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I. Maladies auto-immunes

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Présentation au sujet: "I. Maladies auto-immunes"— Transcription de la présentation:

1 I. Maladies auto-immunes
Définition : -- les réactions auto-immunitaires pathologiques primitives -- les maladies dues à des lésions tissulaires et des anomalies fonctionnelles des organes dont les auto-anticorps ou les lymphocytes T activées sont dirigés contre les tissus et les cellules de l’hôte elle-même.

2 Types des maladies autoimmunes
se divisennt en 2 parties : -- affections monoviscérales dont les anticorps sont dirigés contre un seul tissu -- affections systémiques dans lesquelles existe un grand nombre d’anticorps, responsable de lésions disséminées dans tout l’organisme.

3 Lupus érythémateux disséminé (LED)
Le LED est le prototype classique des maladies atuo-immunes polysystémiques, caractérisées par un déploiement d’autoanticorps, en particulier anti-nucléaire (AAN). Il s’agit d’une maladie chronique évoluant par poussées, caractérisées par des lésions cutanées, des articulations, du rein, du SNC et des séreuses .

4 Etiologie et pathogénie
L’anomalie fondmentale du LED est une défaillance de la tolérance immunologique et une apparition chez ces patients de nombre auto-anticorps dirigés contre les autoantigènes. Les anticorps antinucléaires (AAN) sont les principales autoanticorps, peuvent être regroupés en quelques catégories. ①   Les anticorps anti-DNA (Anti-double-stranded DNA) ②   Les anticorps antihistones ③  Les anticorps contre des protéines liées à l’ARN autres que les histones ④  Les anticorps contre des antigènes nucléolaires

5 Mécanisme de la lésion tissulaire
La plupart de lésions viscérales ont pour médiateurs des complexes immunes (hypersensibilité de type III). On peut retrouver des complexes ADN-antiADN dans les glomérules et les capillaires. Les autoanticorps dirigés contre les hématies, les leucocytes et les plaquettes produisent leurs effets par la voie de l’hypersensibilité de type II.

6 La formation de corps du lupus érythémateux (ou corps hématoxyliques)
-- les noyaux des cellules lésées réagissent avec les AAN, perdent leur structure chromatinienne, s’homogénéisent. La cellule LE est un leucocyte (neutrophile ou macrophage) qui a phagocyté le noyau dénaturé (= corps du LE) d’une cellule altérée, fréquentment vu dans l'exudat pleural ou péricardial.

7 Cellules LE

8 Aspects morphologiques
Dépôts d’immunoglobulines. Au stade aigü, elle est caractérisées par la présence d' une vascularite aiguë nécrosante avec dépôts fibrinoides dans les parois vasculaires. Au stade chronique, les vaisseaux présentent un épaississement fibreux de leur paroi avec sténose de leur lumière.

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11 (1) Peau Mac – un erythème caractéristique du visage
avec une topographie en ailes de papillon -- Cet érythème peut concerner aussi les extrémités et le tronc. -- L’exposition solaire accentue l’érythème

12 Mic – au niveau de la jonction dermo-
épidermique, les cellules de la couche base de l’épiderme présentent des dégénérescences vacuolaires et un oedème. -- Dans le derme, on note une vascularite avec dégénérescence fibrinoïde des parois vasculaires. -- L’étude en immunofluorescence montre des dépôts d’immunoglobulines et de complément au niveau de la jonction dermo-épidermique.

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15 (2) Rein -- En microscopie optique, le rein est atteint
dans 60 à 70% des cas. -- En immunofluorescence et en microscopie electronique, on retrouve une anomalie rénale dans presque tous les cas. -- On peut classer les néphropathies lupiques en 4 types

16 ① La GN. lupique mésangiale : la plus bénigne des dépôts mésangiaux granuleux d’immunoglobuline et de complément sont toujours présents –les altérations les plus precoces ② La GN. proliférative focale : ③ La GN. proliférative diffuse : La plus grave, chez 40 à 50% des cas. ④ La GN. membraneuse

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19 (3)  Coeur, péricardite endocardite verruqueuse non bactérienne (4)  Articulations au stade aigu, l’arthrite lupique est une synovite exsudative avec un infiltrat à polynucléaires et presence de fibrine (5)Rate Les artères pénicillées ont une paroi épaisse avec une fibrose périvasculaire en aspect bulbe d’oignon.

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21 Polyathrite rhumatoïde
Une maladie affecte principalement les articulations produisant une synovite proliférative → destruction du cartilage articulaire et → ankylose des articulations.

