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les compétences des élèves dans le domaine du vocabulaire

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Présentation au sujet: "les compétences des élèves dans le domaine du vocabulaire"— Transcription de la présentation:

1 les compétences des élèves dans le domaine du vocabulaire
Accompagnement de la mise en œuvre du projet d’école Améliorer les compétences des élèves dans le domaine du vocabulaire Toutes les équipes invitées à visionner ce diaporama ont choisi de travailler le vocabulaire dans l’axe 1 de leur projet d’école. Ce point particulier du vocabulaire est une préoccupation dans nombre d’écoles, il est ressorti majoritairement dans les objectifs choisi par les équipes. Cela signifie, deux choses : La première est l’identification d’un point déficitaire perçu par les enseignants et énoncé sous le terme hyperonyme de « manque de vocabulaire » touchant curieusement des écoles très différentes quant à la population accueillie. La deuxième, corrélée à la première, est la difficulté rencontrées par les enseignants, et du coup, quelle que soit le type de population scolaire à « faire du vocabulaire », à « enrichir le lexique » à l’école. Or, le vocabulaire est ce qui permet à l’enfant, et ici à l’élève, de comprendre le monde. Bentolila dit : "Lorsque les mots précis manquent aux élèves, c'est le sens qu'ils tentent de donner au monde qui s'obscurcit." Formation en circonscription Pont-de-Chéruy Avec un document de BJ1 – Mmes Rival et Moulin

2 Les enjeux de la formation
Harmoniser sur le département une formation continue efficace : - partagée - adaptée La formation continue change, depuis l’an passé, de forme, elle évolue. Il s’agit d’une commande institutionnelle émanant de la DASEN qui a pour but d’harmoniser sur le département de l’Isère une formation continue efficace. L'objectif de cette formation est de : Renforcer l’efficacité du projet d’école en fixant un cadre didactique et pédagogique commun à tous les membres d’une équipe pédagogique. Personnaliser, adapter la formation : à chaque individu par la partie à distance dans laquelle chacun puisera en fonction de ses besoins À chaque école par la souplesse que nous laissons aux équipes d’orienter leur travail.

3 Le déroulement de la formation
Pour cela : Les modules en lien avec le projet d’école sont construits de la même façon : Un temps en présentiel qui a eu lieu en novembre et décembre (2h) Un temps à distance pour prendre connaissance des outils et des ressources proposées (2h) Un temps de travail en équipe (3h) Un temps au choix : soit du travail en équipe pour poursuivre la réflexion engagée, soit un temps de mutualisation avec plusieurs écoles environnantes pour partager.

4 Les outils : Les formations à distance auxquelles vous allez avoir accès cette année vont se présenter sous deux formes : Sur Magistère Sur les sites de circonscription

5 Les outils : Les formations à distance auxquelles vous allez avoir accès cette année vont se présenter sous deux formes : Sur Magistère Sur les sites de circonscription

6 Les outils : les sites de circonscription
Pour la formation vocabulaire, nous utilisons le module AXE1VOC de Bourgoin-Jallieu 1 :

7 un enseignement efficace et cohérent
Les objectifs Mettre en œuvre un enseignement efficace et cohérent du vocabulaire

8 Le travail en équipe L’élaboration d’actions du projet d’école
L’élaboration commune de séquences La création et la mutualisation d’outils de cycles et d’école Proposer l’élaboration d’actions du projet d’école, La mise en œuvre de séquences construites (la même démarche issue des ressources) pour avoir un temps d’évaluation en cours d’apprentissage et un travail de remédiation en groupes de besoins, en barrette. La création et la mutualisation d’outils de cycles et d’école Elaborer une séquence : pour clarifier les conceptions didactiques pour dépasser les modalités d’organisation pour aborder les stratégies d’enseignement, pour analyser les pratiques pour mesurer les effets sur les acquis des élèves à l’aide d’une évaluation formative et positive. pour installer une temporalité : que fait-on avant, pendant et après la séquence L’élaboration d’une programmation Du lexique Des albums de littérature de jeunesse Des situations langagières

