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Recherche sur l’opinion publique de 2012 : opinions des Canadiens sur les dossiers de santé électroniques (DSE) Cette étude a été commandée par l’Institut.

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1 Recherche sur l’opinion publique de 2012 : opinions des Canadiens sur les dossiers de santé électroniques (DSE) Cette étude a été commandée par l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) et Inforoute Santé du Canada. Mars 2012 © Harris/Decima

2 Sommaire des objectifs Un sondage initial a été réalisé en 2010 pour comprendre les opinions des Canadiens sur un certain nombre de questions : –Situer la position des DSE dans le système de santé –Comprendre l’état actuel des dossiers de santé des Canadiens –Évaluer la sensibilisation et les impressions relatives à la transition vers les DSE –Déterminer l’état de la sensibilisation et les impressions par rapport à l’utilisation des dossiers pour les besoins du système de santé Le sondage de 2012 a exploré les mêmes questions afin de déceler les éventuels changements qui auraient pu se produire dans les opinions depuis 2010. © Harris/Decima

3 Sommaire de la méthodologie Un total de 1 010 Canadiens de 18 ans ou plus de partout au Canada, sauf des territoires, ont été interrogés au téléphone. –Un échantillon de Canadiens a été sélectionné aléatoirement. Tous les ménages dotés d’une ligne téléphonique résidentielle avaient une chance égale de participer à l’étude. L’étude n’a pas été conçue pour recommuniquer avec les participants au dernier sondage. Un nouvel échantillon a plutôt été formé. Les entrevues ont été réalisées entre le 31 janvier et le 10 février 2012 et ont duré 13 minutes en moyenne. Les résultats de cette étude peuvent être considérés comme fiables à plus ou moins 3,1 %, 19 fois sur 20. –Cette marge d’erreur est supérieure dans les sous-groupes de répondants. Les résultats ont été pondérés de façon à refléter la population. –La base (n) présentée sous les données n’est pas pondérée. La proportion de réponses « ne sait pas » a été déclarée si elle atteignait au moins 5 %. © Harris/Decima

4 Sommaire de la méthodologie (2) Le tableau ci-dessous indique la taille de l’échantillon par région. © Harris/Decima RégionTaille de l’échantillon (non pondérée) Canada atlantique101 Québec251 Ontario329 Manitoba/Saskatchewan103 Alberta100 Colombie-Britannique126 Total1 010

5 Principales conclusions © Harris/Decima

6 Principales conclusions issues de l’étude Dans l’ensemble, les données montrent une tendance positive par rapport à un certain nombre de points importants : On remarque une augmentation de la réceptivité à l’idée de convertir les dossiers papier en format électronique (une hausse de 11 % pour atteindre 85 % des répondants qui jugent cette idée très bonne ou bonne). De plus, la proportion de Canadiens préoccupés par l’idée des dossiers électroniques a diminué. Le nombre de Canadiens qui croient que leur médecin utilise les dossiers électroniques a augmenté (50 % en 2012 comparativement à 38 % en 2010). Les données suggèrent une hausse du nombre de Canadiens comprenant que l’utilisation du DSE va au-delà de la simple tenue de dossiers. De plus, les répondants ont montré qu’ils comprenaient que les dossiers électroniques auraient des répercussions sur les soins aux patients et sur le système de santé. Bien que les répondants soient à l’aise à l’idée que les renseignements soient utilisés pour les besoins du système de santé, on constate deux choses : –Les données indiquent qu’en majorité, les Canadiens insisteraient pour être informés et pour que leur consentement leur soit demandé si leurs renseignements devaient être utilisés à ces fins. –L’information NE devrait PAS être transmise à des organisations privées, comme des compagnies d’assurances et des sociétés pharmaceutiques. © Harris/Decima

