HABITAT EN PALÉOLITHIQUE Prof. univ. dr MARIN C|RCIUMARU.

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Transcription de la présentation:

HABITAT EN PALÉOLITHIQUE Prof. univ. dr MARIN C|RCIUMARU

RIPICENI – IZVOR (type A): cinq structures d’habitat. 1.pierres; 2. os d’animaux; 3. molaires de mammouth; 4. silex; 5.terre brulee et charbon;6. defenses de mammouth; 7.corn (d’apres A. Paunescu, 1989; 1993) Les type A consiste en des pierres de calcaire disposées en léger arc (fig. ) atteignant parfois 5,75 m de longueur et environ 3 m fe largeur. Les pierres sont souvent accompagnées de fragments d'os de mammifères, quelquefois même de molaires de mammouth et de rhinocéros, de pièces en silex (rognons comportant des traces de taille, éclats corticaux, déchets, racloirs, lames, bifaces, etc.), de faibles traces de charbon de bois et de cendre, de quelques rares fragments de défenses. On a supposé que la structure de la paroi était formée de branches de conifères relativement épaisses, longues d'environ 2 m, disposes verticalement et fixées à la base par des pierres calcaires et de la terre battue. Le tout était probablement recouvert de peaux d'animaux (Al. Păunescu, 1989; 1993).

RIPICENI – IZVOR (type B): structures d’habitat. 1. molaires de rhinoceros a narines cloisonnees ( Coelodonta antiquitatis); 2. molaires de cheval (Equus caballus fossilis); 3. defenses de mammouth;(Mammuthus primigenius); 4. os d’animaux; 5. molaires de mammouth; 6.pierres; 7.silex (d’apres A. Paunescu, 1989; 1993) Certains complexes d ce type ont livré environ 30 défenses de mammouth mesurant jusqu'à 2 m de longueur quand elles étaient entières, 35 molaires de mammouth et 8 de cheval. Plus de 500 pièces en silex gisaient de part et d'autre de cette supposée paroi. La zone centrale de cette agglomération semble être séparée de deux zones terminales par des espaces libre, dépourvus de défenses (fig. ). Pour Al Păunescu (1965), ce type de complexe présente un caractère rituel et magique cynégétique. Récement, cet auteur considérait ce type de structures comme des abris- paravents (Al. Păunescu, 1989). On a affirmé que les principaux éléments constitutifs de la paroi étaient les défenses de mammouth, placées verticalement avec la base au sol et fixées à l'aide de pierres et de molaire de mammouth. Parfois, des branches de pin complétaient les espaces entre les défenses, la structure dans son entier étant recouverte de peaux d'animaux ou de branches minces formant toiture pour la structure de base. Le type B a été reconstitué sur la base de matériaux divers: pierres calcaires, galets, os, molaires de mammouth, de rhinocéros et de cheval, défenses de mammouth, etc., alignés dans la direction nord-nord-est / sud-sud-ouest sur une longueur de parfois 10 m et une largeur d plus 2,5 m.

RIPICENI – IZVOR ( type C): structures d’habitat. Niveau superieur 1.pierres calcaires; 2.os d’animaux 3.molaires de mammouth;4. defenses de mammouth;(Mammuthus primigenius); 5.pieces en silex; (d’apres A. Paunescu, 1993) Le type C. Les structures d'habitat attribuées à ce type, plus ou moins ovalaire et mesurant environ 8 m de longueur sur 5 m de largeur, réunissaient des éléments de construction divers: pierres calcaires, galets, os, molaires et défenses de mammouth, un fragment de bois de renne, etc.

RIPICENI – IZVOR (type C): structures d’habitat du niveau IV mousterien (d’apres A. Paunescu, 1993) Dans l'espace intérieur un foyer ovale (90 x 140 cm) non aménagé, de 8 cm d'épaisseur, jouxtait une petit fosse (12 cm de profondeur) située au sud-ouest, contenant des restes de charbon de bois et de menus os brûlés. Les foyer a été daté, sur la base du charbon qu'il contenait, à / B.P. (GrN 9.210); il se trouvait dans la partie supérieur du niveau IV atrbué a Moustéien de tradition acheuléenne de déitage Levallois, riche en racloirs et en formes bifaciales (Al. Păunescu, 1993).