9 L’acquisition du vocabulaire
Des références théoriques Une démarche L’acquisition du vocabulaire Des exemples de séquences Des outils Dans ce diaporama, l’objectif est de se concentrer sur la présentation d’une démarche, de principes incontournables qui concernent tous les cycles. C’est une démarche très simple, avec des étapes clé, qui sera illustrée par de nombreuses situations. Vous aurez certainement envie que l’on détaille davantage certains aspects de l’apprentissage du vocabulaire, certains outils, mais je laisserai cette partie pour le travail en équipe. Vous aurez tout le loisir de vous approprier cette démarche et de mettre en œuvre les outils qui vous sembleront nécessaires. Des activités

10 Le développement du lexique
2 ans 20 mots 6 ans 2500 mots 5000 mots 10 ans Mots du vocabulaire courant " moyennement connus " par les élèves 3000 en CE1 / 6000 en CM2 Au terme du cycle 3, un élève possède un stock de 5000 unités assez consolidé pour être compris à l’écrit et utilisé à l’oral Le nombre de mots susceptible d'être rencontré dans les manuels scolaires est 4 fois plus élevé La liste de fréquences du Trésor de la Langue Française ou TLF est fondée sur un corpus de 90 millions d'occurrences (70 millions provenant de textes littéraires de 1789 à 1965 et 20 millions de textes non littéraires) représentant environ vocables, base incomparablement plus importante qu'aucune des autres. Elle a été étudiée statistiquement par Etienne Brunet qui a calculé que les mots de fréquence supérieure à 7000 qui sont 907, couvrent 90 % du corpus. Ce sont ces mots-là que nous appelons "mots de haute fréquence" ou "hyper fréquents". Une fois éliminés les mots grammaticaux, restent quelque 750 mots lexicaux, dont la plupart, faiblement connotés, sont de ceux dont la phrase française ne peut pas se passer. Suivent environ 5800 mots de fréquence inférieure à 7000 et supérieure à 500 qui représentent à peu près 8 % de l'ensemble. Donc, 6707 mots ont suffi pour dire 98% de tout ce qu'ont voulu signifier les auteurs dont les œuvres ont été dépouillées pour la constitution du TLF. Est-ce à dire que les 2% restants, soit vocables dont sont des "hapax" qui n'apparaissent qu'une fois sont négligeables ? Certes pas ! Ils apportent beaucoup d'information dans des domaines particuliers. Mais enfin, ils ne constituent pas la première urgence dans l'apprentissage de la langue française. Beaucoup d'entre eux s'acquièrent "en situation", quand on en a besoin dans une circonstance particulière. Entre et mots Adulte Le lexique français est estimé à quelques 250 000 mots.

11 Les traits sémantiques
aboie petit poilu CLIC Selon E. Clark, un mot est défini par de petites unités : Les traits sémantiques. Par exemple, pour le chien, l’enfant va attribuer les traits CLIC de vivant, poilu, 4 pattes, animé, aboie... Ce sont des ATOMES DE SENS. Les 3 premières caractéristiques (les classificateurs primaires des formes : rond, long, plat. La surextension sera par exemple d’utiliser bâton pour tous les objets longs, minces et non flexibles (canne, parapluie, morceau de bois...) il est ce que les autres ne sont pas (habitation, immeuble, residence, villa, chateau, cabane, cahute, case, masure, baraque, bicoque, cabanon, cabane…) Ainsi, une maison peut être définie par les traits "abri", "protection", "murs", etc... Ces traits peuvent être classés par niveau de généralité et sont perçus en partant d'un niveau général, pour descendre vers un niveau plus spécifique lorsqu'il y a approfondissement ("découpage étroit" ou "chunk down" en PNL). Il y a sur-extension lorsqu'un sujet, en particulier un enfant effectuant une tâche d'ordre métalexicale, utilise le nom d'un objet pour désigner des référents faisant partie d'une autre catégorie telle que conçue par les adultes. Par exemple, l'enfant utilisera le mot "maison" pour désigner tout ce qui peut servir d'abri, comme un trou dans le sol. Selon Cordier (1994) les déterminants du phénomène de sur-extension sont les ressemblances perceptives et fonctionnelles, ainsi que les associations de contiguïté spatiale entre les objets Origine des traits sémantiques : Hypothèse des traits sémantiques fondée sur le rôle premier de la perception : caractéristiques de taille ou de forme d’un objet Vs. • A quoi ça sert : définition d’un objet non pas fonction de ses caractéristiques formelles mais de ce qu’on peut en faire (ex. marteau : taper sur un clou > manche+tête) 4 pattes Apprendre des mots suppose de traiter un nombre considérable d’informations

