La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

cérébro-lésée traumatique

Présentations similaires


Présentation au sujet: "cérébro-lésée traumatique"— Transcription de la présentation:

1 cérébro-lésée traumatique
prise en charge d'une personne cérébro-lésée traumatique

2 Définitions

3 Un traumatisme crânien correspond aux conséquences d'un choc sur la boîte crânienne et son contenu, l'encéphale. TC grave : il s’agit de traumatismes crânio-encéphaliques avec lésions associées, et coma de plus de 24 heures le score de Glasgow est inférieur ou égal à 8.

4 Echelle de Glasgow Permet d’apprécier la profondeur d’un coma par l’étude de la variabilité de 3 critères cliniques très précis qui sont : L’ouverture des yeux. Les capacités de motilité (faculté de se mouvoir), ou si l’on préfère meilleure réponse motrice. La réponse aux questions posées (réponses verbales). Réponse Verbale Ouverture de yeux Réponse motrice Orientée……………….5 Spontanée……….4 Obéit………………6 Confuse……………….4 Au bruit…………..3 Adaptée……….…..5 Inappropriée………….3 A la douleur……..2 Orientée……………4 Incompréhensible……2 Absente …………1 Flexion réflexe…….2 Absente……………….1 Extension réflexe…1

5 Le Coma Directement lié à l’importance du TC et au nombre de neurones détruits. D’une durée variable. Abolition temporaire de la vie de relation avec conservation au moins partielle des fonctions de la vie végétative. La fin du coma = ouverture régulière des yeux.

6 Le traumatisme crânien :
peut avoir des conséquences orthopédiques, neurologiques, cognitives, comportementales, sociales et professionnelles. Cet accident va provoquer une rupture. La personne va devoir apprendre à composer avec de nouvelles sensations, de nouvelles perceptions et de nouvelles contraintes.

7 Etiologie

8 Les Accidents de la Voie Publique :
l’alcool: 40% des accidents les drogues: cannabis banalisé la vitesse: associée aux 2 autres Les comportements des jeunes adultes : en particulier des hommes 15/25 ans : prise de risque Les chutes : chez les personnes âgées Les agressions Les accidents de loisir L’éthylisme chronique

9 L’âge joue un rôle dans le processus de récupération :
Chez les enfants : Cerveau riche en eau Chez les personnes de plus de 60 ans : Cerveau moins riche en eau et neurones Syndrome démentiel

10 Physiopathologie

11 I. les conséquences anatomiques

12 1.Lésions cérébrales immédiates
Le traumatisme crânien est responsable d'une destruction instantanée d'une partie du parenchyme cérébral, lors du choc initial. Ces lésions cérébrales sont irréversibles.

13 Elles sont de deux types :
1-1. Lésions axonales diffuses : Ces lésions correspondent à une rupture des axones. Ces prolongements neuronaux relient différentes zones du système nerveux central, les connectent pour transférer des informations.

14 1-2. Lésions focales : Il s'agit d'attritions localisées du parenchyme cérébral. Selon qu'elles sont placées dans des zones parlantes ou non , elles se traduiront ou non lors de l'examen clinique par des signes neurologiques.

15 1-3. Les facteurs d'auto aggravation :
Dans les heures qui suivent un traumatisme crânien, survient une insuffisance circulatoire cérébrale responsable d'ischémie neuronale et péri neuronale. À partir des neurones lésés, sont libérées des substances toxiques responsables de lésions sur les neurones sains et d'œdème cérébral.

16 2. Lésions cérébrales plus tardives
L'hydrocéphalie à pression normale : Elle survient entre 2 et 6 mois après le traumatisme initial, se caractérise par une stagnation voire une régression de l'évolution clinique. Elle est le plus souvent repérée par l'équipe de rééducation. Elle sera améliorée par la pose d'une dérivation ventriculo-péritonéale.

