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QCM 1: Sur les savoirs pour l’anthropologie

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Présentation au sujet: "QCM 1: Sur les savoirs pour l’anthropologie"— Transcription de la présentation:

1 QCM 1: Sur les savoirs pour l’anthropologie
A : « Un savoir représente quelque chose, par exemple la nature, il la donne à connaitre tout en la construisant à la fois. » On peut considérer cette proposition comme juste. B : Les savoirs professionnels comme les savoirs profanes sont des registres centraux qui interviennent dans notre rapport au monde et aux événements qu’on rencontre dans ce monde. C- Bruno Latour a montré que les savoirs autour de l’inoculation sont en lien avec des représentations du corps. D : G. Vigarello a travaillé sur la fabrique des faits scientifiques. E : Tant que le corps était pensé comme n’ayant aucune ressource interne, l’inoculation n’a pu être collectivement envisagée comme un geste efficace.

2 QCM 2 : Sur la douleur : A- L’anthropologie raisonne sur l’expérience de la douleur, c’est-à-dire la manière dont elle se traduit subjectivement, en suivant le dualisme corps/esprit. B- Des recherches anthropologiques ont montré que la douleur est une signification. Elle l’est dans les approches de l’anthropologue, elle l’est dans les processus de pensée des individus. C- On peut parler d’un savoir profane sur la douleur. Ce savoir s’appuie sur l’expérience accumulée des individus. Cette expérience contient des données sociales. C’est de là que nous partons en anthropologie pour analyser les rapports individuels à la douleur et à la souffrance. D- La douleur qui dure rend toujours agressif. E- L’anthropologie conduit à mettre à distance l’idée de douleur comme étant uniquement un mécanisme physiologique.

3 QCM 3 Pour l’anthropologie :
A- Une culture est composée de biens matériels et idéels. On peut aussi dire que la culture est un héritage, celui de l’histoire d’un groupe. B- Les rapports des soignants aux risques sont uniquement marqués par les socialisations professionnelles. C- L’alimentation permet de construire de l’identité individuelle mais pas collective. Elle permet aussi de construire de la différence entre groupes. D- Etre médecin n’est pas un statut, c’est un rôle. E- On peut dire que la culture provient d’un héritage, et est aussi une fonction, celle d’adaptation à un environnement. C’est aussi un concept.

4 QCM 4: sur la douleur suite :
A- Dans le domaine du rapport à la douleur et à la souffrance, à la différence d’autres (le rapport à la faim par exemple), l’individu ne se résume pas à une formule sociale ou culturelle, mais à ce qu’il fait des influences socioculturelles qui pèsent sur lui. B- Les situations douloureuses ne sont pas toujours perçues comme digne d’intérêt par les individus. Elles le sont toujours pour l’anthropologue. C- Les représentations sociales de la douleur sont articulées à des représentations individuelles mais aussi collectives du corps et des organes qui le composent. On peut estimer cette proposition comme juste. D-Quand nous parlons de souffrance en anthropologie, nous l’analysons comme un objet « mis au normes » dans une société, donc socialisé. E- Douleur et souffrance peuvent être conçues comme des synonymes par un anthropologue si les personnes interrogées les conçoivent ainsi.

5 QCM 5 : selon les anthropologues :
A- De manière générale, on peut réfléchir sur la tolérance à la douleur, selon les milieux sociaux. B- Le travail médical est lié à un ensemble de représentations, parmi lesquelles : des représentations de la responsabilité individuelle, du travail bien fait, ou du risque. C- Dans l’analyse des itinéraires thérapeutiques, la recherche de l’origine renvoie à la recherche de l’agent, des forces actives. D- On peut parler de savoir profane, fondé sur l’expérience des acteurs. On peut aussi penser que les savoirs professionnels s’appuient sur un ensemble de connaissances acquises par apprentissage formel et par expérience. E- Selon les anthropologues de l’alimentation, certaines sociétés classent les animaux en trois catégories : sauvage, domestique, familier. Ceux classés dans la catégorie « sauvage » et « domestique » peuvent être consommés.

6 QCM 6 : questions diverses :
A : Selon G. Vigarello, le corps au temps de la peste, est un corps ouvert sur les influences extérieures ; il faut l’en protéger, par exemple par l’usage de toiles épaisses. B : On peut dire que le goût est affaire de signes et de symboles. C : Signes et symboles interviennent dans les pratiques alimentaires, dans l’élaboration du goût, et suivant la même logique, ils interviennent dans les pratiques de soin. D : Le « savoureux » est le produit d’une lecture individuelle mais qui se réalise dans un cadre social et culturel. E : Dans le domaine de l’alimentation, le « consommable » est soumis au concept d’appréciation, lequel est uniquement marqué par l’histoire individuelle de chacun.

7 QCM 7 : questions diverses
A- Quand voit-on apparaitre les pudeurs ? Voilà une question que s’est posée Marcel Mauss. B-Observations et entretiens constituent les deux outils qui permettent aux anthropologues de « faire du terrain » et de produire des recherches. C- Les analyses anthropologiques partent toujours des individus. Aussi, il n’est pas possible de produire des modèles pour analyser les sociétés. D- Elias rappelle avec son travail, comment le corps et ses usages permettent de fabriquer de la distinction sociale. E- L’ordre social est naturel tout autant que social, car aucune société ne peut fonctionner sans ordre.