12 La mémoire sémantique Concept Concept oiseau canari ailes Jaune plumes
2. « l’économie cognitive » est le second principe : notre mémoire va classer les propriétés spécifiques avec les concepts. Pour mieux comprendre les deux chercheurs retiennent l’exemple suivant : de quelle couleur est un canari ? Un canari est jaune. Que fait la mémoire sémantique ? Elle classe, elle classe la propriété « jaune » dans le concept Canari, les propriétés plus générales « ailes » « bec » sont classées dans le concept Oiseau. C’est ainsi que nous allons nous retrouver avec une représentation prototypique. Selon la théorie de Rosch en 1978, les membres d’une catégorie sont définis par rapport à un prototype qui représente le mieux la catégorie. Ainsi il est fort à parier que si l’on prononce le mot « oiseau », on imaginera plus facilement un canari, un pigeon qu’une autruche ou qu’une poule. Il faut imaginer que la mémoire sémantique est un réseau organisé de concepts. ailes Jaune plumes Concept oiseau Concept canari

13 Le lexique est organisé
Niveau sur-ordonné Niveau de base sous-ordonné Souvent le niveau de base est le seul objet d’apprentissage de l’enseignant. Mais l’important est de permettre aux eleves de prendre conscience que les mots ont des relations de sens, qu’ils sont relies entre eux qu’il y a dans la langue des emboitements et des sous-emboitements et qu’on peut souscategoriser. Travailler la categorisation est essentiel pour comprendre la hierarchisation entre les categories et leur emboitement les unes par rapport aux autres. Le travail sur les termes generiques (utilises pour les definitions du dictionnaire) va permettre la comprehension du dictionnaire. Essentiel pour les eleves. Il permet aux élèves d’attribuer les traits sémantiques aux éléments.

14 Cette organisation va nous permettre d’accéder à la compréhension :
Soit directe : L’éléphant a-t-il une trompe ? : On fait appel à des connaissances stockées directement (les traits sémantiques) Soit en faisant des inférences : L’éléphant a-t-il un cerveau ? Il appartient à la catégorie des animaux, donc...

15 Le lexique La phonologie La morphologie La syntaxe La sémantique
Le lexique n’est pas isolé, mais défini au carrefour de : La phonologie pour la prononciation ; la morphologie pour la formation des mots ; la sémantique pour le sens de mots ; la syntaxe pour les catégories syntaxiques et fonctionnelles Concrètement, cela renvoie à un principe pédagogique : « enseigner le lexique ne se limite à l’extension d’un capital de mots» est fondé sur les trois types de rapports qu’entretiennent les mots (qui prennent sens par rapport à d’autres mots) – rapports que découvrent les enfants : - des relations de sens : champ thématique, synonymes, premières découvertes des registres de langues, homonymes, polysémie, antonymes (verbes et adjectifs) ; observations sur la construction des mots, le rôle des préfixes et des suffixes, les limites de leur généralisation ; la notion de « conscience lexicale » est mentionnée , développée dans la constitution de familles de mots et du lexique lié à un thème ; des relations hiérarchiques: classes, sous-classes, termes génériques, enchâssements ; des relations morphologiques : mots de la même famille. - des regles de derivation : prefixe / suffixe (80% des mots sont des mots derives) - des familles de mots : une meme base + le sens : terre, territoire… Le lexique contient des sous-ensembles : lexique general et lexique de specialite (on parle de vocabulaire specifique lie a des domaines particuliers) Le lexique est organisé, un mot a un sens par rapport à d’autres mots : il est ce que les autres ne sont pas (habitation, immeuble, residence, villa, chateau, cabane, cahute, case, masure, baraque, bicoque, cabanon, cabane…) Le lexique est une structure, un ensemble de structures. Les mots ont des relations de sens entre eux ® synonymes, antonymes, homonymes et des relations hierarchiques (emboitement) ® termes generiques (hyperonymes). La syntaxe La sémantique Doc M. Cellier 15

16 Une injonction pédagogique
« Enrichir quotidiennement le vocabulaire est un objectif primordial, dès l’école maternelle et tout au long de la scolarité obligatoire. » Programmes 2008

