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Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 ETUDE DE LA PRISE EN CHARGE DES URGENCES EN BRETAGNE.

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1 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 ETUDE DE LA PRISE EN CHARGE DES URGENCES EN BRETAGNE

2 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Étude des Urgences Objectifs opérationnels  Bilan du volume d ’activité 2003 et évolution depuis 2001  Evaluation de la conformité des moyens en référence à la réglementation  Evaluation le la qualité du fonctionnement concernant l ’accueil, le traitement, l ’orientation des patients  Proposition d ’axes d ’amélioration SROS3

3 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Étude des Urgences Le Champ de l ’étude  Les urgences pré-hospitalières SAMU-SMUR  Les urgences hospitalières privées et publiques  structures autorisées - SAU UPATOU  structures non autorisées

4 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Étude des Urgences Les structures et les sites enquêtés  4 SAMU  20 SMUR autorisés = 24 sites  7 SAU + 21 UPATOU = 33 sites  26 cliniques privées chirurgicales = 19 sites répondeurs dont 3 avec enquête complémentaire

5 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Etude des Urgences

6 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences pré-hospitalières

7 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Étude des Urgences  RESULTATS Les urgences hospitalières

8 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Étude des Urgences Les urgences hospitalières Prés de 700 000 passages annuels  645 400 passages en 2003 en structure autorisées  46 100 passages en structure non autorisée soit 6,7% de l ’activité hospitalière. Le taux de croissance annuel est de + 3,5% (France = +4,6%)

9 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Étude des Urgences Toute activité non programmée Répartition

10 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières

11 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 des Urgences Enquête Étude patients 5397 passages : 1888 dimanche, 3509 semaine + 374 passages sur les 3 établissements NA Rappels des objectifs :  Accueil (adressage, mode d ’entrée)  Traitement (GEMSA/CCMU, pathologie, soins spécifiques)  Orientations et adéquations  retour à domicile  Hospitalisation  Transfert

12 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Étude des Urgences Enquête patients  Avantages de la méthode  exhaustivité  comparaison dimanche/semaine  comparaison possibles entre les établissements  complète l ’enquête « structures » Limites de la méthode représentativité de l ’échantillon sur représentation du lundi : effet non mesuré

13 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières démographie

14 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières sexe ratio et âge

15 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières transports

16 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières adressage régulé dans les UPATOU : 34%

17 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières variations horaires en semaine selon âge

18 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières Pathologies

19 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières Hospitalisations : taux moyen 30,4%

20 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières GEMSA

21 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières CCMU

22 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières inadéquations à l ’entrée 13% selon groupage, 25% ressentis

23 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières variations/ âge Les patients âgés :18,5% ont plus de 70 ans (France : 14%)  66 % de ces patients sont hospitalisés  la part des séjours lourds est 2 fois plus importante  40% des hospitalisés ont une orientation jugée inadéquate  les établissements privés reçoivent deux fois moins de personnes âgées

24 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières variations/secteurs sanitaires

25 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières Les points saillants de l ’enquête structure  Les établissements privés peu représentés = 8 % des autorisations (France : 20%)  Une activité qui varie selon le niveau de plateau technique  Une croissance annuelle de + 3,5 % sur 6 ans  Une suractivité estivale variable  Un taux d ’hospitalisation élevé de 27,4 % 34,3 % si UHTCD (France : 19% + 3%)  Une installation très variable des lits d ’UHTCD (0 à 34 lits)  Des effectifs plus bas sur les structures privées et PSPH

26 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières Les points saillants de l ’enquête Patients Le taux d ’inadéquations à l ’entrée est deux fois moins élevé pour les patients régulés en amont Les profils de patients du W.E. et de semaine sont très différents L ’activité nocturne est très basse à partir de 0h 50 % des entrées relèvent de la traumatologie dont seulement 10 % seront hospitalisées Le taux de patients lourds (GEMSA 4 et 6/CCMU 4 et 5) est de 3,4 %

27 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières Les points saillants de l ’enquête Patients 18,5 % des patients ont plus de 70 ans dont 2/3 seront hospitalisés 7 % des hospitalisations sont mal orientées L ’urgentiste ne prend contact avec le médecin généraliste adresseur que dans 40 % des retours à domicile en semaine 2 % des passages se terminent par une sortie contre avis médical

28 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Enquête des Urgences Discussion Peut-on identifier des indicateurs d ’intensité de l ’activité ou source de désorganisation ? La croissance de l ’activité peut-elle être contenue ?

