Certains SLOGANS font perdre tout sens des réalités "On ne meurt plus d'un avortement » ?? Rien qu'en France, selon les statistiques officielles quelques 200.000 « IVG » par an soit une mortalité annuelle d'au moins 200.000 êtres humains
INCOHERANCES HUMANITAIRES ou SLOGANS DÉLIBÉRÉS ? Précarité, exclusion masquant celles qui frappent l'enfant à naître et le sujet handicapé ? Sécurité hospitalière que menacent les lobbies de l'avortement et de l'euthanasie ; Régularisation : aux termes de l'arrêt PERRUCHE, nos handicapés n'auraient rien à envier à des sans papiers ; Extrémisme : ne fonde-t-il pas toute notre législation en matière d'avortement ? Banalisation de la violence : ne sévit-elle pas aussi en milieu hospitalier ; Productivisme, scientisme inspirant les partisans du recours au trafic d'embryons cobayes ; Lutte contre toutes les formes de discrimination
« Têtes folles et cœurs d’or » A. HUBLET S.J. Des aléas d’une compassions ubiquitaire chez… L ’ Abbé Pierre Sœur Emmanuel Carol Bouquet Laurence Ferrari comme chez tant d’autres ! Le plus démuni d’entre nous n’est-il pas l’enfant à naître ?
…aux contradictions inconscientes (?) de l’écologie À quoi bon parler d’environnement (et celui des « unités d’I.V.G. ?) de pollution : (et celle des mœurs : divorce, multipartenariat ?) de pesticides (antihumains comme les pilules abortives ?) de biodiversité (menacée AUSSI par le diagnostic prénatal, le tri préimplantatoire des embryons et l'handiphobie) de développement durable… sauf pour l’enfant conçu
LES EXCLUS DE L’ÉCOLOGIE Les plus démunis d’entre nous seront-ils privés de développement durable ?
Pour une écologie incitative Nos lois bioéthiques ne peuvent qu’inspirer notre scepticisme envers l’écologie et, à terme, son rejet
échappant chaque année à ses « préoccupations » Slogan enfin : la H.A.L.D.E. 200.000 discriminés ou exclus échappant chaque année à ses « préoccupations »
Amalgame ou humanisme sélectif ? A moins de sous-entendre l’idée que l’enfant conçu appartient à une catégorie de sous-hommes, on n’aura répondu : ni à la question centrale à notre réflexion : qu’est-ce qui fonde certaines grandes consciences à stinguer les auteurs de massacres d’enfants conçus de tyrans accusés de massacres contre leurs peuples, sinon la qualité de leurs « exclus » ? ni à la question de savoir en quoi, relèverait de l'amalgame, le fait de confondre dans une réprobation commune, nombre de tyrans – ou, ne l'oublions pas, "prétendus" tyrans - et une bande de dirigeants occidentaux ruisselants de sang fœtal ?
Ici encore, même conclusion L’essentiel du débat bioéthique devrait répondre à cette question : « la dignité de personne est-elle oui ou non indissociable de l'humanité biologique d'un être vivant ? » Toute autre considération nous semble sans objet hors d’une réponse du législateur à cette question préalable
FIN sinon pour continuer cliquez sur à suivre LA LOGIQUE DE NOTRE LEGISLATION a)