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PA/population en âge de travailler
Ch4 : croissance, progrès technique et emploi. 1. emploi et chômage en perspective. 11) définition et évolution du chômage. Document 1 p 106. Réponse à la 1ère question. Population Totale Population en âge de travailler Population inactive qui n’a pas l’âge de travailler : les moins de 15 ans et les plus de 64 ans Population active Population inactive en âge de travailler : scolaires et étudiants au delà de16 ans et femmes au foyer Population active occupée Chômeurs Deux manières de calculer le taux d’activité : PA/Population totale PA/population en âge de travailler Calcul du taux de chômage : Chômeurs sur population active (la part des chômeurs dans la population active).
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Pour mesurer le chômage : il faut définir.
Existence de plusieurs définitions du chômage, selon l’organisme qui mesure ce phénomène. iNSEE et PSERE Pole emploi et DEFM Avec du coup forcément des écarts, selon la définition adoptée Et de plus un chômage difficile à mesurer précisément : cf la notion de halo du chômage Une mise en évidence de situations « intermédiaires » entre emploi, chômage et inactivité Évolution du chômage et de l’emploi. Document 3 p107 Lecture des nombres Les constats : augmentation de la population active - explications : mise en évidence de l’augmentation du chômage Remarque : la Notion de plein emploi Mise en évidence, face à ce chômage massif, des dispositifs de lutte contre le chômage
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12) et des inégalités face au chômage
Définition du taux de chômage et lecture Constat : Une mise en évidence des populations les plus touchées Les explications Conclusion des populations « vulnérables » face au chômage Mais aussi concept « d’employabilité »
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2. chômage et insuffisance des débouchés
Notion de demande effective 21) une explication keynésienne du chômage. Le chômage s’explique par une insuffisance de la croissance économique, une approche macro économique l’épargne réduit la demande globale, donc la production et donc l’emploi. un texte de Jean Paul Fitoussi : met en évidence la responsabilité des politiques monétaires ou budgétaires restrictives un texte de Keynes, qui met en évidence la responsabilité d’une propension à épargner trop forte qui pénalise forcément la demande ( le multiplicateur keynésien)
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un texte de Robert Boyer
insiste sur le niveau des salaires un multiplicateur de demande faible (cf multiplicateur keynésien et ouverture internationale) Fitoussi évoque le Progrès technique des gains de productivité qui peuvent être créateurs d’emplois du fait de leurs effets positifs sur la demande. Lecture Constats Un partage de la valeur ajoutée plus défavorable aux revenus du travail, ce qui peut pénaliser la croissance de la demande.
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22) dès lors pour lutter contre le chômage, il faut soutenir la demande.
Document 37 p 124. les hausses de salaires détruiraient l’emploi : par substitution du facteur capital au facteur travail par l’effet des délocalisations. de fait les augmentations de productivité peuvent permettre d’augmenter les salaires, sans risque pour la compétitivité Question 2 : le graphique confirme-t-il les propos de l’auteur ? une relance de la consommation, donc de la demande qui permettra donc à terme une croissance économique plus forte et des créations d’emplois Donc Un partage de la valeur ajoutée plus favorable aux salaires et des partisans d’une augmentation des salaires
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23) des limites et des inconvénients néanmoins à ces politiques.
Document 39 p 125. Un soutien de la demande qui peut également s’effectuer par une diminution des ti. des politiques monétaires restrictives, pour lutter contre l’inflation Une désinflation qui rend les ti réels plus élevés Conséquences sur le partage de la valeur ajoutée Enfin le partage du travail. un transfert de la richesse nationale qui se fait au détriment des revenus du travail ce qui pénalise bien sur la consommation et donc la demande. 23) des limites et des inconvénients néanmoins à ces politiques. La croissance ne s’accompagne pas nécessairement de créations d’emplois Néanmoins à long terme, les gains de productivité sont créateurs d’emplois Mais La demande peut être peu sensible aux variations de prix L’augmentation des revenus peut s’accompagner d’une augmentation de l’épargne ou des importations Et L’augmentation des profits peut permettre une augmentation de l’investissement direct à l’étranger ou de l’investissement de productivité Enfin la réduction de la durée du travail peut également pénaliser le pouvoir d’achat et donc la consommation document 44 p127
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néanmoins des réserves d’emplois encore aujourd’hui dans le tertiaire
