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THIEC – december 2011 2011 1. De quoi parlons nous ? Petites précisions de vocabulaire… Stanislas Hommet – IUFM de lUCBN 2011 2 d'ordre politique : ces.

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1 THIEC – december 2011 2011 1

2 De quoi parlons nous ? Petites précisions de vocabulaire… Stanislas Hommet – IUFM de lUCBN 2011 2 d'ordre politique : ces passés interrogent les relations entre états, au sein d'un même état, dans une même communauté nationale. d'ordre mémoriel : ces passés sont enjeux de mémoire alors que le travail d'histoire les concernant n'est pas systématiquement enclenché voire bien avancé. d'ordre moral : ces passés sont très souvent l'enjeu de prises de position moralisatrices en lien avec leurs dimensions politique et mémorielle.

3 3 Les questions socialement vives, ou passés douloureux, peuvent se regrouper en trois catégories : -la question est vive au vu des savoirs de références, les controverses entre les historiens sont fortes, les savoirs ne sont pas stabilisés : la tension scientifique -la question est vive pour la société alors que les savoirs sont établis : les débats sont forts au sein de la société, le rôle des médias est alors renforcé : la tension sociale -la question est vive sur le terrain politique : la tension politique qui voit des passés sortir de loubli – lanamnèse- pour se rendre dans une exposition voire une surexposition mémorielle – hypermnésie.

4 4 La construction des modalités de la pensée historienne et de la critique historique. La prise en compte des débats et notamment ceux entre historiens sur des questions renouvelées par lhistoriographie : la destruction des juifs dEurope, les années noires en France, les totalitarisme, la colonisation… Débats dépassionnés mais inquiétude de la communauté historienne sur les usages publics de lhistoire et lexistence de lois qui entravent la recherche. Pour autant pas dobstacle à lenseignement de lhistoire, pas de clivages au sein des enseignants du secondaire sur ces débats. Renforcement de la communauté historienne : pétitions, réactions, prises de position, face à ces questions. La construction dune mémoire collective chez les adolescents qui sont scolarisés en collèges et lycée. Une question qui nest pas clairement énoncée par les I.O sauf dans le programme de terminale et depuis peu (Mémoire et histoire des années noires). Des apprentissages qui peuvent être rendus difficiles ou impossibles ( ?) par la connaissance chez les élèves de mémoires de groupes (R.Frank) construites, par définition, dans des perspectives non- historiques. Adhésions, rejets des contenus et des modalités de la connaissance. La construction du sens de ce qui est appris dans le cours dhistoire mis en perspective avec ce qui se dit, ce qui est débattu dans la société en raison des usages publics de lhistoire. Des débats très médiatisés qui amplifient des positions ou des raisonnements qui constituent des obstacles ou des freins aux apprentissages. Ex. le devoir de mémoire. Une tension sociale et mémorielle à laquelle lenseignant ne peut échapper car elles présentent une forte visibilité à défaut dune forte lisibilité : médiatisations des débats, public scolaire et parents délèves concernés. Des questions vives pour les élèves, leurs parents et donc le professeur. Il ne peut être prescripteur dune mémoire collective « officielle », les finalités civiques de lenseignement de lhistoire sont difficiles à atteindre. Le problème des questions vives cest une tension axiologique sur lenseignement de lhistoire. Une tension politique car après une période de refoulement ou doubli (anamnèse), une question mémorielle peut devenir très visible (hypermnésie) et déclenche des positionnements politiques. Lenseignant doit se situer politiquement et « sexpose » devant les élèves. Une tension scientifique est finalement propice à la profession car elle oblige lenseignant à mieux connaître les fondements scientifiques de lhistoire scolaire et elle crée une solidarité au sein de la communauté D.Briand daprès G.Pinson, décembre 2005. 1 3 2

