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Les revues électroniques : état des lieux, évolutions et usages

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1 Les revues électroniques : état des lieux, évolutions et usages
14 décembre 2006 Marie-Laure Malingre

2 Plan 1. Les revues électroniques : définitions et typologies
2. Les revues électroniques et le champ de l’édition : contexte, rapport au secteur de l’édition imprimée et émergence de nouveaux processus 3. Les revues électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques 4. L’offre éditoriale : panorama général 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages. Quelques exemples

3 1. Les revues électroniques : définitions et typologies
Place et fonction des revues Rôle central des revues dans l’élaboration et la diffusion de la pensée scientifique Rôle social pour les chercheurs Croissance exponentielle des revues scientifiques, et multiplication des revues électroniques 2005 : chaque jour ouvrable, parution d’environ 10 nouvelles revues électroniques (serveur NewJour) = Croissance d’environ 2000 nouvelles revues par an. Investissent tous les domaines du savoir Périodiques représentent entre 50 et 80% des dépenses documentaires des bibliothèques universitaires françaises La publication sous forme d’articles, recensant des observations ou des découvertes et présentant des nouvelles théories ou de simples réflexions s’est vite généralisées. Depuis le XVIIe siècle, rôle des périodiques dans l’établissement, le développement et la diffusion de la pensée scientifique. La croissance des titres encore avérée ces dernières années, atteste de la fonction majeure dans le dispositif global de la communication scientifique. Croissance exponentielle : cf. Derek de Solla Price dans les années 60. En 2005, le serveur NewJour ( signale chaque jour ouvrable la parution d’environ dix nouvelles revues électroniques, soit une croissance d’environ 2000 nouvelles revues par an. Important pour les revues d’être recensées par les grandes bases de données bibliographiques : les revues scientifiques électroniques sont aussi prises en compte dans les grandes bibliographies spécialisées, mais lorsqu’il existe une version papier et une version électronique, la version papier reste encore la référence pour le dépouillement et la citation. Facteur d’impact d’une revue (ISI) = sur une année le rapport entre le nombre de citations divisé par le nombre d’articles publiés par la revue. Cf. notoriété Revues gratuites sur internet vont bouleverser ces calculs.

4 1. Les revues électroniques : définitions et typologies
Quels contours et quelles définitions pour la revue électronique ? Au centre : La revue scientifique, publication périodique ayant vocation à diffuser sous forme d’articles les travaux des chercheurs Version électronique et en ligne de la revue savante Objet spécifique de par son support numérique / nouveaux modèles de communication scientifique Revues exclusivement numériques Les éditeurs utilisent toutes les possibilités offertes par l’informatique et l’on voit ainsi apparaître des « objets périodiques » qui n’ont plus du tout de relation avec le domaine de l’imprimé. Le type de contenu, le contrôle du contenu, la présentation jouent également un rôle important dans la catégorisation de ces revues. Un journal électronique peut être un produit de substitution à une édition traditionnelle. C’est alors une copie exacte de l’édition sur support papier, avec les mêmes titres, rythme de parution, numérotation et contenu rédactionnel. Ou alors il peut s’agir d’une publication originale, sans équivalent imprimé (même si un n° imprimé existe), mais qui peut être définie selon les critères des publications en série : elles paraissent à intervalles plus ou moins réguliers, disposent d’une identification numérique ou chronologique, sont souvent dotées d’un identificateur univoque comme l’ISSSN et sont la plupart du temps conservées sur le serveur de l’éditeur.

5 1. Les périodiques électroniques : définitions et typologies
Typologies déterminées selon divers critères : Critères définis par analogie avec les revues imprimées Critères spécifiques aux supports électroniques Autres aspects à prendre en considération : type de contenu, contrôle du contenu (modération, peer review), présentation Certains aspects sont définis par analogie aux revues imprimées (par exemple contrôle de contenu = peu ou pas contrôlé, avec modérateur, avec rédacteur, avec comité  de rédaction), d’autres sont spécifiques aux supports électroniques. Les éditeurs utilisent toutes les possibilités offertes par l’informatique et l’on voit ainsi apparaître des « objets périodiques » qui n’ont plus du tout de relation avec le domaine de l’imprimé. Le type de contenu, le contrôle du contenu, la présentation jouent également un rôle important dans la catégorisation de ces revues.