17 Scanners Septembre 2001 Décembre 2001

18

19

20

21 II. les conséquences cliniques

22 1. Conséquences neurologiques
Hémiplégie Syndrome cérébelleux Hémianopsie latérale homonyme (droite ou gauche)

23 2. Lésions associées Polytraumatismes Lésions médullaires
Apparition de para-ostéo-arthropathies. Attitude vicieuse de type varus équin, ou enroulement de la main, par spasticité. Épilepsie… conséquence de cicatrices du traumatisme cérébral. - peut survenir plusieurs mois après le traumatisme.

24 3. Les troubles cognitifs et du comportement
Les troubles cognitifs et comportementaux sont les troubles des fonctions cérébrales supérieures provoqués par une lésion du cerveau .

25 3-1. Les fonctions cognitives
Attention : capacité à se concentrer . Attention soutenue : capacité à réaliser des tâches longues au cours desquelles il faut réagir à un signal fréquent au milieu de signaux distracteurs nombreux mais non pertinents. Attention divisée : capacité à distribuer ses ressources attentionnelles afin de gérer 2 types d’informations simultanément. Cas particulier de l’héminégligence : le patient ne considère pas une partie de son corps et / ou de l’espace. Fonctions exécutives : ce concept renvoie à l’ensemble des processus (inhibition, planification, flexibilité, contrôle…) dont la fonction est de faciliter l’adaptation des sujets à des situations nouvelles, et ce notamment lorsque les routines d’actions ne peuvent suffire.

26 Mémoire : capacité d’acquérir, de conserver et de restituer volontairement des informations ou évènements passés ou futurs. Mémoire épisodique : mémoire des évènements vécus personnellement dans un contexte temporo-spatial propre Mémoire sémantique : mémoire de l’ensemble des connaissances d’un individu : c’et la mémoire des mots, des idées et des concepts. Mémoire procédurale : mémoire des habitudes et des gestes appris. C’est la mémoire du savoir-faire. Mémoire de travail : mémoire qui permet de maintenir temporairement un certain nombre d’informations et de les manipuler pendant la réalisation d’une tâche. Langage : capacité de s’exprimer et de comprendre (verbale ou non verbale, implicite ou non, orale ou écrite)

27 Capacités visuo-spatiales : capacités à traiter des informations en 2 D ou 3 D.
Gnosies : capacité à reconnaître et à interpréter des informations visuelles, tactiles, gustatives et auditives (en fonction du positionnement dans l’espace, du mouvement, …..) Praxies : capacités à réaliser des gestes simples ou complexes, symboliques ou fonctionnels,en mono ou bimanuel, sur imitation ou non.

28 3-2. Les troubles spécifiques du comportement et psychoaffectifs :
Deux versants : Expressif : désinhibition, irritabilité, non respect des conventions sociales, impulsivité. Inhibé : apathie, émoussement affectif, bradypsychie, amimie, isolement. Labilité des émotions. Dépression réactionnelle. Stress post-traumatique. Déni. 3-3. Le cas particulier de l’anosognosie : Non prise de conscience des troubles consécutifs au traumatisme crânien.La rééducation s’en trouve compliquée.

29 Les troubles neuropsychologiques et psycho-comportementaux représentent la principale séquelle des TC et sont une cause de handicap social important. « Handicap invisible »

30 Critères de prise en charge
d'une personne TC en CRF

31 Les patients qui peuvent être orientés en Centre de Rééducation et de Réadaptation:
Suite à un TC grave : - lorsque les risques vitaux respiratoires, cardio-vasculaires, neurovégétatifs et nutritionnels sont écartés - et lorsque le score de Glasgow est inférieur ou égal à 8 Suite à un TC modéré : -lorsque le score de Glasgow est compris entre 9 et 12.

32 Principes de prise en charge
d'une personne TC au CRF

33 L’interdisciplinarité
Chaque membre de l’équipe a sa spécificité. La mise en commun des différentes compétences permet de mettre en œuvre le projet du patient dont il est le principal acteur.