RIPICENI – IZVOR (type C): structures d’habitat. Niveau inferieur 1.pierres calcaires; 2. os d’animaux ; 3. defenses de mammouth;(Mammuthus primigenius); 4. cornes; 5.pieces en silex; 6. foyers; 7.centre de l’atelier de taille du silex (d’apres A. Paunescu, 1993) Le complexe d'habitat peut être attribué dans son entier à un atelier de taille, étant donné qu'on y a réolté eviron pièces (rognons, nucléus, déchets de taille, éclats corticaux) et un peu moins de 100 outils finis, parmi lesquels surtout des pointes Levallois, desracloirs, des bifaces. La disposition des matériaux qui constituent cette structure dţhabitat donne lţimpression qu'il y a eu là trois espace libres, dépourvus de pierres calcaires et de restes d'ossements. Orientés sud-sud- ouest (1,50 m de largeur), ces espaces ont été interprétés comme des entrées de lţabri. On a supposé que les parois se dressaient jusqu'à 1,60/1,70 m, leur structure de base étant formée de défenses de mammouth, la pointe dirigée vers le haut, et de grosses branches de conifères et d'os longs tells que fémurs et côtes, le tout soutenu à l'aide de pierres calcaires et de terre battue. L'ensemble de la construction était recouvert de peaux d'animaux fixées à la bas par des pierres et des molaires de mammouth.

Hypothese de reconstruction d’une structures d’habitat mousterien (type C) mis au jour a RIPICENI – IZVOR. En haut: squelette de la paroi, non recouvert de peaux d’animaux; en bas: squelette de la paroi recouvert de peaux d’animaux (d’apres A. Paunescu, 1989;1993) D'après la reconstitution d'Al. Păunescu (1989), la partie supérieure aurait été fixée par un système apparemment assez compliqué et qui, tel qu'il est conçu, aurait dû, à notre avis, laisser des traces sur les défenses de mammouth. L'abri restait, là aussi, à découvert. Si l'on accepte cette reconstitution, il reste à comprendre l'efficacité d'un pareil abri et la raison de sa forme circulaire, pour autant que sa destination ait été de protéger l'homme moustérien des vents qui ne soufflaient d'ailleurs que de la seule direction est - nord- est.

Des foyers moustériens ont été signalés aussi à Mitoc-Malul Galben, parmi lesquels certains étaient entourés d'un nombre relativement important de pieces en silex (C. S. Nicolăescu-Plopşor, N. Zaharia, 1959).

Grotte BORDUL MARE a OHABA PONOR:Foyers. 1. emplacement des foyers a l’interieur de la grotte ; 2. foyers dans la zone de l’entrée ; foyer a ;’interieur de la grotte – esquisse d’apres photo (1. fouilles de M. Roska ; foilles de J. Mallasz ; 3. fouilles de 1954 – 1955) Dans le cadre moustérien des Carpates méridionales, on remarquera les foyers de grotte Bordul Mare à Ohaba Ponor (fig. ). Le premier a été présenté par M. Roska (1933), après les fouilles de 1927, comme étant de grande taille, sans détails supplémentaires. Placé près de l'entrée, il était rempli de nucleus en quartz blanc et gris, de déchets de taille et d'outils finis. Le second foyer était constitué de dalles calcaires entre lesquelles se trouvaient des restes de cendres et de charbon; tout autour de ce foyer gisaient des outils lithiques et des éclats de débitage, ainsi que des ossements de divers animaux (M. Roska, 1929; B. Jungbert, 1982). Ce second foyer était situé près du précedent, dans la zone de l'entrée (fig. ) (C. S. Nicolăescu-Plopşor, N. Haas, Al. Păunescu, Alex. Bolomey, 1957). En fait, les deux foyer se trouvaient dans la même couche moustérienne III, tout comme un troisième foyer, d'ailleurs, mis au jour en 1954 (C. S. Nicolăescu-Plopşor et al., 1955).