6 1. Les périodiques électroniques : définitions et typologies
Parmi les publications périodiques électroniques, on distingue : Les revues scientifiques Diffusion du savoir Validation de la recherche Authentification de l’antériorité des découvertes Reconnaissance (réseau de citations, facteur d’impact, notoriété de la revue) Comment le passage au numérique en réseau affecte-t-il ces fonctions ? Revues gratuites / Archives ouvertes Autres dispositifs de communication scientifique sur le réseau Changement de technologies + remise en jeu des valeurs associées aux supports traditionnels Des questions essentielles : archivage à long terme / question juridique de leur consultation et de leur utilisation

7 1. Les périodiques électroniques : définitions et typologies
Les revues de sommaires Sommaires des derniers articles d’une sélection de revues dans un domaine donné (Cybergéo par exemple ) Promotion de la revue Souvent gratuité de la revue de sommaire, mais facturation de l’accès au texte de l’article Les pré-publications Les rapports de laboratoire Cybergéo propose le sommaire d’environ 80 publications, imprimées ou électroniques, et dans ce dernier cas, gratuites ou payantes/ C’est une forme de promotion de la revue, le but étant d’attirer le lecteur en lui permettant de décider s’il veut lire l’article complet ou non. Certains éditeurs diffusent gratuitement le sommaire des fascicules de leurs revues électroniques, mais facturent l’accès aux articles complets. Elsevier dispose de sa propre revue de sommaires gratuite = Contents Direct from Elsevier ( qui annonce en primeur le contenu des fascicules à paraître les semaines suivantes. = forme de publicité scientifique; éventuellement moteurs de recherche

8 1. Les périodiques électroniques : définitions et typologies
Les lettres, bulletins d’information Souvent par sociétés savantes ou institutions scientifiques Informations brèves (projets scientifiques, annonces de congrès, de nouvelles publications…) Rythme de parution souvent irrégulier Possibilité de diffusion automatique via la messagerie électronique Les journaux Les Web’zines Les périodiques contrôlés, s’opposent à l’auto-publication personnelle ou institutionnelle Les lettres d’information diffusent rapidement des informations brèves, sans contrôle scientifique formel, et à faibles coûts (avancement de projets scientifiques,annonces de colloques, de nouvelles publications …) infos très vite périmées et non reprises dans les BDD; rythme irrégulier, souvent publiées par des sociétés savantes ou des institutions scientifiques, peu conservées. Leur passage à l’électronique sur Internet (reçues par messagerie ou consultables sur un serveur) . Les webzines = publications plus ou moins périodiques sur internet. Ces publications ont rarement des structures formelles (auteurs, éditeurs, périodicité établie), dépendent de contributions bénévoles et leur adresse Url est peu stable. En 2005, une information scientifique abondante et gratuite, constituée de rapports, brouillons d’articles, actualités, est diffusée indépendamment des périodiques. Elle est peu structurée mais pertinente, donc utile et employée par les chercheurs. Les périodiques conservent cependant leurs valeurs de base : formalisme du discours scientifique, validation des avancées scientifiques, établissement de l’antériorité des découvertes, structuration des savoirs. Les périodiques contrôles s’opposent à l’auto-publication personnelle ou institutionnelle, c’est-à-dire la mise sur internet d’articles et de rapports n’ayant reçu au mieux qu’une validation interne,par les responsables du laboratoire par exemple.

9 1. Les périodiques électroniques : définitions et typologies
Fort développement, étroitement lié à l’émergence de nouveaux dispositifs de communication de la science Voir « La communication scientifique revue et corrigée par Internet » par Hélène Bosc Remise en cause du contrôle de la publication scientifique par les grands éditeurs commerciaux Volonté de récupérer la maîtrise de la diffusion du savoir Les revues électroniques pour être crédibles, doivent être contrôlées. Un comité de rédaction élimine les articles et les informations sans intérêt ou hors du domaine et retourne aux auteurs les articles incomplets ou mal formalisés. : Le modérateur : pas de vérification du bien-fondé scientifique de l’article - Les reviewers ou referees = spécialistes du domaine, à même de juger de la pertinence, de l’actualité et de la valeur des informations qu’ils relisent; articles soumis en aveugle; évaluation préalable (peer review).

10 2. Les périodiques électroniques et le champ de l’édition
Diffusion sous forme imprimée Coûts de production importants Pacte légitime entre scientifiques et éditeurs -imprimeurs : l’auteur cède ses droits à l’éditeur et renonce à toute rémunération ; en contrepartie, l’éditeur investit pour la production et la distribution, puis amortit cet investissement par le biais de souscriptions (source : Archimag, les publications électroniques) Une des principales particularités des publications scientifiques est que les auteurs n’ont jamais été payés pour les articles qu’ils produisent, et qu’ils n’ont jamais cherché à lêtre. Leur rémunération est la reconnaissance de leurs travaux par leurs pairs et leurs employeurs. C’est dire l’importance de la diffusion la plus large possible de ces publications, décisive pour l’impact de leurs recherches. Dans le contexte d’une diffusion sous forme imprimée, caractérisée par des coûts de production importants, un pacte légitime liait scientifiques et éditeurs imprimeurs. L’auteur cède ses droits à l’éditeur et renonce à toute rémunération; en contrepartie, l’éditeur investit pour la production et la distribution, puis amortit cet investissement par le biais de souscriptions. La plus large diffusion est de l’intérêt des deux acteur, et finalement aussi du lecteur.