8 QCM 8 : Questions diverses
A- C’est la dimension en partie unique de chaque action qui nous renseigne sur les systèmes sociaux en arrière plan des actions des individus. B- Le monde pensé est un objet de recherche en anthropologie. C’est même l’objet au cœur de notre approche du monde social. C- On peut dire que Marcel Mauss a posé les jalons d’une première définition de l’Habitus avec son approche des techniques du corps. D- Le phénomène d’appréciation ne concerne pas la vérité. E- Cerner les phénomènes d’appréciation en anthropologie, c’est partir de la dichotomie classique : superstition-croyance, versus vérité, pour porter sur ces phénomènes une analyse et un regard critique.

9 QCM 9 : questions diverses
A : Exposer des amulettes dans un musée, c’est faire état d’objets de soin et de conceptions du soin qui relèvent de la culture matérielle et immatérielle d’un groupe social. B : Certains jugements sont en contradiction avec des faits observables. Pour les anthropologues, ils ne peuvent être conçus comme des vérités. C : Une anthropologie compréhensive est entendue comme une science de l’interprétation du sens que recouvrent les actions de chacun(e). D : Un « pré-codage symbolique » c’est de l’immatériel (= de l’ordre des idées) conjoncturel (= ça varie en fonction des époques et des cultures). E : A travers les représentations sociales, chaque être humain vivant en société va intégrer une part de la réalité pour en faire quelque chose qui appartient à l’ordre du Réel.

10 QCM 10 : questions diverses :
A- Lorsque l’on dit que la mort encéphalique correspond à deux encéphalogrammes plats à 30 minutes d’intervalle, on est dans la partie « illness » de la maladie. B- On peut penser que la recherche d'informations médicales pour un malade est étroitement liée à une dimension culturelle et sociale. Cela apparait dans l’analyse de D. Memmi. C- Hughes explique que les étudiants en médecine vont apprendre des éléments d’une nouvelle culture lors de l'apprentissage de leur métier. D- Les étudiants ne vont pas pour autant changer leur vision du corps dans le cadre de leur travail. E- Les étudiants apprennent à penser à travers des cadres de lecture que le monde médical leur a appris, et qu’ils vont appliquer « en routine » dans le cadre de leur futur travail.

11 QCM 11 : questions diverses
A : Le concept de responsabilité individuelle est une valeur négative en santé publique, telle qu’elle s’est développée en France. B : L'autorité des professionnels de santé fonctionne avec la collaboration de ceux qui la « subissent ». Cette autorité a une histoire. C'est devenu aujourd’hui une évidence qu'on ne questionne plus. C : L'homme, en construisant de l'organisation sociale, se structure aussi autour d'un rapport symbolique au monde. D : Face au thème de la maladie, les anthropologues cherchent comment le social intervient ; ce social est appréhendé au travers du travail sur les expériences des individus. E : On peut dire que la notion de « corps collectif » fait référence à un corps contrôlé, gouverné par la société. Chaque corps individuel est aussi en partie un corps collectif.

12 QCM 12 A : La société est à la fois externe et interne aux individus qui la constitue. B : La notion de représentation sociale possède un fort impact dans les relations entre individus (notamment dans la relation de soins). C- La socialisation est une acquisition de savoir être, valeurs communes et partagées mais l'apprentissage de savoirs techniques ne se fait pas par la socialisation. D- Les normes sont des façons de faire prescrites par la société. Elles peuvent varier d’une société à une autre mais pas dans une même société. E- Goffman est à l'origine du concept d'habitus.

13 QCM 13 : questions diverses :
A- A travers les représentations sociales, chaque être humain vivant en société va intégrer une part de la réalité pour en faire quelque chose qui appartient à l’ordre du réel. B- Mauss, Elias et Memmi ont tous les 3 travaillé sur le corps sous le même angle : chercher en quoi il est socialisé. C- Notre expérience personnelle d’une maladie va influer sur la signification que l’on donne à cette maladie, c’est-à-dire sur sa réalité. D- Cette réalité est unique puisqu’elle est dépendante de notre individualité. E- Cette réalité n’est donc pas sociale, puisqu’elle est unique.

14 QCM 14 : questions diverses :
A- Notre genre, c’est notre sexe socialisé. B- Selon M. Arliaud, l’évolution des connaissances médicales explique principalement l’élévation du statut du médecin dans la société. C- Georges Vigarello est un historien des représentations du corps. Il a travaillé sur les représentation du corps au temps de la peste, mais aussi sur l’inoculation, geste déconcertant pour les repères médicaux du 18ème siècle, en lien avec l’image du corps. D- Manger est une pratique sociale, et non individuelle. E- Les statistiques ont joué un rôle central dans la construction de savoir en prévention.

