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INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN

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Présentation au sujet: "INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN"— Transcription de la présentation:

1 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Sarah GRANGE Diététicienne – AGDUC

2 En France, à ce jour : 50 000 patients environ,
L’IRC est définie par une diminution permanente du débit de filtration glomérulaire (DFG) secondaire à une maladie rénale, se distinguant ainsi de l’IRA, majoritairement temporaire et réversible HAS En France, à ce jour : patients environ, dont dialysés et transplantés (58% d’hommes et 42% de femmes) Soit 513 personnes par million d’habitants Age moyen : 63 ans L’estimation du nombre de nouveaux patients atteints d’IRCT est en croissance (+ 5 % / an) Registre REIN Rhône Alpes Sur le Bassin Grenoblois : patients IRC avant traitement de suppléance. Age moyen de prise en dialyse : 67 ans L’IRC constitue un facteur de risque de morbidité et de surmortalité cardio- vasculaire. IRC est appréciée en pratique clinique par la clairance calculée de la créatinine à partir de la formule de Cockcrft. Lorsque la clairance est < à plusieurs reprises à 90 ml/mn, l’IRC est avérée. Même si la survie du patient a été remarquablement amélioré ces dernières années, la morbidité, en particulier cardiovasculaire, reste fort importante chez ces patients. Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

3 L’INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
- Facteurs non-modifiables : Maladies rénales héréditaires, sujets ayant une histoire familiale caractérisée par des maladies rénales (polykystose…), l’âge… - Facteurs modifiables de la progression de l’IRC : L’HTA, la protéinurie, le contrôle glycémique du diabète, l’obésité, le tabagisme, les lithiases urinaires… Correction de ces facteurs : ralentir la progression de l’IRC Du fait du vieillissement de notre population, l’IRC a cessé d’être une affection exceptionnelle. IL est donc important de résumer les règles diététiques à respecter pour prévenir le développement de la maladie rénale et freiner l’évolution de celle-ci une fois qu’elle est constituée. 2 grandes causes : HTA et DIABETE LITHIASES : Si la PeC n’est pas faite à temps, peut retentir sur la fonction rénale (S’il y a obstacle ou suivie d’une infection, stase…) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

4 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
BUTS de la diététique : Ne pas dénutrir… … tout en ralentissant la dégradation de la fonction rénale Prévenir ou diminuer l’HTA Contrôle glycémique des patients diabétiques Protéger le système cardio-vasculaire Surveiller la kaliémie et l’acidose Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

5 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
Ralentir la dégradation de la fonction rénale : Alimentation HYPOPROTIDIQUE Ne pas dénutrir : Hypercalorique 35 kcal / kg PI / jour Si l’énergie est insuffisante, l’équilibre du bilan protéique n’est pas assuré. La pesée : Veiller à ce que le patient ne perde pas de poids : Perte de poids = 1er marqueur de la dénutrition Comme l’a démontré le CLAN du CHU de Grenoble en L’état nutritionnel (albuminémie…) définit le pronostic à long terme des patients dialysés ou transplantés Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

6 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
Alimentation Hypoprotidique : 0,8 g de protéines / kg PI / jour De Haute Valeur Biologique PROTEINES ANIMALES Viandes : rouges, blanches Volailles Gibiers Charcuteries Abats Poissons : mer, eau douce Œufs Lait, produits laitiers, Fromages PROTEINES VEGETALES Céréales et dérivés: Blé, avoine, pâtes, riz, pain. Légumineuses, légumes secs : Lentilles, pois chiches, haricots, fèves… Fruits oléagineux : Noix, noisettes, arachides, pistaches, amandes… Nouvelles sources: Protéines texturées, Soja, algues Concrètement, l’alimentation hypoprotidique se traduit par 0,8g au lieu des 1,35g quotidiens mangés par la moyenne des français. Il est important de privilégier au moins la moitié de l’apport par des protéines d’origine animale. Il faut se méfier des protéines végétales qui complètent la ration. Par exemple : les protéines de 100g de pain sont équivalentes à 1 œuf. Les protéines végétales sont de moins bonne qualité mais le produit de dégradation est le même : l’urée. Par contre, elles sont intéressantes pour les personnes végétariennes car l’association Céréales/Légumineuses conduit à obtenir tous les AAE. Cette diminution des apports protidiques corrige bien souvent l’hyperphosphorémie. Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