11 2. Les périodiques électroniques et le champ de l’édition
Fragilisation de ce pacte par l’augmentation du coût des abonnements, à cause de conséquences de celui-ci sur l’accès. L’apparition d’Internet et des moyens de diffusion électroniques remettent en cause cet équilibre. Diffusion se libère de ses supports traditionnels contraignants et coûteux Mise en place des licences et de technologies de contrôle des accès par les éditeurs, pour assurer à rentabilité et survie. L’augmentation du coût des abonnements avait déjà fragilisé ce pacte par ses conséquences sur l’accès, mais c’est l’irruption d’Internet et des moyens de diffusion électroniques qui brusquement remettent en cause cet équilibre. En même temps que la diffusion se libère de ses supports traditionnels, contraignants et coûteux, les éditeurs inventent les licences et mettent en place des technologies de contrôle des accès, barrières indispensables à leur rentabilité et à leur survie. Les intérêts des éditeurs cessent donc de correspondre à ceux des scientifiques. Dans un environnement numérique, le modèle économique sur lequel repose la communication scientifique met l’éditeur en position de s’opposer à la dissémination la plus vaste d’une production pourtant non commerciale.

12 2. Les périodiques électroniques et le champ de l’édition
Les intérêts des éditeurs et ceux des scientifiques ne correspondent plus. « Dans un environnement numérique, le modèle économique sur lequel repose la communication scientifique met l’éditeur en position de s’opposer à la dissémination la plus vaste d’une production pourtant non commerciale ». (Archimag)

13 2. Les périodiques électroniques et le champ de l’édition
Phénomène de concentration (fusions nombreuses) et commercialisation excessive de la publication scientifique Mouvement de réaction avec l’initiation des archives ouvertes et de l’Open Access 2 stratégies : l’archivage ou la publication en libre accès

14 2. Les périodiques électroniques et le champ de l’édition
Emergence de l’Open Access mouvement qui cherche à apporter une réponse à la question de la meilleure diffusion possible des résultats de la recherche. Réflexion et remise à plat du système, en tenant compte des 4 fonctions essentielles des publications scientifiques : Enregistrement, validation, visibilité, archivage Nécessité d’une assise économique stable pour assurer ces 4 fonctions qui ont un coût. Evolution progressive des éditeurs vers d’autres dispositifs Open Access = n’est pas d’abord une réponse à un problème économique, c’est un mouvement qui tend à apporter une réponse rationnelle à une question de principe quant à la meilleure diffusion possible ders résultats de la recherche. Les revendications des chercheurs pour le droit à disposer de leurs écrits, l’auto-archivage militant, ont cédé la place à une analyse en profondeur des moyens de remettre à plat tout le système. 2 aspects : Retour aux fonctions essentielles des publications scientifiques : enregistrement = établissement de l’antériorité et de la paternité d’un résultat, d’une idée, d’une découverte; validation =relecture pour validation ( ou rejet) par les pairs du chercheur (peer review); visibilité = diffusion, visibilité et accessibilité des publications, qui assurent la reconnaissance de leurs auteurs et induisent ou initient d’autres recherches; archivage = conservation à long terme d’un patrimoine intellectuel et scientifique Libre n’est pas gratuit : assurer ces 4 fonctions a un coût Études récentes : visibilité d’une solution qui consiste en un renversement complet du mode de financement, d’un système lecteur-payeur à un système auteur-payeur.

15 2. Les périodiques électroniques et le champ de l’édition
Evolution aussi vers de nouveaux services pour de nouveaux usages sur les interfaces : texte/ image / son Personnalisation /profils Exploitation des résultats Veille documentaire : établissement de profils et systèmes d’alerte, revues de sommaires, utilisation des fils RSS pour la veille Utilisation des capacités du numérique pour créer un nouveau type de document, aux ressources plus étendues que celle de la publication imprimée. Permet aussi d’introduire une autre dimension, celle de l’interactivité.

