ANNIVERSAIRE LE 24 Février 2007 Restaurant Mendi-alde à Osses Voici 60 ans déjà que je suis né à Hendaye (le 22/01/1947) au Bas-quartier, le jour de la Bixintxo, rue du Lavoir, maison Mujica, Située au pied de l'église St Vincent. Pour fêter cet événement parents et amis furent réunis autour dune bonne table afin de passer ensemble une journée inoubliable. Milesker deneri/Merci à tous Une pensée pour ceux qui nous ont quitté et en particulier pour Aïtatxi Firmin et Amatxi Pilar mes parents et Aïtatxi Robert et Mamie Gabriella mes beaux parents. Ohakoan dena ikasten, ez da jagoiti ahazten Ce qui est appris dans le berceau n'est jamais oublié Zorionak Aïtatxi
ANNIVERSAIRE LE 24 Février 2007 Restaurant Mendi-alde à Osses Voici 60 ans déjà que je suis né à Hendaye (le 22/01/1947) au Bas-quartier, le jour de la Bixintxo, rue du Lavoir, maison Mujica, Située au pied de l'église St Vincent. Pour fêter cet événement parents et amis furent réunis autour dune bonne table afin de passer ensemble une journée inoubliable. Milesker deneri / Merci à tous Une pensée pour ceux qui nous ont quitté et en particulier pour Aïtatxi Firmin et Amatxi Pilar mes parents et Aïtatxi Robert et Mamie Gabriella mes beaux parents. Ohakoan dena ikasten, ez da jagoiti ahazten Ce qui est appris dans le berceau n'est jamais oublié Zorionak Aïtatxi
Mundurat Eman Ninduzun Paroles: Xalbador Musique : Benito Lertxundi Ama, nola zure belaunetan nindadukazun denboran, utz nezazu zure bularrean burua pausa dezadan; ene bihotzak zer sendi duen nahi baiterautzut eman,zure ezpain sakratuetarik ikasi nuen mintzairan. Ene deia amodioaren bidez zinuen entzun,eta gero oinazen erdian mundurat eman ninduzun; biziaren grazia lehenik, gero hoinbertze maitasun, berant jakin dut, ama maitea, zendako eman dautasun. Adierazi zerautanean odolak bere mintzoa,berriz gogoratu zitzerautan, o ama, zure altzoa; bai ta zure bularretik hartu esne on haren gozoa, orduz geroztik zurea naukan ene izaite osoa. Mundurat Eman Ninduzun Paroles: Xalbador Musique : Benito Lertxundi Mère, comme au temps où j'étais sur vos genoux laissez-moi poser ma tête sur votre poitrine, parce que je veux vous donner ce que ressent mon coeur, dans la langue que j'appris de vos lèvres sacrées. Par l'amour vous aviez entendu mon appel, et, en suite, au milieu des souffrances, vous m'avez mis au monde, la grâce de la vie d'abord, et, en suite, tant d'amour, tard j'ai appris maman chérie, tout ce qui m'a été donné. Quand mon sang fait entendre sa voix, je me remémore, ô maman, votre sein, oui et de la douceur du bon lait de votre poitrine, depuis lors tout mon être est à vous. Beñat-Ama-Bixente