Grotte BORDUL MARE a OHABA PONOR:Foyers. 1. emplacement des foyers a l’interieur de la grotte ; 2. foyers dans la zone de l’entrée ; foyer a ;’interieur de la grotte – esquisse d’apres photo (1. fouilles de M. Roska ; foilles de J. Mallasz ; 3. fouilles de 1954 – 1955) Ce dernier foyer est double: des blocs ont été superposés pour délimiter deux espaces intérieurs. Une dalle calcaire formait la base de la structure des deux foyers. De dimensions à peu près égales (35 cm de diamètre et 13 cm de profondeur), ils différaient toutefois par la forme: le foyer occidental était plutôt circulaire, le foyer oriental une sorte de qudrilatère. Ils contenaient de la terre noire meuble mélangée avec des restes de charbon de bois et quelques fragments d'os brûlès. A titre tout à fait hypothétique, on peut supposer que l'un des deux foyers de l'entrée fut un simple foyer à plat et l'autre un foyer à bordure de pierre, probablement bien aménagé au moyen de blocs agencés en couronne autour de l'aire de combustion (qui pouvait être creusée ou plane). Ce dernier aurait éventuellement pu servir comme foyer-veilleur, étant donné qu'il conservait mieux la braise et constituait également une source de chaleur et de lumière. Quant un foyer «double» de l'intérieur de la grotte, il pourrait s'agir d'un foyer principal, fréquemment associé à de grosses bûches, et un foyer secondaire, jouxtant le premier, formé de braises extraites du foyer principal.

Deux foyers sont mentionnés pour l'habitat moustérien de la grotte Gura Cheii de Râşnov. De forme quasi ovale tous les deux (1,05-1,75 m de diamètre et 13 cm d'épaisseur (fig. ) et respectivement 0,97-1,40 m de diamètre et jusqu'à 10 cm d'épaisseur), ces foyers sont simples et n'on pas été aménagés; leur remplissage contenait de menus morceaux de charbon, de la cendre, de petites pierres brûlées, des os cassés parfois brûlés (Al. Păunescu, 1991). La datation C-14 indique ± 900 B.P. (GrN ) pour le foyer inférieur et / B.P. (GrN ) et oo / B.P. (GrN ) pour le foyer de la partie supérieure de la couche moustérienne. L'esquisse générale du profil laisse à penser que la réalisation des deux foyers a nécessité une légère excavation dans le substrat, sans aménagement supplémentaire au moyen de pierres à la base ou autour de l'aire de combustion. Deux foyers sont mentionnés pour l'habitat moustérien de la grotte Gura Cheii de Râşnov. De forme quasi ovale tous les deux (1,05-1,75 m de diamètre et 13 cm d'épaisseur (fig. ) et respectivement 0,97-1,40 m de diamètre et jusqu'à 10 cm d'épaisseur), ces foyers sont simples et n'on pas été aménagés; leur remplissage contenait de menus morceaux de charbon, de la cendre, de petites pierres brûlées, des os cassés parfois brûlés (Al. Păunescu, 1991). La datation C-14 indique ± 900 B.P. (GrN ) pour le foyer inférieur et / B.P. (GrN ) et oo / B.P. (GrN ) pour le foyer de la partie supérieure de la couche moustérienne. L'esquisse générale du profil laisse à penser que la réalisation des deux foyers a nécessité une légère excavation dans le substrat, sans aménagement supplémentaire au moyen de pierres à la base ou autour de l'aire de combustion.

Il y aurait également un foyer dans la première partie de l'habitat moustérien de la grotte Curată de Nandru (C. S. Nicolăescu-Plopşor, Al. Păunescu, 1959), ainsi que dans la grotte Muierilor, à Baia de Fier (C. S. Nicolăescu- Plopşor, 1953). Mais les détails manquent là aussi. Il y aurait également un foyer dans la première partie de l'habitat moustérien de la grotte Curată de Nandru (C. S. Nicolăescu-Plopşor, Al. Păunescu, 1959), ainsi que dans la grotte Muierilor, à Baia de Fier (C. S. Nicolăescu- Plopşor, 1953). Mais les détails manquent là aussi.