34 L’équipe interdisciplinaire
Médecin-secrétaire médicale infirmières - aides-soignantes-ASH kinésithérapeute – professeur de sport ergothérapeute orthophoniste assistante sociale psychologue neuropsychologue animatrice Diététicienne-cuisiniers

35 I. L’interdisciplinarité
La prise en charge interdisciplinaire permet d’améliorer: l’évaluation de l’ensemble des troubles la cohérence des actions la circulation des informations

36 I. L’interdisciplinarité
II. Le P III

37

38 I. L’interdisciplinarité
II. Le P III III. Les évaluations régulières : MIF WHIM

39 La MIF MIF

40 La WHIM (Wessex Head Injury Matrix)
60 items Vision Audition Langage Comportement Mémoire

41

42

43

44

45

46 I. L’interdisciplinarité
II. Le P III III. Les évaluations régulières : MIF WHIM IV. Le respect du patient : rythme : planning individualisé réévalué habitudes de vie

47 I. L’interdisciplinarité
II. Le P III III. Les évaluations régulières : MIF WHIM IV. Le respect du patient : rythme : planning individualisé réévalué habitudes de vie V. La verbalisation, la stimulation multi sensorielle :

48 I. L’interdisciplinarité
II. Le P III III. Les évaluations régulières : MIF WHIM IV. Le respect du patient : rythme : planning individualisé réévalué habitudes de vie V. La verbalisation, la stimulation multi sensorielle : VI. L’indolence : suppression des éléments nociceptifs

49 I. L’interdisciplinarité
II. Le P III III. Les évaluations régulières : MIF WHIM IV. Le respect du patient : rythme : planning individualisé réévalué habitudes de vie V. La verbalisation, la stimulation multi sensorielle : VI. L’indolence : suppression des éléments nociceptifs VII. La participation de la famille

50 Trajectoire

51 Prise en charge interdisciplinaire en hospitalisation complète
TC HDJ UÉROS Entrée au CRF Prise en charge interdisciplinaire en hospitalisation complète réanimation Phase d’éveil – phase de rééducation – phase de réadaptation réinsertion prof.

52 I. Prise en charge en réanimation

53 I. Prise en charge en réanimation
II. Arrivée au CRF 1.La phase d’éveil

54 I. Prise en charge en réanimation
II. Arrivée au CRF 1.La phase d’éveil 2.La phase de rééducation et réadaptation

55 I. Prise en charge en réanimation
II. Arrivée au CRF 1.La phase d’éveil 2.La phase de rééducation et réadaptation 3.La phase de réinsertion

56 I. Prise en charge en réanimation
II. Arrivée au CRF 1.La phase d’éveil 2.La phase de rééducation et réadaptation 3.La phase de réinsertion III. Sortie du CRF

57 Conclusion

58 Prise en charge au CRF Bretegnier

59 I. Introduction

60 II. De la phase d'éveil à la phase de rééducation
et réadaptation

61 1. Les moyens :  Un lieu Une équipe interdisciplinaire

62 2. La phase d'éveil : fait suite à la phase de coma
L'ouverture des yeux signe le début de la phase d'éveil. Respect des principes:mise en confiance de la personne et de la famille (disponibilité du personnel soignant), respect de la non douleur, de la fatigabilité Établissement du code de communication Programme de soins individualisés: écoute attentive sans interprétation abusive La famille : mise en confiance, - lien avec l’histoire personnelle parfois conflit…

63 2-1. Installation de la chambre

64 Parfois nécessaire pour la sécurité sans contrainte…

65

66

67

68 2-2. Prise en soin par l’équipe soignante

69 Transfert : verbalisation pour rassurer

70 Toilette

71

72

73 Les repas

74 La sécurité + bracelet anti-fugue si nécessaire

75 2-3. Prise en charge par les rééducateurs

76 L’ergothérapeute installation au lit

77

78 L’ergothérapeute installation au lit installation au fauteuil roulant

79

80 L’ergothérapeute installation au lit installation au fauteuil roulant
mise à disposition d’aides techniques mise en situation sur l’étage

