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DTD EAD.

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Présentation au sujet: "DTD EAD."— Transcription de la présentation:

1 DTD EAD

2 DTD EAD Particularité des archives :
les documents ne sont pas isolés, ils font toujours partie d’un ensemble hiérarchique. Fonds > Série > Dossier > Pièce Une pièce seule n’a pas de sens. On décrit toujours un ensemble de documents. Il est nécessaire de restituer la hiérarchie pour comprendre qui a créé le document et dans quel cadre = contexte de production

3 DTD EAD Tout document ou ensemble documentaire se situe dans un contexte de production : une pièce fait partie d’un dossier un dossier fait partie d’un fonds ou d’un sous-fonds ("unités documentaires") ensemble des documents d’archives de toute nature réunis par une personne physique ou morale dans l’exercice de ses activités ou de ses fonctions

4 DTD EAD On applique les règles de la description à plusieurs niveaux :
On décrit tous les niveaux Du général au particulier Information adaptée au niveau de description Lier les descriptions entre elles Non répétition des informations (héritage)

5 DTD EAD Structurer l’information.
Structurer = donner une sens à un 1 élément d’information. <=> Contextualisation Un fichier WORD n’est pas structurer : un ordinateur ne le "comprend" pas! Structurer, c’est dire à la machine : cette information est une date, une cote, un nom, etc…

6 DTD EAD <doc> <Auteur>
<Nom>von Rammingen</Nom> <Prenom>Jacob</Prenom> </Auteur> <Date>1540</Date> …….. </doc> Cela permet les traitements automatisés. SGBD : champs de saisie : éclater les éléments d’information pour leur donner un sens.

7 DTD EAD Au début de l’informatisation, les services d’archives ont structuré chacun dans leur coin. Incompatibilité, les échanges possibles.

8 DTD EAD Conseil international des archives : norme pour la structuration/les normes de description. Objectifs : réaliser des descriptions pertinentes, explicites et compatibles faciliter la recherche rendre possible l’intégration et le traitement de descriptions venant d’autres services

9 DTD EAD Résultat : La norme ISAD(G) en Définition de 26 champs de saisie, dont 6 obligatoires : Référence Intitulé/Analyse Dates Niveau de description Importance matérielle Producteur

10 DTD EAD ISAD(G): Assure une homogénéité.
Problème : les infrastructures techniques étant différentes d’un service à l’autre, les échanges restent difficiles. Insuffisante pour assurer compatibilité Solutions propriétaires : question de la pérennité. Comment assurer pérennité et compatibilité ? Comment traduire ISAD(G) d’un point de vue informatique ? Quel langage utiliser ?

11 DTD EAD 4 objectifs : Compatibilité Pérennité Hiérarchie Structuration

12 DTD EAD Solution : XML (eXtensible Markup Language)
Langage très utilisé dans d’autres domaines (RSS, sous-titrage, dessin vectoriel, RDF,RDF(S) ….) Maintenu par W3C, => pérenne Langage de balisage, => de structuration Extensible : on peut créer toutes les balises que l’on veut.

13 DTD EAD HTML : structuration sémantique, mais surtout de mise en forme. Aucune balise correspondant à ISAD(G) Utilisation des balises existantes qui sont définies dans une DTD. XML : structuration purement sémantique + extensible : balises propres à chaque usage. Pas de balises existantes

14 DTD EAD Grammaire du XML : 1 fichier XML = 1 ensemble d’élements
1 fichier XML = 1 ensemble d’élements <monElément>Contenu</monElément> Balise ouvrante/fermante portant le nom de l’élément. Entre 2 balises : du texte : <nom>Durand</nom> ou d’autres éléments : <personne><nom>Durand</nom><prenom>Jean</prenom></personne> ou rien : <elementVide></elementVide> ou <elementVide/> Eléments peuvent se suivre, s’englober mais pas se chevaucher : Oui : <a><b></b></a> Non : <a><b></a></b> Tout élément fils est inclus dans son élément père. 1 élément peut avoir 1 ou plusieurs attributs : <ville codePostal=’31000’>Toulouse</ville>

15 DTD EAD Fichier XML est composé d’un prologue et d’un arbre d’éléments. Prologue : déclaration XML : < ?XML version =’’1.0’’ encoding=’’ISO ’’ ?> D'autres déclarations (DTD, feuille de style) Arbre des éléments : 1 élément racine unique et des éléments fils.

16 DTD EAD Exemple : < ?xml version=’’1.0’’ encoding=’’ISO ’’ ?> <livre>Les misérables</livre> <livre>Sur la route</livre> Incorrect : deux éléments racines <bibliographie> </bibliographie> Correct : 1 seul élément racine (<bibliographie>)

17 Dtd ead Si ces règles sont respectées le document xml est dit « bien formé » Permet de tout structurer. Exemple : Flipper est un dauphin mâle né le 01/04/1995, pesant 150kg et mesurant 2,15m. < ?xml version=’’1.0’’ encoding=’’ISO ’’ ?> <animal> <espece sexe=’’male’’ taille="2,15m" poids="150kg">dauphin</espece> <nom>Flipper</nom> <dateNaissance> <jour>01</jour> <mois>04</mois> <annee>1995</annee> </dateNaissance> </animal>

