Je vole au-dessus de mon corps Je vais à l'école de toutes les réponses Je suis l'entraînement des différentes forces Je passe au milieu des champs de bataille J'apprends les défauts de ma cuirasse. Le recul du temps panse les blessures : C'est la dimension de la solitude C'est le déchirement entre le temporel et l'intemporel. La sensation spirituelle doit obligatoirement baigner Dans un fleuve de sérénité. La société présente d'étranges attraits D'un côté Notre œuvre, avec ses imperfections. De l'autre Lœuvre, dans sa perfection !
Il paraît que les intoxiqués de l'espace Sont interdits de séjour sur cette planète. La bêtise confondit l'Intelligence et la Méchanceté. Heureusement que l'inconnu est. L'espoir réside en l'infini. La visite des sphères se poursuit de vies en vie, D'êtres en être, D'âmes en âme, De corps en esprit, De soi en moi, De moi en autres. J'ai capturé une explication au hasard d'une exploration. Maintenant que je l'ai : Je n'en possède pas le mode d'emploi. Impulsion créatrice se rétractant devant la législation. La liberté se vêt différemment d'un pays à l'autre. La force du mot se terre dans le mot. Je suis sorti de mon enveloppe Lorsque celle-ci est arrivée à destination. Je suis en quête, des... autres lettres. Texte tiré dAinsi écrivirent Quelques Esprits qui trouvèrent un Incarné Compatissant Auteur : Bernard VIOT Musique Toi qui disais, qui disais