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Les données de la faune piscicole

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Présentation au sujet: "Les données de la faune piscicole"— Transcription de la présentation:

1 Les données de la faune piscicole
Pré-rapport 2009 AGOUDA Abalo / AMMON Virginie / BERNARD Elodie / BOISSON Maxime / BOURDET Léa / CARRON CABARET Sébastien / GOBILLOT Julien / LE BAUD Solenn / MAGNON Audrey / MANTEL Maxime / MARGER Céline / MARQUEZ Audric / MARTINSSON Jenny / ROUDIL Léo

2 Introduction Existe autres indicateurs biologiques
(macro-invertébrés, diatomées…) Mise en place de la DCE Apparition de l’indice poisson dans la surveillance européenne de l’état écologique des cours d’eau

3 Plan Introduction Zonation piscicole (Huet)
II. Méthodologie du recensement piscicole A. Collecte de données : pêche électrique B. Analyse des données : IPR III. Repeuplement A. Pourquoi? B. Comment? C. Risques et recommandations IV. Méthodes d’exploitation A. Estimation de l’effectif de la population : Aspect quantitatif B. Biodiversité : Aspect qualitatif Analyse des résultats A. Résultats pêche électrique 2007 B. Repeuplements effectués sur le Jaur C. Évolution piscicole des 10 dernières pêches électriques D. Caractérisation de la communauté piscicole Conclusion

4 I. Zonation piscicole (Huet)

5 I. Zonation piscicole (Huet)
Tableau récapitulatif des différentes zones Dessin Autres espèces présentes T (°C) O2 (mg/L) Morphologie du cours d’eau Courant de la rivière Substrat du cours d’eau Zone Salmonicole Zone à truite omble chabot 4 - 12 > 10 Peu profond Largeur faible Pente forte (> 4%) Fort Rocheux Zone à ombre goujon chevaine 8 - 14 9 - 10 Largeur et profondeur augmentent Pente diminue (4%) Moins fort Galets Graviers Zone Cyprinicole Zone à barbeau goujon barbeau chevaine ablette carpe 6 - 9 Largeur et profondeur importantes Pente faible (<1%) Moyen Sables Zone à brème bouvières 4 - 10 Lit très large et profond Faible Limons fins Vases Zone Estuarienne flet alose esturgeon anguille Eau saumâtre subit l’influence des marées

6 II. Méthodologie du recensement piscicole
A. Collecte de données : pêche électrique Généralités: Méthode exhaustive Peu nocive pour la faune Technique d’eau douce Pratique encadrée Méthodologie: Choix du tronçon de rivière et du dispositif

7 II. Méthodologie du recensement piscicole
A. Collecte de données : pêche électrique On remonte le cours d’eau avec l’anode jusqu’à la cathode On pèche les poissons regroupés à l’épuisette Réalisation des mesures (Poids, taille, espèce…) Mise au repos des poissons Remise des poissons dans le cours d’eau

8 II. Méthodologie du recensement piscicole
B. Analyse des données : IPR Indice synthétique basé sur la comparaison entre les données du lieu de l’étude et un site de référence 650 stations de référence gérées par l’ONEMA Calcul basé sur 8 données environnementales locales et une donnée régionale IPR calculé par rapport à 7 métriques

9 II. Méthodologie du recensement piscicole
B. Analyse des données : IPR L’IPR donne un score allant de 0 (excellent) à potentiellement l’infini (habitat détruit) Note IPR= Somme des scores de chaque métrique

10 III. Repeuplement A. Pourquoi?
Restaurer et/ou remplacer une population en train de disparaître Augmenter les populations afin de satisfaire la pêche récréative Créer une véritable exploitation piscicole (aquaculture extensive)

11 III. Repeuplement B. Comment? 3 principales méthodes de repeuplement :
Implantation d’œufs Introduction d’alevins 11

12 III. Repeuplement B. Comment? Introduction d’individus matures 12

13 III. Repeuplement Risques Recommandations
C. Risques et recommandations Risques Recommandations Introduction de maladies ou de parasites dans le milieu. Vérifier l'état sanitaire de la population à réintroduire. Création d’un déséquilibre écologique. S’assurer que l’espèce à introduire est en parfait accord avec les conditions environnementales du milieu d’introduction. Dégénérescence génétique de la population autochtone. Utiliser si possible des géniteurs autochtones sinon choisir une espèce la plus proche possible. 13

14 IV. Méthodes d’exploitation
Objectifs : Caractériser et évaluer la population piscicole d’un cours d’eau. Différentes approches : Approche quantitative (Abondance…) Approche qualitative (Equitabilité…)

15 IV. Méthodes d’exploitation
A. Estimation de l’effectif de la population : Aspect quantitatif Méthode de De Lury Protocole : - Pêches successives, sur un même tronçon d’étude et sans remise Hypothèses : - La capture est directement proportionnelle au stock N - Population supposée variante entre les pêches

16 IV. Méthodes d’exploitation
B. Biodiversité : Aspect qualitatif La biodiversité désigne la variété et la diversité du monde vivant Pour mesurer la diversité des espèces sur un territoire donné, il faut dénombrer le nombre d’espèces différentes qui y vivent Nécessité de déterminer différents indices

17 IV. Méthodes d’exploitation
B. Biodiversité : Aspect qualitatif Richesse spécifique (S) Représente le nombre d’espèces présentes dans le milieu quelque soit le nombre d’individus ou la masse que représente chaque taxon S’appuie sur la sélectivité du milieu Utilisé comme indice de qualité Permet de donner une idée générale des caractéristiques du milieu :  Variété des niches écologiques de l’écosystème.  Estimation de la diversité maximale de l’écosystème.

