurs. Les jeunes souffrant d’une maladie mentale ont de la difficulté à accéder aux meilleurs soins possible et ils sont très stigmatisés. Le diagnostic précoce et l’administration des meilleurs traitements possible peuvent produire des effets considérablement améliorés.

13 Pensons aux causes et aux effets
Comment savons-nous « qu’est-ce qui cause quoi? » Y a-t-il quelque chose à propos des maladies mentales qui fait qu’il est difficile de penser aux causes? Comment savons-nous ce qui fonctionne bien dans le traitement des troubles mentaux? Y a-t-il quelque chose à propos des troubles mentaux qui fait qu’il est difficile de penser au traitement?

14 Corrélation ou causalité?
Qu’est-ce qu’un facteur de risque? Les facteurs de risque sont des corrélations, et non des causes

15 Types de facteurs de risque
Causal – ces facteurs causent habituellement ou toujours la maladie (ex. : exposition au VIH) Associé – ces facteurs peuvent contribuer à la cause de la maladie, mais ils ne causent pas la maladie (ex. : la pneumonie chez une personne alitée) Corrélé – ces facteurs peuvent ou non contribuer à la cause de la maladie (ex. : intimidation et dépression)

16 Savoir ce qui fonctionne:
La preuve scientifique est créée en expérience, et non par la recherce. Toute preuve scientifique n’est pas égale : elle est évaluée selon un ordre hiérarchique en utilisant de critères internationaux. Le succès de tout traitement ou programme peut être évalué de façon scientifique. Plusieurs traitements/programmes ne sont pas évalué alors c’est souvent impossible de déterminer son niveau de succès.

17 Comment savons-nous ce qui fonctionne bien?
Comment sont obtenues les preuves scientifiques? Les preuves scientifiques sont-elles toutes égales? Comment évaluons-nous les preuves scientifiques? Comment appliquons-nous les preuves scientifiques à l’évaluation du traitement? Comment appliquons-nous les preuves scientifiques lors du choix et de l’évaluation des programmes? Quelle est la différence entre « preuve d’absence » et « absence de preuve »?

18 Qu’est-ce qu’un trouble mental?
Il s’agit d’un terme qui est fréquemment utilisé de façon interchangeable avec le terme maladie mentale Signifie que le cerveau ne fonctionne pas correctement dans un ou plusieurs de ses six domaines – cela produit des signes et des symptômes (et que sont les signes et les symptômes?) Entraîne un important handicap fonctionnel dans un ou plusieurs domaines de la vie quotidienne (intimité; relations sociales; école; travail; etc.) Conforme aux meilleures classifications internationales validées des maladies – Comité interministériel sur l'invalidité ou Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux Les causes sont complexes – en raison de la complexité des interactions entre les gènes, l’environnement et le développement neurologique

19 Développement anormal du cerveau = Vulnérabilité et prédisposition
Naissance Agressions de l’environnement +/- Facteurs stressants violents et prolongés Petite enfance Enfance Adolescence Âge adulte Stress environnemental Traumatisme de la naissance Privation de nourriture Infections Toxines Génétique Antécédents familiaux de dépression, anxiété, alcoolisme Développement anormal du cerveau = Vulnérabilité et prédisposition Fonctionnement anormal du cerveau Quelques signes et symptômes, mais pas de maladie Dépression clinique Aucune maladie Expression des symptômes Facteurs culturels

20 Les dérèglements du cerveau sont-ils tous des troubles mentaux?
Les dérèglements du fonctionnement du cerveau ne sont pas tous des troubles mentaux Certains dérèglements peuvent constituer une réponse normale ou attendue aux stimuli environnementaux – par exemple : le chagrin lors d'un décès ou une inquiétude vive, la difficulté à dormir et la tension émotive lorsque l'on fait face à un désastre naturel, comme un ouragan

21 « Vie » normale ou trouble mental - Quelle est la différence entre
la souffrance mentale et le trouble mental? Moins courant Est souvent déclenché sans problèmes environnementaux Souvent de longue durée (peut être chronique et épisodique) – handicap fonctionnel important Doit répondre aux critères de diagnostic reconnus Nécessite souvent une intervention professionnelle Répond habituellement bien aux traitements fondés sur l’expérience clinique L’assistance appropriée et un mode de vie positif sont habituellement utiles Souffrance Trouble Courant Réaction aux difficultés environnementales Peut être adaptatif Habituellement de courte durée et sans gravité – ne cause pas d’important handicap fonctionnel N’a pas à être « diagnostiquée » Ne nécessite habituellement pas d’intervention professionnelle Répond habituellement bien à l’assistance « habituelle » et à un mode de vie positif Distress – Common; caused by a problem or event; usually not severe (may be severe); usually short lasting; professional help not usually needed; professional help can be useful; DIAGNOSIS NOT NEEDED Disorder –Less common; may happen without any stress; often with high severity; usually long lasting; professional help usually needed – needs to be DIAGNOSED Mental illnesses must meet diagnostic criteria which are based on scientific and empirical research and are codified in international classifications of mental illnesses – such as the International Classification of Disease (ICD-10) or the Diagnostic and Statistical Manual-Revised (DSM – IVR). So, separation of mental distress from mental disorder requires a diagnosis of mental illness. Mental distress: an emotional, cognitive or behavioral state that is stressful to the individual and which can at times negatively impact their social, vocational or interpersonal interactions for a period of time. These states often involve human reactions to common environmental stresses. Examples of mental distress include: feelings of being upset after not receiving a work promotion; unhappy or sad feelings after the breakup of a relationship; anger at the person who broke a prized possession; worry about the results of a test; These states are all within the expected and “normal” range of human experiences and are not disorders of mental functioning. These experiences can be quite intense and may involve the expression of physical symptoms such as headaches or difficulty sleeping. These experiences may lead the individual suffering from them to seek help from others, such as friends, family members, religious leaders or even health professionals. Mental distress is found on a continuum, ranging from mild to moderate to severe. Individuals vary considerably in their experience of mental distress. For example, one person may become very upset, tearful and experience headaches and stomach pains for a day or more when they learn that they have failed to pass a test. Another person may become upset and angry for a few hours and then go out to a party with friends. In some cases, this mental distress can not only be intense but also prolonged and have a significant effect on usual functioning. For example the state of mourning that occurs when a loved one dies or the state of “depression” that can occur after a long term intimate relationship ends (such as in a divorce). These examples fall within the severe end of the mental distress continuum and are not generally considered to be mental disorders because they are common responses to common life events, represent a common human reaction to these types of events and do not generally require extraordinary interventions in order to lead to their resolution. However, in some cases, severe mental distress can turn into a mental disorder (such as bereavement turning into depression). Mental disorders (also called mental illnesses) differ from mental distress in a number of important ways. They are disturbances of emotion, cognition or behavior which may occur spontaneously, that is without any environmental event leading to their expression. They tend to be severe, with symptoms that are problematic to the individual and often visible to friends, family and others. They usually lead to functional impairment in one or more spheres: interpersonal; social; vocational. They show prolonged presence and often require extraordinary interventions (such as medication or psychological treatments) before they are substantively improved. They are presumed, or confirmed, to follow from physiologically demonstrated brain dysfunction (shown by neurocognitive testing, MRI testing, etc.).

