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La route Panaméricaine le plus fou des road trips

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1 La route Panaméricaine le plus fou des road trips

2 Tout au nord de l'Alaska, à Prudhoe Bay, une poignée de courageux vivent depuis les années 1970 du pétrole et du gaz extraits du gisement voisin. Entre les quelques baraquements qui résistent à l'épreuve des vents arctiques et les oléoducs, se situe le kilomètre zéro de la route Panaméricaine. Bienvenue sur le trait d'union de tout un continent, km d'asphalte qui relient deux pôles, traversent 15 pays et se frottent à presque tous les climats de la planète.

3 Le toit de l'Amérique du nord Après avoir passé la ville de Fairbanks au centre de l'Alaska, un détour du côté du Parc national de Denali, où trône le plus haut sommet d'Amérique du nord, marque la première étape d'un voyage qui s'annonce grandiose.

4 Dans le territoire polaire Le passage vers le Canada conduit vers le Yukon. Cette province aux montagnes couvertes de neige est une des plus froide d'Amérique du Nord, mais la longueur du jour en été permet la floraison d'une multitude de plantes.

5 A travers les Rocheuses La route file vers le sud et va traverser le Canada dans toute sa longueur en passant à travers les Rocheuses en Colombie-Britannique, puis dans l'Alberta.

6 L'art de vivre en Colombie-Britannique Du côté de la Colombie-Britannique, il est possible de faire un détour par Vancouver. Cette ville est connue pour son ambiance détendue et pour avoir accueilli les Jeux Olympiques d'hiver de 2010.

7 Les reflets du lac de Kananaskis Edmonton et Calgary sont les deux grandes cités canadiennes traversées par la Panaméricaine. Cette région sauvage du Canada accueille de nombreux parcs naturels, comme ici près de la petite ville de Kananaskis, située à 5 kilomètres de Calgary.

8 Tracé multiple C'est par l'Etat du Montana que la route peut commencer son périple à travers les Etats-Unis. En réalité, jusqu'au Mexique, il n'existe pas de tracé officiel de la Panaméricaine. Certains considèrent dès lors qu'elle longe la côte Pacifique alors que d'autres la font passer au cœur du pays de l'Oncle Sam.

9 Rencontre panaméricaine Entre le Wyoming et le Colorado, le climat s'adoucit.

10 Ambiance de Far West En passant par la ville de Cody, Wyoming, il est possible de croiser des descendants du célèbre Buffalo Bill, fondateur de la ville. Connue pour son rodéo, la ville est une étape importante vers le Parc National de Yellowstone.

11 La route vers l'or La Panaméricaine empreinte les traces des anciens chercheurs d'or. Sur cette route, l'Etat du Colorado doit son nom à sa grande variété de couleurs.

12 Détour par le parc des Arches A la frontière entre l'Utah et le Colorado, une visite du Arches National Park s'impose avec ses incroyables arches minérales et ses roches de couleur érodées par le vent.

13 L'entrée du désert Traverser l'Arizona permet d'admirer l'un des plus célèbres décors de western, entièrement naturel ! Bryce Canyon et ses pics rocheux vermillons abritent une faune variée et parfois hostile, parmi laquelle des crotales et des coyotes.

14 Le plus grand Pow-Wow du monde La ville d'Albuquerque au Nouveau-Mexique réunit une fois par an plus de 500 tribus amérindiennes de tout le continent. Ce Pow-Wow géant accueille plus de danseurs et musiciens. Logique, pour une route située sur la Panaméricaine, d'être un point de ralliement

15 Les fleurs du désert Le désert du Sonora est le plus grand d'Amérique du Nord. Ses espèces spécifiques de cactus peuvent atteindre 15 mètres de haut, et le spectacle de leur floraison accueille chaque année plusieurs milliers de curieux.

16 Le Texas, dernière étape du Nord Cap au sud
Le Texas, dernière étape du Nord Cap au sud. La frontière mexicaine approche et avec elle le début du tracé officiel de la Panaméricaine. Avant de passer en territoire latino, voici la texane San Antonio et son fameux Fort Alamo, haut-lieu de la guerre américano-mexicaine qui se déroula au XIXe siècle.

