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Vers des programmes locaux de prévention des déchets

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Présentation au sujet: "Vers des programmes locaux de prévention des déchets"— Transcription de la présentation:

1 Vers des programmes locaux de prévention des déchets
Formation-action Amiens – 19 octobre 2006 Bruno Genty

2 Programme de la 3ème journée
Quelles actions de communication dans vos territoires ? Pourquoi et comment être exemplaire ? Quels objectifs opérationnels ? Quels indicateurs ?

3 Comment communiquer pour mobiliser ?

4 A quoi doit servir la communication ?
Servir le projet et non pas être une fin en soi ! Motiver les citoyens et les acteurs en mettant en évidence les enjeux globaux et locaux mais aussi les alternatives disponibles Rendre visibles et valoriser ceux qui adoptent les alternatives afin de créer un effet d’entraînement Valoriser le maître d’ouvrage (pas de ruban à couper mais une réputation à gagner!) Valoriser les partenaires

5 Les outils de l’ADEME pour communiquer sur la réduction des déchets
Port folio : Visuels de la campagne Expositions Guide de sensibilisation Outils d’animation Guide de l’éco-communication Pistes d'améliorations environnementales pour la conception et la réalisation de publications et de manifestations

6 = Quels sont les moteurs de la mobilisation ?
J’accorde de l ’importance à la problématique Je suis personnellement concerné par la prévention des déchets Je pense pouvoir agir en faveur de la prévention = Je suis prêt à m’impliquer

7 Coordonner les temps de communication...
Sensibilisation Actions (information, formation aux pratiques préventives, …) Suivi (valorisation des bonnes pratiques, résultats, …) Journée de la réparation Salon de la se- conde main Exposition Concours

8 Comment communiquer sur la prévention ?
Une cohérence entre supports et discours Des discours mis en pratique par le porteur de projet (crédibiliser sur l ’exemplarité et sur la faisabilité) Des discours fondés sur des contenus Une démarche participative et une communication « partagée » Une communication en rupture avec la publicité consumériste privilégier la qualité à la quantité) Une tonalité « offensive » (cf . Prévention routière britannique, affiches flamandes sur la responsabilité de l ’acheteur, …) Eviter le prosélytisme … mettre l ’accent sur le libre choix Une communication de longue haleine (au delà de l’évènementiel)

9 Donner une identité à la politique locale
Un drapeau Des acteurs Un porteur de drapeau

10 Quelques exemples de logos...
Conseil général Essonne Région Bruxelles-Capitale

11 Quelques exemples de slogans...
Chéri(e), j ’ai réduit…(Canada) Moins de déchets ! (Bruxelles) Moins de déchets, c’est un plus (Essonne) Recycler c’est bien, jeter moins c’est mieux (Ardennes) Acheter et consommer mieux (ADEME) Saving the Planet is your profit (Rotterdam) Faites vos courses intelligemment, achetez moins de déchets (Belgique- Région Flamande) Le minimum déchets, on y arrivera (Bruxelles) Achetez malin pour jeter moins (Bruxelles)

12 Exemple d’un drapeau « actif »
Pour valoriser les partenaires et tous ceux qui s’impliquent dans le programme Pour rendre visibles les actions Pour favoriser une mise en cohérence des différents interventions

13 L’essaimage : une méthode de communication efficace et… économique
NOUVEAU Stratégie Tupperware L’essaimage : une méthode de communication efficace et… économique S’appuyer sur les acteurs de proximité (proches dans l’espace, proches par les centres d’intérêt, proches par la culture,…) … pour diffuser des alternatives dans leurs milieux respectifs Quelques exemples : Proches dans l’espace : guides composteur Proches par les centres d’intérêt : association de commerçants proposant à leurs collègues de développer des actions de prévention dans leurs boutiques Proches par la culture : citoyens d’origines étrangères (visite dans un supermarché)