22 Identification des jeunes qui pourraient souffrir d’un trouble mental – une science ou un art?
Les outils de dépistage qui ont été validés dans une population précise de jeunes peuvent être utilisés (les « pour » et les « contre ») Augmentation du niveau de compréhension et de connaissance des « indices » potentiels pour les adultes responsables qui connaissent des jeunes (enseignants, entraîneurs, chefs religieux, etc.)

23 L’identification peut être difficile en milieu scolaire
Il peut être plus difficile de faire une distinction entre « souffrance » et « trouble » chez les jeunes que chez les adultes La manifestation de la maladie peut être différente à différents moments Si un élève consomme des drogues ou de l’alcool, les effets de ces substances peuvent prêter à confusion Parfois, l’élève ne parle pas des symptômes (comme un moral bas ou des hallucinations) Parfois, l’enseignant ne connaît pas l’élève Mental disorders are also called mental illnesses or psychiatric illnesses and are categorized according to diagnostic criteria There are two different sets of diagnostic criteria – International Classification of Diseases (ICD) Diagnostic Statistical Manual of Mental Disorders Both sets of criteria are similar in that they consist of syndromes (collections of signs and symptoms) From Wikipedia, the free encyclopedia: “The International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems (most commonly known by the abbreviation ICD) provides codes to classify diseases and a wide variety of signs, symptoms, abnormal findings, complaints, social circumstances and external causes of injury or disease. Every health condition can be assigned to a unique category and given a code, up to six characters long. Such categories can include a set of similar diseases. The International Classification of Diseases is published by the World Health Organization (a.k.a. WHO). The ICD is used world-wide for morbidity and mortality statistics, reimbursement systems and automated decision support in medicine. This system is designed to promote international comparability in the collection, processing, classification, and presentation of these statistics. The ICD is a core classification of the WHO Family of International Classifications (WHO-FIC). An important alternative to ICD coding is the American Psychiatric Association's (APA) Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM), which is the primary diagnostic system for psychiatric and psychological disorders within the United States and is used as an adjunct diagnostic system in many other countries. Since the 1990s, the APA and WHO have worked to bring the DSM and the relevant sections of ICD into concordance, but some small differences remain.” Individuals may be outside the norm in one or more domains of brain functioning but unless the signs and symptoms they experience fit into a SYNDROME they do not have a mental disorder/mental illness, they may however have mental distress that can be helped by psychological (such as counseling) or social (such as community) activities. Not all disturbances of brain functioning are mental disorders Some can be a normal or expected response to the environment – for example: grief when somebody dies or acute worry, sleep problems and emotional tension when faced with a natural disaster such as a hurricane

24 Les clés de l’identification
L’élève a-t-il des antécédents de problèmes mentaux importants ou d’un trouble mental grave? (membre de sa famille) A-t-on noté récemment un changement important de son humeur, de ses facultés cognitives, de son comportement? Les problèmes de la personne lui causent-ils de la souffrance, en causent-ils à d’autres personnes, ou y a-t-il un manque de conventions sociales? Y a-t-il une diminution notable de son fonctionnement : social, scolaire ou autre? A-t-on noté des changements majeurs inexpliqués dans sa participation dans des groupes de pairs – particulièrement en ce qui concerne l’intégration au groupe de pairs? Ses parents ou d’autres personnes sont-ils inquiets? Un de ses ami proche souffre-t-il d’un trouble mental ou d’un important problème de santé mentale? Ascertaining The Likelihood of a Mental Disorder When addressing the question of – Is the patient likely to have a psychiatric diagnosis? – the clinician must consider the following questions. A “yes” to two or more of these questions should raise the probability that the patient may have a psychiatric disorder and should then trigger the next steps in the diagnosis and intervention cascade available within the health care system. Questions to consider when determining whether or not the patient is likely to have a Mental Disorder - The Quick Screen Method: QUICK SCREEN FOR MENTAL DISORDER Is the patient’s emotional state, cognitive function or behaviour very distressing or caused significant problems to them or to those around them? Does the patient exhibit a lack of social convention that he/she is unaware of? Are the patient’s emotions, reasoning or behaviour markedly different than his/her social, cultural and economic peers? Are those people who are closest to and most caring of the patient seriously concerned that the patient may be ill, even if they attribute the problems to an environmental condition?

25 LES TROUBLES MENTAUX SONT DES
TROUBLES DU CERVEAU

26 FONCTIONS DU CERVEAU Pensée ou cognition Comportement
Perception ou sens Physique ou somatique Émotions ou sentiments Transmission de signaux (être réceptif et réagir à l'environnement)

27 Quels sont les symptômes des troubles mentaux?
Les troubles mentaux sont associés à des dérèglements dans 6 domaines principaux du fonctionnement du cerveau : Quels sont les symptômes des troubles mentaux? Pensée Comportement Physique Perception Émotions Transmission de signaux

28 QU'EST-CE QUE LA PENSÉE ou LA COGNITION?
Lecture Communication Assimilation Compréhension Jugement Arithmétique Intuition Mémoire Réflexion Planification Attention Concentration

29 DÉRÈGLEMENT DU CONTENU DE LA PENSÉE
RÉEL IRRÉEL APPROPRIÉ EXCESSIF DÉLIRES

30 Que sont les croyances délirantes?
Fausses Persistantes Non partagées par les autres personnes qui font partie du même groupe socio-culturel La personne les considère comme étant vraies et elle en est convaincue, même si on lui fournit de nombreuses preuves du contraire Ces croyances doivent être évaluées dans le contexte socio-culturel WHAT ARE DELUSIONS?? Delusions are fixed, unbending beliefs that are incompatible with the beliefs held by the majority of people in the individual’s culture or subculture. These beliefs are held with rigid conviction despite incontrovertible or obvious evidence of their falsehood. False … NOT REAL!!! Persistent … DON’T GO AWAY! Not shared by others of same socio-cultural group… FAMILY & FRIENDS FIND IT ODD Regarded as real and held with conviction despite being given ample evidence to the contrary… NO PROOF IS ENOUGH!! Must be evaluated from within socio-cultural context ... NOT IN LINE WITH CULTURAL BELIEFS Examples of Types of Delusions: Some of the more common types of delusions are grandiose, persecutory, religious, jealous and somatic delusions. Grandiose: Delusions of inflated worth, power, knowledge, identity, or special relationship to a deity or famous person Persecutory Delusions: Delusions that the person is being malevolently treated in some way Religious: Individual’s beliefs revolve around religious themes (e.g., belief that he/she has been selected by God to carry out his bidding). Jealous: Delusions that the individual’s sexual partner is being unfaithful Somatic: Delusions that the person has some physical defect or general medical condition

31 QU'EST-CE QUE LA PERCEPTION?
Vision Ouïe Toucher Odorat Goût Notre capacité à utiliser nos cinq sens pour voir, entendre, goûter, sentir et toucher.