5 5 De la mémoire non établie au débat historique De loubli à lhypermnésie, aux lois de la mémoire Du débat social au débat moral … Passés douloureux Sur le terrain mémoriel : le passé douloureux nest pas encore établi scientifiquement, le travail de mémoire est prédominant Sur le terrain politique : des tensions entre états, au sein dune communauté Sur le terrain moral : ces passés sont lobjet de prises de positions moralisatrices Questions socialement vives Tension scientifique : des débats entre les historiens quant au savoir à établir Tension politique : de loubli à lhypermnésie Tension sociale : une question dhistoire médiatisée et controversée

6 La collaboration dans lURSS pendant la seconde guerre mondiale Présentation à partir des travaux menés par lUniversité de Kolomna – Russie. 6

7 La définition du terme Le dictionnaire des mots étrangers: Le terme «collaborationnisme» dérivé du mot français « collaboration » (coopération) – traitre, un homme qui a trahi les intérêts du pays qui a collaboré avec les nazis dans les pays occupés pendant la Guerre 1939-1945. - Dans la science historique en URSS : «la trahison» ou la «haute trahison» - Dans la science historique occidentale: collaborateur Les difficultés posées par cet enseignement dun passé douloureux… - Le premier point: le terme «collaborationnisme» doit figurer dans les programmes scolaires parce que plus d`un million de personnes en Ukraine, en Russie ou au Caucase ont collaboré avec les nazis (le Directeur de l`Institut d`histoire universelle, académicien Alexandre Tchoubarian) - Le deuxième point: les enfants ne doivent pas étudier ce sujet abominable à l`école

8 Structure de l`enseignement d`histoire en Russie 1 er étape: initiation 2 eme é tape- premier niveau (classes de 5-9) 3 eme é tape: deuxi è me niveau (classes de terminal 10-11)

9 La seconde guerre mondiale représente dans les programmes scolaires russes : - Etude de l`histoire moderne nationale et mondiale (Seconde Guerre Mondiale y compris) = 2 cours par semaine – 70h par an (classes de 9eme-11eme); - Des classes spécialisées en histoire = 4 cours par semaine – 140h par an; Etude de l`histoire de la Seconde Guerre Mondiale 9eme classe – 6-7 cours 11eme classe – 5 cours Donc le sujet retenu peut représenter 1 cours sur 5 ! Lentrée dans le programme : L`arrière-front soviétique dans les années de guerre. Evacuation de l`industrie. La création de la base industrielle à l`Est. La politique des occupants sur le territoire usurpé. Un génocide. Des mouvements de partisans. L`art soviétique dans les années de guerre : la contribution dans la victoire. L`église pendant la Guerre. Dans cette partie, les thèmes traités sont : «Les arrières-fronts soviétiques dans les années de guerre. Sur le territoire occupé. L`homme à la guerre. Les peuples de l`URSS dans la lutte contre le fascisme. La guerre et la société. L`échec du projet de la guerre-éclair. Les victoires de l`Armée Rouge des années 1944-1945».

10 Connaissez-vous la définition du terme « collaborationnisme » ?

11 Quels, à votre avis, étaient les motifs de la collaboration avec les nazis?

12 Faut-il, à votre avis, dans le cadre du programme scolaire étudier les faits et les causes de collaboration avec les nazis des citoyens soviétiques et étrangers

13 Collaborationism in URSS during the world war II 13 -One topic which asks many questions : which place in the federal curriculum ? What kind of lessons with the pupils ? -The questions about the responsability and/or guilty … are asked. -Is there any continuity for the pupils ? It means what kind of work during the history lessons for the explanations, and place of the debate. - The pupils in Russia after the history lessons about the topic needs more.. Debate, questions and thinking about why.

14 The Trauma of Hungary : Trianon 14 One painful past chosen by the Faculty of Györ, University of Soprom, Hungary : the treaty of Trianon. Is it a trauma today for hungarians today? Why ? - Questions asked : the question of the responsability ? The question of the continuity and relativity.

