RReShar (Regeneration and Resource Sharing )

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Evaluation de l ’efficacité des coupures de combustible
Advertisements

en Modélisant les Ecosystèmes aNTropiques »
Processus de croissance dans un modèle de dynamique de population structuré en longueur Michel Bertignac et Stéphanie Mahévas Laboratoire RH, Lorient Laboratoire.
Mesure de l’architecture des arbres
Séminaire bois énergie du 14 mars 2006
Dynamique de l’Eau et des éléments associés dans les Bassins versants Agricoles Rôle du milieu physique et des structures paysagères dans la réponse des.
Effet de la taille de l’arbre sur sa sensibilité au climat
Rencontre Thèses des bois - Bordeaux - 30/01/2009 Page 1 Jérôme MOREAU - FCBA Impact de pratiques sylvicoles intensives sur les propriétés technologiques.
Bilan de carbone de l’écosystème forestier aquitain de pin maritime
GIS Incendies de Forêt, Aix-en-Provence, 3 juin 2005
A. TAYEBI Direction : S. JAILLET D. GASQUET J-J. DELANNOY Lutilisation des SIG pour létude de la vulnérabilité des eaux karstiques dans un milieu méditerranéen.
Epandage de produits résiduaires sur parcelles boisées
Étude de micro-organismes : Bactéries, levures, protistes
Étude de micro-organismes : Bactéries, levures, protistes
Développement d’un modèle de dynamique des populations structuré en longueur – Application au merlu de l’Atlantique Nord-Est Hilaire Drouineau (EMH)‏ Directrice:
Spectrophotométrie.
Etude longitudinale d’essais multilocaux: apports du modèle mixte
Améliorations du schéma de rayonnement
Utilisation d’un SVAT, de la HR à la BR: étude d’impact
Fonction de la membrane plasmique
Spectrophotométrie Les solutions colorées ont la propriété d’absorber un domaine de longueur d’onde du spectre visible.
Dynamique des populations et structures spatiales contexte, démarche, exemple, perspectives.
Méthodes d’évaluation du bilan de carbone forestier
Les ressources forestières du Québec
Autres outils de diagnostic de l’impact : modélisation d’un écosystème
Gestion de la végétation forestière Cruciale pour des plantations réussies Nelson Thiffault, ing.f., Ph. D. Colloque TRIADE 28 mai 2013.
Université SAAD DAHLAB Faculté des sciences Département de physique
Mario Buitrago, Alain Paquette, Nelson Thiffault,
Les mécanismes de résistance à la sécheresse chez les arbres
Sensibilité des espèces forestières à la sécheresse
Plan du cours Introduction - Cycle de l’eau
Unité de Gestion des Ressources forestières et des Milieux naturels Modélisation du transfert radiatif en forêts feuillues ardennaises : adaptation de.
L’eau La plante et le sol
Vision des couleurs et spectrophotométrie
TR sedyvin Aix-En-Provence 25 et 26 janvier 2011 Unité de Gestion des Ressources forestières et des Milieux naturels Ligot Gauthier Prémices de modélisation.
Fire Star Symposium conclusif: Marseille 18 mars Fire Star Session 1: Les principaux résultats de Fire Star Comment fonctionne le système Fire Star.
Physiologically Structured Population Models. Modèle de population non structurée Un exemple de modèle Ressource Consomateur classique: Rozenweig – McArthur:
Rappel: Équilibre acide-base Spectrophotométrie
Cluster de recherche « Environnement »
Samia Talbi (Nico L’invisible)
EQUIPE des FEUX de l’IUSTI 4 Permanents: A. Kaiss (Maître de Conférences) J.C. Loraud (Professeur) B. Porterie (Professeur) J.L. Consalvi (Maître de Conférences)
Fire Star 18 Mars 2005Fire Star - Symposium conclusif, Marseille 1 Description et modélisation du combustible Fire Star 18 mars 2005, Marseille.
Pourquoi le Niger ne parvient-il pas à sortir des famines chroniques ?
Par Thomas Mazurié (Projet en cours) Stage en cours de réalisation au CIDETEQ, au MEXIQUE.
ECOLE NATIONALE SUPERIEURE D’HYDRAULIQUE Présentée par : TOUMI Samir Réalisée dans le cadre du projet :
Évolution des peuplements
LES PEUPLEMENTS DE PIN MARITIME ET L’EAU
Chapitre 8: Absorbance et concentration
OBSERVER COULEURS ET IMAGES.
Couche limite atmosphérique Conditions frontières.
Couche limite atmosphérique Conditions frontières.
Angél que présentent Projet Anne-Laure Berrée, Stéphanie Charlet,
Couche limite atmosphérique Conditions frontières (suite)
Couche limite atmosphérique Micrométéorologie. Limitations des théories K Ces fermetures sont extrêmement dépendants du type de turbulence. Les valeurs.
Un projet de « métamodule » dans Capsis pour simuler l'évolution de massifs forestiers à partir des modules existants P. Vallet 1, T. Cordonnier 2, V.
Paris 14/6/2010 GIS GC HP2E Séminaire Gestion quantitative de l’eau Bilans hydriques des systèmes Eléments de caractérisation des systèmes vis-à-vis de.
L’écologie des populations
Couche limite atmosphérique
Une approche de modélisation hydrologique distribuée pour les bassins versants urbains : de la parcelle cadastrale au bassin versant Modélisation hydrologique.
Saint-Homer CAZAL Patrick HEURET Valérie TROISPOUX Niklas TYSKLIND
Structure et Dynamique des Forêts Tropicales Humides
Couche limite atmosphérique Conditions frontières (suite)
Couche limite atmosphérique Conditions frontières.
a-Spectroscopie UV-Visible. Couleur d'une espèce chimique
Gauthier Ligot 1, Philippe Balandier 2, Hugues Claessens 1 1 Univ. de Liège, Gembloux Agro-Bio Tech, Forest Resource Management, Belgium 2 Irstea, U.R.
Réunion VURCA, 27 janvier 2011, CIRED, Paris Projet VURCA Tâche 3 : Vulnérabilité des villes aux canicules A.L. Beaulant, A. Lemonsu, S. Somot, V. Masson.
Un exemple de valorisation réussie de produits de la recherche Myriam Legay, ONF, DFRN-RDI 19 Décembre 2014 CAPSIS et les guides de sylviculture 50 ANS.
Caractéristiques de la première éclaircie dans les peuplements de Pin maritime des Landes de Gascogne Céline Meredieu, Thierry Labbé, Lucie Rupil Cécile.
ʺ Liens entre fonctionnement et biodiversité du sol pour limiter l’érosion hydrique, dans différents cas d’utilisations des terres ʺ VOLET 1 - COMPRENDRE.
P. Todoroff, H. Renaud, A. Bury, N. Boyer, N. Baghdadi, A. Bégué LES RECHERCHES EN COURS EN AIDE A LA PRODUCTION DE CANNE A SUCRE A PARTIR D’OUTILS DE.
Transcription de la présentation:

