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ENSSAT LSI2 Cours Réseaux Vincent Barreaud.

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1 ENSSAT LSI2 Cours Réseaux Vincent Barreaud

2 Présentation et organisation du cours
Intitulé : Réseaux Discipline : Informatique, unité de compétences : U.C. réseaux, répartition et communication. Public : LSI 2ème année, 2 ème semestre. Objectif du module : Acquérir les concepts de base des réseaux : la place des réseaux dans les systèmes informatiques, les protocoles, les modèles de réseau, l'organisation en couches et la normalisation. L'analyse des couches, les réseaux locaux, les tendances et les évolutions. Nombre d'heures : 54h. Formes et outils pédagogiques : 32h CM + 8h TD + 12h TP + 2h DS (période D). Enseignants : CM : V.Barreaud, A. Leroy, C. Masson ; TD : V.Barreaud ; TP : A. Leroy, C. Masson, F. Le Guennic.

3 Plan du cours Réseaux 1 - Les concepts de base
L'organisation en couches, la normalisation 2 - La couche physique 3 - La couche liaison, les réseaux locaux 4 - La couche réseau et les principes de routage 5 - L’Internet et la famille de protocoles TCP/IP 6 - Une étude de cas : le réseau de l'ENSSAT Les cours 5 et 6 seront dispensés par MM. Leroy et Masson

4 Bibliographie Al Agha, Pujolle, Vivier Réseaux de mobiles et réseaux sans fil Eyrolles Battu Télécommunications InterEditions Comer TCP/IP Architecture, protocoles, applications Dunod Dromard, Ouzzani, Seret Réseaux informatiques Eyrolles Guy Pujolle Les Réseaux Eyrolles Lagrange et Seret Introduction aux réseaux Hermès Maiman et Servin Autoformation en télécoms et réseaux Dunod Peterson, Davie Réseaux d'ordinateurs Vuibert Rolin, Martineau, Toutain, Leroy Les réseaux : principes fondamentaux Hermès Tanenbaum Réseaux Pearson Education Toutain Réseaux locaux et Internet Hermès Le livre de référence dans la plupart des établissements étant Tanenbaum

5 Cours Réseaux chapitre 1
Les concepts de base, l'organisation en couches, la normalisation, des exemples de réseaux J.Seguin

6 Quelques dates (1) ... : Babylone : les gardes le long des routes, relais avec signaux lumineux : Marathon : la course à pied de Marathon à Athènes 40 : Rome : le relais romain 80 km/jour courrier régulier 1464 : Louis XI : la poste royale 1794 : Chappe : le télégraphe optique 1865 : Morse : le télégraphe 1876 : Bell : le téléphone 1887 : Hertz : les ondes radioélectriques 1896 : Marconi : la ‘ TSF ’ 1901 : la première liaison radio transatlantique 1962 : Telstar 1, le premier satellite de télécommunications 1964 : la transmission de données sur le réseau téléphonique commuté RTC Question: à quoi servent les réseaux? Réseau de connaissance, d’informateurs: collecter des informations de différentes sources et mettre en relation des personnes: notions de canal et de terminaux. La barrière à franchir ici: c’est celle de la connaissance, avoir accès à la ressource. Le réseau de communication: étendre son influence sur tout un pays. La barrière est la géographie.: on ne peut pas être partout à la fois.: recours au message. Les premiers intéressés: les militaires: relais rapide de l’information. Evolution: éviter le relais (qui multiplie les risques d’erreurs) et la transmission par courrier mobile (qui peut être intercepté ou coupé) tout en augmentant la vitesse.

7 Quelques dates (2) ... 1969 : l’ARPAnet, ancêtre de l’Internet aux USA
1978 : le réseau Transpac ; le modèle OSI 1980 : le Minitel 1983 : l’Internet avec les protocoles IP 1986 : la radiocommunication mobile terrestre GSM 1987 : le réseau numérique à intégration de services RNIS 1989 : Berners-Lee et le Web 1993 : la technologie ATM 1996 : la commutation électronique généralisée 2000 : 9 millions d’abonnés à l’Internet en France 2004 : l’UMTS : les télécommunications multimédias mobiles de 3° génération Notez le cours lapse de temps entre la transmission de données sur RTC et l’apparition d’Arpanet. Le minitel: particularité française, « concurrente » improbable d’internet. La progression augmente pour augmenter le sens du message. (augmentation de la bande passante.) Nouvelle barrière: s’affranchir du fil. (barrière du synchronisme)

8 Les objets multimédias
réseau saisie numérisation codage compression restitution analogique décodage décompression distribution protection reproduction transmission Progression observée: l’ajout du sens. Puisqu’on ne peut se rendre sur place, il faut que le message soit riche pour être clair. Utilisation d’objets multimédias(analogique-numérique) et donc augmentation du trafic. Et des capacités de stockage. Plus: traitement particulier du multimédia (streaming) qui demande QoS. sélection traitement archivage stockage station multimédia

9 Objets à mémoriser et à transmettre (1)
Après saisie, numérisation et codage (sans compression), à mémoriser : 1 page de texte alphanumérique :  2,4 Kbits 1 quart d’écran vidéo 360*288, points  1,6 Mbits 1 écran d’ordinateur 800*600, 480 Kpixels, / pixel : 3 couleurs sur 8 bits  11,5 Mbits 1 photo couleur 10*15 cm codage bit-map bonne résolution :  260 Mbits à transmettre : la voix codage GSM :  13 Kbit/s la vidéo 25 images/s, 11.5 Mbits/image :  288 Mbit/s donc on fait de la compression ... Les capacités en chiffre ou la nécessité de compresser. Observez: Les réseaux seuls ne suffisent pas: il faut faire un travail sur les données.

10 Objets à mémoriser et à transmettre (2)
Après saisie, numérisation et codage à mémoriser : 1 image VGA+ (640 × 480, 256 couleurs) : 300 Koctets  (sans compression), 440 Mo pour une minute de vidéo (sans le son) (avec compression), 10 à 40 Mo pour une minute de vidéo (sans le son) 1 seconde de CD Audio : 172 Ko (1376 Kbps)  (sans compression), 30 Mo pour une chanson de 3 minutes (avec compression), < 2 Mo à transmettre : la vidéo en VGA+  (sans) 59 Mbit/s, (avec) 4 Mbits/s quel réseau ? Certains média requièrent QoS particulières, par exemple vidéo: les trames doivent arriver en séquence (si on veut synchronisme comme dans visioconférence)

11 Objets à mémoriser et à transmettre (3)
Après saisie, numérisation et codage, à mémoriser : 500 pages de texte alphanumérique : Moctet 100 lignes de télécopie ,4 Moctets 100 images couleurs (compression 15) Moctets 10 minutes de vidéo (compression 30) Moctets 10 minutes de dessin animé (compression 15) Moctets 1 heure de vidéo (compression 200) Goctet à transmettre avec quels réseaux ?