15 « The dictate of Trianon » 282.000 km² to 92.000 km² 10 million people were detached Romania, Czechoslovakia, Austria, Yugoslavia

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17 The empirical surveys of Trianon 1976 – 70%: The Trianon peace treaty fill them up with bitterness 1975 – The majority of people: in favour of reannexing of Transylvania and Felvidék in 1938 1983 – in the circle of the Hungarian intellectuals: 64% the divison of historical Hungary a wrong decision 1989 – 83%

18 Surveys of 2002 and 2007 the young people less informations countering responsibility, witch-hunt The most important causes of Trianon the role-taking in the world war unsuitability of the delegation irresponsible behavior of the winning powers

19 The other causes: interests of the winners – weak Hungary the greed of the nearby countries the traditional sympathy of the French towards the Rumanians the traditional antipathy towards the Hungarians the treason of the communists what is there to do? 53%: Hungary can never put up with consequences if the Trianon 43%: accept the present situation – cannot change 2009: the young people deal with the problematics, but less knowledge

20 Painful pasts in Poland 20 -Presentation of the curriculum in Poland for the world war II -Presentation of the curriculum in Poland for the cold war One history, national history of victims : what kind of teaching ?

21 PRZYK Ł ADOWY ZAPIS TRE Ś CI: II wojna ś wiatowa. Ucze ń : Exemple du programme IIe guerre mondiale. Lélève : 1) wyjaśnia polityczne, społeczne i gospodarcze przyczyny wybuchu II wojny światowej; 2) charakteryzuje położenie międzynarodowe Polski w przededniu wybuchu II wojny światowej; 3) ocenia konsekwencje zawarcia paktu Ribbentrop-Mołotow; 4) sytuuje w czasie i przestrzeni etapy i fronty II wojny światowej, wskazując momenty przełomowe; 5) przedstawia przyczyny i skutki Holokaustu oraz opisuje przykłady oporu ludności żydowskiej; 6) przedstawia okoliczności powstania koalicji antyfaszystowskiej oraz porównuje postanowienia konferencji w Teheranie, Jałcie i Poczdamie; 7) charakteryzuje bezpośrednie skutki II wojny światowej, wyróżniając następstwa polityczne, społeczne, gospodarcze i kulturowe, z uwzględnieniem przesunięć ludności w Europie Środkowej. Explique les raisons politiques, sociales et économiques de la guerre ; Caractérise la situation de la Pologne la veille de la guerre ; Évalue les conséquence du pacte Ribbentrop-Molotov ; Situe dans le temps et dans lespace les fronts et connaît les moments décisifs ; Présente les raisons et les conséquences de lHolocauste, des exemples de résistance de la population juive ; Présente la constitution de la coalition et compare les résultats des conférences de Téhéran, de Jalta, de Potsdam ; Caractérise les conséquences directes de la guerre (politiques, sociales, économiques, culturelles, migratoires).

22 PRZYK Ł ADOWY ZAPIS TRE Ś CI: Europa pod okupacj ą niemieck ą i Holokaust. Ucze ń : Exemple du programme LEurope sous loccupation allemande et lHolocauste 1) charakteryzuje politykę III Rzeszy wobec społeczeństw okupowanej Europy, w tym nazistowski plan eksterminacji Żydów oraz innych narodowości i grup społecznych; 2) opisuje postawy Żydów wobec polityki eksterminacji, w tym powstanie w getcie warszawskim, a także opisuje postawy społeczeństwa polskiego wobec Holokaustu; 3) ocenia stosunek społeczeństw i rządów świata zachodniego oraz Kościoła katolickiego do Holokaustu. Lélève caractérise la politique allemande envers dautres nations, le plan dextermination de la population juive et dautres; Lélève décrit les attitudes des Juifs envers lextermination, le soulèvement dans le ghetto de Varsovie et les attitudes de la population polonaise ; Lélève évalue lattitude des nations, des gouvernements, de lÉglise envers lHolocauste.