29 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Indicateurs : reflet des lourdeurs de prise en charge ou source d ’une désorganisation  Taux de passages nocturnes  Taux de passages en juillet-août  Nombre de lits médecine/chirurgie + UHCD  Taux d ’hospitalisations  Taux de transferts

30 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les indicateurs reflet des lourdeurs ou désorganisation (suite)  Taux d ’accès régulés  Taux d ’inadéquations à l ’entrée  Part des + de 75 ans  Part des - de 15 ans  Taux de patients lourds  Durée moyenne de passage  Taux d ’inadéquations des patients hospitalisés  Part des pathologies hors traumatologie

31 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les indicateurs reflet des lourdeurs ou désorganisation (suite)

32 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Discussion La croissance de l ’activité peut-elle être contenue ? 4 facteurs socio-démographiques qui expliquent la croissance :  Le vieillissement  La morbidité : interrogation sur le secteur 7  Le comportement des usagers : les jeunes 20-24  L ’évolution de la présence de la médecine de ville curseur actuel 1/3-2/3

33 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 La croissance de l ’activité peut-elle être contenue?  Des facteurs pouvant contenir ou organiser les flux :  Une identification des acteurs / niveau de soins  Une information / éducation du grand public  Une régulation médicalisée  Une fermeture partielle des sites ou  Une spécialisation des sites à envisager  Une filière gériatrique  Un retour à domicile s ’appuyant sur une amélioration de la communication  Le développement des réseaux

34 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Services d ’urgences hospitalières En amont  Clarifier la place des acteurs/niveau de soins  Adapter les autorisations à l ’activité et aux besoins territoriaux identifiés  S ’interroger sur : - les fermetures partielles - la spécialisation de certains sites - les sites sans chirurgie - les financements Étude des Urgences Les préconisations

35 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Services d ’urgences hospitalières Accueil  Un tri précoce  Des filières spécifiques basées sur des protocoles, des consultants spécialisés aux urgences  Une délégation partielle de soins aux IDE (prescription de radio, recherche de lits, premiers soins) Étude des Urgences Les préconisations

36 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Services d ’urgences hospitalières En aval  Définir le taux optimal d ’hospitalisation en urgence  Améliorer les filières d ’hospitalisation dont l ’efficience des UHTCD  Développer des outils logistiques de gestion des lits d ’aval, y compris entre les établissements Développer le système d ’information et de communication Étude des Urgences Les préconisations

37 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Les urgences hospitalières Établissements non autorisés

38 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie Clinique La Sagesse Rennes 12 971 passages L’établissement est représenté par le trait plein, la valeur de référence (la zone pleine) étant rapportée à 100. Pour faciliter la lecture, la valeur maximale est limitée à 200.

39 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie Hôtel Dieu Pont L ’Abbé 15 495 passages L’établissement est représenté par le trait plein, la valeur de référence (la zone pleine) étant rapportée à 100. Pour faciliter la lecture, la valeur maximale est limitée à 200.

40 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie Clinique Kéraudren Brest 20 442 passages L’établissement est représenté par le trait plein, la valeur de référence (la zone pleine) étant rapportée à 100. Pour faciliter la lecture, la valeur maximale est limitée à 200.

41 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie Polyclinique Sévigné Cesson 10 552 passages L’établissement est représenté par le trait plein, la valeur de référence (la zone pleine) étant rapportée à 100. Pour faciliter la lecture, la valeur maximale est limitée à 200.

42 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie Clinique Océane Vannes estimation : 12 000 L’établissement est représenté par le trait plein, la valeur de référence (la zone pleine) étant rapportée à 100. Pour faciliter la lecture, la valeur maximale est limitée à 200.

43 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie Centre Hospitalier Privé Saint Grégoire 13 802 passages L’établissement est représenté par le trait plein, la valeur de référence (la zone pleine) étant rapportée à 100. Pour faciliter la lecture, la valeur maximale est limitée à 200.

44 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie 1. Taux de passage entre 0 H et 8 H 2. Ratio ETP (Médecins + IDE) / 1000 passages 3. Taux de patients adressés par un médecin 4. Taux de patients dont le médecin traitant a été contacté 5. Part des - de 15 ans 6. Part des + de 75 ans 7. Taux de patients lourds 8. Taux d’hospitalisation 9. Part des pathologies différentes de la traumatologie Polyclinique du Littoral Saint Brieuc 6 555 passages L’établissement est représenté par le trait plein, la valeur de référence (la zone pleine) étant rapportée à 100. Pour faciliter la lecture, la valeur maximale est limitée à 200.

45 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Enquête des Urgences Discussion  Le profil d ’activité des établissements privés se différencie de celui des établissements publics par :  des liens plus forts avec la médecine générale  un profil chirurgical de l ’activité  une part des patients âgés de + de 75 ans plus faible  peu de patients à prise en charge lourde  La Clinique de l ’Océane et l ’Hôtel Dieu Pont- l ’abbé se rapprochent le plus d ’un profil d ’un UPATOU public polyvalent

46 Service Médical de l ’Assurance Maladie 02/02/2005 Enquête des Urgences Discussion  Conclusion:  Des établissements autorisés qui n ’ont pas le même profil d ’activité  Des établissements ayant le même profil et le même volume d ’activité qui n ’ont pas le même label


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