14 Conforter l’essaimage… pour le développer
Le rendre visible (Ex. : diffusion de l’identité visuelle, articles dans les publications de la collectivité, etc.) Le valoriser L’évaluer (donner des fiches de suivi aux volontaires Le soutenir (être disponible pour les volontaires afin de répondre à leurs éventuelles difficultés- Ex. : mise à disposition d’une salle de réunion pour les guides-composteurs) Le développer : demander aux « abeilles » de « rabattre » de nouveaux volontaires; continuer à solliciter de nouveaux volontaires

15 Quelles actions de communication dans vos territoires ?
3 groupes de travail sont chargés d’élaborer la trame d’actions de communication : Le groupe 1 propose des actions ayant pour objectif de sensibiliser les citoyens aux enjeux le groupe 2 propose des actions ayant pour objectif de responsabiliser les citoyens Le groupe propose des actions ayant pour objectif de proposer des gestes concrets aux citoyens J’accorde de l ’importance à la problématique Je suis personnellement concerné par la prévention des déchets Je pense pouvoir agir en faveur de la prévention Trame = quoi (descriptif de l’action), pour quoi (objectifs, intérêts), pour qui (cibles), comment (supports, cohérence avec le discours préventif), avec qui (partenaires éventuels) ?

16 Pourquoi et comment être exemplaire ?

17 Pourquoi être exemplaire ?
je fais ce que je dis je dis ce que je fais je sais de quoi je parle ça peut marcher ! ça peut rapporter !

18 Comment ça fonctionne ? Décision de la direction d’engager l’action « St Mourçin réduit ses déchets » La direction désigne un coordinateur et sollicite des correspondants Le coordinateur et les correspondants définissent les actions à mener Ces actions sont soumises aux utilisateurs concernés par le changement avant validation Lancement officiel : la direction valide le plan d’actions (lettre à tous les agents) Le plan d’actions est mis en œuvre, et évalué

19 Quels sont les points faibles du projet ?
Actions à mener Lettre de la DG aux chefs de service (affirmation de la volonté de la CL) Désignation d’un coordinateur et de correspondants dans les services Inventaire des « bonnes pratiques » mais aussi des sources de gaspillage (par ex. via un questionnaire) Formation-action du coordinateur et des correspondants (signature d’une charte d’engagement entre la DG et les principaux acteurs) Etat initial des consommations Choix des alternatives Information de tout le personnel par la DG = lancement officiel de l’opération Mise en œuvre des alternatives Communication régulière pour entretenir la dynamique et valoriser les bons gestes et les personnes qui les mettent en pratique Evaluation Quels sont les points faibles du projet ?

20 Outils créés : cas de l’opération « to print or not to print » (Bruxelles-Capitale)
POUR LA PERSONNE-RELAIS “Kit de l’animateur” Guide de l’auto-diagnostic Affiche POUR CHACUN Formation assistée par ordinateur Economiseurs d’écran Accessibles sur :

21 Communiquer pour créer une dynamique : exemple de l’ADEME-Lorraine

22 Quels objectifs opérationnels ?

23 Hiérarchiser les actions
La programmation Hiérarchiser les actions Dégager des objectifs opérationnels Planifier les actions Budgétiser “PROGRAMMER : ordonner une suite d’actions que l’on se propose d’accomplir pour arriver à un résultat” (Le Petit Robert)

24 Retour sur les actions répondant aux objectifs généraux
En faisant appel aux acteurs impliqués dans la phase d’élaboration (actions pour lesquelles des « porteurs de projets » sont identifiés) En s’inspirant des « meilleures pratiques » issues de collectivités européennes En retenant des actions qui permettent d’influer sur les gisements d’évitement retenus comme prioritaires (déchets spéciaux, produits « emblématiques », etc.) Hiérarchiser les actions Actions centrées sur les activités Actions centrées sur les détournements de flux Actions centrées sur l’acte d’acquisition Actions centrées sur l ’utilisation et la réutilisation

25 Mesurer la faisabilité des actions proposées
Impacts escomptés Inconvénients Intérêts Délais de réalisation Bénéficiaires Coûts Hiérarchiser les actions Motivation du porteur Fiabilité du porteur Références et retenir les plus favorables