23 PRZYK Ł ADOWY ZAPIS TRE Ś CI Europa Ś rodkowo-Wschodnia po II wojnie ś wiatowej. Ucze ń : Exemple du programme LEurope centrale et orientale après la guerre. Lélève : 1)charakteryzuje proces uzależniania państw Europy Środkowo-Wschodniej od ZSRR, z uwzględnieniem sowietyzacji i stalinizacji; 2) wyjaśnia przyczyny zmian w polityce zagranicznej ZSRR i w polityce wewnętrznej państw satelickich ZSRR po 1956 r.; 3) charakteryzuje proces uniezależnienia się państw satelickich od ZSRR; 4) wyjaśnia przyczyny rozpadu ZSRR i bloku wschodniego; 5) opisuje przeobrażenia ustrojowe w państwach Europy Środkowo- Wschodniej i rozpoznaje charakterystyczne cechy procesu dekomunizacji w państwach bloku wschodniego po 1989 r.; 1) caractérise le processus de dépendance à lURSS, le phénomène de soviétisation et de stalinisation ; 2) explique les changements dans la politique de lURSS et des pays satellites après 1956 ; 3) caractérise le processus dindépendance des pays satellites ; 4) expliques les raisons de leffondrement de lURSS et du bloque dEst 5) décrit les changements dans les pays de LEurope centrale et orientale, caractérise le processus de décommunisation après 1989.

24 PRZYK Ł ADOWY ZAPIS TRE Ś CI DLA POZIOMU ROZSZERZONEGO Europa i ś wiat podczas II wojny ś wiatowej Ucze ń : Exemple du programme au niveau élargi IIe guerre mondiale. Lélève : 1) opisuje główne etapy II wojny światowej i wskazuje przełomowe wydarzenia dla jej przebiegu; 2) wyjaśnia uwarunkowania współpracy niemiecko- radzieckiej w latach 1939–1941 i jej konsekwencje dla państw i narodów Europy Środkowej; 3) charakteryzuje uwarunkowania militarne i polityczne konferencji Wielkiej Trójki oraz ich ustalenia; 4) porównuje I i II wojnę światową – charakter działań wojennych i następstwa obu konfliktów. 1) explique les étapes principales de la guerre et ses moments décisifs; 2) explique le contexte de la collaboration germano- soviétique 1939-1941 et ses conséquences ; 3) caractérise les contexte militaire et politique des conférences des Trois Grands et leurs résultats. 4) compare la Ie et la IIe guerre mondiale – le caractère militaire et leurs conséquences.

25 Controverses historiques en Pologne sur les événements après 1939

26 Ocena II wojny ś wiatowej i lat 1945-1989 Évaluation de la IIe guerre mondiale et des années 1945-1989 Pamięć zbiorowa Polaków II wojna jest w dalszym ciągu czasem cierpienia i walki, okresem patetycznym i bohaterskim; W Polsce toczą się dyskusje, czy przywódcy Rzeczpospolitej nie powinni w 1939 r. przyjąć niemieckich propozycji i wspólnie z A. Hitlerem pomaszerować na Wschód. Mocno wyolbrzymiane jest w Polsce znaczenie paktu Ribbentrop-Mołotow. Układ ten, a zwłaszcza jego tajny protokół, stanowił dla A. Hitlera znaczne ułatwienie, lecz w żadnym razie nie był dlań warunkiem sine qua non rozpętania wojny. Jednym z najpopularniejszych mitów polskiej historii jest kawaleria atakująca szablami niemieckie czołgi we wrześniu 1939 roku. Dans la mémoire collective, la IIe guerre mondiale est continuellement une période des souffrances et des combats, un temps pathétique et héroïque. On discute la possibilité daccepter des propositions allemandes en 1939 et joindre Hitler dans la marche à lEst. Limportance attribuée au pacte Ribbentrop – Molotov est exagérée. Le pacte constituait une facilité mais non pas une condition sine qua non pour commencer la guerre. Un des mythes les plus populaires est le motif de la cavalerie armée des sabres attaquant des tanks allemands en septembre 1939.

