LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA AU DÉBUT … C’était une époque de prospérité et d’optimisme ? Pourquoi ? C’était une époque de prospérité et d’optimisme ? Pourquoi ? Difficile au début … Difficile au début … Entre 1921 et 1923, beaucoup de petites entreprises fermaient leurs portes et des milliers se retrouvaient sans travail à cause d’une récession. Entre 1921 et 1923, beaucoup de petites entreprises fermaient leurs portes et des milliers se retrouvaient sans travail à cause d’une récession.

LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA AU DÉBUT … Plusieurs banques devaient fermer, ex : la Home Bank a fermé ses 71 succursales Plusieurs banques devaient fermer, ex : la Home Bank a fermé ses 71 succursales En 1919, le blé canadien était très demandé mais après la guerre l’Europe n’était pas capable d’en produire. En 1919, le blé canadien était très demandé mais après la guerre l’Europe n’était pas capable d’en produire. Au même temps, l’Australie et l’Argentine ont eu des récoltes records Dès 1921, les producteurs de blé d’Europe se remettaient à l’ouvrage Le prix du blé canadien chute de 2,45$ à 0,80$ le boisseau.

LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA … AU MILIEU … Vers 1924, l’économie mondiale se redressait et les produits canadiens étaient en demande. Vers 1924, l’économie mondiale se redressait et les produits canadiens étaient en demande. Ex : Le prix du blé  = fermiers … Aussi le bois, papier de journal et les métaux étaient très demandés. Ex : Le prix du blé  = fermiers … Aussi le bois, papier de journal et les métaux étaient très demandés. En général, les Canadiens prospéraient... En général, les Canadiens prospéraient... ils achetaient des voitures, radios, téléphones, etc. … à crédit !

LES ANNÉES FOLLES INVENTIONS – L’automobile Henry Ford conduit le 20-millionème Model-T de la chaîne de montage.

LES ANNÉES FOLLES INVENTIONS – La radio La radio était de bon marché et presque tout le monde en avait une.

LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA … AU MILIEU … Les gens allaient dans les boîtes de nuit pour écouter du jazz américain et danser le charleston. Les gens allaient dans les boîtes de nuit pour écouter du jazz américain et danser le charleston. Ils se ruaient dans les cinémas pour voir les vedettes du film muet. Ils se ruaient dans les cinémas pour voir les vedettes du film muet. Mais il y avait toujours les exclus … Mais il y avait toujours les exclus …

LES ANNÉES FOLLES LA MUSIQUE Duke Ellington Louis Armstrong

LES ANNÉES FOLLES LES ENGOUEMENTS (FADS) Vers la fin de la décennie, le mah-jong était remplacé par les mots-croisés.

LES ANNÉES FOLLES LES ENGOUEMENTS Danser plus de 30+ heures pour 1.000$.

LES ANNÉES FOLLES LES FILMS Le Cinéma Capitol d’Ottawa ouvre en Mary Pickford.

Baliverne !

Beaucoup d’argent

Un VIP

L’alcool

LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA LES EXCLUS La majeure partie de la population des Maritimes avait goûté à la prospérité pendant WW1, mais dès la fin des hostilités, les soldats et les marins avaient disparus et les employés civils à Halifax qui travaillaient pour les forces armées ont perdu leurs emplois. La majeure partie de la population des Maritimes avait goûté à la prospérité pendant WW1, mais dès la fin des hostilités, les soldats et les marins avaient disparus et les employés civils à Halifax qui travaillaient pour les forces armées ont perdu leurs emplois. Le lien entre les Maritimes et l’Europe pendant la guerre a disparu … comme les emplois . Le lien entre les Maritimes et l’Europe pendant la guerre a disparu … comme les emplois .

La fin de cette époque est arrivée en octobre 1929 avec le krach boursier à Wall Street. LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA LA FIN

Les actions : une part de propriété d’une société/entreprise. Les dividendes: les actionnaires étaient promis un partie des profits gagner par les sociétés. LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA LA FIN

 Le jeudi 24 octobre 1929, le marché boursier, a commencé à chuter.  Des gens envahissaient le New York Stock Exchange pour essayer de vendre leurs actions avant de perdre trop d’argent mais personne voulait les acheter.  le mardi 29 octobre Aussi connu comme « le mardi noir » LES ANNÉES FOLLES (1920s) AU CANADA LA FIN

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 DÉBUT DE LA CRISE Trop de gens achetaient leurs biens à credit. Trop de gens achetaient leurs biens à credit. Les dettes accumulaient. Les dettes accumulaient. Les spéculateurs n’avaient pas l’argent pour les payer et donc vendaient leurs actions dans le marché boursier. Les spéculateurs n’avaient pas l’argent pour les payer et donc vendaient leurs actions dans le marché boursier.