7 Situer la position des DSE dans le système de santé © Harris/Decima

8 Principales conclusions : situer la position des DSE De prime abord, le sondage indique que les Canadiens ne citent pas spontanément les DSE comme un enjeu important pour le système de santé. –Parmi tous les répondants, une seule personne a nommé les DSE comme principal enjeu. La plupart des Canadiens citent plutôt d’autres enjeux en ce qui a trait au système de santé, principalement les questions de la disponibilité des ressources ou de l’accès à celles-ci (25 %) et de la rapidité des soins (22 %). © Harris/Decima

9 Parmi les enjeux liés aux soins de santé cités, les ressources et l’accès demeurent prédominants Base : tous les répondants (n = 1 010) Q1. Dans l'ensemble, quel est, selon vous, l'enjeu le plus important auquel le système de santé canadien doit faire face aujourd'hui, c'est-à-dire l'enjeu qui vous préoccupe le plus? © Harris/Decima

10 État actuel des dossiers médicaux © Harris/Decima

11 Principales conclusions : état actuel des dossiers médicaux Comme en 2010, la majorité des répondants ont indiqué que l’ensemble ou la plupart de leurs dossiers médicaux se trouvent au même endroit et qu’ils sont plutôt ou très faciles d’accès. –Trente-six pour cent indiquent que leurs dossiers se trouvent tous au même endroit. –Trente-deux pour cent croient qu’ils se trouvent en grande partie au même endroit et qu’ils sont plutôt faciles d’accès. –Près d’un répondant sur quatre indique que ses dossiers se trouvent à différents endroits ou qu’ils sont dispersés un peu partout. Néanmoins, une majorité de Canadiens constate un lien entre l’endroit où ses dossiers sont conservés et le type de soins qu’elle reçoit. –La perception d’un impact positif (59 %) devance la perception d’un impact négatif (14 %). Les répondants dont les dossiers sont dispersés un peu partout jugent que cette situation a un impact négatif sur les soins qu’ils reçoivent, ce qui n’est peut-être pas surprenant. Les Canadiens ne sont pas tout à fait convaincus que la façon dont leurs dossiers sont gérés constitue un gros problème pour le système de santé en général. –Pour 7 % d’entre eux, il s’agit d’un très gros problème, et pour 28 %, d’un gros problème. © Harris/Decima

12 Deux personnes sur trois croient que leurs dossiers sont plutôt faciles d’accès et qu’ils se trouvent en grande partie au même endroit Q2. Qu’en est-il de l’état, de la condition et de l’emplacement de vos dossiers de santé personnels? À votre connaissance, ils sont : Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

13 Une faible majorité croit que la façon dont ses dossiers sont gérés a un impact positif sur les soins qu’elle reçoit Q3. Selon vous, la façon dont vos dossiers de santé personnels sont gérés a-t-elle un impact très positif, un impact positif, aucun impact, un impact négatif ou un impact très négatif sur la qualité des soins que vous recevez? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

14 La perception de l’impact de la gestion des dossiers sur la qualité des soins reçus s’améliore avec l’âge; les opinions varient selon l’endroit où les dossiers médicaux sont conservés Q3. Selon vous, la façon dont vos dossiers de santé personnels sont gérés a-t-elle un impact très positif, un impact positif, aucun impact, un impact négatif ou un impact très négatif sur la qualité des soins que vous recevez? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

15 Les Canadiens ne sont pas convaincus que la gestion des dossiers constitue un gros problème pour le système de santé Q4. Et selon vous, la façon dont les dossiers de santé personnels sont gérés constitue-t-elle un très gros problème, un gros problème, un problème mineur ou n'est-ce aucunement un problème pour le système de santé canadien? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

16 Probabilité de reconnaître que la gestion des dossiers est problématique Q4. Et selon vous, la façon dont les dossiers de santé personnels sont gérés constitue-t-elle un très gros problème, un gros problème, un problème mineur ou si n'est-ce aucunement un problème pour le système de santé canadien? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