26 Exemples d’objectifs opérationnels pour l’an 1
Sensibiliser les citoyens aux enjeux globaux et locaux 30% des ménages abonnés au journal de la prévention- 500 élèves sensibilisés Impliquer les citoyens 200 volontaires formés Responsabiliser les usagers du service Entrée en vigueur de la REOM dans 1 an Concevoir autrement les activités Réduction de 20% de la consommation de papiers dans les services Offrir des alternatives d’acquisition Semaine de la consommation écoresponsable dans les commerces Offrir des alternatives d’utilisation Journée du devis gratuit avec les artisans de la réparation Offrir des alternatives à l’abandon Création d ’une recyclerie/ressourcerie. Promotion des lieux de collectes des piles Promouvoir la liberté de choix pour les produits imposés 20% des ménages apposant l ’autocollant « stop-pub » = Sensibiliser = Stimuler la demande = Stimuler l’offre et la demande

27 Formaliser un plan d’actions Corrections éventuelles
Résultats: - escomptés - mode d’évaluation Objectifs Actions Action n°1 cf. fiche-action Objectif n°1 Moyens : - budget-partenaires - cofinanceurs Action n°2 cf. fiche-action Classer les objectifs de manière chronologique Classer les actions de manière chronologique Phasage Action n°3 cf. fiche-action Suivi Evaluation Corrections éventuelles

28 Ordonnez vos actions en les regroupant selon la logique « Objectif opérationnel–Actions – Objectif chiffré… 3 groupes de travail Action n°1 cf. fiche-action Objectif n°1 Action n°2 cf. fiche-action Action n°3 cf. fiche-action

29 Quels indicateurs ?

30 Les indicateurs sont liés aux objectifs du programme de prévention
Si l’objectif = une diminution de 10% des flux totaux, les indicateurs devront rendre compte de l’atteinte de l ’objectif au fil du temps Si l’objectif ne vise que certaines catégories de produits/déchets, les indicateurs devront renseigner ces catégories Si l’objectif ne concerne que certains publics, les indicateurs en tiendront compte L’objectif est aussi d’améliorer la conscience environnementale des citoyens OBJECTIFS MOYENS RESULTATS

31 Pourquoi mettre en place des indicateurs ?
Suivre l’atteinte des objectifs du programme réduire les quantités de déchets, modifier les comportements d’achat, ... Mesurer l’avancement en continu baromètre du programme de prévention Mesurer l’évolution aux étapes clés niveaux de sensibilisation des acteurs et publics cibles Mobiliser les décideurs politiques évolution des coûts, des besoins en capacité de traitement, des effets sur la santé et l’environnement, ... Piloter les opérations Améliorer le contenu du programme Logique différente du suivi de la collecte car on va aussi s’intéresser aux achats et aux formes d’utilisation

32 Les contraintes Mesurer des quantités évitées
La diversité des champs d’actions logique différente du suivi de la collecte ou du traitement peu de formules de calcul, mais la définition de données utiles Produits plus « divers » que pour le tri ; de plus les logiques de prévention conduisent à étendre progressivement la logique à de nouveaux produits

33 Deux types d’indicateurs
Indicateurs de programme évaluation des politiques de prévention à l’échelle d’un territoire Activités du territoire Impacts liés Aux déchets Engagement Moyens mobilisés Résultats obtenus Indicateurs d’actions évaluation individuelle de chacune des actions du programme

34 Indicateurs de programme
Indicateurs d’activités Activité des ménages niveau moyen de revenus déclarés aux impôts Activité des entreprises privées et publiques évolution du chiffre d’affaires (privé) évolution de la fréquentation (public) nombre de commerçants et d’artisans Caractérisation de la consommation indicateur de découplage (revenus déclarés / production de déchets) niveau de consommation (revenus déclarés / chiffre d’affaires des commerces)

35 Indicateurs de programme
Indicateurs d’activités Les indicateurs d’activité sont à compléter par des données caractérisant le territoire Exemples pour les ménages : population totale, nombre moyen de personnes par ménage, % d’habitat individuel / collectif, surface habitable moyenne par habitant, ... Exemples pour les entreprises : Nombre d’entreprises (distinction entre privé, administration de l’Etat et collectivités), secteurs d’activités, ...

