Cliquer pour changer de diapo La belle époque la vie au bistrot Tableaux de Jean Béraud Musique : Lina Margy – Ah le petit vin blanc Cliquer pour changer de diapo
Jean Béraud, partie 2 En 1872, il suit les cours de Léon Bonnat, un des artistes influents de l'époque. Il occupe un atelier dans le quartier de Montmartre. Dès l'année suivante, il quitte l'atelier du maître et expose au Salon, le grand rendez-vous annuel de l'art, lieu de la reconnaissance auprès de ses pairs, mais aussi des scandales. Il fait ses premières armes avec des portraits d'hommes, de femmes et d'enfants avant de se risquer en 1875 à un thème mythologique avec une Léda. Il n'est qu'un portraitiste parmi d'autres. Il lui faut attendre 1876 pour attirer une véritable attention sur son oeuvre. Ce succès, il le doit à la première vue d'une scène de rue parisienne. « Le Retour de l'Enterrement » tient à l'originalité du sujet: après la cérémonie funèbre, parents et amis du défunt retournent à leurs affaires, un homme allumant un cigare, les autres bavardant. La vie reprend. Au cours des années 1880, sa notoriété ne cesse de s'accroître. Rançon du succès, il est victime d'une affaire de contrefaçon concernant « Le Retour de l'Enterrement ». 1886 est marquée par le deuil: sa mère décède à Paris. L'année suivante, Béraud est nommé chevalier de la Légion d'honneur. Il expose de plus en plus souvent hors du Salon: au Cercle de l'Union artistique, à la Société d'aquarellistes français, à l'Exposition universelle de 1889. Très actif dans le milieu de l'art, il participe en 1890 à la création de la Société Nationale des Beaux-arts, en compagnie de Rodin, de Meissonier et de Puvis de Chavannes.
Au Bistro l’ennui
Au café
Buveurs d’absinthe
Scène au bistrot
Au café
Partie de billard au café
Partie de billard au café
Partie de billard au café
La lettre
Le Mont de Pitié ou chez ma tante
La Madeleine chez le Pharisien
Portrait d’un Homme élégant
Chalet du cycle au bois de Boulogne