Leçon 7 pour le 14 mai 2016

« Moi, le Seigneur, je t’ai appelé pour la justice et je te prends par la main, je te préserve pour faire de toi l’alliance du peuple, la lumière des nations. » (Ésaïe 42.6) Étude de la semaine : Matthieu ; Exode 3.14 ; Matthieu ; Ésaïe ; Matthieu ; Matthieu

« Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon ce qui est écrit : Il leur donna à manger du pain venu du ciel. Jésus leur dit : Amen, amen, je vous le dis, ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain du ciel, c'est mon Père qui vous donne le vrai pain du ciel ; car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel pour donner la vie au monde. » (Jean ) «Jésus est le Fils de Dieu et le Seigneur de tous. Il suffit à combler tous les besoins humains. Au vu de cela, notre vision devrait être fixée sur lui, afin de rester dans la vie nouvelle qu’il nous a donnée. » (C’est nous l'italique) (Andy Nash, Matériel auxiliaire pour le moniteur, p. 90.)

Nourrissant Cinq mille hommes, Matthieu Rejeté par des pharisiens et des scribes, Mt Nourrissant Quatre mille hommes, Mateo Accepté par les Gentils, Matthieu

« Ils lui disent : Nous n'avons ici que cinq pains et deux poissons… Tous mangèrent et furent rassasiés, et on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient. » (Matthieu 14.17;20) Quand Jean a été décapité, Jésus a conduit ses disciples à travers la mer de Galilée vers un lieu solitaire pour les encourager. À l'arrivée, ils trouvent une grande foule qui les a suivis le long de la côte. Jésus « en fut ému ; il guérit leurs malades » (Matthieu 14.14). Le soir venu, Jésus multiplie les pains et les poissons pour nourrir la grande foule. Selon une tradition juive, le Messie nourrirait Israël avec la manne. Sûrement, ce miracle a enraciné l'espérance que Jésus pourrait être ce Messie attendu (Matthieu ). Les disciples ont alors considéré que le moment était arrivé que Jésus se déclare roi d'Israël (Jean ).

« Ils lui disent : Nous n'avons ici que cinq pains et deux poissons… Tous mangèrent et furent rassasiés, et on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient. » (Matthieu 14.17;20) « Mais même si cette histoire a ravivé la foi des disciples, elle a un sens bien plus profond. Quand Jésus a nourri le peuple juif, cela a rappelé à tous la manne que Dieu avait donnée aux israélites dans le désert. Au sein du judaïsme, la tradition disait que le Messie viendrait pendant la Pâque et qu’en plus de sa venue, la manne recommencerait à tomber du ciel. […] allait-il nourrir tout le monde, tout le temps, en restaurant la manne ? » (Jon Paulien, John : The Abundnat Life Bible Amplifier, Association, 1995, p. 139,140.)

« Ils lui disent : Nous n'avons ici que cinq pains et deux poissons… Tous mangèrent et furent rassasiés, et on emporta douze paniers pleins des morceaux qui restaient. » (Matthieu 14.17;20) « C’est exactement le type de Messie que le peuple voulait : un Messie qui comblerait leurs besoins extérieurs. À ce moment-là, les foules sont prêtes à couronner Jésus roi, mais Jésus n’était pas venu pour être roi, et son refus allait beaucoup les décevoir. » « Jésus, sachant qu'ils allaient venir s'emparer de lui pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, seul. » (Jean 6.15) « Après avoir renvoyé les foules, il monta sur la montagne pour prier à l'écart… » (Matthieu (Guide d’étude de la Bible, p. 46.)

« Ce peuple m'honore des lèvres, mais son cœur est très éloigné de moi. C'est en vain qu'ils me rendent un culte, eux qui enseignent comme doctrines des commandements humains. » » (Matthieu ) « Hypocrites », « aveugles, guides des aveugles» (Matthieu 15.7, 14). Ce fut la réponse de Jésus aux Pharisiens quand ils lui demandèrent « pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens ? » (Matthieu 15.2). Jésus leur montra que leur tradition bien-aimée brisait la Loi de Dieu, et que la pureté morale ne s’obtenait pas en se lavant les mains. Comme de bons hypocrites (acteurs), ils cachaient leur cœur coupable sous une attitude respectueuse de la tradition de leurs parents. La tradition religieuse n'a pas la même autorité que les Écritures. « …Ainsi vous avez annulé la parole de Dieu à cause de votre tradition. » (Matthieu 15.6 ) Jésus nous invite à nous méfier du « levain des pharisiens » (Matthieu 16.6), en nous écartant de toute hypocrisie.

« Une Cananéenne venue de ce territoire se mit à crier : Aie compassion de moi, Seigneur, Fils de David ! Ma fille est cruellement tourmentée par un démon. » (Matthieu 15.22) « Le Christ connaissait la condition de cette femme. Sachant qu’elle désirait le voir, il se plaça sur son chemin… Le mur de séparation érigé par l’orgueil juif empêchait les disciples eux-mêmes d’éprouver de la sympathie pour le monde païen. Mais ces barrières devaient être renversées… “Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens.”… Mais la femme discerna, sous le refus apparent de Jésus, une pitié qu’il ne réussissait pas à cacher… Aucun préjugé, aucun orgueil national ou religieux n’influe sur sa conduite; elle reconnaît immédiatement, en Jésus, le Rédempteur, celui qui peut faire tout ce qu’elle lui demande. » (E. G. White, Jésus-Christ, p. 393.)