32 Dérèglement de la perception
Normal Illusion Hallucination

33 Troubles mentaux de la PERCEPTION et de la COGNITION : psychose

34 Qu'est-ce que la psychose?
La « psychose » est un dérèglement de la pensée et de la perception qui est caractérisé par une perte de contact avec la réalité et qui est causé par un fonctionnement anormal du cerveau.

35 Qu'est-ce que la schizophrénie?
La schizophrénie constitue le plus courant des troubles psychotiques. Il s'agit d'un trouble chronique, grave et invalidant du cerveau, qui est caractérisé par la présence de délires, d'hallucinations, de pensées désorganisées, de comportements déviants, de dérèglements de l'affect, de dérèglements de la motivation (avolition) et d'un handicap fonctionnel. Ce trouble affecte 1 % à 1,5 % des gens. Ce trouble affecte une proportion égale d'hommes et de femmes et il commence habituellement vers 14 à 25 ans. Schizophrenia Schizophrenia is a mental illness which affects one person in every hundred. Schizophrenia interferes with a person’s mental functioning and behaviour, and in the long term may cause changes to their personality. The first onset of schizophrenia is usually in adolescence or early adulthood. Some people may experience only one or more brief episodes of psychosis in their lives, and it may not develop into schizophrenia. For others, it may remain a recurrent or life-long condition. The onset of the illness may be rapid, with acute symptoms developing over several weeks, or more commonly, it may be slow, developing over months or even years. During onset, the person often withdraws from others, gets depressed and anxious, and develops unusual fears or obsessions. It is characterized by two different sets of symptoms. Positive symptoms refer to symptoms that appear, like delusions, thinking things that aren’t true, or hallucinations, seeing or hearing things that aren’t there. Negative symptoms refer to things that are taken away by the illness, so that a person has less energy, less pleasure and interest in normal life activities, spending less time with friends, being less able to think clearly. What are the symptoms of schizophrenia? Positive symptoms of schizophrenia include: Delusions – false beliefs of persecution, guilt or grandeur, or being under outside control. These beliefs will not change regardless of the evidence against them. People with schizophrenia may describe outside plots against them or think they have special powers or gifts. Sometimes they withdraw from people or hide to avoid imagined persecution. Hallucinations – most commonly involving hearing voices. Other less common experiences can include seeing, feeling, tasting or smelling things, which to the person are real but which are not actually there. Thought disorder – where the speech may be difficult to follow, for example, jumping from one subject to another with no logical connection. Thoughts and speech may be jumbled and disjointed. The person may think someone is interfering with their mind. Other symptoms of schizophrenia include: Loss of drive – when the ability to engage in everyday activities such as washing and cooking is lost. This lack of drive, initiative or motivation is part of the illness and is not laziness. Blunted expression of emotions – where the ability to express emotion is greatly reduced and is often accompanied by a lack of response or an inappropriate response to external events such as happy or sad occasions. Social withdrawal – this may be caused by a number of factors including the fear that someone is going to harm them, or a fear of interacting with others because of a loss of social skills. Lack of insight or awareness of other conditions – because some experiences such as delusions or hallucinations are so real, it is common for people with schizophrenia to be unaware they are ill. For this and other reasons, such as medication side-effects, they may refuse to accept treatment which could be essential for their well being. Thinking difficulties – a person’s concentration, memory and ability to plan and organize may be affected, making it more difficult to reason, communicate, and complete daily tasks. Facts about Schizophrenia: Schizophrenia is a chronic lifelong disorder Often requires lifelong treatment Symptoms are disabling to the individual and distressing to family and friends One in ten people with schizophrenia commits suicide The burden for caring for people with Schizophrenia most often falls on families Schizophrenia is not caused by poor parenting Schizophrenia is not ‘split personality’ People who have Schizophrenia are not violent unless they are acutely ill Schizophrenia runs in families The exact cause is unknown but it is a brain disorder Schizophrenia is not caused by stress Schizophrenia affects between 1 and 2% of people worldwide Men and women are equally affected Medications can help reduce and control symptoms The symptoms of schizophrenia: Refer to the following website for a description of the symptoms of Schizophrenia: Psychiatry 24x7.com All content of this Internet site is owned or controlled by Janssen Pharmaceutica NV, and is protected by worldwide copyright laws. 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36 PSYCHOSE : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
Le comportement de la personne est-il différent ou inhabituel? La personne reconnaît-elle avoir des hallucinations ou a-t-on remarqué des signes à cet effet? La personne manifeste-t-elle un trouble de la pensée? Son discours est-il sensé? La personne s’isole-t-elle des autres? La personne épouse-t-elle des idées bizarres et inhabituelles?

37 PSYCHOSE : QUE FAIRE? Discutez de vos préoccupations avec d’autres enseignants et avec le personnel de soutien aux élèves. Renseignez-vous au sujet de sa situation familiale et discutez de vos préoccupations avec les membres appropriés de sa famille. Suggérez que l’élève subisse une évaluation de sa santé mentale. Communiquez aux évaluateurs de la santé mentale l’information appropriée, après le consentement approprié. Participez à des discussions avec le jeune, ses fournisseurs de soins de santé et les membres de sa famille, à propos de questions relatives à l’école.

38 PSYCHOSE : QUELS SONT LES SIGNES QU'IL FAUT RECONNAÎTRE?
Des voix commandent à la personne de se faire du mal ou de faire du mal aux autres. Les délires peuvent entraîner un comportement imprévisible (par exemple : méfiance des autres qui mène à la violence) ATTENTION

39 Émotions et humeurs – qu’est-ce que je ressens à l’intérieur?

