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SERVICE MEDICAL EN SARTHE

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Présentation au sujet: "SERVICE MEDICAL EN SARTHE"— Transcription de la présentation:

1 SERVICE MEDICAL EN SARTHE
1 médecin responsable départemental 13 médecins de secteur : - 10 titulaires - 3 contractuels 10 équivalents temps plein en secteur élèves/ETP 11 secrétaires 73 infirmières

2 Médecins de l’Education Nationale
ACTIVITE GLOBALE Le médecin de l’éducation nationale intervient sur un secteur géographique pour tous les élèves scolarisés en école, établissements publics locaux d’enseignement et privés sous contrat. Il exerce une action de prévention qui s’inscrit dans la continuité de la maternelle au lycée.

3 MISSIONS (B.O. spécial n° 1 du 25.01.2000)
VISITES MEDICALES OBLIGATOIRES ET A LA DEMANDE SUIVI DES ELEVES A BESOINS PARTICULIERS ACTIONS DE PREVENTION INTERVENTIONS POUR DES SITUATIONS DE CRISE ET DE MALTRAITANCE

4 BILANS DE 6 ANS Bilan de santé en lien avec les infirmières et dépistage des troubles des apprentissages des enfants de 6 ans EXAMENS MEDICAUX POUR L’APTITUDE AU TRAVAIL sur machines dangereuses pour les élèves mineurs

5 EXAMENS MEDICAUX A LA DEMANDE
Elèves en situation de handicap Elèves présentant des maladies chroniques Elèves en difficultés Aide à l’orientation des élèves de 3ème Elèves inaptes à l’éducation physique et sportive

6 AUTRES MISSIONS Enfants en danger Maladies contagieuses
GESTION DES URGENCES Enfants en danger Maladies contagieuses Toxi infections alimentaires collectives Situations de crise

7 AUTRES ACTIONS SPECIFIQUES
AUTRES MISSIONS AUTRES ACTIONS SPECIFIQUES Participation aux équipes éducatives et de suivi Participation à la rédaction des projets d’accueil individualisé (maladies chroniques) Conseil technique et actions collectives Actions de formation

8 Intervention du médecin dans la scolarisation des élèves handicapés
Intégration individuelle avec une attention particulière pour la première scolarisation accueil des familles et de l'enfant Intégrations collectives CLIS et UPI Constitution du dossier certificat médical Diagnostic principal Déficience psychique ou intellectuelle Déficience liée à l'epilepsie Déficience liée à l'audition et à la vision Déficience motrice et déficience métabolique et viscérale

9 Intervention dans une CLIS
Visites médicales à l'école en présence des parents Point sur la santé des élèves Point sur les suivis permettant le lien avec les équipes de soins Respect du secret professionnel Synthèse avec l'enseignant et l'AVS Aménagements éventuels et prise en compte de retentissements possibles sur la scolarité Donner les éléments nécessaires dans l'intérêt de l'enfant

10 Participation à l'équipe de suivi de scolarisation
Aide à la mise en oeuvre du PPS Mise en place d'un PAI si problème médical associé ou prise de médicaments sur le temps scolaire Protocole d'urgence si risque de malaise ou crise avec courrier pour le SAMU si une hospitalisation s'avérait nécessaire

11 SCOLARISATION DES ELEVES HANDICAPES
M.P.BRIERE janvier 2009 mission de promotion de la santé en faveur des élèves

12 PLAN DEFINITION DU HANDICAP EVALUATION DU HANDICAP
SITUATIONS DE HANDICAP CONCLUSION

13 Le contexte Loi de 75 : une obligation de solidarité pour les personnes handicapées Loi : principe d’un droit à compensation 2003 : Année européenne des personnes handicapées Loi de 2005 : garantir aux personnes l’effectivité des droits reconnus par la législation

14 LOI 2005-102 du 11 fevrier 2005 POUR L’EGALITE DES DROITS ET
DES CHANCES, LA PARTICIPATION ET LA CITOYENNETE DES PERSONNES HANDICAPEES

15 La compensation des conséquences du handicap pour répondre aux besoins de la personne
Le projet personnalisé de scolarisation est un des volets du plan de compensation