12 Objets à mémoriser et à transmettre (4)
Après saisie, numérisation, codage et compression (taux = 20) d’images fixes : K TVHD 1600 64 Kbit/s 128 Kbit/s 19,2 Kbit/s Télé 400 9,6 Kbit/s Nombre de points dans l’image (en milliers) CIF 100 64Kbit/s: capacité d’un canal RNIS CIF: CIF : Format d'image le plus courant en visioconférence. 352 points (Horizontaux) sur 288 points (Verticaux). Common Intermediate Format (ITU) QCIF 25 T (s) 0,1 0,2 0,6 1,2 2 10 100 Temps d’apparition de l’image en secondes

13 Utilisation des réseaux d’ordinateurs
Le point de vue de l’utilisateur : le partage de ressources : une abstraction de la distance la fiabilité : avec la redondance et la duplication l’abaissement des coûts : cf. le modèle client-serveur la communication interpersonnelle la disponibilité de l’information Pour véhiculer du sens, l’utilisateur va avoir besoin d’élargir les supports, leur qualité et leur visibilité. Visibilité: partage + fiabilité + disponibilités. Et cela sur un réseau qui ne peut pas croitre immédiatement (inertie du coût et des techniques) Effets secondaires de la communication interpersonnelle (initialement recherchée): abaissements des coûts de fonctionnement (télétravail, agences virtuelles, applications distribuées) : tout part du client serveur.

14 le modèle de référence : client-serveur
processus serveur : 1 service pour qui veut processus client : 1 demande quand il veut ... ordinateur client ordinateur serveur demande Métaphore du client – serveur de bistrot. Remarquer l ’évolutivité du concept: si le menu change, l’interaction est toujours du même type… réseau réponse

15 Les réseaux informatiques
Les réseaux informatiques doivent permettre à des applications de coopérer sans avoir à tenir compte des moyens et procédés de transmission (topologie, méthode d’accès, caractéristiques des équipements) Adapter la technologie de transmission au support de communication Masquer les phénomènes altérant la transmission Maintenir la qualité demandée Offrir l’interopérabilité Optimiser l’utilisation des ressources Assurer la pérénnité des choix Normalisation

16 Quelques concepts de base
Les caractéristiques physiques : les techniques de transmission, la taille,… Les protocoles et piles de protocoles : les couches, les niveaux, Les interfaces : les points d’accès, les niveaux, Les architectures de réseau : les cœurs de réseau, les réseaux d’accès Les modèles d’applications réseau : le client-serveur, l’égal à égal Les types de commutation : circuit, message, paquet / cellule, Les services : le mode connexion ou sans connexion. Les modes de transmission : la diffusion générale ou restreinte, le point à point Les réseaux en fonction de la distance (cf. interconnexion ) Les réseaux sans fil L’informatique nomade : les ordinateurs portables sans fil les LAN mobiles Les réseaux de réseaux : de type internet, extranet ou intranet. Vif du sujet: voici ce qu’on va voir: La dimension physique des réseaux: quoi et pourquoi faire. Couches Protocolaires interagissent sur le même concept de client-serveur. Les interfaces: comment se fait cette communication entre couches protocolaires Les architectures réseau : quel architecture pour quelles applications et quelles dimensions? … comment faire pour faire communiquer les réseaux et faire de l’inter-net? Que faire sur les réseaux - application: client serveur (relation disymétrique) ou P2P Qu’échanger? : circuit? Et tout ça, comment cela évolue dans notre cas, c’est-à-dire passer à la connectivité synchrone: le mobile?

17 Interconnexion des processeurs en fonction de la distance
distance entre localisation des ordinateurs ordinateurs exemples quelques cms à 1m circuit imprimé, ordinateur mono / multiprocesseur >50m personne réseau personnel (avec/sans fil) PAN / WPAN >30 m salle 100 m immeuble réseau local (avec/sans fil) 1 km campus LAN / WLAN 10 km ville réseau métropolitain (avec/sans fil) 100 km région MAN / WMAN 1000 km continent réseau longue distante (avec/sans fil) km terre entière, orbites WAN / WWAN, Internet Selon la distance et le type de terminaux, on va utiliser des termes (et des technologies) différentes.

18 Topologies de réseaux à diffusion
BUS BUS À SEGMENTS répéteur répéteur segment On distingue deux types de technologies de transmission: diffusion ou le point a point. Un réseau de diffusion (broadcast) dispose d’un seul canal de transmission qui est partagé par tout les équipements qui y sont connectés. Sur un tel réseau, chaque message envoyé (parfois paquet) est recu par toutes les autres machines. C’est l’adresse qu’il contient qui permet à un équipement de savoir s’il lui est destiné. (il fait passer sinon) ANNEAU

19 Topologies de réseaux point à point (1)
ETOILE MAILLAGE REGULIER MAILLAGE IRREGULIER BOUCLE BOUCLE DOUBLE Par opposition le point à point consiste en un grd nombre connexions, chacune faisant intervenir 2 machines. Pour aller de sa source à sa destination, le paquet peut transiter par plusieurs machines intermédiaires. On distingue anneau et boucle… Ce type de réseau autorise plusieurs routes possibles de longueur différentes Plutôt pour des grands réseaux

20 Topologies de réseaux point à point (2)
ANNEAUX INTERCONNECTES 2 NIVEAUX DE HIERARCHIE ARBRE Selon la structure (généralement dictée par le développement historique d’un pays ou d’une entreprise), on va voir apparaitre de nouveaux chemins… donc le routage doit évoluer….

