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RHUMATOLOGIE.

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Présentation au sujet: "RHUMATOLOGIE."— Transcription de la présentation:

1 RHUMATOLOGIE

2 PRINCIPES « Rhumatismale »: tout ce qui est relatif à la rhumatologie (mot générique). Tout ce qui est en « OSE » relatif à la pathologie DEGENERATIVE. Tout ce qui est en « ITE » sauf capsulite rétractile relatif à l’INFLAMMATION. Tout ce qui est en « OÏDE » ne concerne QUE la polyarthrite rhumatoïde et tout ce qui touche au facteur rhumatoïde.

3 ARTHROSE # ARTHRITE

4 INTRODUCTION A LA RHUMATOLOGIE
Contrairement aux autres spécialités, la SPECIFICITE de la rhumato: 1. on ne guérit pas  pas de rééducation mais READAPTATION - Objectifs à long terme (hygiène de vie..) 2. un des cas où l’on W sur des structures anat altérées, usées et fragiles (en neuro, traumato structures anat sont saines)

5 Rhumatologie = TERRAIN PARTICULIER :
lié à l’âge et au terrain fragile 1. gens âgés :  retentissement physique . pluralité de l’atteinte . déminéralisation . EMG, ECG modifiés  retentissement psychosocial . abandon, solitude….pb autonomie . diminution du rythme de vie . diminution de la motivation

6 Ce sont des sujets biologiquement et psychologiquement INADAPTABLES
Qui présentent : . un mauvais sens kinétique . une compréhension limitée . défaitisme  ADAPTER la PEC  OBJECTIFS FONCTIONNELS (pas d’objectifs analytiques) - autonomie - indépendance : escaliers...

7 ex: si la personne habite au 1er étage
Il est ESSENTIEL d’atteindre cet objectif mais INUTILE aller au-delà (ex:ridicule de mettre pers âgée sur 1 plateau de Freeman mais la rééduquer sur des plans fixes oui. § ! Proprioception n’est pas contre indiquée mais adaptation)  En rhumatologie, on ne fait que de la READAPTATION FONCTIONNELLE

8 2. terrain fragile: . Maladie arthrosique (n°2) « OSE » . Maladie inflammatoire (n°3) « ITE »

9 « OSE » = dégénératif - maladie arthrosique Capillaire n’ont plus de vasoconstriction  stase veineuse qui est très douloureuse  contractures  STASE Moyens: . dim les contraintes . drainage veineux « ITE » maladie inflammatoire Tendons, capsule sont douloureux et fragiles  - dim les contraintes d’effort (on ne peut lutter que contre les conséq.= douleur, atrophie, ankylose et perte de F° Moyens: . dim les contraintes . pas de douleur

10 AU TOTAL: - ADAPTER KT AU TERRAIN du patient : . Antalgie . Prophylaxie (long terme) . Fonctionnel++ (réadaptation marche indépendance escaliers) . W statique dosé . W actif + que W passif . MK s’adapte au patient (ne pas sous estimer ses possib. non plus)

11 PROCESSUS PATHOLOGIQUE DE L’ARTHROSE
Pathologie des contraintes : 1. aug des sollicitations 2. baisse résistance osseuse ( cf schéma la maladie arthrosique)

12

13 LES SIGNES DE L’ARTHROSE
1. Signes fonctionnels 2. Signes physiques 3. Signes radiologiques 4. Signes arthroscopiques

14 . symptôme essentiel de l’arthrose.
1. Signes fonctionnels : - la douleur : . symptôme essentiel de l’arthrose. . elle est d’apparition progressive de type MECANIQUE càd : . calmée par le repos . exacerbée par le mvt ou la MEC . rarement nocturne . nécessite un dérouillage très bref - la gêne fonctionnelle : elle résulte de la douleur et de l’enraidissement. Au mb inf elle se traduit par une BOITERIE INVALIDANTE

15 - variable en f° des arti
2. Signes physiques - limitation des mvts : - survient rapidement - s’auto entretient - et favorise l’attitude vicieuse - attitude vicieuse : - variable en f° des arti - se fait ds la posit° antalgique spécifique à chaque arti - amyotrophie : elle est réflexe ou conséq de - la douleur, - de la limit° d’amplitude (palpat° met en évid fibres contracturées génératrices de nvl doul)