36 Indicateurs de programme
Indicateurs d’impacts quantités annuelles de déchets produites (kg/hab/an) efficacité des collectes en PàP (t/km parcourus) traitements non conformes (nombre de dépôts sauvages, ...) niveaux des rejets (solides, liquides, gazeux) liés à la gestion des déchets

37 Indicateurs de programme
Indicateurs d’engagement Niveau de prévention : budget engagé / objectif de réduction de la production de déchets (€/t) Amplitude des champs couverts (conception, fabrication, vente, acquisition, utilisation, cession, détournement de flux) Amplitude géographique : nombre de collectivités du territoire développant une démarche exemplaire / nombre totale de collectivités Dissémination : nombre de politiques publiques hébergeant une action de prévention

38 Indicateurs de programme
Indicateurs de moyens Mode de facturation développée sur le territoire (mode de calcul) Budget mobilisé (€/hab) Nombre de personnes impliquées en ETP (y compris partenaires et bénévoles)

39 Indicateurs de programme
Indicateurs de résultats évolution (ramenée à l’habitant) de la vente de produits ayant des alternatives mises en évidence (ex : bouteilles d’eau / eau du robinet) suivi de collectes avec caractérisation de produits faisant l’objet d’alternatives réduction du tonnage de déchets ménagers : différence entre production mesurée et production tendancielle estimation du tonnage évité par cumul des tonnages évités par chaque action de prévention niveau de participation ( je connais, j’adhère, j’agis) établi par enquêtes et sondages

40 Indicateurs d’actions
A construire au cas par cas selon les actions sur le modèle : Indicateurs d’objectifs (année zéro et année n) Indicateurs de moyens moyens techniques et de sensibilisation moyens financiers moyens humains Indicateurs de résultats quantités de déchets (année zéro et année n) niveau de sensibilisation évolution du mode de consommation

41 Indicateurs d’actions Exemple : Stop Pub
Indicateurs d’objectifs (Attention au point « zéro ») % de la population exposée % de la population exposée utilisant l’autocollant quantités de COUNA distribués (kg/hab/an)

42 Indicateurs d’objectifs Exemple : Stop Pub

43 Indicateurs d’actions Exemple : Stop Pub
Indicateurs de moyens techniques et de sensibilisation nombre de distributeurs partenaires nombre d’autocollants distribués nombre d’animations réalisées nombre de brochures distribuées nombre de points de distribution des autocollants financiers budget spécifique total alloué à l’action budget par source de financement humains nombre de personnes (ETP) mobilisées nombre d’heures (y compris partenaires et bénévoles) consacrées à l’action

44 Indicateurs d’actions Exemple : Stop Pub
Indicateurs de résultats nombre d’autocollants « actifs » quantités d’INS distribuées (kg/an) : par ménage participant à l’action par ménage non participant quantités de collecte sélective « papier » (kg/hab/an) quantités d’OM résiduelles collectées (kg/hab/an) nombre d’habitants : exposé à l’action connaissant l’action ayant assisté à une animation participant à des groupes-tests

45 Les indicateurs de la prévention
Un « mal » nécessaire ... pour suivre l’avancement du programme et des actions pour piloter et améliorer le programme en continu Mais des difficultés de mise en œuvre dans la collecte des données Certaines disponibles D’autres facilement mesurables Des moyens de mesure à développer sondages d’opinion suivi de foyers-tests caractérisations simplifiées

46 Les indicateurs de la prévention
Mais des difficultés de mise en œuvre par la diversité des champs d’actions production achat usage réutilisation par la diversité des produits visés sacs de caisse, INS, vêtements, jouets, emballages, biodéchets, ... nécessité pour chaque produit d’identifier les points de mesure de présence (ou d’évitement) les cibles principales