21 Topologies de réseaux longue distance
F ordinateur D routeur ? C Sous-réseau ? B Réseau local (LAN) A Donc, les réseaux à diffusion pour les LAN, les réseaux point à point pour les WAN et MAN… (Les sous réeseaux) Hôtes spéciaux : machines qui appartiennent aux clients (par exemple des PC) alors que le sous réseau est lui la propriété d’un opérateur de télécommunications ou d’un FAI Le sous réseau a pour tache l’acheminement des messages d’un hote à uun autre Pour un WAN, le sous réseau se compose de deux types de composants: les lignes de transmission et les équipements de commutation (par exemple: routeurs) Question: interface entre deux types de réseaux, sur lesquels la communication ne se fait pas sur le meme mode, a priori…(les WAN commutent des paquets: recoivent un paquet, elise une voie de sortie, attendeent que la voie se libere puis émettent, c’est une décision locale)

22 Réseau local et réseau de transport
réseau dorsal réseau interne PAN, LAN (entreprise, appartement) réseau périphérique réseau d’accès réseau de raccordement réseau cœur réseau d’ agrégation aiguillage de périphérie On distingue donc généralement Réseau local, réseau dorsal et réseau Internet… on va voir que n’utilise pas même technologie et même organisation protocolaire… réseau de transport

23 Les logiciels de réseau et les voies de communication
Les services en mode connexion et sans connexion Les protocoles et les interfaces Les couches Les architectures de réseaux Les réseaux de réseaux Il existe donc une relation forte entre les matériels (l’architecture du réseau) et les logiciels nécessaires pour son implémentation (routage, commutation, …) Pour reprendre l’analogie du début: il ne suffit pas d’avoir des coursiers, encore faut il leur dire que faire des messages C’est la relation qui existe entre voies de communication et les services de transmission qui les utilise. D’autre part, pour la communication d’un terminal à un autre, il faut se mettre d’accord sur l’information transmise: c’est le but des protocoles (règles admises) qu’on retrouve àà plusieurs niveau d’abastraction pour fournir différents services. Enfin, chaque couple voie/protocole est propre à une architecture réseau: que se passe t il si on interconnecte des réseaux?

24 Les voies de communication
L’unité d’information : message, paquet, trame, cellule, lettre, PDU La voie de communication Le point d’accès à la voie câble métallique modem câble optique modem optique connexion téléphonique téléphone l’Internet planétaire fournisseur de services courrier postal boîte à lettres courrier électronique boîte à lettres + utilitaire Air France guichet compagnie / agence voyages L’unité d’information qui transite: des trains d’impulsion: représentent des message, des paquets, des trames, des cellules, lettre ou PDU En tout ces, utilise une voie d’accès et il aut trnasmettre de l’info sur cette voie, c’est-à-dire lui communiquer une info qu’elle peut faire transiter: ce point d’accès physique est en rapport avec la proriété physique de propagation.

25 L’interaction service téléphonique - utilisateur
décrocher écouter numéroter sonner parler Bon, une fois qu’on a défini les voies de communication, on a envie d’implémnter des services de base pour s’assurer que le message est bien envoyé: qu’il ne soit pas brouillé et qu’il arrive bien au bon destinataire. Pour déterminer les étapes nécessiares que doit implémenter un tel protocole d’accès à la voie de communication, on utilise l’analogie du téléphone. L’accès à la voie de communication peut venir de deux actions (niveau d’abstraction sup^érieur) être appelé et répondre. (envie d’être appelé) 2 causes d’actions : (envie de téléphoner)

26 L’interaction service téléphonique - utilisateur
1-CO-req : je fais le numéro et j’entends une sonnerie 3-CO-res : je décroche 4-CO-con : la sonnerie s’arrête 5-DA-req : je parle et l’invite à dîner 6-DA-ind : j’entends l’invitation 7-DA-req : je parle et le remercie 8-DA-ind : je prends acte de son accord 9-DIS-req : je raccroche Cela détermine un mode d’accès à la voie de communication (utilisant une commutation de circuit) classique. Trois phases se démarquent: accès, data et libération On a établi une connexion: un moment partagé privilégié. Reste à savoir ce qu’on va se dire… 10-DIS-ind : j’entends qu’il a raccroché et je fais de même CONNECT DATA DISCONNECT response request confirm indication

27 Couches, protocoles et interfaces (1)
Un (des) réseau(x) pour des applications variées Des applications qui souhaitent s’échanger de l’information Des codages de l’information, des langages variées Des réseaux qui s’interconnectent... Des normes, des standards, des modèles de conception, d’exécution, ... des langages et des traducteurs, des outils mutualisés Quand on discute, il y a des conventions, on ne peut pas se trimballer avec sa pierre de rosette… Donc utilisation de conventions de langages (codage) et de protocoles (comment se déroule une conversation). Le but de la conversation est multiple: transmettre un message ou s’accorder comment on va le transmettre… On voit apparaitre plusieurs niveaux d’abstratction : plusieurs couches de protocoles… c’est la encore une architecture qui est conventionnée…(normalisée en langage informaticien…) Ces couches s’empilent, comment discutent elles entre elles? : interface. des couches : des architectures normalisées des protocoles : des modes de comportement et d’action des interfaces : des lieux et des modes d’échange

28 Couches, protocoles et interfaces (2)
…. …. interface couche 2/3 interface couche 2/3 protocole couche 2 Couche 2 Couche 2 interface couche 1/2 interface couche 1/2 protocole couche 1 Couche 1 Couche 1 R Support physique

29 Définitions Une couche est spécialisée dans un ensemble de fonctions particulières. Elle utilise les fonctionnalités de la couche inférieure et propose ses fonctionnalités à la couche supérieure. Un système est un ensemble de composants formant un tout autonome. Une entité est l’élément actif d’une couche dans un système. (entités homologues (paires) : entités de même couche situées dans des systèmes distants) Le protocole d’une couche N définit l’ensemble des règles ainsi que les formats et la signification des objets échangés, qui régissent la communication entre les entités de la couche N. Le service d’une couche N définit l’ensemble des fonctionnalités possédées par la couche N et fournies aux entités de la couche N+1 à l’interface N/N+1.

30 Couches, protocoles et interfaces (3)
Flux d’informations pour une communication virtuelle de niveau 5 protocole couche 5 M M protocole couche 4 H4 M H4 M protocole couche 3 H3 H4 M1 H3 M2 H3 H4 M1 H3 M2 La communication protocolaire se fait par le moyen du piggy-backing… entete et queue de message. Encapsulation protocole couche 2 H2 H3 H4 M1 T2 H2 H3 M2 T2 H2 H3 H4 M1 T2 H2 H3 M2 T2