16 2. Les périodiques électroniques et le champ de l’édition
Qu’est-ce qu’une veille par fil RSS ? RSS = Riche Site Summary / Really Simple Syndication On parle de : Fil RSS ou flux RSS ou syndication de contenu ou abonnement à des flux RSS Un fil RSS est un fichier texte au format XML qui circule entre des ordinateurs affiliés et reliés sur internet; il sert à signaler des nouveautés. Alertes : sur une requête, sur une revue et un numéro …

17 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Évolution du marché de l’information Numérisation croissante des contenus Généralisation des réseaux de communication Développement de contenus gratuits sur Internet Les acteurs Les éditeurs Les intermédiaires : agrégateurs, agences d’abonnement Les clients : bibliothèques, consortiums Renouvellement des offres de contenus Acteurs = 3 catégories Émetteurs de l’’information et les émetteurs primaires qui fournissent des informations très variées aux entreprises (statistique, juridiques, normatives, technologiques, médicales…), ainsi que des périodiques ou des livres en texte intégral aux bibliothèques et centres de documentation les éditeurs secondaires qui proposent des bases bibliographiques Les médiateurs commerciaux : agences d’abonnement, serveurs de bases de données, dont le métier évolue vers l’agrégation de contenus numérisés + nouveaux acteurs : filiales internet issues de groupes traditionnels ou de sociétés domiciliées exclusivement sur la toile : ex. prise en charge d’études de marché ou de veille économique Bouleversement des procédures établies entre fournisseurs d’information et acheteurs , émergence de nouveaux intervenants : les juristes (clauses / droit d’auteur) et les informaticiens (numérisation, architecture informatique, logiciels de gestion de l’information…°

18 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Modèles de distribution des périodiques électroniques Périodiques électroniques gratuits Périodiques électroniques payants Éditeurs commerciaux Organisations sans but lucratif Publicité Périodiques électroniques financés par les auteurs Presses universitaires / numérique

19 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Tendances actuelles (cf. enquête « Médias électroniques » 2006 par Swets) Offres d’accès; types d’accès privilégiés Abonnement en direct = en retrait (38,64% en France) l’abonnement via un portail ou un distributeur se détachant nettement (56,82% en France). Le paiement à la consultation (ou « pay per view) peu utilisé Enquête lancée par l’agence d’abonnement Swets avec le Groupe romand de documentation et Archimag, pour repérer les attentes et les pratiques des professionnels de l’information et des éditeurs en matière de médias électroniques. Pour les périodiques électroniques, comme en 2005, sur les répondants, les réponses se répartissent essentiellement entre 2 blocs importants : de 1à 50 périodiques (48,17%) et plus de 500 périodiques (29,84%) pour la France. Ce dernier bloc est en progression. Evolution : il n’est pas rare de voir des professionnels ayant fait le choix d’une couverture quasi-totale de leurs abonnements sous forme électronique. D’abord STM, puis SHS, et dans une moindre mesure, Droit, économie et finance L’abonnement en direct avec l’éditeur est en retrait, l’abonnement via un portail ou un distributeur se détache nettement

20 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
modes de tarification privilégiés le forfait avec accès illimité occupe la 1ère place = 59,18%  baisse du forfait par site depuis 2003 Pay per view marque des points Type d’offre Offre de titres par bouquets de plus en plus répandue L’offre de titres par bouquets, de plus en plus répandue, pourrait être pour les bibliothèques une incitation à proposer ce type de paiement aux utilisateurs ayant des demandes spécifiques. Les utilisateurs continuent à réclamer, dans une proportion stable (64,13%) des titres sous forme électronique.

21 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Mode d’acquisition Mutualisation des besoins au sein d’un consortium ou d’un regroupement de sites. En France : extension des consortiums Critères de choix privilégiés richesse du contenu clarté de l’offre mise à jour régulière de l’information offre tarifaire qualité de l’ergonomie en dernier

22 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Nouveau modèle économique renversement du mode de financement, d’un système lecteur-payeur à un système auteur-payeur. Mais en réalité, dans la majorité des cas, ce n’est pas le chercheur lui-même qui finance la diffusion de son article. Différentes alternatives sont possibles : coût de publication inclus dans le financement alloué à une recherche support institutionnel d’une université, par exemple, à un éditeur, qui permet à tous ses chercheurs de publier des articles gratuitement ou à faible coût sponsoring, publicité, etc. En réalité, dans la majorité des cas, ce n’est pas le chercheur lui-même qui finance la diffusion de son article. Différentes alternatives sont possibles : coût de publication inclus dans le financement alloué à une recherche; support institutionnel d’une université, par exemple, à un éditeur, qui permet à tous des chercheurs de publier des articles gratuitement ou à faible coût; sponsoring, publicité, etc.