81 L’ergothérapeute installation au lit installation au fauteuil roulant
mise à disposition d’aides techniques mise en situation sur l’étage

82 L’ergothérapeute prise en charge individuelle

83

84

85

86 L’ergothérapeute prise en charge individuelle
mises en situation écologique

87

88 L’ergothérapeute prise en charge individuelle
mises en situation écologique aides techniques et domicile

89

90

91

92

93 Aménagement d’une douche

94 L’orthophoniste troubles de la déglutition troubles du langage
Évalue et participe à la rééducation des: troubles de la déglutition troubles du langage les troubles de la communication: Mutisme, manque du mot, paraphasie… les troubles de la voix et de la parole : Dysphonie, dysarthrie…

95 En collaboration avec l’équipe soignante et de rééducation:
. établissement d’un code de communication . ré-alimentation progressive, sous surveillance Les interventions de l’orthophonistes, comme des autres thérapeutes, se font de manière individuelle et/ou collective, en chambre, au bureau, ou en salle, suivant les capacités et besoins des patients.

96 La kinésithérapeute prise en charge individuelle :
avec des principes identiques en chambre en salle de rééducation

97

98 La kinésithérapeute prise en charge individuelle:
en chambre en salle de rééducation prise en charge dans l’eau

99

100

101

102

103 La kinésithérapeute prise en charge individuelle:
en chambre en salle de rééducation prise en charge dans l’eau prise en charge en groupe

104 2-4. Les activités cognitives
Groupe d’activités : 3 x par semaine

105

106

107

108

109

110

111

112

113

114

115 La phase d'éveil se termine quand le patient sort de l'amnésie post- traumatique, lorsqu’il est capable de se rappeler d'un jour à l'autre ses faits et gestes. La prise de conscience des troubles est généralement parcellaire. Les états pauci-relationnels : au bout d’une année en l’absence de code de communication.

116 3. En phase de rééducation et réadaptation 

117 Sorti de la phase d'éveil, le patient devient de plus en plus acteur de sa rééducation. La prise en charge est alors centrée sur les différentes déficiences. Elle débouchera sur la mise en évidence de capacités et d'incapacités, sur l'optimisation des possibilités du patient pour la meilleure autonomie . C’est aussi une période d’apparition de troubles du comportement.

118 3-1. Prise en charge par l’équipe soignante
surveillance autonomisation

119 3-2. Prise en charge par les rééducateurs et autres professionnels
Début des Activités Physiques Adaptées

120

121

122 Assistante sociale

123 Ce que fait l’assistante sociale
Écoute du patient sur : comment il vivait avant : Situation familiale, situation professionnelle, conditions de logement, les ressources, les relations familiales et amicales, les loisirs Nous effectuons une approche globale de la situation de la personne en prenant en compte les aspects de sa vie familiale et professionnelle ce qu’il vit par rapport à son handicap Ce qui lui pose problème ou l’inquiète

124 Accompagner le patient et sa famille pour l’aider à assumer le handicap et ses conséquences
Réfléchir : ensemble avec le patient au projet de vie et tenter de le mettre en œuvre dans les meilleures conditions. Ex ; dans le cas ou le retour à domicile n’est pas réalisable, recherche d’un lieu de vie plus adapté à la situation.