17 Les personnes dont les dossiers sont faciles d’accès sont plus convaincues des avantages liés à une bonne gestion des dossiers que les autres Base : tous les répondants (n = 1 010) Tous au même endroit et très faciles d’accès En grande partie au même endroit et plutôt faciles d’accès À différents endroits et plutôt difficiles d'accès Un peu partout et très difficiles d’accès Impact sur les soins personnels 20122010201220102012201020122010 Positif 76 %72 %70 %62 %29 %17 %20 % 18 % Aucun 16 %23 %20 %27 %34 %36 %21 % 26 % Négatif 3 %1 %6 %7 %34 %40 %54 % 52 % Impact sur le système20122010201220102012201020122010 Très gros problème ou gros problème 24 %20 %28 %26 %59 %51 %69 %62 % Problème mineur ou aucun problème 64 %71 %62 %65 %38 %44 %28 %35 % © Harris/Decima

18 Sensibilisation et impressions par rapport à la transition vers les DSE © Harris/Decima

19 Principales conclusions : sensibilisation et impressions par rapport à la transition Un peu plus de la moitié des Canadiens croit qu’il y a un objectif de convertir en format électronique tous les dossiers de santé actuellement en format papier. Bien que le degré global de sensibilisation n’ait pas changé, on remarque une nette augmentation de la réceptivité à la conversion des dossiers de santé personnels au format électronique. –Quarante-six pour cent des répondants ont déclaré que c’est une bonne idée en 2012, comparativement à 29 % en 2010. Généralement, les personnes dont les dossiers se trouvent à plusieurs endroits sont plus favorables que les autres à cette idée. La principale préoccupation touche toujours la confidentialité et le vol d’identité. Cela dit, moins de répondants se sont dits préoccupés en 2012 qu’en 2010. Un nombre accru de répondants indique que leur médecin utilise un système de dossiers électroniques dans son cabinet. –Cinquante pour cent des répondants ont signalé que c’est le cas en 2012, contre 38 % en 2010. –Les données indiquent que la perception des répondants quant à l’utilité du dossier électronique n’est pas influencée par le fait que leur médecin utilise actuellement cette technologie. Quatre-vingt-six pour cent des personnes possédant un DSE ont indiqué que c’est une bonne idée, comparativement à 84 % des personnes qui n’en possèdent pas. © Harris/Decima

20 La moitié des répondants croit que le Canada s’est fixé pour objectif de convertir les dossiers papier en format électronique Q5. À votre connaissance, possédons-nous un objectif et un plan pour convertir en format électronique tous les dossiers de santé personnels du Canada qui sont actuellement en format papier? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

21 Les jeunes Canadiens sont moins au courant que les autres de l’objectif national de convertir les dossiers Q5. À votre connaissance, possédons-nous un objectif et un plan pour convertir en format électronique tous les dossiers de santé personnels du Canada qui sont actuellement en format papier? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

22 Hausse de la réceptivité à l’idée de convertir les dossiers papier en format électronique Q6. Tout bien considéré, croyez-vous que ce serait une très bonne idée, une bonne idée, une mauvaise idée ou une très mauvaise idée de convertir en format électronique tous les dossiers de santé personnels qui sont actuellement en format papier? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

23 Les jeunes Canadiens sont les plus réceptifs à l’idée de convertir les dossiers de santé en format électronique Q6. Tout bien considéré, croyez-vous que ce serait une très bonne idée, une bonne idée, une mauvaise idée ou une très mauvaise idée de convertir en format électronique tous les dossiers de santé personnels qui sont actuellement en format papier? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

24 La confidentialité reste le principal sujet de préoccupation par rapport aux dossiers électroniques Q7. Y a-t-il quoi que ce soit qui vous préoccupe à l'idée que vos dossiers de santé soient en format électronique? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

25 Hausse de l’utilisation déclarée des dossiers électroniques dans les cabinets de médecin Q8. Votre principal médecin ou dispensateur de soins de santé utilise-t-il un dossier électronique dans son cabinet? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