7 Exemple d’une ration pour une femme de 60 kg
35 kcal/kg/j, soit 2100 Kcal 0,8g de protéine/kg/j, soit 48g PETIT-DEJEUNER DEJEUNER DINER Café ml Lait ½ écrémé ml Beurre g Confiture g Pain g Orange g Salade de tomates g Huile de colza g Rôti de boeuf g Ratatouille g Huile d’olive ou arachide g Faisselle g Compote de pêche g Pain g Betteraves g Huile de colza g Pâtes au basilic g Huile d’olive g Légumes cuits g Fromage sec g Pomme g Pain g Photos SU.VI.MAX. Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

8 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
Prévenir ou diminuer l’HTA : Alimentation normosodée, voire légèrement hyposodée ( 6g NaCl / j ) Attention au sel caché dans les aliments… L’HTA est l’une des grandes causes de l’IRC. Afin de diminuer la tension, il faut réduire sa consommation de sel. La consommation moyenne des français est de 11g de sel / jour, soit 4,100 kg / an ! Alors que la moitié suffit. La plus grande partie de ce sel provient des produits préparés de l’industrie agro-alimentaire. C’est la baisse de la consommation de ces produits qui permettra de faire baisser de manière significative la ration quotidienne. Cependant, une alimentation sans sel stricte entraîne une perte d’appétit qui à son tour entraîne une dénutrition ; d’où le consensus d’une alimentation normo-sodée. Enfin, concernant la boisson, on ne corrige pas un défaut de qualité de l’urine par la quantité. Une alimentation sans sel est ANOREXIGENE ! Boissons : Adapter à la diurèse Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

9 ALIMENTATION NORMOSODEE : 6g de NaCl
+ Sans SEL Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

10 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
Contrôle glycémique des patients diabétiques : Privilégier l’Index Glycémique (IG) (Jenkin et al, 1981) : Capacité qu’a un aliment de faire monter le taux de glucose dans le sang. Il est d’autant plus élevé que l’hyperglycémie induite par le glucide testé est forte. L’IG dépend : de la nature des glucides (saccharose, fructose, amidon…) de la présence de fibres du mode de cuisson des aliments (durée, T°) la texture de l’aliment (solide ou liquide) le mode de consommation (aliment pris isolément ou au cours d’un repas) 1 patient sur 4 est diabétique. On ne parle plus de « sucres lents ou sucres rapides » mais d’INDEX GLYCEMIQUE. Cette notion a été employée par Jenkin pour la première fois en + donner exemple à chaque cas… Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

11 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
Contrôle glycémique des patients diabétiques (suite) : Lorsque la disponibilité des fibres alimentaires est élevée dans le gros intestin, l’élimination intestinale d’azote est significativement augmentée par rapport à une alimentation pauvre en fibres alimentaires. On connaît déjà l’intérêt des fibre pour le diabétique mais on connaît moins son intérêt pour l’IRC. L’élimination d’azote étant supérieure au niveau des fèces grâce aux fibres, elle est donc amoindrie au niveau rénal. Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