17 Le constat des pratiques
En maternelle Persistance du « bain de langage », Peu de séances spécifiques de langage En élémentaire La prééminence de la sémantique au détriment de la syntaxe et de l’étude de la langue La morphologie est décontextualisée. Documents issus d’un rapport de l’IGEN Viviane BOUYSSE et d’une étude d’Amiens : Le déchiffrage ne donne pas le sens. Sur les 15% d'élèves qui ne "savent pas lire à l'entrée en 6ème", 4% ne savent pas déchiffrer et 11% ne comprennent pas ce qu'ils déchiffrent. Si on leur lit le même texte, ils ne savent pas mieux répondre aux questions : c'est un problème de lexique. Il s’agit pour les enseignants de crééer des listes de mots, peu organisées. Des séances de morphologie portent sur les préfixes en général, la synonymie en général, mais sans gradation.

18 Vers un apprentissage explicite
Langage de connivence Langage explicite L’entrée à l’école implique un changement important dans le système de communication :; passage du langage de connivence dans le cercle familial au langage explicite. Il ne s’agit plus de participer à des dialogues spontanés, d’échanger au cours d’expériences partagées, mais d’apprentdre à verbaliser sous une forme acceptable (schéma du récit, lexique et syntaxe) et avec une mise à distance de l’action. L’enseignant met en œuvre un « parler professionnel » modélisant

19 Le langage au cœur des apprentissages
« Toute séance, quel que soit le domaine, devrait avoir 2 objectifs langagiers. » DGESCO sept 2010 Programmes 2008 : L’emploi du vocabulaire fait l’objet de l’attention du maître dans toutes les activités scolaires. Compétence CE2 : Utiliser les termes exacts qui correspondent aux notions étudiées dans les divers domaines scolaires. lexical syntaxique Lexique des activités Maternelle C2 C3

20 Les contenus d’enseignement
Des mots à acquérir Des classes grammaticales variées Des mots de niveau 2 (selon Beck) Des disciplines scolaires Des connaissances sur la langue Des relations de sens entre les mots Des relations de forme La maîtrise du dictionnaire Il distingue quatre catégories à portée de mots du jeune enfant : - Des objets ou des personnes : désignées par des noms ; - des actions : désignées par des verbes et précisées par des adverbes ; - des propriétés ou des qualités des objets et des personnes désignées : précisées en particulier par les adjectifs qualificatifs ; - l’expression des relations spatiales, temporelles ou logiques il est plus intéressant de jouer avec «bouillir» (l'eau bout dans une bouilloire, ou dans une casserole, c'est vrai mais on bout également quand on est en colère) que de lister les récipients de la cuisine (même si l'acquisition de ces mots n'est pas inutile non plus dans les circonstances de la vie courante). Des mots à acquérir Des classes grammaticales variées : noms, verbes, adjectifs, adverbes, prépositions - Des domaines précisés : Le monde concret, Les actes de la vie quotidienne, Les catégories sémantiques larges, Les notions étudiées dans divers domaines scolaires (le vocabulaire des disciplines)Les termes afférents aux actions expériences, perceptions, sensations, émotions, sentiments, préférences, goûts, jugements, opinions, devoirs, droits. Evitons donc, lors d'une leçon, la facilité qui consiste à partir d'un objet, d'un concept, ou d'un ensemble de choses, généralement concrètes, appartenant au monde extra-linguistique, pour coller dessus des noms, comme des étiquettes. Par exemple, si je prenais pour point de départ le thème de la “promenade’, je serais amené à parler de l'itinéraire, de sa longueur, du paysage, du temps qu'il fait, des chaussures de marche, etc. Ce serait un travail “culturel” non linguistique. Tandis que si je pars du verbe « marcher” employé dans une phrase simple, je ferai l’inventaire de ses dérivés, je les utiliserai dans de nouveaux contextes,

21 Quel lexique enseigner ?
Lien pour « les 1750 mots P.Boisseau » : puis Programmes - Progressions – Programmations puis Des outils pour construire des progressions Les 1750 mots P. Boisseau La liste de fréquence des mots

22 Quel lexique enseigner ?
C3 / CE2 : Utiliser à bon escient des termes appartenant aux lexiques des repères temporels, de la vie quotidienne et du travail scolaire. Les programmes 2008 Les grilles de référence