18 DTD EAD XML est un langage à vocabulaire libre. Mais quand on encode souvent les mêmes types de documents ou qu’on est plusieurs à le faire, il vaut mieux se mettre d’accord sur un vocabulaire. Normalisation passe par une DTD (définition de type de documents) DTD = ensemble des éléments, leur ordre, lesquels sont facultatifs ou obligatoires, quels sont les attributs, etc… C’est un vocabulaire et une grammaire. Un fichier xml qui respecte une dtd est dit « valide »

19 DTD EAD Archives : DTD-EAD (encoded archival description)
L’appel de la DTD se fait dans le prologue, après la déclaration XML : < ?xml version=’’1.0’’ encoding=’’ISO ’’ ?> <!DOCTYPE ead PUBLIC "+//ISBN //DTD ead.dtd (Encoded Archival Description (EAD) Version 2002)//EN" "ead.dtd">

20 DTD EAD L’EAD, caractéristiques
Permet d’intégrer aux instruments de recherche des liens vers des représentations numériques des documents décrits Il est possible de choisir la granularité de l’encodage en fonction des besoins et des moyens 146 éléments, dont un tout petit nombre obligatoires (en-tête EAD, description du fonds, niveaux hiérarchiques)

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22 DTD EAD Haut niveau de l’EAD <ead>
<eadheader> décrit l’instrument de recherche (obligatoire) <frontmatter> préliminaires (page de titre, introduction, préface…) <archdesc> description de l’unité documentaire (obligatoire) </ead>

23 DTD EAD <ead> element racine
On commence par eadheader qui va contenir les informations sur l’inventaire lui-même. C’est l’équivalent de la page de garde <eadheader> <eadid>Référence de l’inventaire</eadid> <filedesc> <titlestmt><titleproper>Titre</titleproper></titlestmt> </filedesc> </eadheader>

24 <filedesc>Description du fichier
<eadheader> <eadid>Identifiant EAD (du fichier électronique) <filedesc>Description du fichier <titlestmt>Mention de titre et de responsabilité <titleproper>Titre propre de l’instrument de recherche <subtitle>Sous-titre de l’instrument de recherche <author> Auteur de l'instrument de recherche <editionstmt>Mention d’édition <publicationstmt>Mention de publication <seriesstmt>Mention de collection <notestmt> Mention de note <profiledesc> Description du profil <creation> Informations sur la création de l’inventaire <date> Date de l’inventaire <langusage> Langue utilisée <descrules> Règles de description (archivistique utilisée) <revisiondesc> Descriptions des révisions ; permet de gérer les versions successives de l’instrument de recherche encodé </eadheader> Exemple eadheader.xml

25 Exemple frontmatter.xml

26 DTD EAD Description de l’unité documentaire <archdesc>
<did> identification et description <bioghist> biographie/histoire institutionnelle <scopecontent> présentation du contenu <controlaccess> Vedettes et accès contrôlés <dsc> description des composants <c> niveaux de description définis grâce à un attribut </archdesc>

27 <archdesc level=“niveau de description”> (nota : L’attribut level est obligatoire) <did> Identification et Description <accessrestrict> et <userestrict> Conditions d'accès et Conditions d'utilisation <accruals> Accroissements <acqinfo> Informations sur les modalités d'entrée <altformavail> Documents de substitution <appraisal> Informations sur l'évaluation <arrangement>Classement <bibliography> Bibliographie <bioghist> Biographie ou Histoire (du producteur) <controlaccess> Vedettes et accès contrôlés <custodhist> Historique de la conservation Suite…

28 <dao> et <daogrp> Objet archivistique numérique
Suite… <dao> et <daogrp> Objet archivistique numérique <note>Note <odd>Autres données descriptives <originalsloc> Existence et lieu de conservation des documents originaux <otherfindaid> Autre instrument de recherche <phystech> Caractéristiques matérielles et contraintes techniques <prefercite> Mention conseillée <processinfo> Informations sur le traitement <relatedmaterial> et <separatedmaterial> Documents en relation et documents séparés <scopecontent> Présentation du contenu <dsc>Description des sous-composants </archdesc>

29 DTD EAD Identification de l’unité documentaire <did>
<repository> organisme responsable de l’accès intellectuel <origination> origine <unittitle> intitulé de l’unité documentaire <unitdate> date de l’unité documentaire <unitid> identifiant de l’unité documentaire <physdesc> description physique <abstract> résumé <physloc> localisation physique <container> unité de conditionnement <dao> objet archivistique numérique ... </did>

30 <did> début de l’identification
description archivistique elle-même <archdesc level=’’NIVEAU DE DESCRIPTION’’> Il s’agit de la fiche de plus haut niveau. <did> début de l’identification <unitid>COTE</unitid> <unititle>INTITULE/ANALYSE</unittitle> <unitdate>DATES</unitdate> <origination label="producteur">PRODUCTEUR</origination> <physdesc> <extent>IMPORTANCE MATERIELLE</extent> </physdesc> </did> <!--puis on passe aux sous-composants--> <dsc> <c level=’’NIVEAU DE DESCRIPTION’’> <did> <unittitle>INTITULE/ANALYSE</unittitle> <c> </c> </dsc> </archdesc> Exemple archdesc.xml

31 Extrait de la norme ISAD(G)
<archdesc level="fonds"> <desc> <c level="subfonds"> <c level="series"> <c level="subseries"> <c level="file"> <c level="item">

32 Tag Library


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