A une passante, de Charles Baudelaire

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Transcription de la présentation:

A une passante, de Charles Baudelaire Exercice de Moulin à paroles : A chaque diapo, un type de mot est mis en couleur, puis enlevé. A vous de les retrouver !

A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

A une passante La rue assourdissante autour de moi _/_. Longue, mince, en grand deuil, douleur _/_/_/_, Une femme passa, d'une main _/_/_ Soulevant, balançant le feston et l’ _/_; Agile et noble, avec sa jambe de _/_. Moi, je buvais, crispé comme un _/_/_/_, Dans son œil, ciel livide où germe l’ _/_/_, La douceur qui fascine et le plaisir qui _.

A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

A une _/_ La _ assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand _, _/_ majestueuse, Une _/_ passa, d'une _ fastueuse Soulevant, balançant le _/_ et l‘_/_ ; Agile et noble, avec sa _/_ de _/_. Moi, je buvais, crispé comme un _/_/_/_, Dans son _, _ livide où germe l‘_/_/_, La _/_ qui fascine et le _/_qui tue.

A une _/_ La _ assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand _, _/_ majestueuse, Une _/_ passa, d'une _ fastueuse Soulevant, balançant le _/_ et l‘_/_ ; Agile et noble, avec sa _/_ de _/_. Moi, je buvais, crispé comme un _/_/_/_, Dans son _, _ livide où germe l‘_/_/_, La _/_ qui fascine et le _/_qui tue.

A une _/_ La _ assourdissante autour de moi _/_. Longue, mince, en grand _, _/_ majestueuse, Une _/_ _/_, d'une _ fastueuse _/_/_, _/_/_ le _/_ et l‘_/_ ; Agile et noble, avec sa _/_ de _/_. Moi, je _/_, crispé comme un _/_/_/_, Dans son _, _ livide où _/_ l‘_/_/_, La _/_ qui _/_et le _/_qui _.

A une _/_ La _ assourdissante autour de moi _/_. Longue, mince, en grand _, _/_ majestueuse, Une _/_ _/_, d'une _ fastueuse _/_/_, _/_/_ le _/_ et l‘_/_ ; Agile et noble, avec sa _/_ de _/_. Moi, je _/_, crispé comme un _/_/_/_, Dans son _, _ livide où _/_ l‘_/_/_, La _/_ qui _/_et le _/_qui _.

A une _/_ La _ _/_/_/_ autour de moi _/_. _/_, _, en _ _, _/_ _/_/_/_, Une _/_ _/_, d'une _ _/_/_ _/_/_, _/_/_ le _/_ et l‘_/_ ; _/_ et _, avec sa _/_ de _/_. Moi, je _/_, _/_comme un _/_/_/_, Dans son _, _ _/_où _/_ l‘_/_/_, La _/_ qui _/_et le _/_qui _.

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut- être! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive _/_ Dont le regard m'a fait soudainement _/_ Ne te verrai-je plus que dans l_/_/_/_? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais _/_? Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où _ _ Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le _/_! Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut- être! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857

Un _/_... puis la _! - Fugitive _/_ Dont le _/_m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’ _/_/_/_? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut- être! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! ******* **********, Les ****** du *** , 1857

Un _/_... puis la _! - Fugitive _/_ Dont le _/_m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’ _/_/_/_? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! ******* **********, Les ****** du *** , 1857

Un _/_... puis la _! - Fugitive _/_ Dont le _/_m‘_ _ soudainement _/_, Ne te _/_-je plus que dans l’ _/_/_/_? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être! Car j‘_/_ où tu _, tu ne _ où je _, Ô toi que j‘_ _/_, ô toi qui le _/_! ******* **********, Les ****** du *** , 1857

Un _/_... puis la _! - Fugitive _/_ Dont le _/_m‘_ _ soudainement _/_, Ne te _/_-je plus que dans l’ _/_/_/_? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être! Car j‘_/_ où tu _, tu ne _ où je _, Ô toi que j‘_ _/_, ô toi qui le _/_! ******* **********, Les ****** du *** , 1857

Un _/_... puis la _! - _/_/_/_ _/_ Dont le _/_m‘_ _ _/_/_/_ _/_, Ne te _/_-je _que dans l’ _/_/_/_? _/_, _ _d‘_/_! _ _! _/_ _/_! Car j‘_/_ où tu _, tu ne _ où je _, Ô toi que j‘_ _/_, ô toi qui le _/_! ******* **********, Les ****** du *** , 1857