23 Bentolila : Enrichir le vocabulaire

24 Une démarche Des séances intégrées Des séances spécifiques
Expliquer le mot en contexte Créer un corpus littérature, le vocabulaire des disciplines Travailler dans l’interdisciplinarité Des séances spécifiques Des séances de structuration Des situations d’entraînement Expliquer le mot en contexte : référence aux présuppositions, aux traits sémantiques, Un enseignement en continu avec un ancrage dans les situations globales liées à la vie de la classe. Des séances spécifiques de travail systématique de la langue : Catégorisation (attributs, traits sémantiques, fonctionnement?..) Acquisition d’outils et de méthodes pour étudier des caractéristiques sémantiques et formelles des mots (contraires/ synonymes, dérivations, familles morphologiques, définitions, polysémie. Le travail de structuration est aussi un travail sur la langue : la synonymie sera souvent associée à l’idée de gradation. La dérivation sera travaillée pour former des familles de mots. 80% des mots que l’on emploie sont des mots dérivés. Les séances d’entrainement seront des activités courtes, mais aussi des activités dans le domaine du Dire Lire écrire Apprendre un mot nouveau suppose de réorganiser les savoirs précédents. Des séances de 20 à 30 minutes

25 Une démarche 1- Définir le corpus 2- Contextualisation
A partir des listes de fréquence des mots (cf, diapo 21) A partir des outils de P. Boisseau (cf. diapo 21) 2- Contextualisation Compréhension en situation (vocabulaire passif) Appropriation du lexique (vocabulaire actif) 3- Décontextualisation Structuration (activités de catégorisation) Mémorisation (activités ritualisées) Elaboration de traces 4- Evaluation Construire une séquence d’apprentissage à partir d’un corpus de mots donné 1) Choix d’un corpus de mots à travailler Comment élaborer une liste de mots selon les niveaux ? 2) Situation d’observation, découverte et prise de conscience Compréhension en réception Entrées par : 􀂃 l’album 􀂃 l’image 􀂃 les TICE 􀂃 l’action et/ou le jeu Modalités et stratégies de mise en oeuvre 􀂃 en grand groupe 􀂃 en petit groupe de langage 3) mobilisation en contexte Compréhension en production Vocabulaire actif (au C3, de 5 à 10 rencontres avec les mots, en contexte, pour passer du savoir passif au savoir actif) Réutilisation et remise en jeu du vocabulaire dans des contextes et des situations de productions langagières diversifiés : 􀂃 les coins jeux : le langage d’accompagnement de l’action 􀂃 les jeux de société, les jeux à fabriquer 􀂃 les consignes pour faire agir l’autre 􀂃 jeux de portraits, devinettes, intrus, « Qui est-ce ? »… 􀂃 rappel d’activités avec/sans support d’images 􀂃 création d’histoires et jeux poétiques 􀂃 productions d’écrits en dictée à l’adulte 􀂃 le langage pour expliquer et décrire « le monde » 􀂃 représenter et dessiner, expliquer et raconter son dessin. 􀂃 jeux de mime et mise en scène 􀂃 groupe restreint de langage Decontextualisation et catégorisation : voir fiche organisation et mémorisation du lexique (ressource formateur) 4) Évaluation des acquis et mémorisation 􀂃 situations d’évaluation 􀂃 archivage des mots appris 􀂃 mémorisation et situations de réemploi. Lien pour « Exemples d’activités » : puis Des activités – des outils Exemples d’activités La catégorisation

26 Des dispositifs pédagogiques
La réception précède la production Du vocabulaire passif au vocabulaire actif En grand groupe L’écoute, la compréhension en réception En petits groupes (5-6 élèves) La production langagière, les activités de structuration et d’analyse de la langue La compréhension se fait en grand groupe, La production en petit groupe. On travaillera donc sous forme d’ateliers, en maternelle, mais aussi en élémentaire. Cela pourra faire l’objet d’un atelier de manipulation avec les ateliers de lecture.