27 Toczące się dyskusje dotyczą różnych obliczy okupacji i sposobów życia podczas jej trwania (np. problemu kolaboracji, zachowań ludzi w obozach koncentracyjnych - wyścigu więźniów o przetrwanie); Pojawiające się w prasie światowej określenie polskie obozy koncentracyjne, co jest błędem! Problem oceny Powstania Warszawskiego – czy powinno wybuchnąć, uznania Powstania za klęskę, stosunku powstańców do ludności cywilnej zamkniętej w mieście. Ocena II wojny światowej i lat 1945-1989 Il y a des discussions sur les comportements des gens sous loccupation (p. ex. la collaboration, les moyens de survie dans les camps de concentration) ; On rencontre dans des médias internationaux des expressions « des camps de concentration polonais » ce qui est une erreur ! Il reste un problème de lInsurrection de Varsovie : si elle était justifiée, lattitudes des insurgés envers la population civile enfermée dans la ville

28 Podręcznik dla III klasy gimnazjum (J. Bednarz, M. Litwinienko. K. Zapała, wyd. Operon, 2008) – rozdział Działania okupanta wobec społeczeństwa polskiego Chapitre « Les actions de loccupant envers la société polonaise »

29 Rozdzia ł podr ę cznika do III klasy liceum Powstanie warszawskie (R. Ś niegocki, Historia. Burzliwy wiek XX. 3, Wydawnictwo Nowa Era, Warszawa 2009) Chapitre « LInsurrection de Varsovie »

30 Ocena II wojny ś wiatowej i lat 1945-1989 Kontrowersje budzi ocena przejęcia władzy w 1944 r, i okresu powojennych rządów a także rozliczenia komunistów po 1989 roku Nie ma także zgody co do określenia wraz z jakim wydarzeniem skończył się komunizm w Polsce. Powszechnie uznaje się rok 1989, natomiast spory budzą wydarzenia – czy stało się to wraz z Okrągłym Stołem, rządem Mazowieckiego, prezydenturą Wałęsy? Czy może wejściem Polski do Unii Europejskiej i wydane w Polsce w ostatnich latach ustawy antyesbeckie. Des controverses surgissent sur le passage du pouvoir aux communistes en 1944, leur régime et comment on a fait les comptes avec eux après 1989. Il est difficile de concilier les opinions sur la fin du communisme en Pologne. Sagit-il de la Table Ronde, du gouvernement du Premier Ministre non-communiste Mazowiecki, de la présidence de Walesa, lentrée dans lUnion Européenne ou bien la mise en marche des règlements contre les ex- fonctionnaires de la police sécrète ?

31 Relacje polsko- ż ydowskie Relations polono-juives Zarówno wśród Polaków jak i Żydów zanika świadomość tysiąclecia żydowskiej obecności w Polsce oraz żydowskiego społeczeństwa i jego kultury, które rozwijały się we wzajemnym oddziaływaniu z kulturą polską Historię wzajemnych stosunków zawęża się (niestety) tylko do okresu II wojny światowej Z pamięci zbiorowej usuwa się fakt, że Polacy nie zawsze pomagali Żydom podczas okupacji – w wielu regionach kraju organizowali na nich polowania, wyłapywali i oddawali Niemcom. Czasami sami mordowali złapanych przez siebie Żydów, czynili tak by przeżyć od 2001 r. trwała debata o wydarzeniach w Jedwabnem, gdzie Polacy spalili swoich żydowskich sąsiadów w stodole. Spory o majątki i odszkodowania pozostałe w Polce La conscience de 1000 ans de présence de la communauté juive en Pologne et des influences réciproques des cultures devient de plus en plus faible parmi les Polonais et les Juifs également. Lhistoire de ces relations est malheureusement limitée à la période de la IIe guerre mondiale. On a effacé des souvenirs de mauvais comportement envers Juifs : p. ex. des dénonciations et des meurtres. À partir de 2001, on débatte les événements de Jedwabne où les Polonais ont brûlé leurs voisins juifs dans une grange. Il y a toujours des conflits à propos des propriétés et des indemnités.