17 Dans le vieux Monterrey Après 200 km à travers des plaines arides, c'est à Monterrey que la "Panam" marque sa première étape urbaine du Mexique. Deuxième ville du pays en nombre d'habitants, son vieux quartier (ici en photo) et ses ruelles colorées ne laissent plus l'ombre d'un doute : nous sommes bien en Amérique latine.

18 Dans la fureur de Mexico Une artère de Mexico en pleine journée : trafic... légèrement perturbé. Il faut savoir que la ville compte environ 4 millions d'automobiles.

19 En territoire aztèque Après Mexico, le tracé de la Panaméricaine se poursuit sur le plateau central du Mexique. Le terrain accidenté de la région de Puebla ne l'a pas empêché de devenir l'un des Etats les plus peuplés du Mexique. Ces terres abritent encore la plus grande communauté de locuteur du nahuatl, la langue aztèque.

20 Les vestiges de Monte Alban Après Puebla, la route atteint Oaxaca et le site archéologique de Monte Alban, merveille des civilisations olmèque et zapotèque.

21 Les forêts luxuriantes du Chiapas Les magnifiques paysages du Chiapas contrastent avec la pauvreté de ses habitants. Majoritairement issus des peuples amérindiens, ceux-ci mènent une vie rude dans les forêts florissantes.

22 Le lac Atitlan, féerie du Guatemala Le sud du Mexique ouvre progressivement la porte de l'Amérique centrale. Arrivé au Guatemala, quelques uns des plus beaux paysages de cette partie du continent se dévoilent alors, comme ici dans les environs du lac Atitlan.

23 Les pavés d'Antigua La ville d'Antigua, classée au Patrimoine mondial de l'Unesco, est une étape obligée sur la portion guatémaltèque de la Panaméricaine. Encerclée par plusieurs volcans et secouée par de nombreux séismes tout au long de son histoire, l'ancienne capitale du Guatemala porte le visage du colonialisme espagnol, figé en 1773 par une série de tremblements de terre.

24 Des reliefs escarpés près de Tegucigalpa Pas facile à prononcer, ce nom de la capitale hondurienne ! Beaucoup d'habitants de la région vivent encore de la pêche, malgré des sous-sols remplis de matières premières. Cette province volcanique abrite des mines d'or et d'argent.

25 Les vestiges maya Le site de Copan au Honduras conserve de nombreux vestiges mayas. Décimés par les Aztèques, l'histoire de ce peuple est mal connu car sa civilisation s'était déjà effondrée à l'arrivée des conquistadors.

26 Terre de volcans, entre Pacifique et Caraïbes En Amérique centrale, là où le continent américain se rétrécit, la terre est constellée de volcans et de paysages somptueux. Comme ici au Nicaragua, sur l'île Ometepe (située au centre du lac Nicaragua), il est possible d'approcher de près les cônes volcaniques, très actifs dans cette région.

27 Costa Rica, l'heure de la pause La Panaméricaine continue sa route sur quelques centaines de kilomètres à travers le Costa Rica, un pays réputé pour ses plages de rêve et pour la beauté et la diversité de ses réserves biologiques et végétales. Un petit bout de paradis pour celles et ceux qui voudraient faire une pause avant d'attaquer l'Amérique du sud.

28 Le labyrinthe tropical Près de la route, le Parc National de Cahuita, couvert de mangrove, s'étend sur plus de 250 hectares. Les palétuviers forment un maillage si serré qu'il parait difficile de progresser !

29 Les cratères andins La Cordillère des Andes compte de multiples volcans, actifs ou éteints. Le Poas, qui fait partie de cette catégorie - compte plus de 39 éruptions en moins de 200 ans. Il est très populaire grâce à son lac acide, d'une couleur bleue très particulière.

30 Trait d'union Au Panamá, dans la capitale du même nom, le Pont des Amériques permet depuis 1962 de franchir le Canal de Panamá, cette fracture au cœur du continent américain.