RReShar (Regeneration and Resource Sharing ) Un modèle pour la régénération et le partage des ressources sous CAPSIS Noémie Gaudio, Nicolas Donès, Philippe Balandier, François de Coligny

RReShar : Les choix actuels Définie à l’échelle de la cellule Couche poreuse Plurispécifique, non spatialisée Croissance = f (lumière/eau) Défini à l’échelle de la cellule Non individualisé Plusieurs cohortes / cellule Croissance = f (lumière/eau) Modèle Individu centré spatialisé Croissance = OakPine (ou f(stat)) Grille ~100m x 100m Cellule ~ 3 à 5m Pas de temps annuel 3 composantes sur « une grille »: Arbres adultes (plusieurs espèces) Cohortes de régénération Végétation de sous-bois

Les 3 composantes du modèle. Arbres adultes arbres spatialisés formes de houppiers croissance = T. Pérot (Oak-pine) croissance = f (lumière) , g (eau) Régénération haute (Hrégé>Hvég) N cohortes = distribution de diamètres Hauteur n semis / cohorte espèce Végétation interférente % couvert Hauteur espèce Régénération basse (Hrégé<Hvég)

Le partage de la lumière. Sonohat et al. 2004 SAMSARA (B. Courbaud) I’ Fonctions Sources k Sonohat et al. 2004 G D pins cohorte I’’ / I’ = exp (-k*G) k = coefficient d’extinction G = surface terrière I’’