Au Paléolithique supérieur, les fouilles de ces dernières années ont relevé l'existence à Lapoş d'ateliers nettement délimités (fig. ), avec un riche inventaire d'éclats, de nucléus, de lames et de déchets de débitage, qui comptent de nombreux percuteurs, enclumes en grès, voire en un grès dont le taux d'oxyde de fer était très élevé et qui servait probablement à préparer le plan de frappe. é Au Paléolithique supérieur, les fouilles de ces dernières années ont relevé l'existence à Lapoş d'ateliers nettement délimités (fig. ), avec un riche inventaire d'éclats, de nucléus, de lames et de déchets de débitage, qui comptent de nombreux percuteurs, enclumes en grès, voire en un grès dont le taux d'oxyde de fer était très élevé et qui servait probablement à préparer le plan de frappe. é

V. Chirica (1979) croit avoir identifié à Malul Galben (comm. de Mitoc, dép. de Botoşani) les trous d'éléments de soutènement formant le squelette de l'habitat. En gisements gravettiens à Poiana Cireşului (la ville Piatra Neamţ, dép. de Neamţ) on a observé, autour de certains foyers, de concentrations plus importantes des restes de décortication, des fragments de charbons et de nombreuses dalles en grès disséminées sur la surface entière (M. Carciumaru ).et à Lespezi (dép. de Bacău) un foyer en cuvette, flanqué du côté sud-est par une évidente accumulation d'os et de matériel lithique, semble constituer le centre d'un complexe d'habitat formé d'un mur au nord, d'un recouvrement probablement de branchage et de peaux d'animaux, ouvert vers la vallée de la Bistriţa. Structures d'habitats ont découvertes aussi à Pârâul Istrati (comm. de Mitoc, dép. de Botoşani), Bistricioara (dép. de Neamţ), Puricani-Poarta Bâzanului (comm. de Bereşti-Meria, dép. de Galaţi), etc.

Evidémment, le témoignage le plus direct concernant l'existance d'un habitat paléolithique et, par voie de conséquence, de chauffage et d'éclairage reste sans doute le foyer. Le foyer est l'endroit où l'on préparait et consommait la nourriture au Paléolithique il constitue, par conséquent, un moyen important permettant à l'archéologue de reconstituer l'habitat paléoethnographique. Il s'agissait de foyers allant des types les plus simples aux types les plus élaborés, creusés dans le sol et recouverts de dalles ou entourés de fosses (M. Bitiri, 1961). Les types suivants ont été définis: Evidémment, le témoignage le plus direct concernant l'existance d'un habitat paléolithique et, par voie de conséquence, de chauffage et d'éclairage reste sans doute le foyer. Le foyer est l'endroit où l'on préparait et consommait la nourriture au Paléolithique il constitue, par conséquent, un moyen important permettant à l'archéologue de reconstituer l'habitat paléoethnographique. Il s'agissait de foyers allant des types les plus simples aux types les plus élaborés, creusés dans le sol et recouverts de dalles ou entourés de fosses (M. Bitiri, 1961). Les types suivants ont été définis:

LESPEZI: foyer enfonce de fosses disposees a des distance inegales. 1. outillage et restes de decortication de silex ; 2. os ; 3. dents d’animaux ; 4. foyer ; 5. bois de renne ; 6.pierres

- foyers simples de surface: ce sont des taches de charbon et de cendre ou même de terre fortement brûlée, de couleur rouge. Dépourvus d'aménagement, ils sont souvent verts de profil plus en raison de la terre brûlée que de l'accumulation des restes de combustion facilement emportés par le vent et les eaux. Ils ont été définis récemment comme foyers à plats simples limites (A. Beeching, J. Gasco, 1989). Des foyers de ce type ont été retrouvés dans la vallée de la Bistriţa, à Poiana Cireşului-Piatra Neamţ (fig. ), Bistricioara (fig. ), Cetăţica, Podiş, Bofu, Lespezi (fig. ), Cotu Miculinţi, Mitoc-Malul Galben, Giurgiu-Malu Roşu. - foyers simples de surface: ce sont des taches de charbon et de cendre ou même de terre fortement brûlée, de couleur rouge. Dépourvus d'aménagement, ils sont souvent verts de profil plus en raison de la terre brûlée que de l'accumulation des restes de combustion facilement emportés par le vent et les eaux. Ils ont été définis récemment comme foyers à plats simples limites (A. Beeching, J. Gasco, 1989). Des foyers de ce type ont été retrouvés dans la vallée de la Bistriţa, à Poiana Cireşului-Piatra Neamţ (fig. ), Bistricioara (fig. ), Cetăţica, Podiş, Bofu, Lespezi (fig. ), Cotu Miculinţi, Mitoc-Malul Galben, Giurgiu-Malu Roşu.

