Le plus glamour des Cabarets Parisiens fête son 65éme anniversaire Avec la revue ‘Désirs’ et en invitée d’honneur Dita Von Tesse. Quelques clichés de l’ événement proposés par Jackdidier CRAZY 65 ANS DE GLAMOUR
Pour célébrer les 65 ans du cabaret parisien, le Crazy Horse laisse carte blanche à une invitée exceptionnelle. Dita Von Teese, icône internationale de l'effeuillage, aura le privilège d’interpréter ses favoris du répertoire du Crazy Horse et de présenter son propre Crazy Show du 15 au 30 mars L'occasion de redécouvrir les plus beaux tableaux de la revue Désirs.Dita Von Teese
Dita Von Teese pose avec les danseuses du Cary Horse pour la première de ses 33 représentations exceptionnelles au Crazy Horse.
. Sur la scène du Crazy Horse, les danseuses aux courbes sculpturales habillées par les seuls jeux de lumières, vous feront rougir de plaisir avec Désirs, un spectacle signé par Philippe Decouflé et Ali Mahdavi.
Fasty Wizz, Mika Do, Dreama Blue ou Venus Océane… Elles sont françaises, américaines, russes ou italiennes et ont fait la réputation internationale du Crazy. Fantasme absolu, elles sont environ 30 danseuses aux noms évocateurs rigoureusement sélectionnées pour leurs courbes parfaites et leur incroyable beauté́.
Chorégraphe et danseur de talent, Philippe Decouflé s'est illustré avec notamment la chorégraphie des Jeux Olympiques d’Albertville ou la parade de lancement de la Coupe du monde de rugby en Appelé par le Crazy Horse afin d'élargir le répertoire de la maison et de lui apporter une souffle de modernité, le chorégraphe signe depuis 2009 un spectacle nommé Désirs.
Dix années après la première apparition de Dita Van Teese au Crazy Horse, que le cabaret célèbre cette année, de nombreuses guest stars ont marqué l'histoire du Crazy. Arielle Dombasle, Pamela Anderson, Clotilde Courau, Noémie Lenoir ou Conchita Wurst
Numéro légendaire ouvrant le show depuis 1989, "God Save Our Bareskin" a été laissé intact par Philippe Decouflé. Ce tableau mythique du cabaret dans lequel les danseuses apparaissent habillées en horse- guards de Buckingham, appartient au légendaire répertoire créé par Alain Bernardin, le fondateur du Crazy Horse.
Composé d'une succession de tableaux appelés "Chuchotements", Upside Down", "Rougir de Désir" ou "Scanner"... Désirs allie modernité́ et esthétisme absolu grâce aux jeux d'ombres et de lumières dont seul le Crazy à le secret. La mise en scène enchaîne ainsi effets spéciaux surprenants, costumes étincelants et musiques mêlant jazz et cuivres chauds, voix et souffles sensuels et mélodies envoutantes.
Le Crazy Horse doit son succès à son fondateur Alain Bernardin. Sur scène, les danseuses classiques aux courbes calibrées sont habillées de projections de lumière, tandis que la perruque au carré, le rouge à lèvres carmin et les talons vertigineux s'imposent comme les codes du Crazy.
au top du glamour, les danseuses du Crazy utilisent chaque année quelques paires de bas, 500 litres de maquillage, 300 rouges à lèvres spécialement fabriqués dans le ton "Rouge Crazy" ou encore 720 paires de faux cils ! De plus, chaque danseuse dispose d’environ six paires de chaussures fabriquées sur mesure.
Depuis 2014, Le Crazy dévoile un final inédit "Glamazones", signé Philippe Decouflé. Ce dernier a imaginé également un nouveau personnage récurrent : Rosa la Dompteuse, fil rouge du spectacle Désirs.
Désolés messieurs, les loges des Crazy girls sont interdites aux admirateurs et les règles sont très strictes. D'ailleurs l’ensemble des danseuses est raccompagné par un taxi à son domicile chaque soir !
Danseuses de formation classique, les Crazy girls devront travailler intensément pendant trois à cinq mois avant de monter sur la scène du Crazy. À l’issue de cette formation, chaque danseuse est baptisée par un nom de scène le soir de sa première apparition publique. Rita Renoir, Bertha von Paraboum, Rosa Fumetto, Lova Moore, Polly Underground, Stella Patchouli, Miss Tallulah ou Psykko Tico... figurent parmi les plus emblématiques.
Outre les créations de Philippe Decouflé ou les légendaires du Crazy, les tableaux "Final Fantasy" et "Purple Underground" ont été́ conçus par Patricia Folly, alias Psykko Tico, une danseuse et chorégraphe du célèbre cabaret parisien.
Chaque année, Le Crazy Horse reçoit plus de 500 candidatures de danseuses rêvant de fouler la scène de ce cabaret mythique. Pour passer l’audition, les postulantes doivent avoir reçu une solide formation classique et répondre à des critères très strictes, avec notamment une taille comprise entre 1,68 et 1,73 cm et de très longues jambes. Une vingtaine seulement d’entre elles sera retenue.
Depuis sa création en 1951, le glamour et l'impertinence Crazy n'ont cessé d'inspirer les artistes du monde entier, donnant naissance à de nombreuses collaborations. Fidèle du Crazy Horse, Salvador Dali dessine le canapé́ en forme de lèvres utilisé dans le tableau "Leçon d’ érotisme", Woody Allen y tourne "What’s New, Pussycat ? ", David Lynch prend les danseuses pour muses et Beyoncé choisit Le Crazy et ses danseuses pour son clip "Partition".
Le Crazy Horse confie la création de ses costumes à de très grands artistes, à l'instar d'Antoine Kruk, designer pour de grands noms de la couture comme pour l‘ Opéra, de Stefano Canulli, ancien bras droit de Thierry Mugler et créateur de costumes pour le Cirque du Soleil, ou du couturier haute-couture Alexandre Vauthier.
Au Crazy Horse, les danseuses portent majoritairement des souliers signés par Christian Louboutin, chausseur des stars devenu le célèbre créateur de la semelle rouge.
Il incarne avec intelligence et finesse l’âme artistique du Crazy Horse. Ali Mahdavi dans son travail de Directeur artistique explore "l’ archétype de la femme séductrice qui maîtrise son pouvoir, jamais soumise mais au contraire menant le jeu..."
La robe magnifique de Dita von Teese à la première de son Crazy Show. Pour terminer ce partage Jackdidier