16 CREATION D’ UN LIEU UNIQUE D’ACCUEIL :
LA MAISON DEPARTEMENTALE DES PERSONNES HANDICAPEES

17 DEFINITION DU HANDICAP

18 Définition du Handicap (loi du 11 février 2005)
toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie par une personne dans son environnement en raison d’une altération substantielle durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, mentales , sensorielles , cognitives ou psychiques , d’un trouble de santé invalidant , d’un polyhandicap

19 DEFINITION DU HANDICAP (O.M.S.)
Le terme de handicap fait appel à trois notions qui se complètent : LA DEFICIENCE = aspect lésionnel L’INCAPACITE = aspect fonctionnel LE DESAVANTAGE = aspect social

20 LA DEFICIENCE ASPECT LESIONNEL
Toute perte de substance ou altération d'une structure ou fonction psychologique, physiologique ou anatomique. Elle peut être temporaire ou permanente

21 Différents types de déficience
DEFICIENCES PHYSIQUES MOTEUR : IMC, myopathies , hémiplégies.. SENSORIEL visuel, auditif MALADIES INVALIDANTES Cardiaque, rénale, diabète…. DEFICIENCES MENTALES INTELLECTUELLE légère, moyenne, profonde DU PSYCHISME POLYHANDICAP

22 L’INCAPACITE ASPECT FONCTIONNEL:
Perte partielle ou totale de la capacité d’accomplir une activité normale temporaire ou permanente, réversible ou non, progressive ou régressive

23 Analyse de la situation dans la vie :
familiale, scolaire , professionnelle Limitation dans la réalisation d’activité de la vie courante : soins corporels, marche, habillage, manipulations alimentation, fonctionnement sphinctérien, communication , comportement

24 LE DESAVANTAGE ASPECT SITUATIONNEL:
Perte partielle ou totale d’accomplir un rôle social normal Résulte de la différence entre ce que la société attend d'une personne et ce qu'elle est capable de faire, compte tenu de ses déficiences et des incapacités qui en découlent. On parlera de personne en situation de handicap

25 De mener une existence physique indépendante
La situation de handicap correspond à l’ interaction entre la personne porteuse de déficiences ou d’incapacités et son environnement. Il s’agit: De mener une existence physique indépendante De se déplacer ou de s’orienter dans les lieux D’avoir une activité(scolarité, travail)

26 Pour une incapacité donnée, le handicap est variable en fonction :
des exigences sociales des aides qui peuvent être apportées dans chacun des milieux de vie.

27 EVALUATION DU HANDICAP

28 Rôles des différents acteurs autour de l’enfant
Rôle de l’équipe éducative particulièrement dans la déficience mentale (enseignant, membres du réseau d’aide,médecin scolaire, des personnels de soins CMP….) Rrôle du psychologue scolaire Rrôle de l’enseignant référent Rrôle de l’équipe pluridisciplinaire MDPH  Évaluation pédagogique, psychologique, médicale, sociale

29 Évaluation du handicap
Orientation scolaire : différents modes d’intégration et le projet personnalisé de scolarisation (PPS) Compensations humaines : auxiliaire de vie scolaire, enseignement spécialisé (CLIS,ULIS), accompagnement par SESSAD, enseignement et accompagnement en milieu médico-éducatif Compensations matérielles : allocation d’éducation pour enfant handicapé (guide barème), aménagement des lieux de vie, matériel spécifique…

30 globale et individualisée de la situation
EVALUATION globale et individualisée de la situation Par l’équipe pluridisciplinaire de la MDPH Permet d’élaborer le projet personnalisé de scolarisation A partir du guide barème Permet de déterminer le taux d’incapacité A partir du guide barème (décrets du et du )

31 LES DIFFERENTES ETAPES
Connaissance du diagnostic Repérage des déficiences Appréciation des incapacités Analyse du désavantage Détermination du taux d’incapacité

32 LE DIAGNOSTIC Il permet au médecin de l’équipe pluridisciplinaire d’avoir des informations sur : Le traitement L’évolutivité et le pronostic de l’état de la personne Le diagnostic ne permet pas à lui seul une évaluation du handicap

33 LES DEFICIENCES constituent le point d’entrée dans les chapitres du guide barème
Déficiences intellectuelles et difficultés du comportement Déficiences du psychisme Déficiences de l’ audition Déficiences du langage et de la parole Déficiences de l’appareil oculaire Déficiences viscérales Déficiences motrices Déficiences esthétiques