40 Graphique de l’humeur « normale » Intensité normale de l'humeur
Ligne de normalité Transition vers le pôle (+) résultant d'un événement de la vie (+) Intensité normale de l'humeur +3 -3 Transition vers le pôle (-) résultant d'un événement de la vie (-)

41 Troubles mentaux des émotions et des sentiments : dépression et trouble bipolaire

42 Quels sont les troubles de l'humeur?
Troubles unipolaires de l’humeur Troubles bipolaires de l’humeur Exemple : trouble dépressif majeur Exemple : trouble bipolaire

43 Intensité normale de l'humeur
Que se passe-t-il lorsque la ligne passe au pôle négatif? la dépression Intensité normale de l'humeur +3 -3 As mood falls from -3 to -8 the person may experience the following: Depressed or Sad mood Decreased Interest in things Difficulty enjoying things Problems with concentration Problems with attention Low energy Sleep problems Changes in appetite Feeling physically slowed down Feeling restless and unable to settle Having negative thoughts Thinking about death and suicide As mood falls from -8 to -10 the person may experience the following: PLUS: Impaired Function: Difficulty working Difficult going to school Difficulty completing household chores and responsibilities Difficulty caring for children Difficulty connecting with partner/spouse Difficulties engaging in social activities

44 Que se passe-t-il lorsque la ligne passe au pôle positif? - la manie
Intensité normale de l'humeur +3 -3 As mood goes from +3 to +8 the person may experience the following: Elevated/expansive mood Grandiosity Intrusiveness Euphoria/Elation Intense irritability Decreased Need for sleep Pressured Speech Racing thoughts Distractibility Hyper-activity Agitation Aggression Reckless Behavior As mood goes from +8 to +10 the person may experience the following: Grandiose Delusions PLUS: IMPAIRED FUNCTIONING!! Ligne de normalité

45 En quoi un « épisode dépressif » est-il différent d'un sentiment de tristesse?
Moral bas ou humeur dépressive la plupart du temps depuis longtemps De nombreux malaises physiques peuvent accompagner le moral bas Nombreux problèmes au travail, à la maison ou dans les relations avec les autres en raison d'un moral bas Cela peut survenir sans cause apparente Low or depressed mood most of the time for a long time Many physical complaints can accompany the low mood Many problems with work, at home or in relationships with others because of the low mood The low mood often does not respond to changes in the environment This can happen without an obvious cause How is a ‘Depressive Episode’ different from feeling sad? Mood is low for a long time and is accompanied by characteristic mood/affect, thought/cognition, behavior, physical and functional disturbances. Disturbances in perception and signaling may also occur. This shift in mood is persistent and sustained Shift in mood state position is largely independent of life circumstances although individuals with depression may continue to be ‘reactive’ or responsive to events in their lives: Non-reactive Mood: Mood is not affected by external circumstances. For example, a patient suffering from depression fails to feel better, even temporarily, when something good happens or when socializing with friends; When presented with bad news the individual’s expression fails to demonstrate any expected reaction. Reactive mood: Some reactivity, positive or negative fluctuation in mood influenced by positive or negative circumstances, is retained. This negative shift of the mood state position has an ‘autonomous driver’ or is not under the control of the individual. A stressful life event may precipitate the onset of a depressive episode in some individuals but once the stressor is removed the mood remains low (shifted mood state position does not return to normal baseline). It is associated with impaired functioning in one or more areas of the person’s life ie., interpersonal, social, occupational or academic functioning. For a useful description of Clinical Depression refer to the following website: Souvent, le moral bas n'est pas affecté par les changements dans l'environnement

46 DÉPRESSION : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
Malaises physiques fréquents et persistants qui sont difficiles à expliquer (maux de tête; maux d'estomac; fatigue; etc.) Perte d'intérêt pour les activités habituelles Perte de plaisir à pratiquer les activités qui étaient habituellement agréables – désespoir Diminution du fonctionnement à la maison, au travail ou à l'école, avec la famille, les collègues ou les amis Pensées de mort ou de suicide ou préparation à mourir

47 DÉPRESSION : QUESTIONS À POSER
Comment te sens-tu à l’intérieur? – Depuis combien de temps te sens-tu ainsi? Te sens-tu désespéré? Qu’est-ce que tes sentiments actuels t’empêchent de faire? – Quelles sont les activités que tu pratiquerais si tu ne te sentais pas comme tu te sens maintenant? Est-ce que tu penses ou as l’impression que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue ou que tu serais mieux mort? Que penses-tu faire? N’acceptez pas de garder confidentielles les idées de blessures volontaires ou de suicide.

48 Dépression : Que faire? La dépression est facile à traiter au moyen des médicaments appropriés et des thérapies appropriées; le jeune souffrant de dépression doit être aiguillé vers le fournisseur de soins de santé le plus approprié. Les attentes relatives aux études pourraient devoir être modifiées, en raison des effets de la dépression sur la motivation et les facultés cognitives. Soyez conscient du risque de suicide : discutez avec les fournisseurs de soins de santé de ce que devrait être le rôle des éducateurs dans chacun des cas. Établissez une collaboration de soutien du jeune, relativement à son éducation et à sa santé, après avoir obtenu les consentements appropriés.

49 DÉPRESSION : QUELS SONT LES SIGNES QU’IL FAUT RECONNAÎTRE?
Demandez toujours au jeune s’il a des pensées suicidaires ou s’il planifie un suicide Si vous avez le moindre doute, demandez à un expert d’effectuer une évaluation immédiate ATTENTION

50 En quoi la « manie » est-elle différente d'un sentiment de joie extrême?
L'humeur est surtout élevée ou irritable Nombreux problèmes physiques, du comportement et de la pensée Problèmes importants dans la vie quotidienne causés par l'humeur How is Mania different from being extremely happy? Mood state position is shifted towards the positive pole of the graph. This shift is accompanied by characteristic mood/affect, thought/cognition, perception, behavior, physical and functional disturbances. This shift in mood is persistent and sustained. It is largely independent of life circumstances although it may be influenced by external events. It has an ‘autonomous driver’ or is not under the control of the individual. It occurs without an externally reinforcing situation or event. It is associated with impaired functioning in one or more areas of the person’s life ie., interpersonal, social, occupational or academic functioning. For a useful description of Bipolar Disorder refer to the following website: Cela n'est pas causé par un problème ou un événement de la vie Souvent, il est possible que l'humeur ne reflète pas la réalité de l'environnement

51 TROUBLE BIPOLAIRE : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
Antécédent d'au moins un épisode de dépression et au moins un épisode de manie. Changements rapides d'humeur, y compris irritabilité et accès de colère. Comportements autodestructeurs – y compris : achats impulsifs; violence envers les autres; indiscrétions sexuelles; etc. Utilisation excessive, mauvaise utilisation ou abus de drogues ou d'alcool. Symptômes psychotiques, notamment : hallucinations et délires

52 Suicide chez les jeunes
Le suicide chez les jeunes est rare, mais il s'agit d'un événement tragique pour une collectivité. La plupart des suicides chez les jeunes sont associés à la présence d'un trouble mental (souvent la dépression) qui n'a pas été diagnostiqué ou qui n'est pas traité de manière appropriée. Le suicide chez les jeunes n'est pas le résultat des stress habituels de l'adolescence. On doit faire la distinction entre les tentatives de suicide et les cas de blessures volontaires : elles requièrent des approches différentes de traitement. L'utilisation d'outils d'évaluation du risque de suicide chez les adolescents peut aider les professionnels à évaluer le jeune.