23 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Dans ce modèle, chaque contribution a un coût unique non négligeable, mais : tous les articles sont librement accessibles le coût global du système est de 30% inférieur à celui du modèle actuel lecteur-payeur Dans ce modèle, chaque contribution a un coût unique, non négligeable, mais : tous les articles sont librement accessibles, le coût global du système est de 30% inférieur à celui du modèle actuel n(coût du 1er exemplaire similaire, amis sans celui de la gestion d’abonnements, ni la concession de licences et peu de coûts variables. Viabilité : le principal éditeur de journaux en OA est aujourd’hui un éditeur commercial : BioMedCentral (

24 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Modèles d’open access Barrière mobile (moving wall) = abonnements conservés, mais libre accès après une période fixe d’embargo Preprints = libre accès avant publication Auto-archivage = diffusion libre sur sites personnels ou serveurs institutionnels Hybride / auteur = l’auteur choisit entre l’abonnement et l’OA, à condition qu’il finance la diffusion de son article Journaux peer-reviewed en OA, financés par le mode auteur-payeur

25 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Exemples : Springer open Choice : Modèle hybride où chaque auteur décide du mode de diffusion de son article, libre s’il en finance la diffusion ou limité par abonnement = modèle de transition pour l’édition scientifique commerciale ?

26 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Exemples : PLoS (Public Library of Science) : initiative émanant de la communauté scientifique Est devenu un éditeur scientifique Open Access fonctionnement sur le modèle auteur-payeur Facteur d’impact de PLoS Biology très positif Initiative émanant de la communauté scientifique, d’abord sous forme revendicative d’une lettre ouverte aux éditeurs (en 2001), qui menaçait de boycotter les revues qui refuseraient de mettre en libre accès les articles publiés six mois après leur parution. Face au peu d’effet de cette initiative, PLoS s’est transformé en éditeur scientifique Open Access, sans but lucratif; lancement d’un premier journal en 2003, puis d’un 2ème en 2004, 3 autres ont suivi en 2005 et un 6ème en 2006.

27 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Rôle des intermédiaires : Agences d’abonnement Un interlocuteur unique intermédiaire entre les bibliothèques et les éditeurs. gestion des commandes, des réclamations, des factures et des campagnes de réabonnement Services complémentaires (groupage pour périodiques étrangers Quelques exemples majeurs Ebsco Information Services, l’une des agences leader sur le marché. Swets, principal concurrent d’Ebsco. Lavoisier  Lavoisier : commence seulement, depuis 2005, à travailler avec les bibliothèques universitaires Ebsco Information Services, l’une des agences leader sur le marché. A elles seules, les 74 BU clientes représentent 30% du chiffre d’affaires total de l’entreprise (120 millions d’euros en France en 2005) Swets, principal concurrent d’Ebsco. Les 44 bibliothèques l’ayant choisi comme prestataire représentent une proportion similaire des revenus, soit 1/3 des 60 millions d’euros du chiffre d’affaires total, réalisé sur le marché français en 2005.

28 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Catalogues Swets travaille avec 65 000 éditeurs dans le monde, Ebsco 78 000 et Lavoisier 15 000 Exemple de Swets : portefeuille de revues Dans le cas d’un éditeur manquant, prise de contact par l’agence d’abonnement Principales agences en France Concentration du marché entre un petit nombre de prestataires Ebsco Information Services, Swets Information Services, Lavoisier, CID, EM Inter, France Publications, IS Abonnements, Prenax

29 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Les consortiums « Un consortium est un groupement d’entreprises juridiquement indépendantes (une association de bibliothèques ou de services d’information) réunissant sous une direction unique des moyens financiers ou matériels en vue d’exécuter en commun des opérations déterminées » Isabelle Antonutti

30 3. Les périodiques électroniques : acteurs, techniques et modèles économiques
Objectifs « Rassembler un pouvoir d’achat suffisant pour négocier avec des éditeurs un accès collectif à un ensemble de périodiques ou de bases de données » (Archimag) Consortiums informels (pas de personnel dédié) Consortiums officiels, avec un statut juridique (et structure de coordination) Exemple : Couperin

31 4. L’offre éditoriale : panorama général
Grandes tendances : 2 perspectives : offre / usages de la publication électronique Accélération de la communication Diffusion la plus large des résultats de recherche (open access)

32 4. L’offre éditoriale : panorama général
Construction juridique des droits d’auteur se met en place (creative commons) Partage des ressources et négociations au travers des consortiums pour l’achat des abonnements Gestion en ligne de ces abonnements + gestion et contrôles adaptés dans le fonds documentaire

33 4. L’offre éditoriale : panorama général
Classement des domaines : D’abord l’information scientifique, technique et médicale (STM) Puis les sciences humaines et sociales (SHS) (montée en puissance) Enfin dans des proportions moindres, le domaine juridique, l’économie et la finance + les informations généralistes.

