Assez fou pour oser ? Témoignage fictif... CHER(E) AMI(E), et pourtant ils sont plus de 1000 président-syndics ou syndics bénévoles adhérents de l'ANCC CHER(E) AMI(E), C’est avec grande tristesse que nous vous faisons part du décès d’un ami très cher qui se nommait Syndic bénévole
…et qui a vécu de très nombreuses années parmi nous. Personne ne connaissait précisément son âge car le registre sur lequel était enregistré sa naissance a été déclassé, il y a bien longtemps, du fait de sa trop grande ancienneté.
Syndic bénévole ne vivait qu’avec des règles simples et pratiques, comme : « Ne pas dépenser plus que ce que l'Assemblée générale des copropriétaires a voté» « Gérer c'est prévoir » et des principes éducatifs clairs comme : « Je ne sais pas tout et je demande conseil »... à l'ANCC !
Hélas, Syndic bénévole a commencé à perdre pied quand les copropriétaires ont commencé à l'attaquer lui qui croyait avoir bien fait son travail bénévole
Syndic bénévole avait-il oublié qu'il y avait un Conseil syndical... Nonnnnnnnn !
Enfin,Syndic bénévole a perdu la volonté de survivre quand il a constaté que des copropriétaires « yaqua » ou « yapuka » recevaient une meilleure écoute lors des votes que ses conseils avisés.
Syndic bénévole a définitivement perdu toute confiance et toute attache à la vie quand il a appris qu’une copropriétaire qui n'est jamais venue aux assemblées générales en 10 ans l'a traîné devant les tribunaux pour n'avoir pas respecter l'article 1024.4.7 et 8 de la loi sur la copropriété, l'a fait condamné à 1 € de dommage et intérêts avec une peine de 3 jours de prison avec sursis alors que celle-ci a perçu une indemnisation colossale du syndicat des copropriétaires représentant 10 ans d'effort pour constituer un fonds pour les travaux de ravalement de la façade de l'immeuble.
Et comme vous le devinez sûrement, la mort de Syndic bénévole avait été précédée par : - la défaillance d'une large partie des copropriétaires absents aux assemblées générales - le peu de participation des membres au conseil syndical, fille d' « Irresponsabilité » et fils de « Désintérêt » pour la cause collective.
Il laisse toute la place à trois faux frères nommés respectivement : « Je connais mes droits » « C’est la faute de l’autre » « Je suis une victime de la société »
Certes, il n’y avait pas foule à son enterrement car il n’existe plus beaucoup de personnes qui le connaissaient vraiment, et peu se sont rendu compte qu’il était parti.
Mais si Vous, vous vous souvenez encore de lui et si Vous voulez raviver son souvenir, prévenez vos amis de la disparition de notre regretté Syndic bénévole en faisant par exemple circuler ce faire part…
Je suis partant pour reprendre le flambeau.. Qui veut me suivre ? Sinon, ne faites rien ! Un syndic pro sera bien heureux de s'occuper de vous ... si vous êtes financièrement « rentable », pour lui !