26 L’utilisation déclarée des dossiers électroniques varie beaucoup selon la région Q8. Votre principal médecin ou dispensateur de soins de santé utilise-t-il un dossier électronique dans son cabinet? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

27 Les répondants croient que les DSE sont une bonne idée, peu importe que leur médecin utilise ou non des dossiers électroniques Base : tous les répondants (n = 1 010) Utilise le DSEN’utilise pas le DSE Les DSE sont…2012201020122010 une bonne idée86 %78 %84 %73 % une mauvaise idée12 %17 %13 %22 % © Harris/Decima

28 Sensibilisation à l’utilisation pour les besoins du système de santé © Harris/Decima

29 Principales conclusions : sensibilisation à l’utilisation pour les besoins du système de santé La plupart des Canadiens croient que les renseignements personnels sur la santé ne sont utilisés que par les dispensateurs de soins de santé. Cependant, trois Canadiens sur quatre pensent que les dossiers de santé personnels en format électronique pourraient être utilisés de façons plus nombreuses que les dossiers papier. La sensibilisation des Canadiens par rapport aux termes « utilisation des renseignements sur la santé des patients par le système de santé » et « utilisation secondaire des renseignements » a baissé considérablement, passant de 34 % en 2010 à 18 % en 2012. Les répondants ont été interrogés sur quatre utilisations pour les besoins du système de santé : Améliorer les soins de santé de première ligne Mieux faire le suivi de la santé de la population en général Améliorer l'efficience et l'efficacité de la prestation des soins de santé à la population Renforcer la recherche médicale et la recherche sur la santé Les données indiquent une augmentation de la perception positive de l’utilisation des données pour les besoins du système de santé en général. –L’augmentation est plus marquée dans la catégorie des impressions très positives, ainsi que dans la catégorie des impressions positives en général (deux catégories les plus populaires). © Harris/Decima

30 Principales conclusions : sensibilisation à l’utilisation pour les besoins du système de santé (2) Une forte majorité de répondants croit que l’utilisation des données pour les besoins du système de santé aura un impact majeur ou mineur sur le système de santé et sur les soins aux patients. On a constaté une diminution de la proportion de Canadiens se disant préoccupés par l’utilisation de leurs renseignements personnels pour les besoins du système de santé. –Quatorze pour cent d’entre eux se sont dits très préoccupés (contre 20 % en 2010, une baisse de 6 %) et 22 %, plutôt préoccupés (contre 29 % en 2010, une baisse de 7 %). Les données indiquent que la dépersonnalisation des renseignements atténue quelque peu l’inquiétude par rapport à l’utilisation des données personnelles pour les besoins du système de santé. Les Canadiens sont de plus en plus à l’aise à l’idée de transmettre des données dépersonnalisées à des organismes lorsqu’ils en voient l’utilité, comme dans le cas des établissements de soins de santé, des établissements de recherche et des organismes de statistiques. Les Canadiens sont très peu à l’aise à l’idée de transmettre ce type de données à des organisations privées, comme à des assureurs et à des sociétés pharmaceutiques. © Harris/Decima

31 La sensibilisation à l’utilisation de l’information sur la santé à d’autres fins que la prestation des soins continue d’être limitée Q9. À votre connaissance, les renseignements personnels sur la santé sont-ils utilisés à d'autres fins que celle de permettre aux dispensateurs de soins de santé de prodiguer des soins à leurs patients? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

32 Une majorité de Canadiens croit que les DSE peuvent être utilisés de plus de façons que les dossiers papier Q10. Selon vous, les renseignements personnels sur la santé pourraient-ils être utilisés autrement ou de plusieurs autres façons s'ils étaient classés dans un dossier électronique, et non dans un dossier papier? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

33 Les Québécois sont moins au courant que les autres Canadiens des usages multiples des dossiers électroniques Q10. Selon vous, les renseignements personnels sur la santé pourraient-ils être utilisés autrement ou de plusieurs autres façons s'ils étaient classés dans un dossier électronique, et non dans un dossier papier? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