Types de foyers du Paleolithique superieur: 1.Foyer de surfaceenoure de fosse de DÂRŢU-CEAHLĂU; 2. foyer a plat avec sole de pierres du gisment aurignacien de MALU ROŞU GIURGIU; 3. foyer simple de surface du gisment de BISTRICIOARA - LUTĂRIE; 4. trou de combustion a surface du gisment de BISTRICIOARA - LUTĂRIE; - foyers de surface entourés de fosses. Un exemplaire, de l'Aurignacien, a été découvert à Ceahlău-Dârţu (fig. ), un autre, du Gravettien, à Bistricioara-Lutărie. En fait, il s'agit d'une tache de cendre, de charbons de bois et d'os disperses sur environ 1,50 m c. A 15/20 cm du centre de foyer, dans quatre fosses de forme et de dimensions similaires, on a trouvé des restes de cendre, de charbon et d'os brûlés. L'interprétation donnée à ce système est la suivante: le feu était allumé dans le foyer principal, alors que les petits foyers étaient utilisés pour préparer les aliments et entretenir le feu.

- foyers de surface avec un trou centrale, comme à Poiana Cireşului- Piatra Neamţ (fig. - foyers de surface avec un trou centrale, comme à Poiana Cireşului- Piatra Neamţ (fig.

- foyers de surface recouverts de pierres, définis récemment comme foyers à plat à sole de pierres (A. Beeching, J. Casco, 1989) ou foyers plans ou faiblement dénivelés, aux limites diffuses, caractérisés par une accumulation très importante de pierres (P. Coudret, M. Larriere, B. Valentin, 1989). Cet type est illustré à Mitoc-Malul Galben pour le Gravettien et à Giurgiu-Malu Roşu pour l'Aurignacien (fig. ). - foyers de surface recouverts de pierres, définis récemment comme foyers à plat à sole de pierres (A. Beeching, J. Casco, 1989) ou foyers plans ou faiblement dénivelés, aux limites diffuses, caractérisés par une accumulation très importante de pierres (P. Coudret, M. Larriere, B. Valentin, 1989). Cet type est illustré à Mitoc-Malul Galben pour le Gravettien et à Giurgiu-Malu Roşu pour l'Aurignacien (fig. ).

- foyers en cuvette avec trous de combustion, foyers en cuvette, fosses-foyer, de formes très diverses, les plus connus sont ceux de Ceahlău-Cetăţica, dans l'Aurignacien et de Lespezi, dans le Gravettien. - foyers en cuvette avec trous de combustion, foyers en cuvette, fosses-foyer, de formes très diverses, les plus connus sont ceux de Ceahlău-Cetăţica, dans l'Aurignacien et de Lespezi, dans le Gravettien.

- foyers en cuvette couverts de pierres avec trous de combustion dallés, comme a été découvert à Bistricioara-Lutărie (fig. ) une foyer de forme ovale et l'intérieur recouvert de plaques de grés. Cinq trous de cm de diamètre et de 8-28 cm de profondeur étaient disposés, à des distances variables, autour du foyer. Leur fonction était probablement, tout comme dans le cas des foyers plats, la conservation du feu et la préparation des aliments. - foyers en cuvette couverts de pierres avec trous de combustion dallés, comme a été découvert à Bistricioara-Lutărie (fig. ) une foyer de forme ovale et l'intérieur recouvert de plaques de grés. Cinq trous de cm de diamètre et de 8-28 cm de profondeur étaient disposés, à des distances variables, autour du foyer. Leur fonction était probablement, tout comme dans le cas des foyers plats, la conservation du feu et la préparation des aliments.