53 Suicide chez les jeunes : Facteurs de risque bien établis
Présence d'un trouble mental Tentative de suicide antérieure (particulièrement chez les garçons) Antécédent familial de suicide Antécédent familial de trouble mental Abus de substances psychoactives Démêlés avec le tribunal de la jeunesse

54 Le suicide - évaluation Interrogation en douceur Interrogation directe
Général Spécifique Empathie Interrogation en douceur Interrogation directe Je peux comprendre à quel point cela a été difficile pour toi, ces derniers temps...   Tu sembles passer de mauvais moments… Pourrais-tu m'aider à comprendre comment tu vis cette situation? Comment ça va ces derniers temps? As-tu déjà eu l'impression que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue? As-tu déjà tenté de commettre un acte qui t'aurait grièvement blessé ou tué?

55 Préparé à lutter ou à fuir pour se protéger
Qu'est-ce que la transmission de signaux? Le cerveau signale DANGER! Préparé à lutter ou à fuir pour se protéger DANGER! Perception sensorielle Goût Toucher Nez Oreilles Yeux Début de la cascade physiologique  Rythme cardiaque  Tension  Vigilance  Perception Signaling: Our hard-wired danger response mechanism. Every organism on the planet from an ant to a human being has a Signaling Mechanism. Without it we and all other creatures on the planet would die! Our signaling mechanism is what allows us to jump out of the way of oncoming traffic; sharpen our senses to the slightest change in our environment when we are afraid; gets us ready to run to escape from danger or prepares us to fight to protect ourselves. It also helps us focus when we have to study to pass an exam or drive a vehicle safely during a bad storm. When the brain senses danger from signals received from the environment through our 5 senses it reacts before we have time to THINK about it… this is an automatic ‘reflex’!... If the brain waited for us to think before we acted in danger situations we would most likely never live to know about it!! As soon as the brain senses danger it turns an our ‘adrenaline tap’... This activates a whole cascade of reactions that results in our bodies being prepared to react and protect itself. The Signaling Physiologic cascade is hardwired for survival Result of the Physiologic cascade: Increased heart rate Sweating Tension Increased delivery of blood to the muscles Sharpened sight and hearing Inhibition of digestion Extreme alertness Signaux internes

56 !? ! Qu'est-ce que l'anxiété? ANXIÉTÉ Signaux internes
Le cerveau signale DANGER! Pas de danger ANXIÉTÉ Perception sensorielle Goût Toucher Nez Oreilles Yeux Début de la cascade physiologique  Rythme cardiaque  Tension  Vigilance  Perception Dysfunction of the danger signaling mechanism can lead to triggering of the ‘physiologic cascade’ in the absence of real danger: This is called ‘Anxiety’ Signaux internes Pensées Physique Émotions

57 Qu'est-ce que l'anxiété normale?
Situation ou élément déclencheur : Premier rendez-vous Préparation en vue d'un examen Donner une prestation lors d'un concert Faire un discours Quitter le foyer familial Monter dans une haute échelle Temporaire N'a pas d'incidence importante sur le bien-être d'une personne N'empêche pas une personne de réaliser ses objectifs Anxiété : Crainte Nervosité Tension Énervement Nausée Transpiration Tremblement Physical Symptoms: Insomnia Palpitations Increased heart rate Suffocation Dizziness Shaking or tremors Shortness of breath Stomach upset Restlessness Diarrhea Change in appetite Flushing Blushing Sweating Faintness Chest pain Thinking/Cognitive Symptoms: Worry/Apprehension Difficulty making decisions Poor concentration Repeatedly thinking the same distressing thoughts: ie., Obsessions & Ruminations Catastrophic thinking Increased or Decreased awareness of one’s surroundings Confusion Behavioral Symptoms: Aggression Avoidance Agitation Substance use: Alcohol Benzodiazepines Sleep Medicines Social Withdrawal Repeated behaviors (Compulsions)

58 Qu'est-ce que l'anxiété pathologique?
Persistant Excessif et inapproprié Intensité Invalidant Entraîne une adaptation dysfonctionnelle : Évitement Retrait Situation ou élément déclencheur : Premier rendez-vous Préparation en vue d'un examen Donner une prestation lors d'un concert Faire un discours Quitter le foyer familial Monter dans une haute échelle ANXIÉTÉ Domaines des symptômes : Transmission de signaux Cognition Pensée Comportement Physique Normal Versus Pathologic Anxiety? Anxiety can be normal or pathologic. Normal anxiety is an expected, transient response to stress (ie., feeling anxious on a first date or when preparing for an exam, or while anticipating standing up and making a speech). Anxiety which is pathologic occurs in the absence of danger and is excessive or inappropriate to the situation. Pathologic anxiety has an intensity that exceeds the person’s capacity to endure it; is persistent rather than transient; is associated with impairment of the person’s ability to function optimally in his/her daily life; and leads to dysfunctional coping strategies such as avoidance and withdrawal. Pathologic anxiety is associated with the mental disorders known as anxiety disorders and is caused by dysfunction and dysregulation of the body’s danger signaling mechanisms.

59 TROUBLES MENTAUX DE LA TRANSMISSION DE SIGNAUX : LES TROUBLES ANXIEUX
What is anxiety? Anxiety is a term which describes a normal feeling people experience when faced with threat or danger, or when stressed. When people become anxious, they typically feel upset, uncomfortable and tense and may experience many physical symptoms such as stomach upset, shaking, headaches, etc. Feelings of anxiety are caused by experiences of life, such as a new relationship, a new job or school, illness, accident, etc. Feeling anxious is appropriate in these situations and usually we feel anxious for only a limited time. These feelings are not regarded as clinical anxiety, but are a part of everyday life. What are anxiety disorders? The anxiety disorders are a group of illnesses, each characterized by persistent feelings of intense anxiety. There are feelings of continual or extreme discomfort and tension, and may include panic attacks. People are likely to be diagnosed with an anxiety disorder when their level of anxiety and feelings of panic are so extreme that they significantly interfere with daily life and stop them from doing what they want to do. This is what characterizes an anxiety disorder as more than normal feelings of anxiety. Anxiety disorders affect the way the person thinks, feels and behaves and, if not treated, cause considerable suffering and distress. They often begin in adolescence or early adulthood and may sometimes be triggered by significant stress. Anxiety disorders are common and may affect one in twenty people at any given time. All anxiety disorders are characterized by heightened anxiety or panic as well as significant problems in everyday life.