125 Accès aux droits : on informe et accompagne le patient et sa famille sur leurs droits et sur demandes et démarches à effectuer en fonction de la situation particulière ex ; carte invalidité, carte de stationnement, prestations diverses

126 Préparer la sortie du patient : sa réinsertion familiale et sociale
1- Organisation de la vie quotidienne avec mise en place d’aide humaine, repas à domicile, portage de repas, téléalarme, protection juridique 2- Évaluation du logement avec l’ergothérapeute Constitution des dossiers de financement 3- Placements Recherche d’établissements ( Maison d’accueil spécialisée, foyer d’hébergement…) ou placement en famille d’accueil

127 Préparer la réinsertion professionnelle

128 En phase de réinsertion professionnelle
Il est communément admis que le délai de réinsertion professionnelle pour une personne victime d’un traumatisme crânien est de 2 à 5 ans

129 Reprise de l’activité professionnelle antérieure si la personne le peut
Demande de reconnaissance de travailleur handicapé Aménagement de poste Possibilité de se mettre en lien avec l’employeur, médecin du travail

130 Si la personne n’est pas en capacité de reprendre son activité professionnelle, préparation au reclassement professionnel Demande de reconnaissance de travailleur handicapé Orientation vers les organismes compétents : Aris Cap emploi ( bilan de compétences, formation…) CRM de Mulhouse UEROS (Unité d’Evaluation de Ré entraînement et d’Orientation Socio-professionnelle) Orientation en atelier protégé ou esat ( = CAT) Où la rentabilité du travail, les responsabilités, les exigences professionnelles sont moins importantes qu’en milieu ordinaire

131 Si la personne n’est pas en capacité de reprendre une quelconque activité professionnelle
Sera alors privilégiée l’insertion sociale ou tout ce qui pourra donner sens à cette nouvelle vie d’après.

132 Loi du 11 février 2005 sur l’égalité des droits et des chances des personnes handicapées
Création des Maisons Départementales des personnes handicapées (MDPH) Évaluation des besoins Reconnaissance des droits Suivi des prestations Accompagnement dans les démarches sociales et professionnelles • Création de la prestation de compensation du handicap Aides humaines Aides techniques Aménagement du logement, du véhicule Aides animalières Aides spécifiques

133 La psychologue La neuropsychologue
entretien individuel : avec les patients les familles La neuropsychologue bilan et rééducation cognitive en individuel et/ou en groupe Rencontre avec les familles

134 3-3. Groupe de communication :
Ce groupe de communication a lieu 1 x par semaine. Il est animé par l’orthophoniste et la neuropsychologue et une kinésithérapeute Troubles des compétences et des comportements de communication

135 3-4. Autres activités : Animation

136 3-5. Passage en hospitalisation de jour
évaluer valider finaliser

137 Suivi

138 Le suivi L'évaluation des capacités, renouvelée régulièrement au cours du séjour, permet de présager et d'organiser : - des interventions orthopédiques - des possibilités de réinsertion professionnelle. - les conditions sociales, - les modes de vie et de dépendance, - les activités de loisirs, professionnelles (conduite automobile) Cette prise en charge est programmée en lien étroit avec le médecin traitant, les professionnels libéraux, l’entourage pour répondre chaque fois à un objectif précis.

139 Le suivi L’aspect médico-légal Le coût financier

140 Conclusion

141 Les soignants = interlocuteurs privilégiés des familles et le lien permanent entre les différents intervenants. La prise en charge d'un T.C nécessite d'avoir une équipe stable, pleine d'énergie, travaillant dans le même sens afin que le malade et la famille aient des repères. Une prise en charge complexe. Les troubles cognitifs et du comportement rendent plus difficile la prise ne charge. La personne TC ne rentre pas toujours à domicile. L’accueil en structure adaptée peut demander du temps par manque de places disponibles.

142 En résumé : - une approche interdisciplinaire. - intégrer la famille dans la prise en charge, indispensable par le côté affectif qu'elle seule peut amener, par le lien historique, biographique. - développer les réseaux en aval de la Médecine Physique et de Réadaptation.

143 CRF Bretegnier : 4 places EVP 16 places MAS
Les structures d'accueil pour les patients les plus dépendants (MIF < 30) dont l’état s’est chronicisé sont indispensables, mais le nombre de lits est trop limité . CRF Bretegnier : 4 places EVP 16 places MAS

144 Merci de votre attention


Télécharger ppt "cérébro-lésée traumatique"

Présentations similaires


Annonces Google