31 Couches, protocoles et interfaces (4)
L’architecture d’un réseau est définie par l’ensemble des couches et la description des protocoles et des services de chacune d’elles IDU { SAP ICI SDU couche N+1 interface couche N En tête ICI SDU SDU Interface Data Unit Service Access Point TERMINOLOGIE VERTICALE D'INTERFACE Les éléments actifs dans chaque couche réseau sont appelés entités et sont généralement implémentés au moyen d'un processus logiciel. Entités dans les couches correspondantes sur des ordinateurs différents s'appellent homologues entités. Les entités N-1 de couche implémentent les services utilisés par couche N. Ces services sont exposés au moyen de points d'accès de service "connu" (SAP). Un SAP est réellement simplement un mécanisme tel qu'une API, un MS-DOS sont interrompus ou tel qu'adresser le point d'entrée directe que la couche précédente peut, accéder via le programme à une fonction particulière (service) avoir mettre en œuvre par le calque suivant. Pour des services de transfert de données, OSI définit un jeu standard de règles qui régissent l'interface entre couches : •La couche entité N transmet une unité d'interface (IDU) de données à l'entité N-1 de couche au moyen du point d'accès de service approprié (SAP). 1.L'IDU se compose d'une unité de protocole (PDU) de données et certaine information de contrôle (ICI) d'interface. 2.Le PDU est les données que la couche entité N souhaite transférer sur le réseau vers son entité homologue, il se compose la couche N envoyé par la couche précédente (1 N + 1) de l'en-tête de couche N et les données. 3.La couche N PDU devient l'unité N-1 (SDU) l'unité de données qui sera par couche N-1 "a traité" de données de service de couche. 4.L'ICI est information comme la longueur de SDU de lequel la couche suivante doit effectuer son travail de contrôle { protocole couche N N-PDU

32 Les unités de données SDU(N) : unité de données spécifique au service(N), dont l’intégrité est préservée d’une extrémité à l’autre d’une connexion. Mais pas forcément entre ! (potentiellement de taille quelconque.) PDU(N) : unité de données spécifique au protocole(N), adaptée à la transmission, constituée par les informations de contrôle du protocole (PCI(N)) et éventuellement par des données issues du SDU(N) (par ex. : une trame, un paquet.) IDU(N) : unité d’information transférée en une seule interaction à l’interface de 2 couches, constituée d’information de contrôle d’interface (ICI(N)) et tout ou partie d’une SDU(N). . dépend du système d’accueil (notamment leur format). . dépendant de l’implantation

33 Primitives de services
L’interconnexion de systèmes exige uniquement que le comportement observable soit conforme au protocole. Cependant le protocole(N) s’appuie sur le service(N-1), donc la description du service est nécessaire à la compréhension du protocole. Attention, le service n’est accessible qu’à l’intérieur d’un système : la façon d’accéder au service ne doit pas être normalisée ! Les primitives spécifient le service : - Ce sont des objets abstraits (puisque le service est abstrait !) - Echangées à travers un interface idéal (sans perte et sans délai) - Leur représentation ressemble à une procédure avec des paramètres . préfixe : l’initiale de la couche . suffixe : le type de primitive (Request, Indication, Respons, Confirmation) . Exemples : . T_Data.req(T_SDU) . LLC_Data.req(ad-locale, ad-distante, L_SDU, classe de-service)

34 Couches, protocoles et interfaces (5)
Sens de communication : simplex à l’alternat duplex Contrôle d’erreur Contrôle de flux Séquencement et ordonnancement Cheminement Adressage Accès au service Type de service : en mode connexion sans connexion Que vont implémenter ces protocoles? Comment va se faire la communication (une seule voie ou un échange) si échange, il faut aussi écouter… Contrôle d’échange (prendre en compte les erreurs introduites par le medium) Séquence d’ordonnancement, …: rendre synchrone ce qui est asynchrone Adressage : savoir à qui envoyer… Type de service Bref: plusieurs fonctions nécessaires pour utiliser une voie de communication afin de proposer une application (donnée)

35 Fonctions de couches Multiplexage/démultiplexage : Fonction d’une couche(N) permettant de prendre en charge plusieurs connexions(N) sur une seule connexion(N-1) Eclatement/recombinaison : Fonction d’une couche(N) permettant d’utiliser plusieurs connexions(N-1) pour prendre en charge une connexion(N). Segmentation/réassemblage : Fonction d’une couche(N) mettant en correspondance une SDU(N) avec plusieurs PDU(N) Groupage/dégroupage : Fonction d’une couche(N) mettant en correspondance plusieurs SDU(N) avec une seule PDU(N) Concaténation/séparation : Fonction d’une couche (N) mettant en correspondance plusieurs PDU(N) avec une seule SDU(N)

36 La fonction transport d’information (1)
Les caractéristiques d’une voie : débit / bande passante débit nominal / débit utile taux d’occupation / taux d’utilisation délai d’acheminement voie bidirectionnelle voie multipoint ou point à point fiabilité d’une voie La fragmentation et le réassemblage : La concaténation / groupage et l’éclatement : Le multiplexage et le démultiplexage : * fréquentiel * en longueur d’onde * temporel * temporel statistique La première fonction: s’assurer du transport de l’information Fonction de base: accepter les données de la couche supérieur, les diviser en unités plus petites si c’est nécessaires et de s’assurer qu’elles arrivent correctement à l’autre bout. Tout ceci de manière efficace et de façon transparente par rapport à la nature du matériel.

37 Le multiplexage multiplexeur / démultiplexeur multiplexeur /
support de transmission ETCD ETCD en fréquence voies ou portes cuisine fourchette 1234 temporel ETCD (ou Équipement Terminal de Circuit de Données, Data circuit-terminating equipment en anglais) est la connexion des terminaux ETTD au canal nécessite généralement une adaptation qui sera réalisé par un ETCD. Les ETCD permettent d'adapter le flux des données aux conditions de la ligne et de faire la transformation analogique numérique ou numérique analogique. Un exemple bien connu d'équipement ETCD est le modem. fourchette 1234 cuisine fo 12 cu ur 34 is ch -- in et -- e- te -- -- fo 12 cu ur is ch 34 in et e- te -- -- temporel statistique

38 La fonction transport d’information (2)
L’interconnexion de voies : le principe : la commutation l’algorithme de routage la commutation de lettres, paquets, messages (mode datagramme) la commutation de circuits le contrôle de flux : à l’interface, de bout en bout le séquencement le rendement C’est la fonction qui est implémenté par toute couche: celle de la transmission de données…assurée par l’encapsulation Commutation: (switching) Action d'associer temporairement des organes, des voies de transmission ou des circuits de télécommunication pendant la durée nécessaire au transfert de l'information. Routage: quelles voies faut il associer à l’instant présent? Deux types: commutation de circuits (telephones) et la commutation de paquets