12 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
Protection du système cardio-vasculaire : 1 bol de Café Noir (200 ml) 1 morceau de Sucre (5g) 2 tranches de Pain Blanc (40g) 1 carré de beurre (15g) 1 c. à soupe de Confiture (30g)  Salade verte (50g) 1 c. de vinaigrette à l’huile de Colza (15g) 1 part de Quiche (150g) 1 Faisselle à 40% MG sans crème (100g) 1 part de tartelette aux pommes (150g) Salade de tomate (100g) 1 c. de vinaigrette à l’huile d’olive (15g) ½ filet de Cabillaud en papillote (50g) 1 assiette de Gratin Dauphinois (200g) 1 tranche de Comté (30g) 1 orange (150g) 4 tranches de Pain Blanc (80g) Salade d’endives (200g) 1 c. de vinaigrette à l’huile de Noix (15g) ½ portion de Bifteck grillé (50g) 1 assiette de spaghettis (200g) Tomates Provençales (150g) Huile d’olive-Basilic (10g) 1 portion de parmesan (30g) 1 poire (150g) Carottes râpées (110g) 1 c. de vinaigrette à l’huile de colza (15g) Crique (p. de terre/courgettes/oignons) (350g) Huile d’olive pour cuisson (20g) 1 yaourt arômatisé (125g) 1 compote (100g) Exemple, pour une femme IRC de 60 kg, 35 Kcal/kg PI /j : Kcal, dont 70 à 80g de lipides Mme Y correspond donc au menu-type équilibré avec 33% de Lipides et 55% de Glucides avec en plus, 75% de graisses Insaturées. Les fibres sont respectivement de 14 et 28g. En conclusion, le régime de Mme Y contient plus d’aliments à consommer mais avec une densité calorique moindre par rapport au menu de Mme X. Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

13 INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
Éviter l’acidose : Mg/litre VICHY ST YORRE CELESTIN ARVIE QUEZAC HCo3- 4368 2989 2195 1685 Na+ 1708 1172 650 255 Ca2+ 90 103 170 241 K+ 132 66 130 49,7 La réserve alcaline est tout d’abord régulée par la réduction protidique. Si la réserve alcaline est inférieure à 22 mmol/l : risque d’aggravation de la dénutrition par augmentation du catabolisme musculaire. Conseiller une eau riche en Bicarbonates : Si paramètre isolé : RA très basse  VICHY SAINT-YORRE Si RA basse + HyperK  VICHY CELESTIN SI RA modérément basse + Ca2+ Bas + Na+ Elevé  ARVIE Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

14 Surveiller la Kaliémie : ≤ 5 mmol/l
En réduisant les aliments riches en K+ Voici les aliments riches en POTASSIUM. Faire autant attention aux aliments « Courants » tels que les pommes-de-terre, les jus de fruits mais aussi aux bananes. Qu’aux aliments moins courants mais extrêmement chargés. Par exemple : l’avocat : ½ avocat = 2 bananes 1 bol de Guacamole (= 2 avocats) = 8 bananes Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

15 DIALYSE PERITONEALE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

16 DIALYSE PERITONEALE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : LA DENUTRITION LA PRISE DE POIDS (masse grasse) LA CONSTIPATION LES OEDEMES (apport hydrique) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

17 LA DENUTRITION SES CAUSES : Fuite des protéines sanguines
Protéinurie car diurèse conservée Alimentaires : - Suite à un régime hypoprotidique - Dégoût pour la viande - Préjugés Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

18 LA DENUTRITION LES CAUSES : LES EFFETS NUTRITIONNELS DU DIALYSAT
 La sensation de satiété ou « l ’effet glucose » PRESSION ABDOMINALE  Hernie hiatale  Digestion difficile Perte d’appétit Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

19 ETUDE MOYENNE SUR 30 PATIENTS EN DP
PERTES PROTIDIQUES GRAMMES/24 H Dans le dialysat 6,76 Dans les urines 0,58 PERTES TOTALES 7,64 Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

20 ETUDE MOYENNE SUR 30 PATIENTS EN DP
APPORTS GLUCIDIQUES MOYENNE GRAMME / 24H Glucose apporté dans le dialysat 100,97g/24h Glucose réabsorbé dans le péritoine 52,96g/24h = % Glucose réabsorbé Glucose apporté 52,45 % 11 morceaux de sucre Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