Le partage de la lumière. SAMSARA (B. Courbaud) I’ Fonctions Sources k Sonohat et al. 2004 G D pins cohorte I’’ / I’ = exp (-k*Gpins) I’’ I’’’ / I’’ = exp (-k*%Covervégétation) k = coefficient d’extinction k expés forêt, pépinière % couvert = f (I’’) I’’’= lumière dispo pour la régénération basse

Le partage de l’eau (non implémenté) Apports en eau (pluie) Pertes en eau (évapotranspiration) Water arbres adultes W’ = W * Gap fraction, sp. ETR = ETP* f -(sp, SWC, cover ?) W’’ = f (W’, Grégé) ETP = f(I, T°, HR) W’’’ = f (W’’,cover) RU max Soil Water Content p SWCt

SWCt = f (pluie, gap fraction, SWCt-1, ETP) Le partage de l’eau. Apports en eau (pluie) Pertes en eau (évapotranspiration) Water arbres adultes ETR = ETP* f -(sp, SWC, cover ?) SWCt = f (pluie, gap fraction, SWCt-1, ETP) SWC simulée SWC mesurée RU max Soil Water Content p SWCt

Croissance de la régénération. = f (lumière), g (eau)… + dépend de la dimension courante pour les arbres de H > 30cm

Croissance de la végétation. = f (lumière, espèce), g (eau) Callune, fougère, molinie

t I W croissance mortalité jour mois régénération, végétation (arbres adultes) rayonnement global = direct + diffus Imois, P, T°, sol (Rmax), espèce sous-bois Variables d’entrée mortalité Apports en eau P’régé haute = f(P, gap fraction) P’’vég = g(?) P’’’régé basse = h(P’’,Covervég) P’’’’sol = i(P’’, ?) Pertes en eau ETP = f(I’, T°, HR ?) ETR = ETP + g-(espèce, SWC, Covervég) Teneur en eau du sol (dispo pour les pins) SWC = f(P’’’, ETR, Rmax) Pins : Dpins, H/Dpins = f(I’’’, SWC) Hpins = g(H/Dpins) Végétation : Cover, H = f(I’’) + peuplement adulte (oak-pine) Pins : Dpins, H/Dpins = f(I’’’, SWC) Hpins = g(H/Dpins) Végétation : Cover, H = f(I’’) = f(I, SWC?, t) I’régé haute = f(I) SAMSARA I’’vég = g(I’, kpins, Gpins) I’’’régé basse = h(I’’, kvég, Covervég) I’’’’sol = i(I’’, kpins, Gpins) Fonctions

RReShar : Et ensuite…? Continuer à travailler sur la « carrosserie » de RReShar Intégrer les données hydriques Adapter le modèle de lumière (interception du sous bois – régé) Tester / Valider / Valoriser Etc…

MERCI ! Yann Dumas Sandrine Perret Michel Bonin Gwenaël Philippe Aurélien Brochet Michel Bonin Gwenaël Philippe Christian Ginisty MERCI !

RReShar : Où on en est? Noyau Capsis Bibliothèques partageables Capsis GModel RRSModel loadInitStand( ) initializeModel( ) calculateCohortsFromLight() calculateUnderstoreyFrom Light() processEvolution(step, nbY,clim) RGStand GTCStand GStand RRSStand RGPlot RRSPlot RectangularPlot GPlot RGCell waterQ waterRU getEnergy() GCell SquareCell RRSCell RGTree GMaddTree GTree RRSTree process Groth() RRSSpecies RGSpecies Speciable Species Bibliothèques partageables Capsis RRSCohort RGCohort species height number RGUnderStorey height density RRSUnderstorey Modules / Modèles SLCellLight cellLight treeLight SLTreeLight SLModel slModel Bibliothèques SamasaraLight

coefficient d’extinction Le partage de la lumière. Interception de la lumière dans un milieu trouble = loi de Beer-Lambert I = I0 x exp – ( k*L*C) I / I0 Transmittance coefficient d’extinction milieu trouble I lumière disponible en sortie I0 lumière incidente Longueur du trajet Concentration du milieu