31 Le défi du Darién Gap La ville de Panamá est la dernière grande ville d'Amérique centrale traversée par la route. Plus à l'est, la Panaméricaine disparaît sur une centaine de kilomètres : il s'agit du Darién Gap, une frontière naturelle entre le Panamá et la Colombie faite de montagnes et de jungles. Dans cette région reculée, aucun moyen de communication ne permet de poursuivre la route. Prochaine étape : Turbo, dans le nord de la Colombie.

32 Medellín, couleurs colombiennes De passage par Medellín, la deuxième ville de Colombie en nombre d'habitants. Célèbre pour avoir été le refuge de nombreux narcotrafiquants dans les années 1970 et 1980 dont Pablo Escobar, la ville est redevenue tranquille, son taux de criminalité est au plus bas et les touristes font leur apparition.

33 Des plages luxuriantes mais pluvieuses La Colombie est un cas à part en Amérique du Sud, puisqu'elle a des plages à la fois le long de la mer des Caraïbes et de l'océan Pacifique. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le climat y est très humide et il y pleut souvent.

34 Les reliefs du Cauca Toujours en Colombie, après avoir passé la ville de Cali, la Panaméricaine s'aventure à plus de 1500 mètres d'altitude à travers la région montagneuse et sauvage du Cauca. Ici, la chapelle de Belén près de la coloniale Popayán, surnommée "la ville blanche".

35 Sur les pentes de la Sierra d'Equateur Arrivée en Equateur, la route monte encore pour atteindre mètres d'altitude. A Otavalo, dans la cordillère des Andes, on croise alors quelques communautés d'indigènes vivant principalement de leur artisanat et du tourisme naissant.

36 Quito, capitale des Andes Culminant à mètres, Quito est une étape majeure de la route Panaméricaine. Quand on arrive dans la capitale équatorienne, on est frappé par cet ensemble urbain de 2 millions d'habitants qui s'étend et bétonne les flancs du volcan Guagua Pichincha. Ici, le centre colonial.

37 Quand la Panam est andine Jusqu'au Pérou et la côte Pacifique, la Panaméricaine sillonne la cordillère des Andes, comme ici près de Cuenca, en Equateur.

38 Pentes désertiques Au Pérou, la Panaméricaine rejoint la côte Pacifique qu'elle va longer jusqu'au centre du Chili. Ici, non loin de Lima, la route traverse d'immenses pentes désertiques sur les contreforts de la cordillère des Andes.

39 Lima, "la Cité des rois«  Fondée en 1535 par Francisco Pizarro, Lima, "la Cité des rois", connaît des températures élevées toute l'année et un climat très particulier, entre désert et influence océanique. Dans la capitale péruvienne, il ne pleut que 6 mm d'eau par an, mais l'atmosphère est souvent chargée d'humidité.

40 5 822 mètres Dans le sud du Pérou, la Panaméricaine fait un crochet vers la ville d'Arequipa dominée par le volcan Misti et ses mètres d'altitude.

41 Une vallée belle mais dangereuse La vallée d'Huaraz, malgré sa beauté et son attrait pour les amateurs d'alpinisme, est plutôt une région hostile. Il peut y faire 35°C dans la journée, puis presque 0°C pendant la nuit ! De plus, un violent séisme a totalement dévasté la vallée en 1970.

42 Les signes mystérieux de Nazca La Panaméricaine borde également le site de Nazca. Les Indiens nazcas y ont dessiné de vastes dessins, des géoglyphes, en creusant le sol pour faire apparaître une roche plus clair que celle de la surface. On en ignore toujours la signification.

43 Les pâturages glacés du Pérou Il faut être bien emmitouflé pour traverser la région du Puno. Ses vallées atteignent souvent plus de 4 000 mètres d'altitude. Au-dessus de 4500 mètres, la température est glaciale !

44 Direction : le bout du monde Arrivé au Chili, entre Arica et Iquique, un détour par l'Altiplano permet de découvrir quelques humbles villages perdus qui donnent l'impression d'avoir été figés par le temps, comme ici Isluga, non loin de Colchane.