21 COMPENSATION DES PERTES PROTIDIQUES : Alimentation HYPERPROTIDIQUE
LA DENUTRITION BUT : COMPENSATION DES PERTES PROTIDIQUES : Alimentation HYPERPROTIDIQUE 1,4 g de protéines / kg / jour De Haute Valeur Biologique , 50 % d’origine animale PROTEINES ANIMALES Viandes : rouges, blanches Volailles Gibiers Charcuteries Abats Poissons : mer, eau douce Œufs Lait, produits laitiers, Fromages PROTEINES VEGETALES Céréales et dérivés: Blé, avoine, pâtes, riz, pain. Légumineuses, légumes secs : Lentilles, pois chiches, haricots, fèves… Fruits oléagineux : Noix, noisettes, arachides, pistaches, amandes… Nouvelles sources: Protéines texturées, Soja, algues apports en phosphore. Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

22 - PROTEINES ANIMALES - DP* = PERTE DE PROTIDES INDISPENSABLES
VIANDE ou POISSON ou OEUFS A CHAQUE REPAS FROMAGE ou LAITAGE (yaourt, fromage blanc…) AU MOINS 3 FOIS PAR JOUR Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

23 LUTTER CONTRE LA GENE GASTRIQUE
LA DENUTRITION LES MOYENS : LUTTER CONTRE LA GENE GASTRIQUE Fractionner l ’alimentation (Pour manger suffisamment, Pour le confort digestif) Petits volumes concentrés (Pour enrichir) Séparer liquides et solides -Afin d’améliorer les effet de pesanteurs, de gêne, de difficulté à digérer Il faut répartir l’énergie sur la journée. Pour cela il est conseille de faire une ou deux collations sur la journée suivant les heures de réveil et de couché. Préférer des collations riches en protéine ou déplacer le dessert . -si peu d’appétit éviter de servir de grosse assiette surprendre, ne pas demander à la personne ce qui lui ferait plaisir, jouer sur les couleurs ,éviter l’assiette blanche,la texture( couper les aliments de forme différente en bâtonnet, en cube, en fagot , la température parfois la viande froide est mieux accepte que la chaude .enlever tout interdit parfois une tranche de saucisson ( 5g) peut avoir pour effet d’ouvrir l’appétit Concentrer enrichir idée livret fresinus Mettre en garde avec le potage car majore l’hernie hiatale, le préférer épais prendre le repas du soir le plus éloigné possible du coucher.. boire en dehors des repas , être attentif à l’heure de la prise des repas selon les habitudes et la stase la vidange et l’UF des poches. Idée de placer le potage chez la personne agée en collation l’après midi , ne pas avoir d’à -priori d’idée pré conçus être à l’écoute Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

24 AJOUTEZ DES COLLATIONS DANS LA JOURNEE
AU QUOTIDIEN AJOUTEZ DES COLLATIONS DANS LA JOURNEE En version salée pain et fromage ou jambon croissant au jambon pizza, quiche, tarte aux légumes cake au jambon En version sucrée lait ou dessert lacté crêpe, gaufre pain perdu Clafoutis, gâteau quatre-quarts Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

25 COMMENT ENRICHIR les PLATS ?
Flans ou gratins de légumes. gratins de pâtes Flans ou gratins de légumes. gratins de pâtes Flans ou gratins de légumes. gratins de pâtes Flans ou gratins de légumes. gratins de pâtes Sauces Sauces Sauces Sauces Purée Purée Purée RAJOUTER RAJOUTER Omelette Omelette Omelette Omelette Potages épais (mixé riche en légumes) Potages épais (mixé riche en légumes) Potages épais (mixé riche en légumes) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

26 INTERET DES COMPLEMENTS NUTRITIONNELS EN DIALYSE PERITONEALE
LA DENUTRITION LES MOYENS : INTERET DES COMPLEMENTS NUTRITIONNELS EN DIALYSE PERITONEALE Enrichir l’alimentation (poudre de protéines) Petits volumes Remplacement d’un aliment (ex : si dégoût viande) Fractionnement Substitut du repas ou du plat : Potage, Plat complet, Dessert Péritonite quand Albumine < 30g/litre au long cours Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