39 Illustration de la commutation de circuits, de messages et par paquets
B C D signal d’appel temps commutation de messages commutateurs Commutation de message: Message switcing. Aucun chemin physique n’est établi au préalable entre l’émetteur et le recepteur lorsqu’un émetteur envoie un bloc de donnée, celui-ci est stocké dans le premier centre de communication (routeur) puis est transmis, un saut à la fois. Autremnet dit, chaque bloc est d’abord entierement reçu et contrôle pour verifier s’il ne comporte pas d’erreur avant d’être transmis: mode de transmission différé. Plus utilisé: le télégraphe, centre arracheurs de ruban. Commutation de paquet: comm. Message: taille illimité des messages or, capacité des disques des commutateurs est finie et risque de monopoliser longtemps la voie. (pas interactif) Donc comm de paquets: alternative à la fois aux comm message et comm.circuit Paquets Utilisent un circuit virtuel qui peut etre recalculés au cours du message (il peut etre reserve ou non) Impose une taille limite maximale des paquets ce qui permet l’utilisation de tampons (et non pas disque) et de ne pas monopoliser ligne (+ plus interactif et améliore le débit) Meilleur tolérance aux pannes que la comm de circuit (c’est d’ailleur une raison de son existence): si un commutateur devient indisponible, il peut etre contourné. Pas de gaspillage de la bande passante comme en comm de circuit. Mode différé de la comm de paquet introduit un retard qui n’existe pas ds comm de circuit. Plus de liberté de choix de transmission dans la comm par circuit. Pour comm de paquet, c’est imposé par l’opérateur. (analogie train/voiture) Conclusion: les réseaux d’ordinateurs emploient généralement la commutation de paquets, occasionnelement la comm. De circuit mais jamais la comm de message. temps commutation de paquets

40 Comparaison des réseaux à commutation de circuits et de paquets
circuit dédié oui non bande passante disponible fixe dynamique utilisation de la bande passante gaspillage possible optimale transmission store and forward non oui routage de paquet fixe fixe ou variable établissement d un circuit par séquence d ’appel variable congestion possible à l’établissement à chaque paquet facturation à la distance et à la durée au volume

41 L'organisation en couches et la normalisation
Présentation des modèles OSI, IETF, ATM : fonctionnalités, organisation, comparaison et critiques. Les organes de normalisation : rôle, méthode de travail et résultats. Il faut se mettre d’accord.

42 Les principaux organes de normalisation
W3C Organes de l’Internet AFNOR ANSI fournisseurs normes et standards ATM Forum ISO IEEE Open Group systèmes utilisateurs Les normalisations internationnales sont produites par l’International normalization Organization (1946, indépendante) Ses membres sont les instances nationales de normalisationde 89 pays parmis lesquels l’ANSI, L’AFNOR, la BSI (Royaume unis), la DIN (Allemagne) Tout les domaines (écrou, filets de pêche, sous vetements…) L’Union Internationale des Télécommunication a un organe de normalisation : l’UIT-T (gouvernements, opérateurs de télécommunications comme ATT, Vodaphone, …), d’équipementiers (cisco, …), de compagnies d’ordinateurs (Compaq, Sun, …), de fondeurs (Intel, Motorola, TI, …), des enreprises de communication (AOL, CBS, …) et autres (Boeing, …) ainsi que des organismes de normalisation comme l’ISO. IEEE: Institut of Electronical and Electronics Engineers. La plus grande institution prof au monde (conférences, revues…). Obect Managment Group (systèmes distribués) Open group :L'Open Group (à l'origine la X/Open Company) est un consortium industriel fondé par IBM, Sun Microsystems, Hitachi, Hewlett-Packard et Fujitsu qui définit certaines normes dans le domaine de l’ingénierie informatique, en particulier les interfaces de programmation. … à l’origine de DCE OMG UIT ETSI Cisco ... Microsoft ... opérateurs

43 La standardisation de l’Internet
applications services internet nouvelle génération management réseau besoins opérationnels routage sécurité transport services utilisateurs W3C IETF ISOC IANA IAB IESG Les RFC : Requests for Comments rangs = niveaux d’importance required protocol obligatoire recommended protocol recommandation elective protocol protocol implémentable limited use protocol expérimental / spécifique non recommended protocol trop expérimental Normalisation Internet Internet Architecture Board, créé par DoD au temps d’ARPANET pour surveiller le développement…à évolué vers aide à la coopération des chercheurs. Contenait une dizaine de groupe de travail , communication par RFC (Request for Comments): formule une demande afin qu’elle soit implémentée. IAB a été divisé en deux en ’89: Internet Research Task Force (recherche a long terme) et Internet Engineering Task Force (recherche a court terme). ISOC: Internet society: professionnels interessés IESG - Internet Engineering Steering Group   Petit groupe d'experts validant (ou non) les ébauches de normes et de standards Internet qui lui sont communiquées.   L'Internet Engineering Steering Group supervise les travaux menées par la communauté IETF, cette communauté chargée de spécifier des normes et protocoles pour l'Internet (TCP, IP, HTTP, ... et autres systèmes permettant l'interconnexion entre les différents serveurs et ordinateurs constitutifs du web). L'IESG suit les travaux des différents groupes de travail de l'IETF, créant et dissolvant ces groupes, les remettant dans le droit chemin si nécessaire.Plus encore, l'IESG examine les recommandations de normes (Internet Drafts) soumises par ces groupes de travail. Une recommandation acceptée devient une RFC (Request for Comments) puis éventuellement un standard du web, après validation par d'autres instances (l'Internet Architecture Board et l'Internet Society). Internet Assigned Numbers Authority) est une organisation américaine dont le rôle est la gestion des noms de domaines de niveau supérieur (TLD), de l'espace d'adressage IP d'Internet, et des autres ressources partagées de numérotation requises soit par les protocoles de communication sur Internet, soit pour l'interconnexion de réseaux à Internet.

44 Le modèle de référence OSI (1)
7 application service utilisateur 6 présentation représentation standard des données 5 session outils de synchronisation 4 transport transport de données de bout en bout 3 réseau transport de données dans le réseau Open System Interconnexion Proposé par ISO, révisé en 95 Modèle de référence, général et valide, mais pas implémenté. Se compose en 7 couches Une couche doit être créée lorsqu’un nouveau niveau d’abstraction est nécessaire Chaque couche doit assurer une fonction qui est bien définie La fonction de chaque couche doit être choisie en visant la définition de protocoles normalisés au niveau international. Les limites d’une couche doivent être fixées de manière à réduire la quantité d’informations devant passer au travers des interfaces Le nombre de couches doit être, d’une part, assez grand pour que des fonctions très distinctes ne soient pas groupés dans une même couche, et d’autre part, suffisament faible pour que l’architecture ne devienne pas trop complexe. 2 liaison transmission fiable entre systèmes reliés 1 physique transmission et réception du signal

45 Le modèle de référence OSI (2)
7 application application système 6 présentation présentation 5 session commutateur session 4 transport transport 3 réseau réseau réseau réseau 2 liaison liaison liaison liaison 1 physique physique physique physique