34 4. L’offre éditoriale : panorama général
Les leaders mondiaux de l’édition scientifique 1/ Elsevier, qui a racheté Masson, n° 1 français de l’édition médicale, en juin 2005 2/ Springer 3/ John Wiley & Sons L’éditeur américain a annoncé le 17 novembre le rachat du britannique Blackwell’s Publishing (n° 1 britannique de l’édition scientifique, derrière Elsevier, avec 825 titres) = + de 2000 titres potentiels Evolutions en cours Développement des consortiums / négociation des tarifs Développement de l’open access

35 4. L’offre éditoriale : panorama général
Les grands éditeurs commerciaux Reed Elsevier Commercialisation de périodiques électroniques dès 1995 Rapide progression de l’éventail de titres proposés : 1200 titres en 1999, plus de 2000 en 2005 (plus de 7,2 millions d’articles) Portail ScienceDirect permettant d’accéder à l’ensemble de ses ressources électroniques

36 4. L’offre éditoriale : panorama général
Mise à disposition sur le portail du moteur de recherche Scirus Tarification sur la base de licences (pour une institution ou un consortium) En outre, commercialisation d’autres produits électroniques (dictionnaires et annuaires en chimie, médecine, informatique, électronique…) Omniprésence d’Elsevier dans le domaine de la médecine et des sciences + poids économique Rachat en 2001 d’Academic Press (maison d’édition scientifique américaine; cf. Ideal, 175 titres de périodiques)

37 4. L’offre éditoriale : panorama général
Ingenta Un des principaux concurrents d’Elsevier Près de 15 millions d’articles Dont 5400 en texte intégral Plus de périodiques en langue anglaise Base de données de tables des matières Fourniture de documents

38 4. L’offre éditoriale : panorama général
Springer Verlag / service Link En 1997, mise en place du service Link en 1997 En 1998, 200 revues scientifiques sur les 400 de son catalogues sont disponibles sur internet En 2005, plus de 1300 périodiques avec les titres des filiales de l’éditeur Antériorité : 1997 (sauf numérisation rétrospective en mathématique)

39 4. L’offre éditoriale : panorama général
La plupart des revues paraissent à la fois sous forme imprimée et sous forme électronique; quelques revues sont exclusivement électroniques (ex : Experimental Biology Online) Accès aux informations bibliographiques, tables des matières et résumés est gratuit Texte intégral accessible par abonnement à la version imprimée + consultation des articles en facturation pay per view Acquisition de Kluwer en septembre 2004

40 4. L’offre éditoriale : panorama général
H. W. Wilson Maison d’édition américaine Large éventail de publications , à destination de l’enseignement secondaire et universitaire Publication de revues sur CD ROM Une trentaine de titres en 2004 Système OmniFile qui lie automatiquement les notices des bases bibliographiques aux articles en texte intégral, selon l’abonnement aux périodiques concernés Recherche de partenariats notamment auprès des éditeurs de périodiques électroniques

41 4. L’offre éditoriale : panorama général
Blackwell’s Maison d’édition et librairie anglaise spécialisée dans les publications universitaires Serveur BlackwellSynergy 825 revues électroniques, soit environ un demi-million d’articles en texte intégral Un tarif standard + un tarif « Premium » qui autorise le prêt entre bibliothèques Une majorité de titres sont repris aussi par des intermédiaires (Ebsco, Ovid, OCLC-FirstSearch…) Vient d’être rachetée par Wiley

42 4. L’offre éditoriale : panorama général
John Wiley & Sons La plus ancienne maison d’édition nord-américaine Après le rachat de Blackwell’s, un catalogue de 2000 titres potentiels ; essentiellement en sciences, techniques et médecine, presque tous accessibles en ligne Stratégie : marché des abonnements individuels

43 4. L’offre éditoriale : panorama général
Masson 1er éditeur français à avoir publié en 1998 des périodiques électroniques sur Internet En 2004, une cinquantaine de revues médicales disponibles sur le site E2MED Revues en français Moteur de recherche sur le texte intégral des articles Les éditions de physique – EDP Sciences Une quinzaine de revues renommés (Annales de physique, Journal de Physique…) + autres domaines Portail EDP Sciences

44 4. L’offre éditoriale : panorama général
Publications des universités et des centres de recherche L’exemple des Mathématiques EMIS (European Mathematical Information Service) par l’European Mathematical Society, oriente vers un ensemble de périodiques mathématiques En France, la cellule MathDoc (Université de Grenoble) Projet « Digital Mathematics Library » de numérisation rétrospective pour une centaine de revues internationales (participation de JSTOR) Publications d’organismes académiques (MIT)