60 TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ (TAG) : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
La personne éprouve-t-elle de nombreux symptômes physiques persistants qui causent de la détresse, mais pour lesquels il n'existe aucune bonne explication médicale – comme : maux de tête; maux d'estomac; douleurs; etc. La personne s'inquiète-t-elle de nombreuses choses, beaucoup plus que les autres personnes semblent s'inquiéter? La personne a-t-elle de la difficulté à cesser de s'inquiéter? La personne semble-t-elle habituellement tendue ou énervée? L'inquiétude est-elle si intense qu'elle empêche la personne de profiter de la vie ou de s'adonner à des activités qu'elle aimerait?

61 TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ : QUESTIONS À POSER
Est-ce que tu te considères ou est-ce que les autres te considèrent comme une personne qui s'inquiète beaucoup? As-tu tendance à t'inquiéter à propos de beaucoup de choses? Quelles sont tes inquiétudes les plus courantes? Est-ce que ces inquiétudes ont des effets physiques (maux de tête, maux d'estomac, douleurs, etc.)? Comment ces inquiétudes t'empêchent-elles de pratiquer les activités que tu aimes ou de profiter de la vie? Te sens-tu parfois accablé par tes inquiétudes?

62 TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ : QUE FAIRE?
Le trouble anxieux généralisé est très facile à traiter au moyen d'interventions psychologiques (comme la thérapie cognitivo-comportementale); il est donc recommandé d'aiguiller le jeune vers une personne qui est experte dans ce type de thérapie. Habituellement, la rassurance n'est pas utile : au mieux, elle ne procure qu'un petit soulagement temporaire des symptômes, et la rassurance régulière peut encourager les comportements « collants ». Il est utile de faire des suggestions simples et pratiques à propos d'un sujet d'inquiétude en particulier (comme : puisque tu t'inquiètes pour ton examen, pourquoi ne pas t'assurer de pouvoir étudier pendant au moins une heure ce soir?).

63 TROUBLE ANXIEUX GÉNÉRALISÉ : QUELS SONT LES SIGNES QU'IL FAUT RECONNAÎTRE?
Symptômes de dépression ou dépression clinique Pensées suicidaires ou planification d'un suicide Utilisation excessive, mauvaise utilisation ou abus ou d'alcool ATTENTION

64 Trouble d'anxiété sociale (TAS)
Peur irréaliste et irrationnelle des situations sociales, où la personne a l'impression d'être jugée par les autres Sentiment de gêne qui peut être accompagné de crises de panique occasionnelles seulement dans la situation redoutée Évitement des situations sociales Grande souffrance / Désir de contacts sociaux Six mois ou plus Handicap fonctionnel Social phobia People with social phobia fear that others will judge everything they do in a negative way. They believe they may be considered to be flawed or worthless if any sign of poor performance is detected. They cope by either trying to do everything perfectly, limiting what they are doing in front of others, especially eating, drinking, speaking or writing, or they withdraw gradually from contact with others. They will often experience panic symptoms in social situations and will avoid many situations where they feel observed by others (such as in stores, movie theatres, public speaking, social events, etc.)

65 TROUBLE D'ANXIÉTÉ SOCIALE : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
La personne devient-elle très anxieuse dans une ou plusieurs situations sociales où il y a des étrangers ou des groupes? (ex., salle de classe, cafétéria) Le jeune évite-t-il de parler en classe ou évite-t-il certaines situations en particulier? (le vestiaire du gymnase, par exemple) La personne est-elle facilement gênée dans une situation sociale ou pense-t-elle que les gens la jugent ou lui accordent une attention particulière? La personne subit-elle parfois une crise de panique dans des situations sociales ou dans les endroits où beaucoup de personnes sont réunies?

66 TROUBLE D'ANXIÉTÉ SOCIALE : QUESTIONS À POSER
Dans quels genres de situation te sens-tu anxieux, gêné ou en état de panique? Que fais-tu lorsque tu te sens ainsi? Comment ces sentiments ou ces pensées affectent-ils ta vie? Quelles activités ces sentiments ou ses pensées t'empêchent-ils de pratiquer?

67 TROUBLE D'ANXIÉTÉ SOCIALE : QUE FAIRE?
Informez le jeune au sujet du problème que vous soupçonnez et dites-lui qu'il existe peut-être de l'aide pour calmer ses inquiétudes. Le trouble d'anxiété social est très facile à traiter au moyen d'une thérapie cognitivo-comportementale; il est donc recommandé d'aiguiller le jeune vers une personne qui est experte dans ce type de thérapie. Le traitement par l'exposition est également utile; parfois, un enseignant et un travailleur du service d'assistance aux élèves (psychologue, travailleur social) peuvent créer un plan d'exposition en classe. Les organisations de conférences (« président dans un banquet ») sont utiles.

68 TROUBLE D'ANXIÉTÉ SOCIALE : QUELS SONT LES SIGNES QU'IL FAUT RECONNAÎTRE?
Symptômes de dépression ou dépression clinique Utilisation excessive, mauvaise utilisation ou abus ou d'alcool ATTENTION

69 Qu'est-ce qu'une crise de panique?
Est-ce que je deviens fou?! 10 Crise de panique : Forts battements de cœur Transpiration Tremblements Manque d'air Sensation d'étouffer Douleur thoracique Mal d'estomac Nausée Étourdissement Engourdissement des pieds et des mains Avoir chaud Avoir froid Est-ce que je vais MOURIR?! Est-ce que j'ai une crise cardiaque?! TEMPS 10 minutes

70 TROUBLE PANIQUE : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
La personne subit-elle des crises de panique – début rapide des sentiments de panique et de symptômes physiques tels que le battement rapide ou irrégulier du cœur; la difficulté à respirer; les engourdissements; les étourdissements; etc.? La personne s'inquiète-t-elle de subir une crise de panique? La personne évite-t-elle de fréquenter les endroits où elle a déjà subi une crise de panique ou a peur d'en subir une? Les crises de panique affectent-elles négativement la vie de la personne ou l'empêchent-elles de s'adonner aux activités qu'elle aimerait?

71 Trouble obsessivo-compulsif
Obsessions - pensées ou images ou envies récurrentes, envahissantes et indésirables qui causent une importante détresse et un important handicap fonctionnel Compulsions – comportements récurrents et répétitifs qui prennent beaucoup de temps et qui causent une importante détresse et un important handicap fonctionnel La personne se rend compte que ces obsessions et ces compulsions sont excessives et irréalistes, mais elle ne peut pas les maîtriser Obsessive compulsive disorder This disorder involves intrusive unwanted thoughts (obsessions) the performance of elaborate rituals (compulsions) in an attempt to control or banish the persistent thoughts or to avoid feelings of unease. The rituals are usually time consuming and seriously interfere with everyday life. For example, people may be constantly driven to wash their hands or continually return home to check that the door is locked or that the oven is turned off. People with this disorder are often acutely embarrassed and keep it a secret, even from their families.

