Le Personnage de Menaud
Le Plan de mon expose 1) Qui est Menaud? 2) Description Physique de Menaud 3) Son rôle dans l’histoire 4) Une analyse de son comportement social et sa relation avec nature 5) Comment Menaud change à travers l’histoire
Qui est Menaud? Le personage principal Sa role actoriel Un père Un veuf Un draveur mais il a aussi tous les compétences d’un argriculteur, coureur de bois et un chasseur.
Description Physique de Menaud « L'homme était beau à voir. Droit et fort malgré la soixantaine. La vie dure avait décharne a fondé son visage, y creusant des rigoles et des rides de misère, et le colorant des mêmes ocres et des mêmes gris que les maisons, les rochers et les terres de Mainsal » (Savard, 25).
Le Contraste de sa Description Physique Caractéristiques d’un homme jeune Caractéristiques d’un homme vieux « droit et fort » « beau » « décharné » « rigoles » « rides » « le colorant ocres et gris »
Le Protecteur L’héritage « […] dès qu’il vit les champs, les bois, les lacs, et, là- bas, le grand frontal bleu de la montagne, Menaud arrêta sa bête, et montrant ce qu’il avait sous les yeux : « Pour défendre tout cela, je donnerais ma vie » dit-il à Marie ». (Savard, 96). « Parce que lui, Menaud, devait à ses pères de ne pas abâtardir sa race » (Savard, 77) « […] chasser le traître loin de sa maison » (Savard, 153). «[…] venger, oui! venger la terre, les sentiers libres, le passé, les grands morts » (Savard, 139). -« il ne consentirait à se laisser dépouiller de l’héritage » (Savard, 122).
Son Comportement Social Menaud n’est pas très sociable. Il préfère être seul. « Menaud s’était plonge dans l’ombre et jonglait » (Savard, 140) « Menaud, lui, jonglait à l’ écart » (Savard, 39)
La relation de Menaud avec la nature Menaud a une relation plus proche de la nature qu’il a avec les gens. « Il se sentait libre enfin, humant l’air vif, et jouissant de revoir cette longue bande de foret riveraine » (Savard, 55). « Il serait dur, sans doute, de quitter la montagne, au moment où la lumière, le long des arbres coulait comme un miel doré que buvait la terre; dur de tourner le dos, demain, à ces belles choses dont il connaissait la loi, le cri, l’instinct » (Savard, 60). « Cette nature, elle semblait l’aimer depuis le jour, lointain déjà, ou il s’était appliqué à la connaitre » (Savard, 60).
Comment Menaud change à travers l’histoire Trois parties Menaud avant le mort de Joson Menaud après le mort de Joson La Retour de Menaud (Quand Menaud et Lucon fait l’équipe)
Menaud avant le mort de Joson Content et tranquille « Il avait retrouvé ses ailes, repris ses élans de jeunesse, et avec Joson, son fils, il passait le printemps, l’automne et les premiers mois des longs hivers dans la montagne dont il était roi » (Savard, 26). Il est pleine d’espoir « Les étrangers empiétaient sur les rivières, le lac, le foret, la montagne. Mais Joson, d’âme libre et fière, prendrait le burgau et, quelque jour, lancerait un appel à la liberté » (Savard, 64).
Menaud après le mort de Joson Il est triste et muet « Maintenant, les soirées sont tristes chez Menaud » (Savard, 69). « un homme qui ne parlait presque plus, et refermait sur lui-même la chape noire de ses pensées de mort » (Savard, 70). « les regards de Menaud partaient vers les monts ou, peut-être, il ne retournerait jamais plus; » (Savard, 72). Il est sans espoir « Et voilà que tout ce beau rêve gisait là, devant lui, sans espoir maintenant » (Savard, 64). Il perd son désir à observer la nature «Maintenant, il n’allumait plus sa lampe qu’a l’heure des étoiles » (Savard, 70). Il devient un peu violent « ce spectacle soulageait dans son cœur son besoin de violence » (Savard, 78).
La Retour de Menaud (Quand Menaud et Lucon fait l’équipe) Il retrouve l’espoir Il devient très dévoué et avide « les deux hommes parlaient peu, s’avançant obliques et durs comme des proues (…) Menaud, lui, toujours en tête » (Savard, 136). « Menaud marchait, marchait toujours, en tempête, escaladait les raidillons, s’agriffait aux branches, sans trêve, (…) » (Savard, 144). il s’échappe le garde de Marie à garder les montagnes (pg 152). Il donne « les avertissements » (pg 153-154).