47 Cas concret : le baromètre des déchets (Bruxelles-Capitale)
PREVENIR Objectif an n + 1 - 2 indicateurs de SENSIBILISATION: nbre d ’abonnés au journal de la prévention et %age des ménages conscients des impacts environnementaux de leurs achats - 4 indicateurs relatifs à l’ECO-CONSOMMATION : ménages ayant apposé l ’autocollant Stop-pub, ménages achetant des lessives concentrées, ménages privilégiant la consigne pour l ’eau en bouteille, ménages n ’utilisant jamais de sacs de caisse jetables -1 indicateur relatif à la REUTILISATION ; tonnages de textiles collectés séparément -2 indicateurs relatifs au COMPOSTAGE AUTONOME : nbre de ménages compostant à domicile et nbre de maitres-composteurs RECYCLER - Quantité de déchets d ’emballages recyclés (kg/hab/an) - Quantité de vieux papiers recyclés (kg/hab/an) - Quantité de déchets verts recyclés (kg/hab/an) ELIMINER - Quantité globale des déchets produits (kg/hab/an)

48 Cas concret : le baromètre des déchets (Bruxelles-Capitale)
Moins de déchets 9 indicateurs Où en est-on? Objectif 2002 12/98 12/99 12/00 12/01 Sensibiliser 1. Nombre d'abonnés au journal "Le minimum déchets, on y arrivera" 5 900 10 500 abonnés 2. Ménages conscients de l'impact de leurs achats sur l'environnement - 45% 50% 80% Prévenir à la source 3. Ménages déclarant avoir apposé l'autocollant anti-publicité toutes-boîtes 5,5% 17% 19% 40% = - de 5 kg/hab/an 4. Ménages achetant des lessives concentrées 23,6% 33,6% 85% = - de 1 kg/hab/an 5. Ménages privilégiant la consigne pour l'achat de l'eau en bouteille 11,5% 12% 18,7% - de 5 kg/hab/an 6. Ménages n'utilisant jamais de sacs de caisse jetables 18,6% 20,4% - de 1kg/hab/an Réutiliser 7. Quantités de textiles collectés pour en extraire la fraction réutilisable 2,3 2,7 2,5 5,4 kg/hab/an Composter 8. Nombre de ménages compostant leurs déchets à domicile (quartier pilote) 6,5% 2% de la Région en moyenne = -15kg/hab/an 9. Nombre de maîtres-composteurs formés ou en formation 144 174 228 Cas concret : le baromètre des déchets (Bruxelles-Capitale)

49 (à classer par ordre d’intervention (à chiffrer en heures et en €)
Tableau de bord OBJECTIF OPERATIONNEL : Réduire la consommation de papier de 20% en 5 ans dans les bureaux Actions (à classer par ordre d’intervention Moyens (à chiffrer en heures et en €) An 1 Indicateurs Résultat visé à 5 ans Sensibilisation des entreprises du tertiaire (privées et publiques) Recensement des entreprises Envoi d’un courrier personnalisé Relance téléphonique Page sur le site web 102 Nbre d’entreprises ayant reçu la lettre + contacts téléphonique 102 entreprises Formalisation de l’engagement des entreprises Charte d’engagement 6 Nbre d’entreprises signataires de la charte 25 entreprises Formation des chefs de projet Formation initiale Création d’un intranet de formation assistée par ordinateur 9 Nbre de personnes formées Nbre de connections à l’intranet 30 personnes Réalisation d’un état initial Soutien méthodologique 5 Nbre d’entreprises ayant transmis leur état initial Communication sur l’avancement de l’action Newsletter Rubrique dans le journal de la prévention 3 numéros 2 articles Tonnages évités Mesures régulières - 3% Tx d’utilisation du r/v Ecart état inital/pers./an sur conso papier - 20 %

50 Esquisser son tableau de bord
En s’appuyant chacun sur un objectif opérationnel, 3 groupes de travail préparent un « tableau de bord en regard avec cet objectif en privilégiant la réflexion sur les moyens.


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