72 TROUBLE OBSESSIVO-COMPULSIF : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
La personne manifeste-t-elle des comportements répétitifs ou s'adonne-t-elle à des rituels répétitifs, comme vérifier; mettre en ordre; compter; etc. qu'elle ne peut pas cesser facilement? La personne a-t-elle des pensées répétitives qui la contrarient, mais qu'elle n'arrive pas à bannir facilement? Ces pensées ou ces comportements lui causent-ils des difficultés dans sa vie quotidienne?

73 Trouble de stress post-traumatique (TSPT)
Réaction émotive intense et persistante à une situation dans laquelle la sécurité ou l'intégrité du corps de la personne sont menacées (viol, guerre, tremblement de terre, déraillement de train) Les symptômes persistent pendant 6 semaines ou plus après le traumatisme et comprennent notamment : revivre l'événement; hyperexcitation autonome; évitement Handicap fonctionnel Post-traumatic stress disorder Some people who have experienced major traumas such as war, torture, hurricanes, earthquakes, accidents or personal violence continue to feel terror long after the event is over. They may experience nightmares or flashbacks for years. The flashbacks are often brought about by triggers related to the experience.

74 Intensité des symptômes invalidants physiques et du comportement
1. Réaction aiguë de stress  Affecte 100 % de la population  Affecte tous les domaines de fonctionnement du cerveau  Peut affecter le fonctionnement Intensité des symptômes invalidants  Rétablissement sans traitement médical Dérèglements affectifs, cognitifs, physiques et du comportement et handicap fonctionnel  Derniers jours - dernières semaines  Que faire? Reprendre les activités habituelles Essayer de trouver du soutien affectif JOURS SEMAINES MOIS Traumatisme

75 3. Trouble de stress post-traumatique
Intensité des symptômes invalidants  Revivre l'événement  Évitement/Léthargie  Hyperexcitation  Handicap fonctionnel ATTENTION Échec de la réaction de stress à résoudre le problème JOURS SEMAINES MOIS Traumatisme CAUTION

76 TROUBLE DE STRESS POST-TRAUMATIQUE : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
Y a-t-il un événement traumatisant – et si oui, quel est cet événement? Quels symptômes la personne éprouve-t-elle actuellement? La personne éprouve-t-elle des symptômes dans les trois catégories : revivre l'événement; évitement/léthargie; hyperexcitation? Quels symptômes la personne a-t-elle éprouvés immédiatement (1 à 3 jours) après l'événement? Quels symptômes la personne a-t-elle éprouvés plus tard (4 semaines après l'événement)? Les symptômes que la personne éprouve causent-ils des problèmes importants dans sa vie quotidienne?

77 Le trouble de stress post-traumatique et le milieu scolaire
Les symptômes de stress qui suivent immédiatement un événement traumatisant sont NORMAUX et ne nécessitent pas d'interventions. L'information à ce sujet doit être communiquée aux élèves, aux parents et aux membres du personnel. Certaines interventions (comme l'aide après un stress dû à un incident grave) ne sont pas nécessairement utiles et peuvent même être nuisibles. À la suite d'un événement traumatisant, les écoles peuvent offrir des espaces tranquilles où des membres du personnel sont disponibles après la classe et « identifier » les jeunes symptomatiques, pendant 4 à 6 semaines après l'événement. On peut offrir aux élèves symptomatiques une thérapie comportementale combinée ou d'autres traitements psychologiques fondés sur l'expérience clinique. Évitez la pression de « faire quelque chose » et efforcez-vous de « faire ce qu'il faut ». Dans le cas d'un suicide, pensez à identifier les jeunes à risque (amis du défunt).

78 QUE SONT LES FONCTIONS DU COMPORTEMENT?
Behavior: Our ability to interact with others and our environment through ‘doing’. Actions in response to internal or external stimuli. We use all of these brain functions every second of every day and are largely unaware that we are doing so. Our brain integrates all of these functions to enable us to do even the simplest task.

79 Que sont les dérèglements du COMPORTEMENT?
Il s'agit souvent de l'expression la plus visible des troubles mentaux Violence Suicide Perte de motivation (avolition) Retrait social Perte de savoir-faire Comportements bizarres Évitement

80 TROUBLES MENTAUX DU COMPORTEMENT : Trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) Trouble des conduites Abus d'alcool ou de drogues

81 TROUBLE DÉFICITAIRE DE L'ATTENTION AVEC HYPERACTIVITÉ (TDAH)
Début avant l'âge de sept ans Trois domaines principaux : Attention Hyperactivité Impulsivité Handicap fonctionnel What is Attention Deficit Hyperactivity Disorder? Attention Deficit Hyperactivity Disorder is the most commonly diagnosed behavioural disorder of childhood. In any six-month period, ADHD affects an estimated 4 -6 % of young people between the ages of 9 and 17. Boys are two to three times more likely then girls to develop ADHD. Although ADHD is usually associated with children, the disorder can persist into adulthood. Children and adults with ADHD are easily distracted by sights and sounds and other features of their environment, cannot concentrate for long periods of time, are restless and impulsive, or have a tendency to daydream and be slow to complete tasks Symptoms The three predominant symptoms of ADHD are 1) inability to regulate activity level (hyperactivity); 2) inability to attend to tasks (inattention); and 3) impulsivity, or inability to inhibit behaviour. Common symptoms include varying degrees of the following: Poor concentration and brief attention span Increased activity - always on the go Impulsive - doesn't stop to think Social and relationship problems Fearless and takes undue risks Poor coordination Sleep problems Normal or high intelligence but under perform at school For useful information about ADHD refer to the following website:

82 TDAH : QUELS SONT LES SIGNES À SURVEILLER?
Comparativement à d'autres personnes de son âge, le jeune est-il continuellement et beaucoup plus : Hyperactif (n'arrête jamais; ne peut pas rester tranquille; etc.) Impulsif (agit sans réfléchir; s'occasionne souvent des problèmes parce qu'il n'a pas pensé aux conséquences possibles de ses actes, etc.) Éprouve des difficultés d'attention et de concentration (il arrive souvent qu‘il ne termine pas ses tâches; oublie facilement; etc.) Les filles peuvent éprouver d'importants problèmes d'attention et ne pas manifester de symptômes d'hyperactivité et d'impulsivité Bon nombre de ces symptômes peuvent diminuer en intensité avec l'âge, mais ils ne disparaissent pas complètement. Évaluez toujours les troubles d'apprentissage et soyez conscient de l'abus d'alcool ou de drogues. Estime de soi et décadence morale (il ne s'agit pas d'un problème d'incompatibilité avec le moi)!

83 TDAH : QUE FAIRE? Discutez avec le jeune de la façon dont il perçoit ses problèmes, le diagnostic et le traitement. Utilisez des stratégies d'intervention dont le succès a été démontré chez les jeunes; ne perdez pas votre temps à effectuer des interventions qui n'ont pas fonctionné ou qui ont peu de chances de fonctionner. Favorisez un cadre fondé sur les forces du jeune : découvrez les activités pour lesquelles il est doué ou suggérez des activités qui n'exigent pas une attention soutenue. Comprenez les pour et les contre de la pharmacothérapie.