18 IV. Méthodes d’exploitation
B. Biodiversité : Aspect qualitatif Diversité spécifique Indice de Shannon (H’) Indice basé sur les proportions d’espèces présentes dans le milieu Permet de quantifier l’hétérogénéité de la biodiversité d’un milieu d’étude Varie entre 0 et ln(S) Plus il est élevé plus la diversité est importante.

19 IV. Méthodes d’exploitation
B. Biodiversité : Aspect qualitatif Diversité spécifique Diversité maximale (H’max)  Utilisé quand tous les taxons ont la même abondance Indice de régularité de Pielou ou équitabilité Varie entre 0 et 1.

20 IV. Méthodes d’exploitation
Conclusion Ces indices permettent d’étudier la résistance et la résilience d’une espèce. Peuvent notamment être utilisés dans deux types d’études:  Suivi de l’évolution d’une communauté  Mise en évidence des perturbations internes ou externes qui affectent le fonctionnement du système étudié

21 V. Analyse des résultats
A. Résultats pêche électrique 2007 Pas de pêche électrique en 2008 Pêche réalisée par l’ONEMA le 15 juin 2007 au niveau du lieu dit Camping Baous Quelques paramètres du bief prospecté : Surface prospectée : 937,5 m² Température :17,8°C Conductivité :332 µS/cm Dureté :44mg/L Manque de relief et de végétation => limite la possibilité d’abris pour les poissons Mais cours d’eau = assez sinueux 11 espèces différentes ont été recensées

22 V. Analyse des résultats
B. Repeuplements effectués sur le Jaur Repeuplements de truites fario et arc en ciel au cours des années 2000 à 2003, puis en 2006. A St Pons de Thomières A Olargues

23 Crue biennale + Repeuplement
V. Analyse des résultats C. Évolution piscicole des 10 dernières pêches électriques Par espèce (densité) Deux espèces prédominantes = espèces polluosensibles => bonne qualité du cours d’eau Travaux d'aménagement en 97 => destruction habitats => baisse densité Crue biennale + Repeuplement

24 V. Analyse des résultats
C. Évolution piscicole des 10 dernières pêches électriques Par espèce (biomasse) Bonne représentation de l’anguille et du goujon Biomasse tient compte du poids du poisson => Forte hausse de biomasse correspond à hausse de densité de plus faible ampleur.

25 V. Analyse des résultats
C. Évolution piscicole des 10 dernières pêches électriques Globale Densité totale = augmentation jusqu’en 2000 Pic de densité en 2003 Diminution depuis 2003 => dégradation de l’écosystème repeuplement Crue repeuplements De 2000 à 2005, baisse du nombre d’anguilles et de truites fario. 2006 = même valeur qu’en 2000 => forte augmentation de biomasse du barbeau fluviatile en 2006

26 V. Analyse des résultats
C. Évolution piscicole des 10 dernières pêches électriques Indice Poisson Rivière Traduit : • Représentation des différents types d’habitats • Différents régimes alimentaires (individus invertivores et omnivores) • Présence d’espèces sensibles à la qualité du milieu. En 2007 => qualité de peuplement médiocre Depuis 2002, l’IPR ne cesse d’augmenter => dégradation de la rivière

27 V. Analyse des résultats
D. Caractérisation de la communauté piscicole Calcul de: la richesse spécifique l’indice de Shannon l’Equitabilité

28 Stable au cours du temps à deux exceptions prés
V. Analyse des résultats D. Caractérisation de la communauté piscicole La richesse spécifique Stable au cours du temps à deux exceptions prés

29 V. Analyse des résultats
D. Caractérisation de la communauté piscicole L’Indice de Shannon : intègre le nombre d’individus de chaque espèce Variation fréquente: -diminution => hétérogénéité de la biodiversité -augmentation => communauté diversifiée

30 Variations de l’Equitabilité suivent celles de l’indice de Shannon
V. Analyse des résultats D. Caractérisation de la communauté piscicole L’Equitabilité : régularité de la communauté Variations de l’Equitabilité suivent celles de l’indice de Shannon

31 V. Analyse des résultats
E. Conclusion Grande variabilité de tous les paramètres étudiés: Homogénéisation de la communauté piscicole Mais valeurs de la densité et de la biomasse en constante diminution Causes de ces diminutions ?

32 Conclusion Poissons : Indicateurs de l’état de santé des milieux aquatiques Suivi de l’évolution de la qualité du cours d’eau Cause de repeuplement : loisir, survie d’une espèce Attention aux conséquences Cas du Jaur : Forte variabilité de la faune piscicole selon année Santé du Jaur : certains paramètres alarmants (en attente des résultats de cette année)


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