22 Morphologie 1. Articulation Signes histologiques : ① une infiltrat inflammatoire du stroma synovial, composé de follicules lymphoïdes, des plasmocytes et des macrophages. ②  vascularisation ③  formation de pannus

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25 2. Peau nodules rhumatoïdes se forment au niveau de la peau mais à la fois dans les poumons, la rate, le péricarde, les valvules cardiaques et l’aorte. Ils sont faits d’une zone centrale de nécrose fibrinoïde, entourée par un anneau d’histocytes épithélioïde et de nombreux lyphocytes et plasmocytes.

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27 Autres organs (poumon)

28 II. Syndrome de déficit immunitaitre
déficits immunitaires primitifs déficits immunilaires secondaires A. Déficits immunitaires primitifs Subdivisés en 3 catégories : (A) Déficit immunitaire humoral (B) Déficit immunitaire cellulaire (C) Déficit immunitaire combiné

29 B. Déficits immunitaires secondaires
Complications d’infection, de malnutrition, ou comme effets secondaires d’une immunosuppression, d’une irradiation ou d’une chimiothérapie et d’autres maladies auto-immunes Syndrome d’immunodéficience aciquise (SIDA) Le SIDA est caractérisée par une immunodépression profonde qui expose aux infections opportunistes, à des cancers secondaires et à des manifestations neurologiques.

30 Etiologie Le SIDA est causé par VIH (virus de l’immunodéficience humaine) Le viron VIH-1 est sphérique et contient un noyau central, entouré d’une enveloppe lipidique Le noyau viral contient ① protéine de capside principale p24 ② deux copies de l’ARN génomique ③ 3 enzymes viraux (protéase, transcriptase inverse et intégrase)

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32 The life cycle of human immunodeficiency virus is diagrammed here
The life cycle of human immunodeficiency virus is diagrammed here. Note that the reverse transcriptase enzyme makes an HIV proviral DNA that is incorporated into the host cell.

33 Les voies de transmission du SIDA
①  Transmission sexuelle ②  Toxicomanes par voie intraveineuse ③ Receveurs de sang ou de composés sanguins ④  Transmission mère-enfant

34 Pathogénie 1.Les mécanismes supplémentaires de perte en cellule T CD4 ont été proposés et comprennent : ① Diminution de la sécretion de lymphokine ② Diminution de la cytotoxicité de cellules CD8 ③ Activité cytoxique diminuée de macrophages ④ Diminution de la destruction des cellules tumorales ⑤ Dépression de la production d’anticorps dans la reponse à de nouveaux antigènes.

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37 2. Le système nerveux est une cible essentielle de l’affection VIH
2.Le système nerveux est une cible essentielle de l’affection VIH. Le VIH est introduits dans le cerveau par monocytes et macrophages infectés.

38 Morphologie 1. Modifications des organes lymphoïdes Premiers stages : -- une hyperplasie folliculaire -- La zone du manteau est atrophique -- En ME, le VIH peut être détecté dans les centre germinales concentré sur les cellules folliculaires dendritiques

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41 MO

42 Stage avancée : -- ganglions détruits -- nombreux agents pathogènes opportunistes -- réponse inflammatoire est faible Rate et thymus apparaissent comme “dévastés”.

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44 2. Infections opportunistes
-- Pneumopathie par pneumocystis carinii -- Méningite par cryptococcose -- En-céphalite par toxiplasma gondii -- Infection des yeux et du tractus gastro- intestinal -- Leucoencéphalopathie multifocale progressive par papovavirus humain 3. Tumeurs malignes -- sarcome de Kaposi -- Lymphomes non hodykiniens

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51 III. Rejet de greff On appelle rejet de greff l’ensemble des phénomènes immuns qui surviennent lorsque donneur et receveur n’ont pas le même patrimoine génétique.

52 Biopsie pour le rejet au cours des transplantations
Mécanismes du rejet Les antigènes responsables du rejet sont ceux du complexe majeur d’histocompatibilité (HLA – antigènes leucocytaires humaines) Le rejet est un processus complexe dant lequel l’immunité cellulaire et les anticorps circulant jouent toux deux un rôle. Biopsie pour le rejet au cours des transplantations - Biopsie avant clampage: évaluation de la qualité du greffon - Biopsie après reperfusion: ischémie froid ou ischémie chaude? - Biopsie chez un patient avoir rejet aiguë ou chronique suspecté

53 Rejet au cours des transplantations hépatiques
Rejet aiguë humoral Histo: infiltration hémorragique avec nécrose étendue Conséquence: insuffisance hépatique aiguë grave et fulminante Rejet aiguë cellulaire Histo: cytolyse et/ou cholestase sans nécrose histologique Conséquence: peut être considéré comme normal Rejet chronique Histo: endartérite à cellules spumeuses - raréfaction canalaire bilaire (ductopénie) Conséquence: détérioration progressive du greffon conduisant à une retransplantation

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