34 Baisse de la sensibilisation des Canadiens aux expressions « utilisation des renseignements sur la santé des patients par le système de santé » et « utilisation secondaire des renseignements » Q11. Avez-vous déjà entendu parler de l'utilisation des renseignements sur la santé des patients par le système de santé ou de l'utilisation secondaire de ces renseignements? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

35 Les jeunes Canadiens sont moins au courant que les autres de l’utilisation de l’information pour les besoins du système de santé Q11. Avez-vous déjà entendu parler de l'utilisation des renseignements sur la santé des patients par le système de santé ou de l'utilisation secondaire de ces renseignements? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

36 Selon les répondants, l’utilisation de l’information pour les besoins du système de santé aurait un impact sur les soins de santé et sur les soins aux patients Q12-13. Maintenant que vous en savez un peu plus sur l'utilisation de ces renseignements par le système de santé ou sur l'utilisation secondaire de ces renseignements, diriez-vous qu'il s'agit de quelque chose qui peut avoir un impact majeur, un impact mineur ou aucun impact réel sur le fonctionnement et la qualité des soins de santé au Canada, ou encore sur le type de soins que vous pourriez recevoir en tant que patient? Base : tous les répondants (n = 1 010) Système de santé Soins aux patients © Harris/Decima

37 Amélioration générale de la perception de l’utilisation de l’information à diverses fins pour les besoins du système de santé Q14-17. Je vais vous lire quelques autres exemples de façons dont les renseignements sur la santé contenus dans les dossiers électroniques pourraient être utilisés par le système de santé ou à des fins secondaires. Je vous demanderais de me dire si vous pensez que chaque utilisation aurait un impact très positif, positif, neutre, négatif ou très négatif sur le fonctionnement et la qualité des soins de santé au Canada. Base : tous les répondants (n = 1 010) 2012 2010 © Harris/Decima

38 Variation de l’impact perçu sur les soins de santé de première ligne Q14. Je vais vous lire quelques autres exemples de façons dont les renseignements sur la santé contenus dans les dossiers électroniques pourraient être utilisés par le système de santé ou à des fins secondaires. Je vous demanderais de me dire si vous pensez que chaque utilisation aurait un impact très positif, positif, neutre, négatif ou très négatif sur le fonctionnement et la qualité des soins de santé au Canada. Utiliser ces renseignements pour améliorer les soins de santé de première ligne. Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

39 Les jeunes Canadiens ont moins tendance à voir des impacts très positifs sur la prestation des soins à la population Q15. Je vais vous lire quelques autres exemples de façons dont les renseignements sur la santé contenus dans les dossiers électroniques pourraient être utilisés par le système de santé ou à des fins secondaires. Je vous demanderais de me dire si vous pensez que chaque utilisation aurait un impact très positif, positif, neutre, négatif ou très négatif sur le fonctionnement et la qualité des soins de santé au Canada. Utiliser ces renseignements pour améliorer l'efficience et l'efficacité de la prestation des soins de santé à la population Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

40 Les jeunes Canadiens ont moins tendance à croire que l’utilisation de l’information pour les besoins du système de santé permettra de mieux faire le suivi de la santé de la population Q16. Je vais vous lire quelques autres exemples de façons dont les renseignements sur la santé contenus dans les dossiers électroniques pourraient être utilisés par le système de santé ou à des fins secondaires. Je vous demanderais de me dire si vous pensez que chaque utilisation aurait un impact très positif, positif, neutre, négatif ou très négatif sur le fonctionnement et la qualité des soins de santé au Canada. Utiliser ces renseignements pour mieux faire le suivi de la santé de la population générale. Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

