La Nuit me parle de Toi..

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
J'ai encore rêvé d'elle C'est bête, elle n'a rien fait pour ça Elle n'est pas vraiment belle C'est mieux, elle est faite pour moi Toute en douceur Juste.
Advertisements

Cette Nuit là … Mon rêve prenait vie ....
Mon enfer changé en joie !
Seigneur, tu veux dans ta sagesse,
Si tu savais comme j'aimerais ..
Ma Mamie ! Moi j’ai une Mamie , une vraie , avec des cheveux
J’ai reçu ce diaporama en anglais d’une personne qui m’a demandé de le traduire. Il n’était pas signé ; j’en ignore donc l’auteur. Je vous l’offre à tous.
J'ai rêvé de toi.
Lettre aux Enfants.
Chant : Jean-Claude Gianadda.
La lettre d’un bébé à sa maman
Ma fille Cliquez pour débuter.
Mon fils Le jour òu tu trouveras que je suis devenue trop vieille essaie d’avoir un peu de patience envers moi et essaie surtout de me comprendre, mon.
D'une mère à sa fille Cliquez pour débuter.
Laisse moi t'aimer Version  Jean Nichol .
Poésie.
Ma petite fille Cliquez pour débuter.
NEIGE Poème de Lina Diaporama de Rose.
Souvenir d’une nuit mouvementée
Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette de chiffon et m’offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps du mieux que je pourrais.
Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette en chiffon, et qu’il m’offre un morceau de vie, je profiterais de ce temps le plus possible.
Dans le Silence De ta Mémoire …
Patience et Compréhension ...
Laisse moi t'aimer.
Manuel Poète Présente Parfum de Femme et Mourir par ton Amour
En premiers les sitations
J'ai rêvé de toi.
Là-bas Une présentation de Bebertchi
Un peu d’air….
Comme j'ai toujours envie d'aimer
By Búzios Slides Sincronizado com a Música Ne Me Quitte Pas Edith Piaf.
Déroulement automatique
A toi mon cœur REDA.
Toi, qui m'as donné la vie… Tu as su m'entourer naturellement de tes bras… Dans ta douceur si tendre… malgré.
Mon Île ….
ABAT-JOUR Poème de Paul GERALDY Diaporama de Rose.
Songe d’une nuit étoilée…
Lettre de Jésus.
Lettre de Jésus Cliquez pour débuter
L’autre moitié de ma vie …
Nous sommes aujourd’hui le jeudi 13 avril 2017
Psaume 139 Par Richard Gunther
L’autre nuit chérie, Alors que je dormais. Rêvant tu étais Dans mes bras.
Il était une fois ... Nous Deux …
Ne me quitte pas.
Ana Perdu dans des pensées profondes, Abattu par une vie sans considération… Résolu à vivre sans un but, sans espérance,
Toi et moi Souvenir du cœur Je t’aime
LE 21 MARS 2005 Pour toi mon mari.
Il faudra du temps ….
Laissez défiler automatiquement pour profiter de l’animation des fleurs.
Toi …. Qui m’attire !!!! Poème de Jacotte.
Une Femme Amoureuse Zouk Love
Cliquez pour faire défiler
Pour ma petite mamie.
Musique : Release me Belles pensées féminines sur l’amour sur des créations de Mimi Jade (auteurs inconnus) Défilement automatique.
Poème de Robert Serge Hanna
Passerose présente Maman m'entends-tu ?.
Cadeau !!!.
J’ai Tant besoin de toi Crazy Horse
Poésie.
MON AMOUR.
Comme une fleur sous la neige Que plus rien ne protège
Le bal du printemps … J’ai mis ma robe de satin blanc Et mes souliers ornées de diamants Je porte un rubis et de douces perles Pour vivre cet éblouissant.
Je N’ai Rien Qu’un Amour Frédéric Francois
Quand J’ai Besoin (When I Need You) Paul Daraiche
J’ai fait un doux rêve où tu venais me retrouver,
Un peu d’air… Depuis quelque temps, Je me sentais comme étouffée Entre la vaisselle, les repas et le ménage; Il me semblait que je manquais d’air… J’avais.
Transcription de la présentation:

La Nuit me parle de Toi.

La nuit me parle de toi La nuit me parle de toi Elle ne me donne pas de rêves Pleins de femmes transparentes Mais elle m’apporte ton image Afin que ton absence Ne m’étrangle pas tout à fait Elle voit avec scandale Que je n’ai pas ton corps dans mes bras Et elle allonge près de moi Le fantôme de ta peau Elle me dit Qu’à force de t’aimer tu m’aimeras Et qu’ainsi cessera ma longue insomnie Sur ta présence réelle Et sur ton vrai sang. La nuit me parle de toi Elle ne me donne pas de rêves Pleins de femmes transparentes Mais elle m’apporte ton image Afin que ton absence Ne m’étrangle pas tout à fait Elle voit avec scandale Que je n’ai pas ton corps dans mes bras Et elle allonge près de moi Le fantôme de ta peau Elle me dit Qu’à force de t’aimer tu m’aimeras Et qu’ainsi cessera ma longue insomnie Sur ta présence réelle Et sur ton vrai sang.