84 TROUBLE DES CONDUITES (DÉLINQUANCE)
Début avant l'adolescence Transgression persistante des règles, des normes et des valeurs sociales Difficultés avec la loi Peut comprendre des confrontations violentes avec les autres Peut comprendre de la cruauté envers les animaux et les gens Handicap fonctionnel

85 Composer avec le trouble des conduites
L'identification des troubles mentaux qui peuvent contribuer au trouble des conduites est importante. Notamment : TDAH; troubles d'apprentissage; dépression; toxicomanie. Soutien et conseils aux jeunes pour qu'ils trouvent d'autres moyens de s'exprimer (comme le sport, les arts, etc.); Développement de relations plus responsables dans les groupes d'amis Collaboration avec les aidants en milieu scolaire pour participer aux interventions dans la salle de classe et dans la cour d'école

86 Aide – pour se rétablir, demeurer en santé et être bien dans sa peau
Toutes les interventions d'aide agissent sur le cerveau et ont des effets dans une ou plusieurs fonctions du cerveau Psychologique (counseling; psychothérapies spécifiques) – effets courants Somatique (médicaments; autres) Social (groupes; communautés; etc.) Physique (sommeil, exercice)

87 Quel est le but des traitements?
Réduisent les symptômes que la personne éprouve Améliorent la capacité de la personne à fonctionner à la maison, au travail, avec les amis, etc. Empêchent le trouble de survenir de nouveau

88 Comment envisager les traitements (rappelez-vous les cas probants)
Traitements spécifiques – Les traitements dont les effets positifs importants ont été démontrés pour un trouble précis (par exemple : l'inhibiteur spécifique du recaptage de la sérotonine pour la dépression chez les adolescents; la thérapie cognitivo-comportementale pour le trouble d'anxiété sociale, etc.) « Traitements » généraux ou non spécifiques – Les interventions qui ont déjà contribué à réduire certains symptômes dans le cas de divers troubles (par exemple : la bibliothérapie; la psychoéducation; le soutien social, etc.) Interventions de soutien – Les interventions qui ont de bonnes chances de produire des résultats positifs, dans l'ensemble : « c'est bon pour toi » (par exemple : dormir suffisamment, faire de l'exercice, bien manger, etc.)

89 Conseils pour lutter contre les troubles mentaux Dépression
La dépression est facile à traiter à l’aide d’une combinaison de médicaments, de psychothérapie et de consultation. Voici des mesures à prendre qui vous aideront : Aller à l’extérieur Faire de l’exercice Faire des rencontres sociales Arrêter de trop penser Parler à des personnes en qui vous avez confiance Vous détendre Éviter l’alcool et les drogues Rire Résoudre des problèmes (utiliser votre tête!) Planifier votre journée

90 Traitement Troubles bipolaires
Le trouble bipolaire est un état pathologique qui nécessite l’usage de médicaments Psychorégulateurs Antidépresseurs La consultation est également utile, ainsi que le soutien des amis et des membres de la famille Les mêmes choses que vous faites pour soulager la dépression vous aideront aussi dans le cas d’un trouble bipolaire, MAIS il est ESSENTIEL de maintenir un rythme biologique constant. C’est-à-dire, aller au lit vers la même heure tous les soirs et dormir environ huit heures toutes les nuits. Les drogues et l’alcool peuvent déclencher un épisode maniaque ou dépressif – alors, évitez ou limitez leur consommation.

91 Traitement Psychose L’intervention précoce est importante. Le fait d’obtenir de l’aide tôt minimise le risque de perturbation de la vie quotidienne et est essentiel au rétablissement Le traitement de la psychose comprend les médicaments antipsychotiques, la consultation individuelle ou familiale et le soutien, dans le but d’aider la personne atteinte à retrouver ses habitudes quotidiennes normales. Le traitement comprend également la sensibilisation de la personne au sujet de ce trouble et la promotion de saines habitudes de vie De plus, d’autres programmes éducatifs ou professionnels sont souvent nécessaires.

92 Traitement Psychose (suite)
Les efforts seront également axés sur la réduction des facteurs de risque afin de prévenir la rechute et de favoriser le rétablissement. Le choix du traitement dépend de la gravité des symptômes, des causes possibles et depuis combien de temps les symptômes se manifestent.

93 Conseils pour lutter contre les troubles mentaux Troubles anxieux
Faire de l’exercice chaque jour Se détendre – exercices de respiration profonde, yoga, tai-chi, méditation Bien dormir – huit heures, chaque nuit Apprendre à rire Limiter la consommation d’alcool et de drogues Suivre un régime alimentaire équilibré Ajouter de la variété à votre vie Créer un réseau de soutien Apprendre à gérer votre vie Contester votre perfectionnisme Mettre en doute les pensées qui provoquent de l’anxiété : sont-elles vraies? Le traitement professionnel est utile. Il comprend une psychothérapie, la consultation ou l’utilisation de médicaments

94 Traitement Troubles de l’alimentation
Les troubles de l’alimentation constituent des maladies mentales Les troubles de l’alimentation manifestent des problèmes émotionnels et physiques complexes, et ils requièrent divers traitements professionnels en vue d’un rétablissement. Traitement médical des problèmes de santé liés au poids Consultation en matière de nutrition Psychothérapie Des médicaments peuvent être utiles pour traiter la boulimie

95 Pour obtenir de l’aide Liens utiles
Chaire Financière Sun Life sur la santé mentale des adolescents : (en anglais) Réseau canadien de la santé : (anglais) (français) Association canadienne pour la santé mentale, bureau national : Association canadienne pour la santé mentale, division de l’Ontario : (en anglais) Centre de toxicomanie et de santé mentale : (anglais) (français) Santé Canada, site Web sur la santé mentale : (anglais) (français) National Alliance for the Mentally Ill : (en anglais) Centre national d’information sur la santé mentale de SAMHSA : (en anglais) MindMatters: une ressource pour la promotion de la santé mentale dans les écoles secondaires : (en anglais) Renseignements sur la santé mentale de Continuing Medical Education (CME) :

96 Autres ressources utiles
Transitions : Guide de l’étudiant en post-secondaire (livre) Mental Health Training for Teachers (guide de ressources) Understanding Depression and Suicide in Adolescents (programme de formation) Evidence-Based Medicine for Patients (livre) Quand ça ne va pas : Aide aux enseignants aux prises avec des élèves en difficulté (livre) Tous ces programmes et ces livres sont offerts sur le site Web de la Chaire Financière Sun Life sur la santé mentale des adolescents

97 FIN www.teenmentalhealth.org
Pour accéder à de l’information et des ressources :


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