15 QCM 15 généralités A- La construction du futur médecin est une forme de socialisation. On peut considérer cette proposition comme juste. B- Le rôle médical auquel est initié le futur médecin est aussi un rôle social. C- La distinction entre tolérable et intolérable concerne a priori toutes les cultures. Seuls les contenus changent entre cultures. D-L’inoculation est liée à l’histoire de Mary Wortley Montagu et à son audace, au 18ème siècle. E- Pour Michel ARLIAUD, l’évolution du statut social des médecins est due à une évolution des savoirs scientifiques, et à des processus sociaux. Eléments médicaux et sociaux s’articulent donc ici.

16 QCM 16 : Sur le diagnostic de la maladie selon les cultures
A- La question « quelle maladie » renvoie à la recherche de symptômes. B- Rechercher l’agent, c’est rechercher la cause ultime. C- Rechercher la cause, c’est rechercher les événements. D- Rechercher la cause, c’est rechercher la cause instrumentale ou immédiate. E- Les forces actives, correspondent à la recherche de la cause efficiente.

17 QCM 17 Questions diverses
A- L'individu « idéal » répond à une norme sociale, quelles que soient les sociétés qui le pensent. B- A. Ehrenberg explique que la prise d'initiative, valeur considérée comme contemporaine, peut entraîner la dépression chez beaucoup d’individus dans les pays occidentaux. C- Les médecines dites traditionnelles peuvent être analysées comme la biomédecine, avec les mêmes logiques, par l’anthropologue. D- Pour les anthropologues, croyances et savoirs ne vont pas ensemble dans les pratiques qu’élaborent les médecins. E : Les croyances ne peuvent pas être considérées comme des formes de conception du monde en anthropologie.

18 QCM 18 : divers : A- UN changement de paradigme se produit dans la seconde moitié du 18ème siècle dans les conceptions du corps ; il est raisonné au travers de ses ressources internes, de ses résistances B- En anthropologie la socialisation décrit un processus dynamique et un concept. C- Il existe une tension entre individus et sociétés, en permanence . D-Les sociétés sont des environnements sociaux organisés autours d’éléments matériels (coutumes…) et immatériels (institutions…). E- La société a une action sur l’individu, elle peut par exemple influer sur ses choix.

19 QCM 19 questions diverses
A- Le concept de responsabilité individuelle se retrouve dans toutes les sociétés. B- De nos jours, « l’individu idéal » répond à des normes qui valorisent les prises d’initiatives . C- Certaines normes et valeurs que nous apporte notre société peuvent être considérées comme « pathogènes » pour certains individus qui ne se sentiraient pas « à la hauteur », selon Bourdieu. D- C’est une des conclusions à laquelle est arrivé E. HUGUES dans son livre « la fatigue d’être soi ». E- Jurin est un ethnologue du 18ème siècle.

20 QCM 20 : questions diverses :
A- Habits de cuir et toiles serrées habillaient les corps pour les protéger jusqu’à ce que les protections puissent être pensées comme plus internes : on parlera de protections organiques, explique B. Latour. B- D’après Hughes, il y a 3 temps qui marquent la socialisation qui va amener le futur médecin à s’imprégner d’une nouvelle culture. C- Le premier temps est la séparation du futur professionnel avec le monde profane. D- Le 2ème est le « passage à travers le miroir » où chacun va apprendre à voir le corps humain autrement. E- L’anthropologie pratique l’empathie : chercher à comprendre des pensées et y adhérer pour les relater de manière respectueuse.

21 QCM 21 : Pour l’anthropologie :
A : Les savoirs « situés » des médecins comportent parfois des stigmates sociaux. B : Le risque est une catégorie d’analyse, autant qu’une perception et une représentation. C : Le risque relatif au VIH est stigmatisé dans de nombreuses sociétés, mais pas toujours de la même manière. On peut considérer cette proposition comme juste. D : On peut penser que des violences symboliques (c’est-à-dire des violences qui passent par le regard porté sur certains individus, de manière volontaire ou non) s’expriment dans l’élaboration de savoirs : sur les étrangers, sur les malades, sur les personnes handicapées... E : Une norme s’inscrit dans le registre de l’immatériel mais peut engendrer des conséquences concrètes .

22 QCM 22 : Questions diverses :
A : Certaines pratiques sociales ne peuvent être étudiées par l’anthropologue. B : Les savoirs « situés », ou les savoirs profanes, peuvent intégrer du « bricolage », terme employé par Lévi-Strauss. C : On trouve des normes dans tous les domaines de la vie : le respect envers les ainés, les enfants…. ça n’est pas écrit. Les normes, comme les statuts et les rôles, n’ont pas besoin d’être formulées pour exister dans les dynamiques des sociétés. D : « Surveiller sa santé » peut être considéré comme une norme. Cette norme a conduit des professionnels de santé et des responsables politiques, à réfléchir sur la place qu’il convient d’accorder aux non-spécialistes, c’est-à-dire à ceux qui ne disposent pas de savoirs experts, dans le domaine de la prévention et des soins. E : Dans une société, tout fait système, c’est-à-dire que tout existe vraiment pour l’anthropologue.


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