VARENNA(LAC DE COME)
VENISE.
MONT St. MICHEL
VENISE.
VENISE
Ville "GRENADE.ALHAMBRA."
VENISE
VENISE.PONTE DEL DIAVOLO
COMBOURG
CALVI.CORSE
"VENISE.San Giovani e Paolo
RENTREE LE SOIR
VENISE
VENISE LA MARAICHERE
FLORENCE
CHAMROUSSE
Venise
VENISE
Paysage « BURANO »
LAC AUTRICHIEN
Né en 1937 à Charleroi, en Belgique, Michaux à commencé à dessiner à l'age de 4 ans, ses premiers dessins représentaient des camions de déménagement. En 1949, un oncle lui offre un chevalet, une boite de peinture et quelques toiles, c'est le déclic, le virus Picturialis Virulens est inoculé et impossible à éliminer.Il fonce dans le parc de la maison familiale, plante son chevalet et peint un paysage, véritable barbouille mais pleine de spontanéité. Cette première œuvre n'a jamais quitté l'artiste, elle se trouve toujours dans son atelier.Son père lui offre quelques leçons de peinture auprès d'un peintre local. A 17 ans, il désire s'inscrire aux Beaux-Arts de Mons mais refus absolu des parents, son père étant architecte, il deviendra architecte puisqu'il aime le dessin !!! Cela lui a valu cinq années pénibles, errant d'une école d'architecture à une autre, mais suivant en cachette les cours d'harmonie, d'anatomie, de dessin et de composition dans les écoles des Beaux-Arts qui le lui permettaient. Jusqu'en 1994, il associera difficilement ses deux activités, architecture et peinture, mais exposera à chaque occasion. A partir de 1995, il s'adonnera exclusivement à la peinture. Au cours des périodes et , il fréquente quelques peintres tels Picasso, Magritte, Camus, Bazaine, Landuyt, Ransy et Alechinsky.Il a présenté ses oeuvres à Adrien Maeght en 1961 et fut, de ce fait, le premier à exposer à la Fondation en construction à Saint Paul de Vence. Les conseils de Monsieur Maeght lui furent précieux. En 1998, quittant définitivement la Belgique, il s'établit à Nice, ville de jeunesse de son épouse. Deux années de préparations de son atelier et il reprend les pinceaux. La nature l'inspire, les voiliers l'intéressent, les voitures l'amusent mais ces domaines ne servent qu'à lui permettre de maitriser son art. Se basant sur un dessin parfait, sur des harmonies de couleurs fortes mais provocatrices de rêve, il en arrive à reprendre une façon de voir les choses qu'il exploitait en 1980 : le surréalisme mais la vie de tous les jours l'intrigue. Né en 1937 à Charleroi, en Belgique, Michaux à commencé à dessiner à l'age de 4 ans, ses premiers dessins représentaient des camions de déménagement. En 1949, un oncle lui offre un chevalet, une boite de peinture et quelques toiles, c'est le déclic, le virus Picturialis Virulens est inoculé et impossible à éliminer.Il fonce dans le parc de la maison familiale, plante son chevalet et peint un paysage, véritable barbouille mais pleine de spontanéité. Cette première œuvre n'a jamais quitté l'artiste, elle se trouve toujours dans son atelier.Son père lui offre quelques leçons de peinture auprès d'un peintre local. A 17 ans, il désire s'inscrire aux Beaux-Arts de Mons mais refus absolu des parents, son père étant architecte, il deviendra architecte puisqu'il aime le dessin !!! Cela lui a valu cinq années pénibles, errant d'une école d'architecture à une autre, mais suivant en cachette les cours d'harmonie, d'anatomie, de dessin et de composition dans les écoles des Beaux-Arts qui le lui permettaient. Jusqu'en 1994, il associera difficilement ses deux activités, architecture et peinture, mais exposera à chaque occasion. A partir de 1995, il s'adonnera exclusivement à la peinture. Au cours des périodes et , il fréquente quelques peintres tels Picasso, Magritte, Camus, Bazaine, Landuyt, Ransy et Alechinsky.Il a présenté ses oeuvres à Adrien Maeght en 1961 et fut, de ce fait, le premier à exposer à la Fondation en construction à Saint Paul de Vence. Les conseils de Monsieur Maeght lui furent précieux. En 1998, quittant définitivement la Belgique, il s'établit à Nice, ville de jeunesse de son épouse. Deux années de préparations de son atelier et il reprend les pinceaux. La nature l'inspire, les voiliers l'intéressent, les voitures l'amusent mais ces domaines ne servent qu'à lui permettre de maitriser son art. Se basant sur un dessin parfait, sur des harmonies de couleurs fortes mais provocatrices de rêve, il en arrive à reprendre une façon de voir les choses qu'il exploitait en 1980 : le surréalisme mais la vie de tous les jours l'intrigue.