45 4. L’offre éditoriale : panorama général
Développement dans d’autres disciplines Droit rôle des universités américaines Sciences humaines Progression, mais encore faible proportion des périodiques électroniques

46 4. L’offre éditoriale : panorama général
Presses universitaires HighWire Press (1995), privée mais rattachée à la bibliothèque de l’Université de Stanford en Californie Périodiques + comptes rendus de congrès Contrepoids aux éditeurs commerciaux Alliances avec des presses universitaires (Rockfeller University Press) et des société savantes En 2005, plus de 850 périodiques en ligne (y compris titres d’autres éditeurs); liens avec PubMed, SCI et GenBank Berkeley Electronic Press – BePress Même esprit 28 revues (11 en économie, 5 en droit, 6 en sciences politiques, 6 en STM)

47 4. L’offre éditoriale : panorama général
Publications des sociétés savantes Institute of Physics (IoP) Toutes les revues de l’IoP sont disponibles sous forme électronique (environ 40 titres dont le Journal of Physics) Accès gratuit au texte pour les personnes et les institutions abonnées à la version papier

48 4. L’offre éditoriale : panorama général
ACM (Association for Computing Machinery) Tout ce qui est lié aux technologies de l’information Une cinquantaine de revues de haut niveau En 2004 : portail Bibliothèque numérique de l’ACM = 34 revues de premier plan + un millier de revues secondaires

49 4. L’offre éditoriale : panorama général
La numérisation de documents et l’accès au rétrospectif Type JSTOR (Journal Storage, 1994, fondation Andrew-Mellon) Préservation à long terme de documents numérisés : 553 titres et 18 millions de pages en 2005 Sciences humaines et sociales et sciences exactes travaillant sur le long terme (botanique, mathématique…) Numérisation exhaustive de chaque titre (sauf les 3 à 5 dernières années pour un titre vivant) Négociation avec les éditeurs de droits d’accès permanents + fourniture de tirages papier

50 4. L’offre éditoriale : panorama général
Portails fédérateurs : projets d’éditeurs commerciaux et projets open access Projet Cairn Site inauguré en septembre 2005 Édition et diffusion de revues électroniques en SHS 200 titres prévues d’ici 2008 Principe de la barrière mobile Revues.org Regroupement d’éditeurs de revues francophones en un portail unique Fédération de revues en sciences humaines et sociales, soutenue par le Ministère de la Recherche, la MSH et l’Université d’Avignon Objectif d’ouverture de l’édition scientifique // open access 40 revues en 2006 (cf. Annales historiques de la Révolution française, etc.)

51 4. L’offre éditoriale : panorama général
Erudit Portail francophone (canadien) Consortium interuniversitaire (Université de Montréal, Université Laval-Bibliothèque, Université de Québec à Montréal) Revues universitaires sans distinction d’éditeur ou de pays Une quarantaine de titres Sciences humaines et sociales et sciences naturelles Corpus : articles récents + articles ayant fait l’objet d’une numérisation rétrospective Persee Portail français de revues en SHS Soutien de la Sous-Direction des Bibliothèques

52 4. L’offre éditoriale : panorama général
BioMedCentral Principal éditeur de journaux en OA et éditeur commercial (autour de PubMed Central) Propose plus de 60 nouvelles revues électroniques en sciences biomédicales + autres périodiques ayant une politique éditoriale « individuelle » Frais administratifs du peer review et de la mise en ligne pris en charge par celui qui publie Bonne visibilité des publications

53 4. L’offre éditoriale : panorama général
PLoS (Public Library of Science) initiative émanant de la communauté scientifique, d’abord sous forme revendicative est devenu un éditeur scientifique Open Access, sans but lucratif. lancement d’un premier journal en 2003, puis d’un 2ème en 2004 ; 3 autres ont suivi en 2005 et un 6ème est annoncé pour 2006 (tous sous licence Creative Commons). titres (peer-reviewed) fonctionnant sur le modèle auteur-payeur facteur d’impact du 1er journal lancé en 2003, PLoS Biology (été 2005) la place parmi les meilleures (les plus citées).

54 4. L’offre éditoriale : panorama général
Springer Open Choice Août 2005 développement de son modèle hybride Open Choice (par Jan Velterop) permet à chaque auteur de décider du mode de diffusion de ses articles, libre s’il en finance la diffusion ou limité par abonnement.