27 Enrichir LA DENUTRITION
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

28 LA DENUTRITION Fractionner Corriger
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

29 Substitut de repas LA DENUTRITION
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

30 DIALYSE PERITONEALE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : LA DENUTRITION LA PRISE DE POIDS (masse grasse) LA CONSTIPATION LES OEDEMES (apport hydrique) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

31 LA PRISE DE POIDS = « masse grasse »
SES CAUSES : Absorption importante de glucose par le péritoine SES CONSEQUENCES: Hyper insulinisme à long terme Surcharge pondérale Décompensation de diabète latent Perturbation du métabolisme des triglycérides Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

32 LA PRISE DE POIDS = « masse grasse »
LES MOYENS : Alimentation hypoglucidique Tenir compte des glucides apportés par le dialysat dans le calcul de la ration alimentaire Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

33 LA PRISE DE POIDS = « masse grasse »
LES MOYENS : Réduire les apports en Glucides En faisant un choix dans les glucides Diminuer les « aliments au goût sucré » : moins intéressants Utiliser les sucres de substitution (Aspartam) Privilégier les Glucides satiétogènes et intéressants nutritionnellement : Céréales, féculents… 1 fois / jour Fruits : 2 par jour Alimentation hypoglucidique Tenir compte des glucides apportés par le dialysat dans le calcul de la ration alimentaire Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

34 DIALYSE PERITONEALE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : LA DENUTRITION LA PRISE DE POIDS (masse grasse) LA CONSTIPATION LES OEDEMES (apport hydrique) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

35 LA CONSTIPATION SES CAUSES : Restriction hydrique Apport de glucose
Sédentarité Pression abdominale Alimentaire (alimentation raffinée) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

36 ALIMENTATION RICHE EN FIBRES Hémicellulose, cellulose
LA CONSTIPATION LES MOYENS : ALIMENTATION RICHE EN FIBRES Hémicellulose, cellulose SOURCES : ALIMENTAIRE (1 à 2 plats de légumes verts/j, 2 fruits/j, son des céréales) COMPLEMENTS NUTRITIONNELS Dire causes liées à la constipation liée en DP Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

37 DIALYSE PERITONEALE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : LA DENUTRITION LA PRISE DE POIDS (masse grasse) LA CONSTIPATION LES OEDEMES (apport hydrique) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

38 REGIME SANS SEL => ANOREXIGENE
LES OEDEMES LES MOYENS : RESTRICTION HYDRIQUE « Je bois ce que j’élimine » NORMO-SODEE « J’évite les boissons sodées » (Par exemple : Vichy, bouillon-cube) REGIME SANS SEL => ANOREXIGENE MOYENS DIETETIQUES EN + DU TTT MEDICAL Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

39 Équilibre PHOSPHO-CALCIQUE
CALCIUM : Supplémentation médicamenteuse PHOSPHORE : Relativisé en fonction de la dénutrition Dialyse quotidienne : Rare problème de kaliémie (sauf pour péritoine hypoperméable) POTASSIUM Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

40 Exemple d’une ration pour un homme de 75 kg :
2200 Kcal kcal (dialysat) soit 32kcal/kg/j 85g – 7,5 g (perte dialysat + urinaire) soit 1 g de protéine/kg/j Fibres 32 g PETIT-DEJEUNER DEJEUNER COLLATION DINER Café ml Lait ½ écr ml Beurre g Confiture g Pain complet g Orange g Salade de riz g Huile de colza g Rôti de boeuf g Ratatouille g Huile d’olive g Faisselle g Pomme g Pain complet g Flan g Sucre du dialysat : 11 morceaux Protéines perdues lors de la dialyse : 7,5g Jambon g Pâtes au basilic g Huile d’olive g Brocoli g Huile de noix g Camembert g Compote de pêche g Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

41 HEMODIALYSE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

42 HEMODIALYSE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : L ’HYPERKALIEMIE LA PRISE DE POIDS (apport hydrique) LA DENUTRITION LE DESEQUILIBRE PHOSPHO-CALCIQUE Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