32 Relacje polsko-niemieckie Relations polono-allemandes Kwestie uznania granicy (mimo decyzji poczdamskich, układu w Zgorzelcu 1950 tylko z NRD, rok 1972 i dopiero traktat w 1990r.) Ocena wypędzeń i wysiedleń Niemców i spory wokół berlińskiego Centrum Przeciwko Wypędzeniom, Kwestie odszkodowań i zwrotu majątków poniemieckich Udział Polaków w II wojnie światowej w oddziałach Abwehry, która od lutego 1939 r. tworzyła na terenie Polski organizacje bojowe i sabotażowe. Wśród agentów i dywersantów znaleźli się obywatele polscy narodowości niemieckiej, także służący w WP, z terenów Śląska, Wielkopolski, Kujaw, Pomorza i Małopolski Wschodniej. Questions de reconnaissance des frontières (Potsdam, traités de 1950, 1972, 1990) Évaluation des expulsions des Allemands et des disputes autour du Centre contre des Expatriations à Berlin. Questions des récompenses et des retours des propriétés Participation des Polonais de nationalité allemande dans les unités militaires dAbwehra, surtout dans les régions frontalières.

33 Atlas historyczny wydany przy wspó ł pracy z Fundacj ą Polsko-Niemieckie Pojednanie (Polnisch- Deutsche Aussöhnung) trad. Atlas historique en collaboration de la « Fondation de Réconciliation Polono-Allemande »

34 Zrozumie ć histori ę kszta ł towa ć przysz ł o ść. Stosunki polsko – niemieckie w latach 1933-1949. Materia ł y pomocnicze do nauczania historii, Wroc ł aw 2008 (projekt Sakso ń skiej Agencji O ś wiatowej) « Comprendre lhistoire, former lavenir. Relations polono-allemandes dans les années 1933-1949 » Un matériel complémentaire pour enseigner lhistoire.

35 Relacje polsko – rosyjskie po 1939 roku Relations polono-russes après 1939 Spory o politykę historyczną: Zbrodnia katyńska, jej ocena i rozliczenie winnych Rola Polski w czasie II wojny światowej – w polskiej ocenie deprecjonowana przez Rosję Ocena roli konferencji w Jałcie W ocenie wielu Polaków, Rosjanie identyfikowani są z polityką mocarstwową, z państwem, które jest odpowiedzialne za większość klęsk i nieszczęść, które dotknęły Polskę w ostatnich dwu stuleciach. Le crime de Katyn, son évaluation et le jugement des coupables. La dépréciation par la Russie du rôle de la Pologne dans la IIe guerre mondiale. Lévaluation de la conférence de Jalta. Les Polonais ont le sentiment que la Russie impériale est responsable de la plupart des malheurs qui ont touché la Pologne.

36 Relacje polsko-ukrai ń skie Relations polono-ukrainiennes Kwestie sporne toczą się wokół oceny i upamiętnienia: Rzezi wołyńskiej – dokonanej w latach 1943-1944 przez nacjonalistów ukraińskich na polskiej mniejszości; dokonanych przez Polaków w latach 1947-1948 wysiedleń ludności ukraińskiej, Bojków, Łemków w ramach Akcji Wisła. Akcja wymierzona była w struktury UPA i OUN. Les meurtres de Wolyn – en 1943-44 les nationalistes ukrainiens ont commis un homicide sur la minorité polonaise. En revanche, entre 1947-48 les Polonais ont déporté la population ukrainienne du territoire sud-est de la Pologne.

37 Portugal painful past 37 One painful past chosen by the University of Porto, Portugal, is the decolonisation of Africa. School books : one history with only one point of view : the Portugal point of view, and nothing about the African point of view ? What about the refugees ?

38 Contexte Le Portugal a été contraint d'envoyer des troupes en Afrique. Entre 1961 et 1974, ont été mobilisé plus de 900 000 portugais, qui ont rejoint les troupes recrutées localement (noires et blanches). La guerre coloniale, qui a duré treize ans, a provoqué dans les troupes portugaises, environ 9.000 morts et innombrables blessés et handicapés. De même, le coût de la guerre a été élevé, ce qui a limité le développement du pays. La politique coloniale portugaise a conduit à l'isolement du pays au niveau international.

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