27 Organiser le temps

28 Organiser le temps

29 Chaque semaine 3 axes : L’acquisition de vocabulaire La morphologie
Le vocabulaire des disciplines 3 modalités : Dans chaque séquence disciplinaire Des activités de structuration Catégorisation / Morphologie Des activités ritualisées

30 Fixer La fleur,

31 Fixer Le répertoire alphabétique : il n’est pas souhaitable, car, le mot est totalement coupe de son champ lexical. Ne rassemble pas les mots. Pas de logique de sens ni de dérivation. De plus trop petit. Des outils récapitulatifs : pour réunir en un seul lieu, les éléments lexicaux travailles mais aussi les listes créées, organisées selon des principes clairs et faisant sens (listes thématiques reprenant un champ lexical, listes familles de mots, listes affixales → autour d’un préfixe ou d’un suffixe) Les carnets ou classeurs : ils doivent êtres organises en plusieurs parties pour conserver de la souplesse et répondre aux divers besoins. Doit être facile a manipuler, récapitulatif, structurant et évolutif. Plus facile avec un grand cahier, un porte-vue ou même un grand classeur.

32

33

34 Evaluer La connaissance des mots

35 Evaluer Les compétences

36 Evaluer cycles 2 et 3 Les grilles de référence
Le degré de maîtrise d’un mot

37 Des exemples de séquences
Autour d’un thème Autour d’un texte Autour d’un champ disciplinaire

38 Les séquences « Eduscol »

39 Le travail en équipe L’élaboration d’actions du projet d’école
L’élaboration commune de séquences La création et la mutualisation d’outils de cycles et d’école Proposer l’élaboration d’actions du projet d’école, La mise en œuvre de séquences construites (la même démarche issue des ressources) pour avoir un temps d’évaluation en cours d’apprentissage et un travail de remédiation en groupes de besoins, en barrette. La création et la mutualisation d’outils de cycles et d’école Elaborer une séquence : pour clarifier les conceptions didactiques pour dépasser les modalités d’organisation pour aborder les stratégies d’enseignement, pour analyser les pratiques pour mesurer les effets sur les acquis des élèves à l’aide d’une évaluation formative et positive. pour installer une temporalité : que fait-on avant, pendant et après la séquence L’élaboration d’une programmation Du lexique Des albums de littérature de jeunesse Des situations langagières

40 Une proposition d’outil
Un exemple

41 Des ressources en FOAD Pour se connecter, entrer les codes qui ont été envoyés dans les écoles.

42 Pour aller plus loin Le DVD Apprendre à parler, diffusé en 2010, présente, pour l’école maternelle : - des points de vue de chercheurs sur le vocabulaire : Agnès Florin (« Accompagner l’apprentissage du vocabulaire »), Michel Fayol (« Apprendre du vocabulaire pour réduire les inégalités ») ; - des séances en classe : activités destinées à enrichir, développer le lexique, maîtriser le champ lexical, catégoriser.  Le document Le langage à l’école maternelle, publié en 2011, publié en 2006 Il définit des distinctions : - différence entre lexique et vocabulaire : « Le lexique est une notion théorique : il désigne l’ensemble complet des mots d’une langue. Il est à distinguer du vocabulaire qui correspond à l’ensemble des mots effectivement employés par un e personne dans un énoncé écrit ou oral. Cependant, dans le langage courant on emploie indifféremment les termes vocabulaire et lexique, ceux-ci étant considérés comme synonyme » ;

43 Bonne formation ! N’hésitez pas à nous contacter pour toute question :
Tél. : Le DVD Apprendre à parler, diffusé en 2010, présente, pour l’école maternelle : - des points de vue de chercheurs sur le vocabulaire : Agnès Florin (« Accompagner l’apprentissage du vocabulaire »), Michel Fayol (« Apprendre du vocabulaire pour réduire les inégalités ») ; - des séances en classe : activités destinées à enrichir, développer le lexique, maîtriser le champ lexical, catégoriser.  Le document Le langage à l’école maternelle, publié en 2011, publié en 2006 Il définit des distinctions : différence entre lexique et vocabulaire : « Le lexique est une notion théorique : il désigne l’ensemble complet des mots d’une langue. Il est à distinguer du vocabulaire qui correspond à l’ensemble des mots effectivement employés par un e personne dans un énoncé écrit ou oral. Cependant, dans le langage courant on emploie indifféremment les termes vocabulaire et lexique, ceux-ci étant considérés comme synonyme » ;


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