45 Lac d'altitude Toujours dans la région d'Arica, le Parc national de Lauca et la Laguna de Cotacotani, un des lacs les plus élevés du monde (4 520 m d'altitude), offrent un spectacle inoubliable.

46 2 000 km à travers le Chili La Panaméricaine continue sa route et descend sur près de km à travers le Chili avec l'océan Pacifique à ses côtés. Arrivée à Valparaiso, l'autoroute quitte la côte et rejoint Santiago, avant de s'enfoncer à travers le continent avec Buenos Aires et l'Atlantique comme nouvel horizon.

47 Le désert rouge Le désert d'Atacama au Chili est le plus sec du monde
Le désert rouge Le désert d'Atacama au Chili est le plus sec du monde. Sa pluviométrie est de... 0 mm par an, et il n'abrite presque pas de vie. Sa ressemblance avec Mars est si frappante que la NASA y a testé ses robots avant de les envoyer explorer la planète rouge.

48 Filer dans la pampa Après la cordillère des Andes qu'elle traverse à nouveau en mettant le cap à l'est, la Panaméricaine file en ligne droite à travers la pampa argentine.

49 Un crochet par Buenos Aires Avec Buenos Aires au bord de l'Atlantique, la Panaméricaine a changé d'océan et s'apprête à redescendre vers le sud pour sa dernière ligne droite. Ici, les taxis jaune et noir de la capitale du tango.

50 Une place chargée d'Histoire Les principaux monuments et bâtiments politique de Buenos Aires se trouvent autour de la célèbre Place de Mai : la cathédrale métropolitaine, la Casa Rosada où vit le président...

51 L'infini silence de Patagonie Bahia Blanca, Puerto Madryn, Trelew, Rio Gallegos... La route qui traverse le continent américain file à travers quelques uns des paysages les plus majestueux et sauvages de tout son tracé : bienvenue en Patagonie. Au bout, la Terre de Feu se profile, et avec elle, la fin du parcours.

52 Une enclave galloise en Argentine Mais avant d'arriver, un arrêt à Trelew. Sous ce nom d'origine galloise, une ville qui relie les plus beaux sites de Patagonie comme la péninsule Valdés ou Punta Tombo. Sur la côte, des éléphants de mer, des manchots et des dauphins...

53 Le bout du monde La Route national 3, dernier tronçon de la Panaméricaine, arrive enfin à sa destination finale : le port d'Ushuaïa, en Terre de Feu. Ici prend fin l'incroyable parcours de cette route, le véritable trait d'union de tout un continent.

54 Extrême sud américain Au large d'Ushuaïa, le phare du canal Beagle.

55 La route Panaméricaine L'histoire C'est en 1889, lors de la première Conférence panaméricaine, que l'idée d'une voie reliant les deux extrémités du continent américain fut envisagée. On évoquait alors le rail, mais le projet ne fut pas mené à exécution. Il fallut attendre 1923 et la Conférence internationale des Etats américains pour que l'idée ressurgisse. Cette fois-ci, la route fut choisie comme moyen de communication et en 1950, le Mexique devint le premier pays à terminer officiellement son tronçon.  Mais la route Panaméricaine ne forme pas une seule et même voie. Jusqu'au Mexique, entre l'Alaska et le Texas, aucune autoroute ou voie rapide n'est officiellement reconnue comme faisant partie de la route intercontinentale. C'est pourquoi il est possible d'emprunter diverses autoroutes avant de rejoindre le Mexique car la Panaméricaine est avant tout un idéal, un désir de trait d'union à travers cet immense continent.  Il faut enfin préciser que la Panaméricaine n'a jamais réussi à réparer la fracture naturelle de la région inhospitalière du Darién, ce passage couvert de jungle et long de 90 km, entre le Panama et la Colombie. Les aventuriers qui cherchent à parcourir le continent américain par la route sur toute sa longueur doivent se faire une raison : pour passer le Darién, il faudra monter sur un bateau !


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