3. les effets du progrès technique sur l’emploi. Un débat ancien : méfiance et révolte ouvrière vis à vis des machines « voleuses » d’emplois, concerne donc essentiellement les innovations de procédés. Sauvy explique cette aptitude du progrès technique à créer des emplois par la thèse du déversement. Néanmoins les économistes montrent que le progrès technique est source de croissance de l’emploi : Car il faut produire et entretenir le matériel, Le prix d’un certain nombre de biens diminuant, cela permet effectivement une augmentation de leur consommation. Enfin, la réduction du prix de biens industriels permet aux ménages de satisfaire d’autres besoins et donc d’augmenter leur consommation dans d’autres secteurs. Document 16 p 113 Explication de la phrase : « si l’élasticité de la consommation selon le prix est très faible (cas classique du pain), la diminution des effectifs sera inévitable » thèse du déversement l’apparition de nouveaux produits, fortement demandés, du fait des gains de pouvoir d’achat permis par la baisse des prix, liée au progrès technique, soutient la croissance de certaines activités et compense la suppression d’emplois dans les activités en déclin Du secondaire au tertiaire ? Un déversement remis en cause aujourd’hui. Document 20 p115 Dans les années 50, 60 le progrès technique touchait essentiellement le secteur industriel. Le déversement s’effectuait donc vers le secteur tertiaire. Un secteur aujourd’hui partiellement touché par le progrès technique néanmoins des réserves d’emplois encore aujourd’hui dans le tertiaire Le problème d’adéquation entre emplois supprimés et emplois créés un risque de chômage structurel
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Fixation d’un salaire minimum sur le marché du travail
4. enfin des rigidités trop importantes sur le marché du travail peuvent également pénaliser le retour au plein emploi. Introduction : le fonctionnement du marché du travail pour les néo classiques. Fixation d’un salaire minimum sur le marché du travail Salaire d’équilibre offre de travail Demande de travail
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Même critique pour les cotisations sociales
41) Un certain nombre de rigidités sur le marché du travail, héritées des 30 glorieuses, pénalisent l’emploi. Des rigidités qui alourdissent le coût du travail document 23 p117 Lecture Constats Le salaire minimum peut empêcher l’embauche de salariés dont la productivité marginale est inférieure à ce niveau de salaire Même critique pour les cotisations sociales Par ailleurs elles permettent de financer la protection sociale, protection qui peut générer un « chômage volontaire » : cf salaire de réservation avec par ailleurs l’idée qu’il faut rendre le travail « attractif » en terme financier
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Lecture et comparaison de la situation des USA et de la France
Des rigidités qui empêchent également l’adaptation de l’organisation productive aux fluctuations de la demande et pénalisent la compétitivité Lecture et comparaison de la situation des USA et de la France une protection faible de l’emploi s’accompagne d’un taux d’entrée au chômage plus forte Lecture et comparaison mais aussi par une sortie du chômage plus forte Lecture et comparaison Mise en évidence donc de corrélations et par un taux de chômage longue durée plus faible des corrélations qu’il faut nuancer le salaire est ici perçu uniquement comme un coût de production
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42) dans une logique libérale, il faut donc supprimer ces rigidités et introduire de la flexibilité.
Une baisse du coût salarial, qui passe notamment par une baisse des charges sociales Doit permettre l’emploi de salariés moins qualifiés Doit permettre une amélioration de la compétitivité prix et une relance de l’investissement pose néanmoins le problème du financement du système de protection sociale Document 26 p118 Et une flexibilité indispensable néanmoins un risque important : le développement de phénomène de pauvreté touchant cette fois ci des populations qui ont un emploi. Des emplois précaires qui conduisent dans tous les cas à une modération salariale, qui peut pénaliser la demande avec risque de passage d’un chômage néo classique (lié au coût de la main d’œuvre) à un chômage keynésien (lié à l’insuffisance de la demande) 43) les salaires ne sont pas forcément l’ennemi de l’emploi. une analyse à nuancer 1ères remarques. Les salaires sont en effet un revenu, qui ne se déterminent pas nécessairement sur le marché du travail. Les salaires comme revenu : rappel des thèses keynésiennes les salaires se déterminent par négociations collectives et dépendent en grande partie du rapport de force entre salariés et employeurs théorie des insiders et outsiders la thèse du contrat implicite
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un marché secondaire qui connaît un fonctionnement plus concurrentiel
Enfin des salaires plus élevés peuvent être gages de plus d’efficacité. théorie du salaire d’efficience Un salaire plus élevé peut permettre une augmentation de la productivité alors que pour les libéraux le salaire dépend de la productivité Reste néanmoins entier le problème de l’emploi des populations non qualifiées. Des gisements d’emplois possibles dans le tertiaire Par contre dans l’industrie les créations d’emploi ne dépendent que très peu du niveau des salaires enfin la montée de la flexibilité se traduit par une segmentation du marché du travail et une montée des phénomènes de pauvreté. Document 32 p 121 marché primaire : qui repose sur des règles collectivement négociées un marché secondaire qui connaît un fonctionnement plus concurrentiel
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Document 28 p119
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