Colère paysanne Mettre le son à fond.
Comment ils s ’appellent vos ânes ? Hollande et Sarkozy.
A l ’Elysée, voir un de tes cousins. Où tu m ’amènes ?
Et si un jour, tous les paysans de France, arrêtent d ’alimenter le marché de Rungis ?
Le moindre abruti de Daesh que je vois sur mon terrain, c ’est deux cartouches.
Raymonde, notre coq se fait vieux. Compris, ce soir je fais un poulet frites.
Tu peux me rappeler combien touche un paysan à la retraite ? Moins qu ’un migrant.
Une fois tout payé, il nous restera 13 € 20 pour vivre.
Elles sont pourries tes patates. C ’est pas grave, c ’est pour l ’Elysée.
Chérie, pour s ’en sortir, il faut que notre poule ponde 322 œufs par jour. OK je vais lui dire.
Notre Député. Simone la machine fait du bruit, tu as mis quoi dedans ?
Imaginez que le Président vienne manger chez vous lundi vers midi. Il doit me rester un peu de mort au rats dans la cave.
Si un jour les vieux reviennent sur terre, il y a des baffes qui vont partir.
Le monde paysan se meurt. Ils vont bientôt manger des cailloux nos politiques.
Lucien, tu vas voter pour qui aux prochaines élections ? T ’inquiète, j ’ai mon idée.
Nous faisons tout pour sauver le monde agricole français. Je pense que tu devrais t ’échapper rapidement du salon.
Il pique un peu votre fromage. C ’est sans doute le cyanure.
Rappelle nous combien elle gagne la Pénélope ? Les yeux dans les yeux, le monde paysan en a un peu ras les fesses.
Ils sont en train de tuer l ’agriculture française. Ils vont le payer un jour ou l ’autre.
Je fais un gros bisou à tous ces abrutis de DAESH, avec la langue bien sûr.
Monsieur le Ministre de l ’agriculture vient vous voir. Je lui donne trois secondes pour remonter dans sa voiture.
Tu as pris tes cachets ce matin ? Marcel, je veux la même paye que la Pénélope.
Tu vas faire fortune à l ’Elysée. J ’ai inventé la machine à détecter les mensonges.
C ’est quoi cette bague en or ? Zut, c ’est la bague de Fillon.
Macron, Fillon, Hamon, la France d ’en bas en a plein les couil....
Nous n ’avons pas la paye de Pénélope, mais nous sommes heureux, point barre. Je confirme.
Fin Ne jamais oublier, que la France d ’en bas, peut vivre sans la France d ’en haut. Fin