34 TAUX D’INCAPACITE Le guide barème ne fixe pas un taux d’incapacité précis mais des fourchettes identifiant des degrés de sévérité: Forme légère: taux de 1 à 15% Forme modérée : 20 à 45% Forme importante : 50 à 79% Forme sévère ou majeur : = ou > à 80%

35 TAUX D’INCAPACITE Deux seuil sont prévus par la réglementation
Le taux de 50% = troubles importants entraînant une gêne notable dans la vie Le taux de 80% = troubles graves entraînant une entrave majeure dans la vie avec atteinte de de l’autonomie dans les actes de la vie courante En fonction du taux, des aides financières sont allouées aux familles =AEEH

36 ELEVES HANDICAPES S'il est possible d'établir facilement un consensus entre professionnels pour les enfants souffrant d'un handicap sensoriel ou moteur, il est plus difficile de s'accorder sur des critères objectifs en ce qui concerne la définition du handicap mental.

37 SITUATIONS DE HANDICAP

38 HANDICAP MENTAL les états déficitaires,
L’évaluation des déficiences mentales de l’enfant en milieu scolaire est souvent difficile car l'on se trouve dans un contexte évolutif, à la rencontre de différentes réalités qui se croisent : les états déficitaires, les troubles du comportement, la maladie mentale….. et l'échec scolaire.

39 DEFICIENCE INTELLECTUELLE
Bien que l’évaluation psychométrique s’avère nécessaire, le repérage de la déficience intellectuelle ne saurait s’effectuer uniquement sur ces tests. L’intelligence n’est pas une capacité univoque.

40 Troubles liés à la déficience intellectuelle
Retard psychomoteur. Trouble de l’attention. Trouble de la perception. Trouble affectif. Trouble de la mémoire. Troubles verbaux. Trouble du raisonnement. Eléments que l’on peut retrouver chez les enfants présentant une déficience intellectuelle et auxquels il faut être attentif. 1-retard psychomoteur: retard à la marche, du langage, retard d’acquisition de la petite enfance. 2-tr. de l’attention: attention labile ou bien rigide. 3- tr.de la perception: dif. À reproduire et à interpréter des figures ( rond, triangle, bonhomme têtard), à distinguer la forme du fond, à trier par forme , à faire des puzzles et des encastrements. 4-tr. Affectif: instabilité, fragilité émotionnelle. 5-tr. De la mémoire: dif. À enregistrer les données et à les retrouver, déficit de la mémoire à court terme (poésie, comptine, chiffre…) oubli des consignes. 6-tr.verbaux: retard de parole et de langage… 7- tr. Du raisonnement: dif. À l’abstraction, à généraliser, à synthétiser, à réfléchir, à établir des liens analogues( autant que, même que); trouble du transfert et de la généralisation, dif. à répondre à de nouveaux problèmes (mécanique).

41 REGISTRES d’EVALUATION
Conscience de soi et capacités intellectuelles Schéma corporel, orientation temps - espace Capacité à acquérir des connaissances, des compétences Capacité relationnelle et comportement Avec les membres de la famille ,les adultes les autres enfants Dans les situations de jeux ,d’apprentissage Capacité d’adaptation au milieu habituel ,aux situations nouvelles Conscience de soi: schéma corporel, orientation dans l’espace et le temps. Capacité relationnelle: capacités à nouer des relations dans des situations de jeux, d’apprentissage avec leur camarade, les adultes.Capacités d’adaptation au milieu habituel , aux situations nouvelles. Comportement en relation duelle, en groupe recherchée en EE.

42 REGISTRES d’EVALUATION
Communication Compréhension du langage , capacité d’expression non verbale(mimique, geste) orale ,écriture ,lecture. Conduite dans les actes de la vie courante Alimentation, toilette, propreté, sommeil Autonomie et socialisation dans la vie familiale et en dehors, participation aux activités domestiques, capacité à se déplacer, à assurer sa sécurité Communication: compréhension du langage, capacité d’expression non verbale ( mimique, geste), orale ( tr articulatoire, phrase..)écriture lecture pour les plus grand… Acte de la vie courante: alimentation, toilette, propreté, sommeil..discussion avec les parents. Autonomie: participation aux activités domestiques , se déplacer seul, à assurer sa sécurité en EE avec Sessad.