41 Les jeunes Canadiens sont plus nombreux que les autres à voir un impact très positif de l’utilisation de l’information pour les besoins du système de santé sur le renforcement de la recherche médicale et de la recherche sur la santé Q17. Je vais vous lire quelques autres exemples de façons dont les renseignements sur la santé contenus dans les dossiers électroniques pourraient être utilisés par le système de santé ou à des fins secondaires. Je vous demanderais de me dire si vous pensez que chaque utilisation aurait un impact très positif, positif, neutre, négatif ou très négatif sur le fonctionnement et la qualité des soins de santé au Canada. Utiliser ces renseignements pour renforcer la recherche médicale et la recherche sur la santé. Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

42 Baisse de la préoccupation personnelle par rapport à l’utilisation de l’information sur la santé pour les besoins du système de santé Q18. Seriez-vous personnellement très préoccupé(e), plutôt préoccupé(e), pas très préoccupé(e) ou pas du tout préoccupé(e) si les renseignements sur votre santé étaient utilisés de ces façons pour les besoins du système de santé? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

43 Les Québécois moins préoccupés que les autres par l’utilisation secondaire des renseignements sur leur santé Q18. Seriez-vous personnellement très préoccupé(e), plutôt préoccupé(e), pas très préoccupé(e) ou pas du tout préoccupé(e) si les renseignements sur votre santé étaient utilisés de ces façons pour les besoins du système de santé? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

44 La dépersonnalisation des renseignements atténue l’inquiétude par rapport à l’utilisation pour les besoins du système de santé Q19. Si les renseignements sur votre santé étaient dépersonnalisés, seriez-vous personnellement très préoccupé(e), plutôt préoccupé(e), pas très préoccupé(e) ou pas du tout préoccupé(e) s’ils étaient utilisés pour les besoins du système de santé? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

45 La dépersonnalisation des renseignements atténue l’inquiétude par rapport à l’utilisation pour les besoins du système de santé Q18. Seriez-vous personnellement très préoccupé(e), plutôt préoccupé(e), pas très préoccupé(e) ou pas du tout préoccupé(e) si les renseignements sur votre santé étaient utilisés de cette façon pour les besoins du système de santé? Q19. Si les renseignements sur votre santé étaient dépersonnalisés, seriez-vous personnellement très préoccupé(e), plutôt préoccupé(e), pas très préoccupé(e) ou pas du tout préoccupé(e) s’ils étaient utilisés de cette façon pour les besoins du système de santé? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

46 Il existe un lien entre les inquiétudes initiales par rapport à l’utilisation de l’information et les inquiétudes si l’information était dépersonnalisée Q18. Seriez-vous personnellement très préoccupé(e), plutôt préoccupé(e), pas très préoccupé(e) ou pas du tout préoccupé(e) si les renseignements sur votre santé étaient utilisés de cette façon pour les besoins du système de santé? Q19. Si les renseignements sur votre santé étaient dépersonnalisés, seriez-vous personnellement très préoccupé(e), plutôt préoccupé(e), pas très préoccupé(e) ou pas du tout préoccupé(e) s’ils étaient utilisés de cette façon pour les besoins du système de santé? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

47 Malaise par rapport à la transmission de renseignements dépersonnalisés aux organisations privées Q20-24. Comment vous sentez-vous à l’idée de partager des renseignements dépersonnalisés sur votre santé avec les organismes suivants? Base : tous les répondants (n = 1 010) 2012 2010 © Harris/Decima

48 Les Albertains moins à l’aise que les autres par rapport à la transmission d’information sur la santé dépersonnalisée à leur ministère provincial de la Santé Q20. Comment vous sentez-vous à l’idée de partager des renseignements dépersonnalisés sur votre santé avec les organismes suivants? Le ministère de la Santé de votre province Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

49 Les personnes ayant un DSE sont plus à l’aise à l’idée de transmettre l’information à l’échelle locale Q21. Comment vous sentez-vous à l’idée de partager des renseignements dépersonnalisés sur votre santé avec les organismes suivants? D'autres établissements de soins de santé, par exemple des hôpitaux et des autorités sanitaires régionales. Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