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 DÉBUT DE LA CRISE Les actions ont perdu toute valeur. C’était en octobre 1929 qu’on a le KRACH BOURSIER à New York. Le plus grave crise économique jamais vu dans l’histoire. Les actions ont perdu toute valeur. C’était en octobre 1929 qu’on a le KRACH BOURSIER à New York. Le plus grave crise économique jamais vu dans l’histoire. Car les économies de chaque pays au monde étaient liés à celle des États-Unis, le monde se retrouvait en crise économique aussi … y inclut le Canada. Car les économies de chaque pays au monde étaient liés à celle des États-Unis, le monde se retrouvait en crise économique aussi … y inclut le Canada.

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 RÉACTIONS À LA CRISE Au début, les gens ignorait la grave crise, même le P.M. Mackenzie King. Au début, les gens ignorait la grave crise, même le P.M. Mackenzie King. Ils pensaient que ce fut une « phase naturelle de l’économie ». Ils pensaient que ce fut une « phase naturelle de l’économie ».

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 RÉACTIONS À LA CRISE King décide d’aider seulement les provinces libéraux. King décide d’aider seulement les provinces libéraux. Il proclame son « discours des cinq cents » Il proclame son « discours des cinq cents » Il est allé trop loin … des élections s’approchaient. Il est allé trop loin … des élections s’approchaient. King fut remplacé en 1930 par R.B. Bennett. King fut remplacé en 1930 par R.B. Bennett.

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 RÉACTIONS À LA CRISE Tout le monde souffrait … ex : les fermiers de la Sask. = 1.614$/an (1928), puis 66$/an (1933). Tout le monde souffrait … ex : les fermiers de la Sask. = 1.614$/an (1928), puis 66$/an (1933). En 1933, le chômage au Canada était 28%. En 1933, le chômage au Canada était 28%. Alors le gvt. de Bennett donna des prêts aux provinces pour aider les fermiers et chômeurs, soit 255 millions de $ entre 1930 et 1935 … mais ce n’est pas assez. Alors le gvt. de Bennett donna des prêts aux provinces pour aider les fermiers et chômeurs, soit 255 millions de $ entre 1930 et 1935 … mais ce n’est pas assez.

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 RÉACTIONS À LA CRISE King et Bennett (au début) au Canada et Hoover aux É.-U. ont adopté le « LAISSEZ- FAIRE » économique pour régler la crise. King et Bennett (au début) au Canada et Hoover aux É.-U. ont adopté le « LAISSEZ- FAIRE » économique pour régler la crise. En autres mots, ils étaient de l’opinion que le gvt. et l’économie ne devraient pas se mélanger. En autres mots, ils étaient de l’opinion que le gvt. et l’économie ne devraient pas se mélanger. Ceci explique pourquoi ils l’ont appelé une « phase naturelle » de l’économie ! Ceci explique pourquoi ils l’ont appelé une « phase naturelle » de l’économie !

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 LE “NEW DEAL” CANADIEN Au milieu des années 1930, la fin de la carrière politique du premier ministre conservateur R.B. BENNETT semblait inévitable. Il doit oublier le laissez-faire pour sauver sa carrière politique ! Au milieu des années 1930, la fin de la carrière politique du premier ministre conservateur R.B. BENNETT semblait inévitable. Il doit oublier le laissez-faire pour sauver sa carrière politique ! Cherchant à remettre son parti à flot, il entreprend, le 2 janvier 1935, une série de discours radiodiffusés en direct, au cours desquels il trace les grandes lignes d'un « New Deal » canadien. Cherchant à remettre son parti à flot, il entreprend, le 2 janvier 1935, une série de discours radiodiffusés en direct, au cours desquels il trace les grandes lignes d'un « New Deal » canadien.

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 LE “NEW DEAL” CANADIEN Bennett propose … Bennett propose … une durée maximale de la semaine de travail une durée maximale de la semaine de travail un salaire minimum un salaire minimum une réglementation plus stricte des conditions de travail une réglementation plus stricte des conditions de travail l'assurance-chômage l'assurance-chômage

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 LE “NEW DEAL” CANADIEN … l'assurance contre la maladie et les accidents l'assurance contre la maladie et les accidents une révision des pensions de vieillesse une révision des pensions de vieillesse des programmes de soutien à l'agriculture des programmes de soutien à l'agriculture

LA GRANDE DÉPRESSION ET LES ANNÉES 1930 LE “NEW DEAL” CANADIEN Bennett en était très fier. Mais … est-ce qu’il était toujours P.M. après les élections de 1935 ? Bennett en était très fier. Mais … est-ce qu’il était toujours P.M. après les élections de 1935 ? En autre mots, est-ce que le public canadien était content avec le N.D. ? Est-ce qu’ils ont vu des résultats du N.D. ? En autre mots, est-ce que le public canadien était content avec le N.D. ? Est-ce qu’ils ont vu des résultats du N.D. ? Quelle surprise ! – Mackenzie King est réélu en 1935 avec le retour de laisser- faire. Quelle surprise ! – Mackenzie King est réélu en 1935 avec le retour de laisser- faire.