16 3. Signes radiologiques Ils sont tardifs et objectivent les modificat° osseuses et cartilagineuses. - pincement de l’interligne : témoin de la dégénérescence cartilagineuse des 2 SA en contact - ostéo condensation : témoin de la densification de l’os sous chondral ds les zones d’hyperpression - ostéophytose : prolonge la surface cartilagineuse au niv° de la jonction chondrosynoviale ds les zones en décharge - les géodes : siègent ds l’os sous chondral

17 4. Signes arthroscopiques
 4 stades de gravité croissante Chondromalacie = cartilage mou (œdème et ramollissement du cartilage) Chondropathies fissulaires superficielles pas atteinte de l’os sous chondral) Chondropathies fissulaires profondes (atteinte de l’os sous chondral ; fissures multiples en « chair de crabe » + ulcérations profondes) Réalise une mise à nu de l’os sous chondral qui apparaît brun et sombre

18 TECHNIQUES de choix en RHUMATOLOGIE
1. Pour lutter contre la douleur 2. Pour diminuer les contraintes 3. Entretenir la mobilité articulaire 4. Techniques de renforcement musculaire 5. Méthodes posturales

19 1. Lutte contre la douleur
- physiothérapie chaude - I. R - parafangothérapie (boue) - coton thermogène, couvertures - paraffine médicale - cryothérapie - glace (20 m + couverture) - cold pack - bain glacé - Bains alternés - Electrothérapie de B F - Ultra- sons - ionisations

20 2. Diminuer les contraintes
- Hygiène de vie - repos quotidien - éviter le port de charges - obésité - W ds ampli max & sans contraintes - W grand bras de levier - petit appareillage - de repos - de soutien:orthèses: main genou - plâtre, polyzar,cuir..

21 - les aides de marche - les barres // - déambulateur - youpala / cadres de marche - béquilles - cannes tripodes - cannes anglaises - canne appui axillaire (2 trvers doigt sous axillaire et 15° de flex° coude)  économie d’énergie

22 3. Entretenir la mobilité arti
- presque jamais de W passif - favoriser l’actif++ - actif aidé ou auto aidé - balnéo + ou – chaude - W en suspensions - pendulaires - axiales - élastiques (sandow, ressort) . relâchement+++ . dim réflexe d’étirement

23 - la balnéo - utilise le principe d’Archimède  variation poids segment de mbre - la pression hydrostatique et viscosité  guide, sécurise, résiste - apport de la chaleur : antalgique, émollient, décontracturante, dim l’effet de la pesanteur : soulage les arti, dim les contraintes, met les arti porteuses en apesanteur. ! contre-indicat°: cardiaques, plaies, sonde, hydrophobie Matériel : pédiluve, trèfles, piscine + salle de repos séchage serviettes chaudes

24 Utilisat° des flotteurs, bouées, planches, ceintures plombées & chaussures, palmes
raquettes, plan incliné, table immergée, sangles, coussins…  W avec ou contre flotteur  W avec ou contre Archimède  W avec ou sans résistance (palme, raq)  W + ou – en charge  W toujours lent et conduit  W ds milieu antalgique ( analytique, global ( Kabat, gain d’amplitude)

25 -TTT - dure 15 à 20 minutes - fréquence 2/ semaine - rythme W lent 15 minutes - repos ½ h minimum - Les cures : CRENOTHERAPIE . Cures thermales = boues, eaux, souffre (ville de DAX) (les personnes sont soulagées: + kiné tous les jours et 2 / jour  qualité de vie améliorée

26 - Les techniques de gain d’amplitude
. privilégier les postures (ne pas mobi en force du cartilage fragile = contrainte en compres°) . faire des postures intermittentes càd qui se répètent régulièrt à un rythme régulier (nutrit° du cartilage éponge.. Ex: 10 m de posture on supprime la compres°et on laisse le cartilage se réimbiber puis on remet la charge. Arti placée ds la posit° maxi qu’elle peut atteindre. Rque: en rhuma cela ne sert à rien « plier à + 90° de flex° pr marcher il faut 45°et c’est