46 Le modèle de référence OSI (3)
7 application APDU application 6 présentation PPDU présentation 5 session SPDU session 4 transport TPDU transport 3 réseau paquet réseau 2 liaison trame liaison APDU : Application Protocol Data Unit. Paquet échangé entre deux applications sur un réseau. C'est le plus haut niveau du modèle en couches OSI. 1 physique bit physique support physique de transmission (PDU : protocol data unit)

47 Les couches du modèle OSI (1)
ISO & UIT X211 7 application 6 présentation transmission des bits sur un circuit de communication aspects physiques des connexions : maintien / désactivation des connexions transmission d’éléments entre entités éléments de la couche physique : support physique codeurs, modulateurs multiplexeurs, concentrateurs 5 session 4 transport 3 réseau 2 liaison Un des objectifs de conception de ce niveau est de s’assurer qu’un bit envoyé sur une extrémité arrive aussi à 1 à l’autre, et non à 0. (nombre de volts, durée du bit, possibilité de transmettre dans les deux sens en mm temps, établissement initial d’une connexion et sa libération lorsque les deux extremites ont fini, nombre de broches du connecteur et leur role…) 1 physique

48 Les couches du modèle OSI (2)
ISO 8886 & UIT X212 7 application 6 présentation gestion de la liaison de données données en trames de données transmission des trames en séquence gestion des trames d ’acquittement reconnaissance des frontières de trames reçues détection et reprise sur erreur régulation du trafic gestion des erreurs procédures de transmission 5 session 4 transport 3 réseau 2 liaison LAP-B CSMA/CD jeton ... Faire en sorte qu’un moyen de communication brut apparaisse à la couche réseau (sup) comme étant une liaison exampte d’erreurs de transmission. Elle decompose les données sur l’émetteur en trames de données (~1000 octets) puis envoie des trames en séquences S’il s’agit d’un service fiable, le recepteur confirme la bonne réception de chaque trame en envoyant à l’emetteur une trame d’acquitement. Plus: implémente contrôle de flux pour ne pas submerger un appareil lent. Régule l’accès à un canal partagé (multiplexage) 1 physique

49 Les couches du modèle OSI (3)
ISO & UIT X211 7 application connexions de réseau entre systèmes ouverts établissement, maintien, libération des connexions gestion du sous-réseau acheminement des paquets source destination fonctionnalités : adressage routage contrôle de flux modes connecté / non connecté 6 présentation 5 session 4 transport 3 réseau X25 IP 2 liaison Contrôle le fonctionnemet du sous reseau. Conception: doit déterminer la facon dont les paquets sont routés de la source vers la destination (tables statiques, établies au début de la communication, ouo tables dynamiques) Régule ralentissemnt, et QoS Gére les problèmes qui surviennent à l’interconnexion de réseaux (paquets trop grand, adressage trop vague..) 1 physique

50 Les couches du modèle OSI (4)
7 application 6 présentation accepte les données des couches supérieures découpage éventuel ordonnancement optimisation des ressources réseau fonctionnalités de bout en bout qualité de service  protocoles : TCP, UDP, ... 5 session 4 transport de bout en bout avec/sans connexion 3 réseau 2 liaison Accepter les données de la couche supérieur et les diviser en unités plus petites si c’est necessaires et de les transmettre à la couche réseau en s’assurant qu’elles arrivent bien à l’autre bout. Tout cela en étant efficace (par rapport à la bande passante) et en étant transparent par rapport au matériel. Détermine le type de service a fournir à la couche session: point à point exmpte d’erreur (remet dans le bon ordre)(le plus courant). Mais existe aussi transport de messages isolés sans garantie d’ordre d’arrivée…ou diffusion de message à plusieurs destinataires. Premiere couche protocolaire qui offre un service bout en bout. 1 physique

51 Les couches du modèle OSI (5)
7 application gestion de la synchronisation  fonctionnalités : gestion du dialogue points de reprise retour arrière gestion des transactions 6 présentation 5 session avec/sans connexion 4 transport 3 réseau 2 liaison Couche session: Permet aux utilisateurs de diff. Machines d’établir des sessions. Cela offre divers services comme la gestion du dialogue, gestion de jetton, synchronisation.. physique

52 Les couches du modèle OSI (6)
ASN.1 : ISO 8824 & UIT X208 7 application 6 présentation ASN.1 avec/sans connexion 5 session 4 transport syntaxe et sémantique des informations représentation des données représentation de la structure des données représentation des actions sur les données encodage normalisé (compression ?, chiffrement ?) 3 réseau 2 liaison S’ineresse à la syntaxe et à la sémantique des infos trnasmises. (autres couches plus basses: transmission de bits) 1 physique

53 Les couches du modèle OSI (7)
application FTAM MHS DNS RPC 6 présentation 5 session Les processus d’application échangent leurs informations par l’intermédiaire des entités d’application : terminal de réseau virtuel transfert de fichiers courrier électronique consultation des annuaires 4 transport 3 réseau 2 liaison Variétés de protocoles utiles aux utilisateurs: HTTP, SMTP, … FTAM : Norme de l?iso décrivant la gestion et le transfert de fichier à distance, contenu dans la couche application du modèle ISO. MHS: service de messagerie 1 physique

54 Le modèle de référence IEEE
couches hautes couches hautes couche LLC Logical link protocol Media access control IEEE 802 est un comité de l'IEEE qui décrit une famille de normes de relatives réseaux locaux et réseaux métropolitains. Plus spécifiquement, les normes IEEE 802 sont limités aux réseaux utilisant des paquets de tailles variables contrairement aux réseaux dans lesquels les données sont transmises dans des cellules de taille fixe et généralement courtes. Également non traités par l'EEE 802 : les réseaux isosynchrones où des données sont transmises par groupes d'octets à intervalles réguliers. Les services et les spécifications décrits par l'IEEE 802 se réfèrent aux deux couches inférieures du modèle OSI qui en contient sept, à savoir la couche physique et la couche de liaison. Dans les faits, l'IEEE 802 découpe la couche liaison en deux sous-couches appelées Logical Link Control (LLC) et Media Access Control (MAC), de sorte que les couches puissent être énumérées comme suit: couche de liaison sous couche LLC sous couche MAC couche physique couche MAC couche physique