55 4. L’offre éditoriale : panorama général
Articles déposés en archives ouvertes Les débuts = archives de prépublications Archive de pre-prints de Paul Ginsparg en physique des hautes énergies, ArXiv.org CogPrints de Stevan Harnad (pre-print et e-print en psychologie, neurosciences…) Puis, WoPEc (Working Papers in Economics) Les développements OAI / Initiative de Budapest (2001) : auto-archivage et revues alternatives

56 4. L’offre éditoriale : panorama général
Emergence des archives ouvertes / archives institutionnelles Négociations avec les éditeurs Exemples HAL et HAL-SHS ArchiveSic Le DOAJ (Directory of Open Access Journals) Initiative de l’Open Society Institute (Université de Lund) soutenue par la SPARC (Scholarly Publishing and Academic Resources Coalition) en 2003 Actuellement 2498 revues scientifiques ( tous domaines) Recherche au niveau de l’article / au niveau de la revue

57 4. L’offre éditoriale : panorama général
Ressources Revues en ligne en SHS, Annaïg Mahé (URFIST de Paris) Revues scientifiques et Internet : quelques repères, G. Chartron, maj par A. Mahé

58 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
L’exemple de la fonction de veille Interface de ScienceDirect : 4 types d’alertes possibles Search alerts Volume/Issue Alerts Citation Alerts Topic Alerts

59 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Procédure de search alert : Création d’un compte personnel sur l’interface d’accès aux revues Authentification Recherche Sauvegarde comme alerte de recherche Donner un nom à la recherche Paramétrer l’alerte ( , fréquence) Possibilité de modifier les propriétés de l’alerte de recherche

60 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Volume / Issue Alert Identifier le(s) titre(s) de revue souhaité et cliquer sur le bouton Add (à droite du titre) Sauvegarder la liste Citation Alert Indique par lorsqu’un article sélectionné est cité par de nouveaux articles disponibles en ligne Faire une rechercher et ouvrir un article Sélectionner le lien « Cited by » Choisir la sauvegarde comme alert de citation et compléter

61 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Le profil d’utilisateur permet de : Sauvegarder des recherches pour pouvoir les relancer par la suite De sélectionner une liste de revues favorites De recevoir des alertes par courrier électronique et faire de la veille

62 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Exercices : Etablir une veille sur ScienceDirect, et sur d’autres interfaces proposant ce service

63 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Pour créer un compte personnel (Profil), cliquez sur le lien Une fois que l’on dispose d’un compte, on s’authentifie ici

64 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Le lien « Register Now » ouvre ce formulaire qu’il faut remplir (les * indiquent les champs obligatoires

65 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Après avoir créé le compte personnel, faire sa recherche

66 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Sur la page de résultats, cliquer sur le lien « Save as Search Alert »

67 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
L’écran d’alerte reprend la stratégie de recherche Donner un nom à l’alerte Indiquer la fréquence d’alerte Sauvegarder l’alerte

68 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Un clic sur l’onglet Alerts permet d’afficher les alertes créées Voir les derniers résultats ou les autres résultats par date

69 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
L’écran affichant les alertes permet de voir non seulement les « Search Alerts », mais aussi les « Topic Alerts », les « Volume / Issue Alerts » et les « Citation Alerts »

70 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Pour une veille sur les citations d’un article, faire la recherche et afficher l’article souhaité à partir de la page de résultats

71 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Sur la page de l’article, cliquer sur « Save as Citation Alert »

72 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Spécifier les paramètres de l’alerte Enregistrer l’alerte

73 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Ecran My Profile : Un clic sur l’onglet « My Profile » ouvre un écran avec plusieurs fonctions disponibles

74 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Fonctions disponibles sur l’écran My Profile : Ajouter ou supprimer des titres de revues ou des ouvrages à la liste de favoris Ajouter ou supprimer des alertes Changer le mot de passe Générer un rapport

75 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Autre exemple : l’interface de Blackwell - Register pour créer un compte les champs Username et PassWord pour s’authentifier l’onglet My Synergy pour accéder à la personnalisation et aux alertes

76 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Gestion des alertes à partir de l’écran My Synergy

77 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Autre dispositif de veille : le fil RSS RSS avec Blackwell Synergy Agrégateur de flux RSS à télécharger sur le poste Abonnement au fil RSS (indiquer l’URL au programme) Dans Blackwell, cliquer sur le lien RSS

78 5. Modalités d’appropriation : interfaces, fonctionnalités, usages.
Autre dispositif de veille : le fil RSS RSS avec Blackwell Synergy Lecteur de flux RSS à télécharger sur le poste Abonnement au fil RSS (indiquer l’URL au programme) Dans Blackwell, cliquer sur le lien RSS


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