50 Les jeunes plus à l’aise à l’idée de transmettre l’information à des organismes de recherche Q22. Comment vous sentez-vous à l’idée de partager des renseignements dépersonnalisés sur votre santé avec les organismes suivants? Des établissements de recherche, par exemple une université. Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

51 Les Canadiens âgés légèrement moins à l’aise à l’idée de transmettre de l’information dépersonnalisée à des organismes de statistiques Q23. Comment vous sentez-vous à l’idée de partager des renseignements dépersonnalisés sur votre santé avec les organismes suivants? Des organismes de statistique, par exemple Statistique Canada ou l'Institut canadien d'information sur la santé Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

52 Plus les Canadiens vieillissent, moins ils sont à l’aise à l’idée de transmettre de l’information sur la santé dépersonnalisée à des organisations privées Q24. Comment vous sentez-vous à l’idée de partager des renseignements dépersonnalisés sur votre santé avec les organismes suivants? Des organisations privées, par exemple des sociétés pharmaceutiques ou des compagnies d'assurances? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

53 Pas de consensus sur la personne ou l’organisme qui devrait avoir le pouvoir de décider de la transmission de l’information Q25-26. Si vos renseignements étaient utilisés de cette façon et qu’ils étaient partagés avec d’autres médecins, d’autres hôpitaux et d’autres chercheurs dans le domaine de la santé, qui aurait le contrôle de ces renseignements et prendrait les décisions, selon vous? À qui aimeriez-vous mieux que revienne la tâche de contrôler ces renseignements et de prendre les décisions si les renseignements sur votre santé étaient partagés de cette façon? Base : tous les répondants (n = 1 010) 2012 2010 © Harris/Decima

54 Les répondants sont partagés à l’idée que de l’information non dépersonnalisée soit utilisée pour mesurer l’efficacité des traitements Q27. À de rares occasions, les renseignements sur votre santé utilisés contiendraient peut-être votre nom ou votre adresse, par exemple si un médecin qui effectue une recherche avait besoin de suivre l'évolution de la santé des gens pour déterminer l'efficacité des différents traitements. Vous sentiriez-vous très à l'aise, plutôt à l'aise, plutôt mal à l'aise ou très mal à l'aise si des renseignements sur votre santé qui permettent de vous identifier étaient utilisés de cette façon? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

55 Comparaison des degrés d’aise liés au concept général de l’utilisation de l’information pour les besoins du système de santé, à l’utilisation de renseignements dépersonnalisés et à l’utilisation de renseignements non dépersonnalisés (deux résultats les plus élevés) Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

56 Deux personnes sur trois continueraient d’insister pour qu’on leur demande leur consentement pour utiliser des renseignements qui permettent de les identifier Q28. Dans les cas où votre identité serait révélée, comment vous sentiriez-vous si vous deviez donner votre approbation ou votre consentement avant que les renseignements sur votre santé puissent être utilisés? Insisteriez-vous pour qu'on vous le demande, préféreriez-vous qu'on vous le demande sans pour autant insister ou si cela ne vous inquiéterait pas et ne nécessiterait pas votre approbation ni votre consentement? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

57 Les résidents de la Colombie-Britannique insisteraient plus que les autres pour qu’on leur demande leur consentement Q28. Dans les cas où votre identité serait révélée, comment vous sentiriez-vous si vous deviez donner votre approbation ou votre consentement avant que les renseignements sur votre santé puissent être utilisés? Insisteriez-vous pour qu'on vous le demande, préféreriez-vous qu'on vous le demande sans pour autant insister ou si cela ne vous inquiéterait pas et ne nécessiterait pas votre approbation ni votre consentement? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