55 La normalisation IEEE Le comité IEEE 802 (début 02/1980) et ses sous-groupes : 802.1 = architecture générale du réseau et interconnexion (802.2 = sous-couche LLC, modes : connecté et non connecté) 802.3 = LAN type bus, CSMA/CD (802.4 = LAN type bus à jeton, TokenBus) 802.5 = LAN type anneau à jeton, TokenRing (802.6 = MAN type 2 bus, DQDB) (802.7, 802.8, = diverses recommandations) (802.9 = LAN IsoEthernet, Ethernet isochrone RNIS) = WLAN réseau local sans fil, Wifi ( = LAN Ethernet 100VG) ( = transmission numérique sur réseau de télévision câblé) = WPAN réseau personnel/domestique sans fil (Bluetooth) = WiMax : réseau sans fil à haut débit Les standards IEEE 802 sont maintenus par le comité de normalisation LAN/MAN (LMSC pour LAN/MAN Standards Committee). Les standards les plus largement répandus sont l'Ethernet, le Token Ring, l'ASFI (WiFi), les VLAN. Chaque secteur fait à l'attention d'un groupe de travail spécifique : IEEE 802.1 : Gestion des réseaux locaux, VLAN, authentification, etc. IEEE 802.2 : Distinction entre couche Logical Link Control (LLC) et Media Access Control (MAC) IEEE 802.3 : Couche média CSMA/CD Ethernet IEEE 802.4 : Couche média Token Bus (utilisée en informatique industrielle) (dissous) IEEE 802.5 : Couche média Token Ring (IBM) IEEE 802.6 : Groupe de conseils sur les réseaux à grande distance (Metropolitan area network ou MAN) (dissous) IEEE 802.7 : Groupe de conseils sur les réseaux à large bande (dissous) IEEE 802.8 : Groupe de conseils sur les réseaux sur fibre optique (dissous) IEEE 802.9 : Réseaux à intégration de services comme RNIS(dissous) IEEE  : Inter-opérabilité de la sécurité des LAN/MAN (dissous) IEEE  : Réseaux sans fil : infrarouge, ASFI... IEEE  : Réseaux locaux utilisant le mécanisme de demande de priorité IEEE  : non utilisé IEEE  : Réseaux et modems câble (dissous) IEEE  : Réseaux privés sans fil (WPAN) comme Bluetooth IEEE  : Réseaux sans fil à large bande par exemple le Wi-Max IEEE  : Réseaux de fibres optiques en anneau (Resilient Packet Ring) IEEE  : Groupe de conseils pour la normalisation des communications radioélectriques IEEE  : Groupe de conseils sur la cohabitation avec les autres standards IEEE  : Accès sans fil à bande large IEEE  : Transfert automatique des liaisons indépendamment du média IEEE  : Réseaux régionaux sans fil

56 La normalisation UIT/T
série A = organisation du travail de l’UIT/T série D = définitions série F = télématique, conférences audiographiques, vidéotéléphones et vidéoconférences série G = codage du signal série H = utilisation des canaux de transmission pour les services audiovisuels série I = RNIS, ATM série T = équipements terminaux et protocoles pour les services télématiques et conférences audiovisuelles série X = services et équipements des réseaux publics de données série Z = langage de description et de spécification

57 Le modèle de référence ATM
couches hautes couches hautes couche d ’adaptation AAL = ATM adaptation layer couche ATM Asynchronous Transfert mode… parfois RNIS large bande…surtout pour video… AAL: constituer des cellules (groupes de paquets) ATM : reseau avec connexion couche physique

58 Le modèle de référence IETF (1)
application transport internet Passer ordinateur hôte réseau physique

59 Le modèle de référence IETF (2)
HTTP HTML SNMP FTP RTP telnet DNS SMTP MIME EGP applications, administration UDP TCP --- routage --- IP + RSVP + ARP + RARP + ICMP IGMP passer Ethernet Spanning Tree SNAP X25 SLIP PPP LLC IEEE 802.3 IEEE 802.5

60 Des exemples de réseaux
USA : ARPAnet, NSFnet France : Cyclades IBM : SNA Digital : DECnet Novell : NetWare France : Renater Planète : Internet Des exemples de réseaux: c’est-à-dire de communautés qui discutent de la meme façon… 1978 : Ont été ouverts les accès au réseau CYCLADES (réseau des Universités et de la Recherche).

61 Historique de l’Internet

62 Les accès à l’Internet (1)
Serveur web mail.fai.com réseau local modem Internet réseau téléphonique FAI Serveur mél - web modem gauvain.enssat.fr Serveur de news routeur FAI modem Réseau local Accès permanent à l’Internet Accès temporaire à l’Internet obélix.enssat.fr FAI : fournisseur d’accès asterix.enssat.fr

63 Les accès à l’Internet (2)
téléphone mobile GSM/GPRS/EDGE/UMTS téléphone mobile / PDA GSM/WAP/GPRS/EDGE/UMTS FAI fournisseur d’accès Internet modem fixe accès RTC/ADSL réseau opérateur télécoms via réseau local lien permanent

64 La communauté Ouest-Recherche Bretagne, Pays de la Loire
Universités et centres de recherche de Bretagne, académie de Rennes : Université de Bretagne Occidentale Brest, Quimper, Morlaix Université de Bretagne Sud Lorient, Vannes, Pontivy Université de Rennes Rennes, Lannion, St Brieuc, St Malo Université de Haute Bretagne (Rennes 2) Rennes, St Brieuc Grandes Ecoles de Bretagne Rennes, Brest, Lannion CNRS Roscoff IFREMER Brest, INRIA Rennes, INRA Rennes Académie, IUFM, rectorat de Rennes

65 La communauté Ouest-Recherche dans le réseau
Lannion Caen Paris St Malo St Brieuc 2,5 Gbit/s Brest Rennes 24 villes interconnectées noeud Quimper Lorient Point de présence de RENATER : Université de Rennes 1 (Rennes, campus de Beaulieu). Réseaux de collecte : MEGALIS, le réseau régional de Bretagne et des pays de la Loire Universités, académie, centres de recherche (liste non exhaustive, à titre informatif) : Université de Bretagne Occidentale (Brest) Université de Bretagne Sud (Lorient, Vannes) Université de Rennes 1 Université de Haute Bretagne (Rennes 2) ENST Bretagne CNRS : délégation régionale Bretagne et Pays de la Loire IFREMER Brest INRIA Rennes IUFM de Bretagne : Rennes, Brest, Saint-Brieuc, Quimper, Vannes Académie, rectorat : Rennes Vannes 2,5 Gbit/s de 155 Mbit/s à 2,5 Gbit/s + ADSL & satellite Nantes Paris