43 AUGMENTATION DU CATABOLISME
POTASSIUM (K+) LE TAUX DE POTASSIUM EST CONTRÔLE PAR LES REINS HYPERKALIEMIE ALIMENTAIRE ANURIE AUGMENTATION DU CATABOLISME LES SIGNES DE L’HYPERKALIEMIE : NEUROMUSCULAIRES Aggravés par l’acidose et l’hypocalcémie Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

44 Pour ne pas dépasser 5,5 mmol de kaliémie,
POTASSIUM (K+) Pour ne pas dépasser 5,5 mmol de kaliémie, il est nécessaire d ’avoir une alimentation réduite en potassium qui apportera 2 à 2,5 g/j (au lieu de 4 à 8 g/jour dans une alimentation courante) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

45 POTASSIUM (K+) TENEUR EN K DES ALIMENTS :
- Cerner les aliments à risque - Quantité mangée CONNAÎTRE LES EQUIVALENCES CUISSON ADEQUATE PLACER DANS LE TEMPS LISTE DES ALIMENTS IMPORTANTS ET INDISPENSABLES Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

46 POTASSIUM (K+) LE SEL DE REGIME L ’ACESULFAME DE POTASSIUM
(Remplacer par l’aspartam) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

47 Voici les aliments riches en POTASSIUM.
Faire autant attention aux aliments « Courants » tels que les pommes-de-terre, les jus de fruits mais aussi aux bananes. Qu’aux aliments moins courants mais extrêmement chargés. Par exemple : l’avocat : ½ avocat = 2 bananes 1 bol de Guacamole (= 2 avocats) = 8 bananes Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

48 EQUIVALENCE POTASSIQUE DES FRUITS (200mg de K+) 150 g de pomme
Abricots, Prunes 50 g Figues, Kaki, Kiwi, Cassis,Groseilles 80 g Brugnon, Cerises, Melon, Papaye 150 g de pomme 200 g Pastèque, Myrtilles 100 g Raisin, Pamplemousse, Orange, Pêche, Framboises, Mangue, Ananas, Litchis, Mandarine 150 g Poire, Fraises, Citron Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

49 Le potassium ne s’évapore pas…
POTASSIUM (K+) MODES DE CUISSON : Le potassium ne s’évapore pas… Les aliments cuits au four, à la vapeur, sans eau, saisis dans l’huile, avec consommation d’eau de cuisson… N’ont pas perdu de POTASSIUM et doivent être considérés comme des aliments crus Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

50 POTASSIUM (K+)  Perte : 50% de potassium MODE DE CUISSON :
Peler, couper les aliments Les cuire dans un grand volume d’eau Départ à froid Jeter l’eau et cuisiner Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

51 ENQUETE ALIMENTAIRE SUR 7 JOURS
Petit-Déjeuner Collation Déjeuner Dîner Dialyse Dialyse Dialyse Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

52 EXEMPLE D’UNE RATION pauvre en K+ (< 2,5g/j) :
POTASSIUM (K+) EXEMPLE D’UNE RATION pauvre en K+ (< 2,5g/j) : MATIN : Boisson (thé, café…), Tartines (pain, beurre, confiture) MIDI : Taboulé, Poulet rôti, courgettes persillées, fromage blanc, fraises, pain SOIR : Carottes râpées, poisson court bouillon, pâtes, camembert, pomme cuite Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

53 HEMODIALYSE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : L ’HYPERKALIEMIE LA PRISE DE POIDS (apport hydrique) LA DENUTRITION LE DESEQUILIBRE PHOSPHO-CALCIQUE Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

54 LA PRISE DE POIDS (= apport hydrique) Maximum 5 % du poids du corps
Au-delà de 10 % Risque OAP CAUSES : Anurie Apport hydrique non maîtrisé Alimentation trop salée et trop sucrée : soif Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

55 LA PRISE DE POIDS (= apport hydrique) Alimentation normo sodée
Moyens : Alimentation normo sodée Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