Je vais tenter de dormir D’oublier en même temps Mon corps et le tien Je serai sans t’aimer Seulement les quelques heures Où je ne serai plus Puis dans l’aube de mon amour Se lèvera le soleil de ton corps Je retrouverai l’aventure Au point où je l’aurai laissée Et mon désir en marche vers ta cime Je vais tenter de dormir D’oublier en même temps Mon corps et le tien Je serai sans t’aimer Seulement les quelques heures Où je ne serai plus Puis dans l’aube de mon amour Se lèvera le soleil de ton corps Je retrouverai l’aventure Au point où je l’aurai laissée Et mon désir en marche vers ta cime

La nuit me parle de toi Il le faut Il le faut Il le faudra un jour Nous saurons inventer Tout sera pur comme l’hiver Personne n’aura su avant nous Nos mains seront plus douces Qu’une ombre blanche Ce sera comme si nous avions invité D’invisibles colombes A voler entre nous Ce sera comme si nous habitions Le feu de leurs ailes Avant de ne plus savoir Qui nous sommes l’une de l’autre Il le faut Il le faudra un jour Nous saurons inventer Tout sera pur comme l’hiver Personne n’aura su avant nous Nos mains seront plus douces Qu’une ombre blanche Ce sera comme si nous avions invité D’invisibles colombes A voler entre nous Ce sera comme si nous habitions Le feu de leurs ailes Avant de ne plus savoir Qui nous sommes l’une de l’autre

Me voici près de toi Me voici près de toi Allons nous devenir des corps du troupeau Chercher un lit et être nues Roulant l’une et l’autre ? Je meurs déjà De ton visage et de tes mains Le souvenir de tes épaules Fait exploser mon sang loin de ma peau Laisse moi d’abord Serrer tes jambes contre mes tempes Afin d’apprivoiser les louves enragées Du début des caresses Me voici près de toi Allons nous devenir des corps du troupeau Chercher un lit et être nues Roulant l’une et l’autre ? Je meurs déjà De ton visage et de tes mains Le souvenir de tes épaules Fait exploser mon sang loin de ma peau Laisse moi d’abord Serrer tes jambes contre mes tempes Afin d’apprivoiser les louves enragées Du début des caresses

Je voudrais être douce près de toi Présente comme absente Mes lèvres parfois sur ton visage Papillon voué à une seule fleur Et je n’irais aux grandes orgues De ton corps Qu’amoureusement invitée Touchant tes cheveux et tes mains Tes genoux et tes lèvres Que de la main la plus légère Que je puisse obtenir de mon désir : Une ombre fraîche de mon sang O mes seins mes hanches mes cuisses O mon entière ma plénière Je ne serai vivante que toi contre moi Je voudrais être douce près de toi Présente comme absente Mes lèvres parfois sur ton visage Papillon voué à une seule fleur Et je n’irais aux grandes orgues De ton corps Qu’amoureusement invitée Touchant tes cheveux et tes mains Tes genoux et tes lèvres Que de la main la plus légère Que je puisse obtenir de mon désir : Une ombre fraîche de mon sang O mes seins mes hanches mes cuisses O mon entière ma plénière Je ne serai vivante que toi contre moi

Pas un brin Pas un brin de ta peau À ne donner honte aux fleurs Je regardais le soleil Avant et après ta venue On aurait dit Une poignée d’or dans une cave Puis sur la neige C’est toi qui l’éclaire Et tu me foudroies Je n’ai le devoir Ni le droit de t’aimer Je suis ta brûlure Sans pouvoir encore la nommer Pas un brin de ta peau À ne donner honte aux fleurs Je regardais le soleil Avant et après ta venue On aurait dit Une poignée d’or dans une cave Puis sur la neige C’est toi qui l’éclaire Et tu me foudroies Je n’ai le devoir Ni le droit de t’aimer Je suis ta brûlure Sans pouvoir encore la nommer .

Ici s’arrête le poème . Ici s’arrête le poème Ici finit son parfum de rose amère Je me suis approchée de toi De vertige en vertige Au dessus de l’abîme ouvert Je t’ai prise avec le gant des mots De la plus douce soie Afin que tu ne discernes pas Le poids de l’ombre de ma main La première fois qu’elle t’a touchée Ici commence la peau Nous ne sommes qu’à l’aube de l’orage Ici s’arrête le poème Ici finit son parfum de rose amère Je me suis approchée de toi De vertige en vertige Au dessus de l’abîme ouvert Je t’ai prise avec le gant des mots De la plus douce soie Afin que tu ne discernes pas Le poids de l’ombre de ma main La première fois qu’elle t’a touchée Ici commence la peau Nous ne sommes qu’à l’aube de l’orage. .

Tu étais belle Tu étais belle ce soir dans le soleil Plus que de lui vêtue On aurait dit que tout entier Il se donnait pour te faire Tu me brûlais de loin Tantôt tu étais d’or Tantôt de miel tantôt de lait Tu étais la rosée Doublant de transparence l’aubépine Je te savais brûlante Je te savais fraîcheur même Tu étais l’aube Mystérieusement couchée Sur un million de lis. Tu étais belle ce soir dans le soleil Plus que de lui vêtue On aurait dit que tout entier Il se donnait pour te faire Tu me brûlais de loin Tantôt tu étais d’or Tantôt de miel tantôt de lait Tu étais la rosée Doublant de transparence l’aubépine Je te savais brûlante Je te savais fraîcheur même Tu étais l’aube Mystérieusement couchée Sur un million de lis.

Mon corps, cette chaleur et cet éclat qui par tes yeux me traverse , ce tout qui t’embrase et te devient. Regarde donc ces formes de vie et ces courbes qui dansent sur une pauvre histoire . Je te réputerais digne d’elles si tu n’étais brûlante et vêtue d’attente , vivante au moins l’instant de mon désir…………

Photographiée par Kiss eve anne Photographiée par Kiss Textes d’Alain Borne: Nuits Partagées Kiss