58 Trois Canadiens sur quatre affirment qu’ils accorderaient leur consentement à l’utilisation de l’information pour les besoins du système de santé Q29. Et si vous deviez donner votre approbation ou votre consentement avant que des renseignements sur votre santé qui permettent de vous identifier puissent être utilisés pour les besoins du système de santé, pensez-vous que vous donneriez votre approbation ou votre consentement ou que vous ne donneriez pas votre approbation ou votre consentement? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

59 Les résidents des provinces atlantiques et les jeunes sont plus enclins à donner leur consentement à l’utilisation de leurs renseignements pour les besoins du système de santé Q29. Et si vous deviez donner votre approbation ou votre consentement avant que des renseignements sur votre santé qui permettent de vous identifier puissent être utilisés pour les besoins du système de santé, pensez-vous que vous donneriez votre approbation ou votre consentement ou que vous ne donneriez pas votre approbation ou votre consentement? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

60 Augmentation du nombre de personnes plus à l’aise si un processus d’évaluation était imposé Q30. Seriez-vous plus à l’aise si vous saviez que le projet de recherche pour lequel on veut utiliser les renseignements permettant de vous identifier devait se soumettre à un processus d’évaluation et être approuvé par un organisme indépendant qui examinerait le risque potentiel d’atteinte à la vie privée? Base : répondants qui insisteraient pour qu’on leur demande leur approbation ou leur consentement avant d’utiliser les renseignements sur leur santé ou qui ne donneraient pas leur approbation pour que de l’information permettant de les identifier soit utilisée (n = 700) © Harris/Decima

61 Hausse du nombre de Canadiens qui insisteraient pour qu’on leur demande leur consentement et qui le donneraient Base : tous les répondants (n = 1 010) Insisterait pour qu’on demande le consentement Préférerait qu’on demande le consentement Est indifférent 201220102012201020122010 Le donnerait74 %64 %88 %77 % 81 % Ne le donnerait pas 14 %22 %7 %15 %18 % Ne sait pas12 %13 %5 %7 %5 %1 % © Harris/Decima

62 Un nombre croissant de personnes seraient plus à l’aise si on leur demandait leur consentement Insisterait pour qu’on demande le consentement Préférerait qu’on demande le consentement Est indifférent 201220102012201020122010 L’idée rend le répondant plus à l’aise 72 %67 %63 %40 %54 %39 % L’idée ne change rien 25 %31 %37 %55 %42 %57 % Base : répondants qui insisteraient pour qu’on leur demande leur approbation ou leur consentement avant d’utiliser les renseignements sur leur santé ou qui ne donneraient pas leur approbation pour que de l’information permettant de les identifier soit utilisée (n = 700) © Harris/Decima

63 On remarque une baisse du nombre de Canadiens qui ne donneraient pas leur consentement Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

64 Une forte majorité des Canadiens s’attend à ce que leur dispensateur de soins les informe si les renseignements sur leur santé devaient être utilisés Q31. Vous attendriez-vous à ce que votre médecin ou dispensateur de soins de santé vous indique quand et comment vos renseignements personnels seraient utilisés pour les besoins du système de santé? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

65 Tout bien considéré, la moitié des Canadiens estime que l’utilisation de l’information dépersonnalisée pour les besoins du système de santé est plus importante que les préoccupations liées à la confidentialité Q32. Tout bien considéré et de façon générale, qu’est-ce qui est le plus important pour vous: protéger la confidentialité des renseignements sur votre santé ou permettre au système de santé d’utiliser des renseignements dépersonnalisés? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

66 Les Canadiens de 18 à 24 ans sont les plus enclins à accorder plus d’importance à l’utilisation de l’information dépersonnalisée pour les besoins du système de santé qu’à la protection de la confidentialité Q32. Tout bien considéré et de façon générale, qu’est-ce qui est le plus important pour vous: protéger la confidentialité des renseignements sur votre santé ou permettre au système de santé d’utiliser des renseignements dépersonnalisés? Base : tous les répondants (n = 1 010) © Harris/Decima

67 Merci! © Harris/Decima


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