56 LA PRISE DE POIDS (= apport hydrique)
EVITER : Eaux minérales sodées (Vichy, Badoit, Vals…) Condiments salés (Bouillon cube, viandox…) APPRENDRE A MAITRISER : Plats cuisinés du commerce, conserves Aliments saumurés, fumés Charcuteries Fromages Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

57 LA PRISE DE POIDS (= apport hydrique)
BUT : RESTRICTION HYDRIQUE 500ml + équivalent de la diurèse Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

58 LA PRISE DE POIDS (= apport hydrique)
Répartition quotidienne des liquides si anurie : Petit déjeuner : ml Déjeuner : ml Dîner : ml Eau pour Médicaments : ml Total = ml Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

59 LA PRISE DE POIDS (= apport hydrique)
CAUSES : ESSENTIELLEMENT DES LIQUIDES : Thé, café, jus de fruits, sodas, apéritif, vin, bière, eau des médicaments, du robinet, gazeuse… SEULEMENT 2 ALIMENTS : le lait , le potage Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC S. Grange – F. Rey

60 HEMODIALYSE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : L ’HYPERKALIEMIE LA PRISE DE POIDS (apport hydrique) LA DENUTRITION LE DESEQUILIBRE PHOSPHO-CALCIQUE Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

61 LA DENUTRITION CAUSES :
Dialyse : Hémodialyse conventionnelle de 4 heures déperdition protéique : 1 à 6 g par séance Perte urinaire (si protéinurie) Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

62 LA DENUTRITION LES MOYENS : ALIMENTATION HYPERPROTIDIQUE
1,2 g de protéines/Kg de poids idéal/jour Haute valeur biologique 50 % d’origine animale Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

63 LA DENUTRITION RATION CORRECTE SI INSUFFISANTE : SI TROP IMPORTANTE :
Anémie Fonte musculaire Fatigue Dénutrition MORT SI TROP IMPORTANTE : Acidose Hyperkaliémie Hyperphosphorémie Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

64 HEMODIALYSE ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Quelques règles sont à respecter pour combattre : L ’HYPERKALIEMIE LA PRISE DE POIDS (apport hydrique) LA DENUTRITION LE DESEQUILIBRE PHOSPHO-CALCIQUE

65 DESEQUILIBRE PHOSPHO-CALCIQUE
CAUSES : Diminution de l’élimination rénale de phosphore Déficit de la vitamine D3 L’hyperparathyroïdie secondaire de l’IRC Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

66 POURQUOI SURVEILLER LE TAUX DE PHOSPHORE ?
Norme : 1,13 à 1,78 mmol/l Éviter la formation de dépôts phosphocalciques qui peuvent engendrer : Des prurits Des douleurs articulaires Une calcification vasculaire Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

67 COMMENT DIMINUER LE TAUX DE PHOSPHORE ?
Alimentation adaptée (phosphore : 800 à 1000 mg/jour) Médicaments Dialyses Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

68 BUTS Ne pas dénutrir Limiter le phosphore
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

69 LE PHOSPHORE EST SOUVENT ASSOCIE AUX PROTEINES
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

70 Coquillages et crustacés
ALIMENTS RICHES EN PHOSPHORE Le lait concentré, certains fromages Les abats (ris de veau, foie, cervelle, rognon, langue, cœur…) Les polyphosphates (E 338, E 339, E 340, E 341,E450) Les protéines animales La Charcuterie (jambon ordinaire, pâtés, salami…) Les poissons gras (hareng, dorade, sardine, saumon…) Coquillages et crustacés Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

71 CONNAÎTRE LES ALIMENTS ET LEURS EQUIVALENCES AFIN DE « BIEN CHOISIR »
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

72 1er OUTIL : L’AFFICHE Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

73 1er OUTIL : L’AFFICHE Comment est-elle construite ?
Les aliments sont classés par famille… … avec les couleurs correspondantes :  Rouge = Viande-Poisson-Œufs-Charcuterie  Bleu = Fromage et Produits Laitiers  Marron = Féculents, etc. Par portion habituellement consommée :  Viande= 100g  Poisson = 120g  Œufs = 2  Fromage = 30g  Huîtres n°3 = 6 unités  Féculents = 100g (idem diabétiques) ou 40g de pain  Glaces = 2 boules  Apéritif = 30g Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