66 La carte du réseau Mégalis en Bretagne

67 La carte de France du réseau Renater 3
Aujourd’hui plus de 800 établissements ayant une activité dans les domaines de la Recherche, la Technologie et l’Enseignement sont raccordés à RENATER. Ce réseau leur permet de communiquer entre eux, d’accéder aux centres de recherche et aux établissements d’enseignement du monde entier et à l’Internet. Le réseau RENATER est composé d’une infrastructure métropolitaine et de liaisons internationales à haut débit. RENATER est également présent dans les départements et territoires d’Outre Mer. Les caractéristiques de ce réseau en cours de déploiement sont  Une architecture avec un maillage complet avec des liaisons à 2,5 Gbps sur l’ensemble des points de présence du réseau  L’introduction des techniques les plus avancées de routage pour une distribution équilibrée de la charge sur l’ensemble du réseau  Une disponibilité renforcée et sécurisation par boucles homogènes  Une possibilité de répondre aux besoins de très hauts débits des grands projets de recherche en établissant des chemins optiques de bout en bout entre les points de présence Liaisons vers les autres réseaux de recherche dans le monde RENATER est interconnecté à 10 Gbit/s aux autres réseaux de recherche européens et américains - y compris Internet 2 (réseau ABILENE) - via le réseau européen GÉANT qui est, au plan mondial, la plus grande structure de ce type. Liaisons avec l’Internet En France la communication avec l’Internet est réalisée par le noeud d’échange SFINX (lien à 2*10 Gbit/s avec plus de 80 opérateurs). La communication avec l’Internet dans le reste du monde est assurée par le raccordement de RENATER à 2X 2,5 Gbps à l’épine dorsale Internet mondiale OpenTransit de France Télécom. Les services Des services sont offerts à l’ensemble de ses utilisateurs qui s’engagent au respect d’une charte déontologique. Parmi les services, signalons : la connectivité en IPv4 et en IPv6 disponible en natif sur le réseau, le service multicast utile à la diffusion de visioconférences, la gestion de la qualité de service (QoS), et la sécurité qui est assurée par le CERT-RENATER. Pour produire ces services le GIP RENATER développe des technologies telles que la métrologie et maintient des relations suivies avec ses utilisateurs. Le GIP-RENATER propose également un "modèle" de charte déontologique pour les établissements. Organisé en groupement d’intérêt public le GIP-RENATER comprend une trentaine de personnes basées à Paris ENSAM) et à Montpellier CINES). Le GIP RENATER est impliqué dans de nombreux partenariats nationaux et internationaux, tant dans un souci de veille technologique avancée que pour prodiguer des services spécifiques à des projets de recherche (grilles de calcul, grilles de données, établissements diffusant des contenus importants,...). raccordements DOM-TOM : 128 Kbit/s à 2 Mbit/s

68 Le réseau Renater 4 et ses interconnexions

69 Le réseau Renater

70 Les liaisons DOM-TOM du réseau Renater

71 Les liaisons internationales du réseau Renater

72 Les communications avec les réseaux de la recherche

73 Les liaisons européennes du réseau Renater

74 La connectivité intercontinentale

75 Les communications avec l’Internet commercial
Le SFINX est un GIX (Global Internet eXchange), point d’échange de trafic Internet entre prestataires de services Internet, ou opérateurs de télécommunications qui veulent échanger du trafic, sans transit et sans passer par des infrastructures internationales. Le GIP RENATER assure la maîtrise d’ouvrage du SFINX depuis sa création en 1995, et ce en étant à l’écoute des FAI (fournisseurs d’accès internet) qui y sont connectés. Ainsi les offres de connexions sur le SFINX ont évolué en fonction des besoins exprimés par les FAI et des contraintes du modèle économique du SFINX. Aujourd’hui, nous constatons que les FAI se tournent à plus de 90% vers l’offre SFINX DIRECT qui permet une connexion directe au switch du SFINX, délaissant ainsi l’offre HEBERGEE qui semble ne plus correspondre au besoin du marché. Par ailleurs, l’architecture du SFINX est maintenant réduite à deux points de présence sur la place parisienne, au lieu de trois, ce qui a pour conséquence la diminution des coûts liés à l’interconnexion des nœuds.

76 L’Internet commercial en France
SFINX : service de GIX français opéré par GIX (Global Internet eXchange) : point d'échange de trafic entre prestataires de services Internet. Les FAI-ISP (Internet Service Providers, fournisseurs d’accès Internet) qui désirent échanger du trafic entre eux viennent s'y raccorder, chacun faisant réaliser une liaison entre son réseau et le GIX (plus de 60 ISP en France). Un GIX doit être « neutre » = indépendant des stratégies commerciales des opérateurs de télécommunications. Il y a des GIX dans la plupart des pays où l'Internet est développé. L’interconnexion des GIX = le maillage de l'Internet mondial. En France, l'interconnexion au SFINX permet aux ISP qui possèdent un numéro d'AS (Autonomous System) d'échanger du trafic, sans transit, et sans passer par des infrastructures transnationales. Les échanges de trafic entre ces prestataires ISP sont basés sur des accords de peering qu'ils établissent entre eux.

77 SFINX à Paris Internet Service Providers

78 Liste des prestataires raccordés à Paris
ABOVENET/METROMEDIA AFNIC ARCOR AG & CO AT&T/GLOBAL NETWORK SERVICES B3G TELECOM BELGACOM SA BELNET BT GLOBAL NETWORKS CEGETEL COGENT COM. France SAS COLT IMAGINET COLT TELECOMMUNICATIONS COMPLETEL SAS CYREALIS DEUTSCHE TELEKOM AG DYNEGY FRANCE COM. EASYNET FRANCE ECRITEL EUTELSAT S.A EURO-INFORMATION FLAG Atlantic France SAS FREE TELECOM FRONTIER ONLINE GIE GITOYEN Groupe PPR GLOBAL ACCESS TELECOM - GLOBIX SAS - IDNET - IKOULA - INTERNET-FR - INTEROUTE TELECOM. - ISC ( F-ROOT ) - KPN TELECOM BV - LAMBDANET COM. FRANCE - MATRA GROLIER NETWORK - NEUF TELECOM / LDCOM - NERIM - NTL GROUP LIMITED - OVANET SARL - OVH SARL - PIPEX COM. UK LTD - PSINETWORKS EUROPE - PT COMUNICACOES SA - RENATER - RIPE-NCC - ROMANIA DATA SYSTEMS - SITA EQUANT - SWISSCOM AG - T-ONLINE FRANCE - TDC SWITZERLAND AG ( SUNRISE ) - TELE2 SVERIGE AB - TELEFONICA DATA - TELEFONICA DEUTSCHLAND GmbH - TELEGLOBE FRANCE INTERNATIONAL - TELIA France - TISCALI TELECOM - UUNET - VIATEL OPERATIONS - WIDE ( M-ROOT ) - YACAST

79 Evolution du SFINX à Paris
Interconnexion à 10 Giga-Ethernet

80 Cours Réseaux fin du chapitre 1


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