Le mystère de la chambre jaune Gaston Leroux
Edition : Le livre de poche Page : 350 Genre : policier Paru en 1907
Personnages principaux Mlle Stangerson (la victime) M. Stangerson (le père de Mlle Stangerson qui est un grand scientifique) Le père Jacques (le serviteur des Stangerson) Robert Darzac Frédéric Larsan (grand policier) Joseph Rouletabille (reporter) Sainclair-Leroux ( Narrateur et avocat, il suit l’enquête avec Rouletabille)
Lieux principaux et époque de l’action Lieux Le château du Glandier Un petit pavillon qui comporte la chambre jaune, le laboratoire de M.Stangerson et un grenier. Epoque En 1892
Commentaires J’ai bien aimé ce livre car il y a beaucoup de suspens et de mystère. J’étais vraiment plongée dans l’histoire et je l’ai trouvée passionnante. Il est assez long est assez dur à lire mais j’ai quand même réussie à suivre l’histoire. Il y a beaucoup de précision dans la manière dont Gaston Leroux raconte l’histoire. Je conseille ce livre pour les assez bons lecteurs.
Résumé Un soir, alors que le professeur Stangerson et son serviteur travaillait au château du Glandier, il entendit des appels au secours provenant de la chambre de sa fille (la chambre jaune). Immédiatement ils se ruèrent vers la porte de la chambre qui était précautionneusement fermée à doubles tours. Lorsque ils réussirent enfin à ouvrir la porte, ils découvrirent la jeune femme évanouie sur le plancher. Les seules traces qui restaient de l’assassin étaient :sur le mur, la marque d’une main ensanglantée et le revolver du serviteur. Joseph Rouletabille un petit reporter de 18 ans réussira à percer le mystère de ce meurtre incompréhensible.
Extrait - Père Jacques …Nous étions donc restés, M. Stangerson et moi, dans le pavillon. Nous ne faisions aucun bruit. Il était, lui, à son bureau. Quand à moi, assis sur une chaise, ayant terminé ma besogne, je le regardais et je me disais : « Quel homme! Quelle intelligence ! Que savoir ! ». Et tout à coup, pendant que le coucou faisait entendre la demie passé minuit, une clameur désespérée partit de la « Chambre Jaune ». C’était la voix de mademoiselle qui criait : « A l’assassin ! A l’assassin ! Au secours ! » Aussitôt des coups de revolver retentirent et il y eut un grand bruit de tables, de meubles renversées, jetés par terre, comme au cours d’une lutte, et encore la voix de mademoiselle qui criait : « A l’assassin !… Au secours !… Papa ! Papa ! »