27 contre indiqué car tous les efforts que l’on va faire pour gagner l’amplitu au-delà de 90° va abîmer la rééd . la force pour la force n’a aucun intérêt il faut une force suffisante (erreur de faire du renft musc au-delà du suffisant car aug les contraintes pour aucun bénéfice. . Les techniques d’inhibition: - contracter-relacher - isométrique isotonique (utilise innerva tion réciproque si pas trop fort) . Les chaînes musculaires

28 . Massages et étirements musculaires longitudinaux et transversaux
. Stabilisations rythmiques et inversions lentes . Détente et techniques de relaxation

29 4. La force musculaire - il faut associer RHUMATO & W statique= ISOMETRIQUE (tension change pas long) - ne pas déclencher de réactions inflamm. au niv° des structures anat. - W isométrique = W efficace car 25% W en moins à force égale. - importance de choisir le secteur d’amplit Rque: il semble que la réaction pathologique soit proportionnelle à la quantité de mvt et que le W statique favorise la stabilisation d’un processus inflammatoire

30 RAPPEL des méthodes statiques
Techniques de renforcement musculaire en STATIQUE = ISOMETRIQUE 1- Hettinger-Muller 2- TSI 3- Réflexes posturaux Contraction ISOMETRIQUE : m ne se raccourcit pas (iso = même métrique = longueur)

31 1. HETTINGER-MULLER - pour renforcer un m il faut au - appliquer 40-50% de tension maxi possib. d’un m. (en dessous cela ne sert à rien pour faire du renforcement muscul.) - la durée de la contraction n’a pas d’importance ce qui compte : le m DOIT SE CONTRACTER - la répétition : un petit nb de contraction peut suffire à condition qu’il y ait 3 ou 4 séances / jr Rmque : bien que le patient soit douloureux et ou fragile on peut faire des contractions puissantes, brèves tous les jours (méthode douce pr s. fragile) Contractions Hettinger-Muller ou contraction isométriques brèves. Ces auteurs ont déterminé les conditions optimales pour le renforcement isométrique bref : la résistance à opposer est de 40 à 50% de la force maximale du patient; le temps de maintien est de 20 à 30% du temps maximal testé par lâchage ; STAT ERGO METRE (mesure statique ergo= W mètre= mesure) = mesure du travail statique

32 TROISIER (TSI) Principe : Succession de phases de contraction et de phases de repos adaptées. La CM est maintenue durant 6 s puis 6 s de repos.(méthode pour s. jeune et solide après opérat°) Installation du patient : le mb est amené et ramené passivement à la, ou de la position de W. La recherche FMM permet d’établir la charge à maintenir lors de la contract° (50% FMM).  W statique . W en force = 80% FMT . W en endurance : 50% FMT En aucun cas le patient ne retient la charge, ne lutte contre la charge. FMT: Force Maximale Théorique = Charge théorique que le m. peut supporter pdt une durée infiniment courte. Charge théorique se calcule, pour calculer la FMT = on mesure FMM = Force Maximale Mesurée(force maximale statique mesurée) en utilisant le dynamomètre électronique STATERGOMETRE 2. se mettre sur un pèse personne et appliquer une force directe ex: quadriceps, moyen fessier 3. Essais – erreurs : 27kg, 29KG, 30kg. FMM mesurée : à partir de laquelle on fait une épreuve d’effort avec montage en TSI, 6 secondes de W, 6 s de repos et l’on compte les coups. On se retrouve avec 2 chiffres :

33 REFLEXES POSTURAUX - W exclusivement sur position hyper corrigée - on insiste sur la sensation d’appui et de position (d’autant + efficace) - résistance adaptée manuelle (résistance= stimulat° ext qui provoque la réaction  réflexe postural) - tenue 8 secondes sur le temps expiratoire - relâchement conscient - résistance au muscle fort - résistance du proximal vers le distal

34 AU TOTAL EN RHUMATOLOGIE
- il faut atteindre tous les buts que l’on s’est fixé mais :  maxi de douceur  avec le temps  NON DOULEUR +++ - car cercle vicieux douleurcontracture ou inflam° douleur - chronicité (ttt au long cours)


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