43 Aménagements scolaires
Acquisitions pratiques Basées sur la réalité, la manipulation Soutenir son attention Travail en petit groupe Découpage du temps Répétition, patience Apprentissage concret

44 DEFICIENCE MOTRICE Caractéristiques
Atteintes motrices d’origine cérébrale Atteintes motrices d’origine médullaire et/ou neuromusculaire Atteintes motrices d’origine ostéo- articulaire Troubles associés conclusion

45 LA MOTRICITE est la fonction relative :
- au maintien de la posture - à la production de mouvement de nature  volontaire  automatique ou réflexe

46 La déficience motrice se traduit par la perte ou l’l'altération d'une fonction physiologique ou anatomique. Elle peut résulter d'une atteinte - du système nerveux central - du système nerveux périphérique (nerfs périphériques) ( moelle épinière) - des muscles ou du squelette

47 LES CONSEQUENCES L’altération de la motricité entraînent des difficultés - aux déplacements - à la posture - à la préhension - à la manipulation d'objet - à l'écriture ces difficultés peuvent aussi se manifester dans l'action de parler, de regarder .

48 L'incapacité, qui est la conséquence de la déficience, se traduit par la restriction partielle ou totale de la capacité d'accomplir une activité. Exemple : incapacité de se déplacer sans l'aide d'un fauteuil, d'écrire ou de parler sans le secours d'une aide technique

49 Le désavantage Les adaptations de l’environnement (accessibilité des locaux) de l’enseignement, les aides matérielles et humaines contribuent à réduire le handicap de l’enfant L’incapacité induit par la déficience va entrainer une limitation ou une impossibilité d’accomplir un rôle social normal : pour travailler, accéder aux loisirs ….

50 conclusion Nécessité de Dg précoce
Aggravation liée aux poussées de croissance Fréquence de troubles neuropsychologiques, psychoaffectifs associes. Importance des soins, des rééducations ,des interventions → fatigabilité ++ Lenteur (déplacements ,tâches scolaires) Retentissements sur la vie de l’enfant et de sa famille Rôle de l’école

51 DEFICIENCE VISUELLE La déficience visuelle est définie par :
- l'état du champ visuel - la mesure de l'acuité visuelle Est considérée comme malvoyante toute personne dont l'acuité visuelle (A.V.) est inférieure ou égale à 4/10ème au meilleur œil et un champ visuel réduit à 20°. Est considérée comme aveugle toute personne qui a une vision inférieure ou égale à 1/20ème au meilleur œil et un champ visuel réduit à 10°.

52 DEFICIENCE VISUELLE Il existe 5 catégories de déficiences visuelles :
- modérée - grave - profonde - presque totale - totale Il est important de noter que la déficience visuelle aura un retentissement différent selon qu'elle est congénitale ou acquise, tôt ou tardivement, isolée ou associée à une autre pathologie, ou à des troubles réactionnels.

53 DEFICIENCE VISUELLE GENES FONCTIONNELLES
vision de loin floue: l'enfant perçoit mal son environnement - il ne voit pas au tableau - il ne voit pas les affichages muraux situés en hauteur - il ne peut bénéficier de tout le travail d'imprégnation que ces documents induisent - il ne peut percevoir un document présenté collectivement - il suit mal une activité présentée trop loin - il présente donc une tendance à s'isoler, à se désinvestir de l'activité, il peut passer pour étourdi, distrait.

54 DEFICIENCE VISUELLE GENES FONCTIONNELLES
vision de près très rapprochée l'enfant compense sa faible vision en s'approchant le plus près possible de son document. - un champ visuel restreint - aucune vision globale - découvre le document par approches successives - possibilité d’anticipation limitée

55 DEFICIENCE VISUELLE GENES FONCTIONNELLES
Variations de la qualité de la vision restante : (elles peuvent apparaître au cours de la journée) Elles sont dues : à une fatigue générale , à une fatigue de concentration, à une difficulté à s’adapter aux changements lumineux

56 Les aides à la scolarité
Les aides matérielles Les aides humaines

57 Enfant handicapé et ses besoins
Besoins physiques Besoins psychoaffectifs Amour et sécurité Estime de soi Responsabilité Autonomie COMME TOUS LES ENFANTS Le fait d’être un enfant handicapé ne retranche en rien aux besoins fondamentaux, il complique simplement leur satisfaction. La guidance de l’équipe soignante, l’attention, le sens pédagogique des enseignants vont permettre de trouver des solutions adaptées et de favoriser le développement de l’enfant handicapé.

58 MERCI DE VOTRE ATTENTION


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