« Une Cananéenne venue de ce territoire se mit à crier : Aie compassion de moi, Seigneur, Fils de David ! Ma fille est cruellement tourmentée par un démon. » (Matthieu 15.22) Les païens, qui n'avaient pas encore reçu la lumière, étaient déjà considérés comme des "chiens" par le peuple d'Israël. Mais, bien que la mission principale de la première venue de Jésus fût pour la nation juive, personne n'a été exclu des bénédictions du Sauveur. Après avoir guéri sa fille, Jésus a récompensé la foi de cette païenne et sa demande a été exaucée à distance, montrant qu'il est le Seigneur des Juifs et des Gentils. Jésus répond ainsi à cette Cananéenne : « Je ne suis envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël» (Matthieu 15.24).

« Jésus leur dit : Combien de pains avez-vous ? Sept, répondirent-ils, et quelques petits poissons… Tous mangèrent et furent rassasiés, et on emporta sept corbeilles pleines des morceaux qui restaient. » (Mateo 15.34, 37) « Il sortit du territoire de Tyr et revint par Sidon vers la mer de Galilée, en traversant le territoire de la Décapole. » (Marc 7.31). Dans cette région païenne, Jésus a répété la multiplication des pains dans les mêmes conditions qu'il l’avait faite la première fois.

« Jésus leur dit : Combien de pains avez-vous ? Sept, répondirent-ils, et quelques petits poissons… Tous mangèrent et furent rassasiés, et on emporta sept corbeilles pleines des morceaux qui restaient. » (Mateo 15.34, 37) « … il y a deux miracles où Jésus nourrit la foule dans les évangiles : la première fois pour les Juifs, la deuxième fois pour les Gentils. Dans les deux cas, Jésus a compassion des gens. Cette image de milliers de Gentils qui viennent pour être enseignés, aimés et nourris par ce jeune rabbin est extraordinaire. » (Guide d’étude de la Bible, p. 50.)

« Mais en voyant que le vent était fort, il eut peur, et, comme il commençait à couler, il s'écria : Seigneur, sauve-moi ! » (Matthieu 14.30) Dans l'Ancien Testament, nous pouvons voir beaucoup de prophéties où Dieu appelle à la repentance des nations païennes (Esaïe ; Jérémie 46-51; Ézéchiel ; Abdias, Jonas, Nahum). En se manifestant comme le grand "JE SUIS", Jésus marche sur la mer sans peur du fort vent qui a tant effrayé Pierre. « À lui seul, il déploie les espaces célestes, et il pose ses pas sur les vagues des mers. » (Job 9.8). Jésus, comme Seigneur de toute la création, la soutient et la soumet à sa volonté (Psaume 104 ; Hébreux 1.3). Il se soucie aussi de tous les habitants de cette planète, sans distinction de races ou nations.

« Mais en voyant que le vent était fort, il eut peur, et, comme il commençait à couler, il s'écria : Seigneur, sauve-moi ! » (Matthieu 14.30) « Le bateau était déjà à plusieurs stades de la terre, malmené par les vagues… À la quatrième veille de la nuit, il vint vers eux en marchant sur la mer. Quand les disciples le virent marcher sur la mer, ils furent troublés et dirent : C'est un fantôme ! Et, dans leur crainte, ils poussèrent des cris. Jésus leur dit aussitôt : Courage ! C'est moi, n'ayez pas peur ! » (Matthieu ) « Ceux qui étaient dans le bateau se prosternèrent devant lui et dirent : Tu es vraiment Fils de Dieu ! » (Matthieu ) Juif ou Gentil, nous devons tous notre existence à la puissance du même Seigneur qui a apaisé la mer (Guide d’étude de la Bible, p. 47.)

le buisson ardent lePain de la vie laLumière du monde la Porte le Bon Berger le Vrai Cep… « Avec le grand JE SUIS à nos côtés, le buisson ardent ne se consume pas, le Pain de la vie satisfait tous nos besoins, la Lumière du monde nous préserve des ténèbres, la Porte assure notre entrée dans le royaume, le Bon Berger nous donne la sécurité éternelle, et nous sommes greffés sur le Vrai Cep… (Exode ; Jean 6.35 ; 8.12 ; 9.5 ; 10.9,11 ; ; 15.1). » (Andy Nash, Matériel auxiliaire pour le moniteur, p. 93.)

« Courage ! C’est moi, n’ayez pas peur ». Et Christ nous dit aussi – aussi sûrement qu’aux disciples en cette nuit d’orage : « Courage ! C’est moi, n’ayez pas peur ». il doit avoir les yeux fixés Si le disciple veut emprunter ce sentier du discipulat sans avoir peur, il doit avoir les yeux fixés sur le grand JE SUIS. « Seigneur, sauve-moi ! ». Et un tel appel ne reste jamais sans réponse. » Mais Pierre a flanché. Ses yeux ont regardé les vents déchaînes, il a eu peur, et a commencé à sombrer. Mais il a crié : « Seigneur, sauve-moi ! ». Et un tel appel ne reste jamais sans réponse. » (Andy Nash, Matériel auxiliaire pour le moniteur, p. 93.) JE PRIE