Merveilleux web ! web ! Le 15janvier 2008
Merveilleux web, qui fait vivre ensemble des êtres aux deux bouts de la terre ! Déjà en nous connectant nous bouillons d’impatience:
C’est que… nous allons à des rendez-vous, sans en avoir l’air !
Nous ouvrons nos fenêtres et, oh magie ! nos amis sont là.
Leur nom éclaire notre écran, et nous nous sourions. Nous nous précipitons sur eux: « hello »… « te voilà » !…
Nous nous inquiétons, nous nous interrogeons, nous nous interrogeons, les mots se bousculent, les mots se bousculent, le dialogue va bon train, le dialogue va bon train,
L’ami fait irruption près de nous, il n’est plus aussi loin. il n’est plus aussi loin. Puis le discours se calme, nous travaillons …
Mais la fenêtre ouverte sur nos amitiés sur nos amitiés veille avec bienveillance veille avec bienveillance à nos côtés. à nos côtés.
De temps en temps nous y revenons Incapables de nous laisser très longtemps. très longtemps.
Tout ce que nous faisons, nous nous le racontons: « et toi, tu fais quoi en ce moment ? » Et se sont des blagues, et ce sont des rires, et ce sont des rires,
C’est une bienveillance calmant vos soupirs, soupirs du manque, soupirs des maux. soupirs du manque, soupirs des maux.
Et quand nous avons tant envie d’entendre les voix amies, d’entendre les voix amies, Nous nous rejoignons sur des « chats » vocaux,
Pour le plaisir d’entendre les accents et les rires qui nous habillent le cœur de petits airs de fête et nous laissent longtemps la nostalgie en tête.
A tout moment nous savons ce que notre ami fait: ce que notre ami fait: Quand il se connecte, il apparaît, s’il nous écrit, nous savons à quelle heure, s’il nous écrit, nous savons à quelle heure, s’il quitte la fenêtre il nous prévient: s’il quitte la fenêtre il nous prévient:
« je vais manger, et je reviens »…
Nous vivons à son heure et de lui et de lui nous savons tout ! nous savons tout !
Mieux que notre voisin qui vit tout près de nous! Sa présence concrète nous manque cruellement, Mais tout aussi réelle, elle est là et se sent. elle est là et se sent.
Parfois la nuit, quand tout se tait et dort, nous semblons seuls au monde, avec l’ami encore.
Car l’immense toile, que recouvre la terre, est remplie de lieux nourris d’intimité, Où s’échangent les secrets, en grand mystère. en grand mystère. Il nous coûte d’éteindre, car là, nous existons … car là, nous existons …
Mis en image par Jacotte « du petit monde de jacotte » « du petit monde de jacotte » Sur un texte écris par un grand poète Monsieur Camille LABRECQUE Monsieur Camille LABRECQUE qui m’a fait l’honneur de me le prêter qui m’a fait l’honneur de me le prêter musique : concerto n° 21 de Mozart. Cliquez sur le lien et vous serez directement sur mon site.
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