74 Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

75 L’ENQUÊTE ALIMENTAIRE
Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC Françoise REY – Diététicienne – AGDUC ème sessions Nationales AFIDTN

76 2ème OUTIL : L’OUTIL PEDAGOGIQUE
LE SOIN INFIRMIER : prise du médicament (observance, adhésion) ADAPTATION DIETETIQUE LA PRESCRIPTION MEDICALE L’OUTIL PEDAGOGIQUE Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

77 Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC
Mr X /06/07 1 5 3 Journée avec collation prise en dialyse Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

78 JOURNEE DE MENU n°1 Petit-déjeuner Poids Billes Déjeuner Dîner
Tasse de café noir 100 ml Salade de tomates 100g Salade verte 40g 1 sucre blanc 5g Huile de colza 10g Huile de noix Pain (baguette) Bifteck haché 130g Beurre 15g Pâtes cuites 200g Riz cuit Brocolis cuits Ratatouille Confiture 30g Huile type isio 4 Huile d’olive Camembert Fromage blanc (20%) Sucre blanc 1 pomme 150g Ananas Total petit-déjeuner : Total déjeuner : Total dîner : TOTAL DE LA JOURNEE : = 875 mg de phosphore Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

79 JOURNEE DE MENU n°2 = 2025 mg de phosphore Petit-déjeuner Poids Billes
Dîner Tasse de chicorée 100 ml Salade de Maïs 100g Salade verte 40g 1 sucre blanc 5g Huile de colza 10g Huile de noix Pain Complet Foie de Veau 130g Beurre 15g Ebly 200g Riz complet Brocolis cuits Ratatouille Confiture 30g Huile type isio 4 Huile d’olive Beaufort 1 yaourt nature 125g Sucre blanc Pain 6 céréales Pain complet 1 pomme 150g Ananas Total petit-déjeuner : Total déjeuner : Total dîner : TOTAL DE LA JOURNEE : = 2025 mg de phosphore Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

80 TRANSPLANTATION ET DIETETIQUE AU QUOTIDIEN
Rein du receveur Rein du donneur Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

81 TRANSPLANTATION Ménager le greffon : Limiter les protéines
Ne pas grossir : Eviter le grignotage Limiter les matières grasses Limiter les sucreries ! Aux corticoïdes (=immunosuppresseurs)  augmentent l’appétit. Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

82 TRANSPLANTATION Varier son alimentation Boire 1,5 à 2 litres par jour
Faire du sport et éviter le tabac Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC

83 PARCOURS NUTRITIONNEL DE L’IRC
PRE-DIALYSE DP HD GREFFE RENALE PROTEINES HYPO-PROTIDIQUE HYPER-PROTIDIQUE HYPER-PROTIDIQUE* 0,8 g / kg / jour 1,4 g / kg / jour 1,2 g / kg / jour ENERGIE 30 à 35 Kcal/kg/j RATION HYDRIQUE Adaptée à la diurèse Diurèse conservée Souvent anurique Boire à volonté 1,5 à 2 litres de liquide / jour 1 litre de liquide / jour 0,5 litre de Enfin, voici le parcours nutritionnel de l’IRC afin de vous montrer combien celui-ci est différent suivant le stade où le patient est : Avant dialyse : pauvre en protéines et la quantité de boisson est normale en Dialyse Péritonéale : Une étude sur 30 patients à l’AGDUC a montré que la perte moyenne était de : 7,64g d’où la difficulté car l’augmentation est de %. en Hémodialyse : L’Hémodialyse conventionnelle de 4 heures : déperdition protéique : 1 à 6 g par séance, soit 3 à 18g par semaine. Perte urinaire (si protéinurie) * 3 premiers mois Sarah GRANGE - Françoise REY – Diététiciennes AGDUC


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